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Jeune XY(Andro)JeunesseAndroJeunoPratique 5RésuméContact


 

 


LEXIQUE

 

Nominum / Rerum


 

 

(Suite)


 

 


– O –


 

 

OBÉISSANCE-S / OBÉISSANT – Soumission, allégeance, docilité & consentement, à obtempérer / relevant, de l’obéissance.

OBÉSITÉ-S / OBÈSE-S – Surpoids adipeux & de graisse corporelle, excès, d’embonpoint, indice, de masse corporelle, excessif / relevant, atteint, de l’obésité.

OBJECTIF-SRésultat, à atteindre : but, dessein, visée.

OBJECTIVATION-S / OBJECTIVANT / OBJECTIVÉ – Concrétisation : mise-s, en application & à exécution, inscription, dans les faits, choix, de l’impartialité / relevant, de l’objectivation.

OBJECTIVITÉ / OBJECTIF – Impartialité & neutralité, justesse, conformité, à la réalité, la vérité, l’exactitude / relevant, de l’objectivité.

 

OBJURGATION-S / OBJURGATOIRE – Exhortation, encouragement, recommandation / lié, à l’objurgation.

OBLATIVITÉ / OBLATIF – Altruisme, générosité, oubli & don, de soi / relevant, de l’oblativité.

OBLIGATION-S / OBLIGATOIRE – Devoir & engagement, contrainte, impératif / relevant, de l’obligation.

OBSCURANTISME-S / OBSCURANTISTE-S – Rejet, du progrès, des savoirs, des nouveautés / relevant, tenant, de l’obscurantisme.

OBSERVATION-S / OBSERVATEUR-S / OBSERVÉ – Contemplation, constatation, réflexion / relevant, de l’observation.

 

OBSESSION-S / OBSESSIONNEL / OBSÉDANT / OBSÉDÉ – Manie, idée fixe, hantise, des plus irrépressibles, compulsionnelles / relevant, de l’obsession.

OBSTACLE-S – Écueil, entrave, difficulté.

OBSTRUCTION-S / OBSTRUCTIONNEL / OBSTRUÉ – Entrave, empêchement, blocage / relevant, de l’obstruction.

OCCIDENT / OCCIDENTAL-AUX – Amérique, du Nord, Australie, Europe & Ouest, hémisphère Nord, du monde / relevant, ressortissant, de l’Occident.

OCCUPATION / OCCUPANT-S – Présence militaire, d’invasion allemande, en France, lors, du Second Conflit mondial, 20e s. / acteur, de l’Occupation.


 

 

OCCURRENCE-S / OCCURENTIEL – Circonstance, occasion, survenue temporelle & spatiale, d’un événement spécifique / relevant, de l’occurrence.

OCDE, Organisation de Coopération & de Développement Économiques – Organisme international consultatif, d’études économiques, de pays, dits, « développés, démocratiques, d’économie, de marché », France, monde.

OCÉAN – ŒUVRES POSTHUMESŒuvre littéraire, de poésie, France, 19e s. : rédaction, France, 19e/20e s. : publication.

ŒUVRES COMPLÈTESLivre de psychologie, développement personnel, France, 20e s.

OFFENSIVE-S / OFFENSIF – Attaque, charge, assaut / relevant, de l’offensive.

 

OISIVETÉ-S / OISIF-S – Désœuvrement, inoccupation, inaction & inactivité / relevant, tenant, de l’oisiveté.

OLFACTION / OLFACTIF – Odorat, sens, de perception, des substances chimiques volatiles / relevant, de l’olfaction.

OLIGARCHIE-S / OLIGARCHIQUE – Pouvoir politique, du petit nombre, de la minorité / relevant, de l’oligarchie.

OLIGO-ÉLÉMENT-SÉléments chimiques, classe, de nutriments, éléments minéraux purs, indispensables, de l’organisme humain, en micro quantités.

OLLER, A.-C. – Sociologue, de l’éducation, France, 20e/21e s.

 

OLSEN LANEY, M. – Psychothérapeute, psychanalyste, États-Unis, 20e/21e s.

OMISSION-S / OMIS – Oubli, négligence, lacune / relevant, de l’omission.

ONDE-S ALPHARythme cérébral, oscillation électroencéphalographique, activité électrique, du cerveau, en éveil, détente, les yeux fermés.

ONDE-S BÊTARythme cérébral, oscillation électroencéphalographique, activité électrique, du cerveau, en activité intense, concentration, anxiété.

ONDE-S DELTARythme cérébral, oscillation électroencéphalographique, activité électrique, du cerveau, au cours, du sommeil profond.


 

 

ONDE-S GAMMARythme cérébral, oscillation électroencéphalographique, activité électrique, du cerveau, conscient actif, en concentration, attention cognitives.

ONDE-S THÊTARythme cérébral, oscillation électroencéphalographique, activité électrique, du cerveau, en somnolence, hypnose, mémorisation.

ONTOGÉNIE & ONTOGENÈSE & ONTOGÉNÉTIQUE / ONTOGÉNIQUE – Processus humain développemental, de la naissance, à l’âge adulte & la mort : physique, psychique, moral / relevant, de l’ontogénie.

ONTOLOGIE / ONTOLOGIQUE – Théorie, étude, réalités philosophiques, métaphysiques, de l’être, en tant, que tel / relevant, de l’ontologie.

OP ART / Art optique – Usages, théories artistiques, faisant appel, aux illusions, jeux visuels optiques, abstraits, monde, 20e s.

 

OPÉRATIONS FORMELLES / « Intelligence formelle » – Stade cognitif, acuité psychique, d’abstraction mentale, hypothético-déductive.

OPINION-SConviction, point de vue, avis.

OPINIONWAY – Sondage. – Étude sociologique d’opinion, France, 21e s.

OPIUMSuc de pavot, narcotique, drogue.

OPPORTUNITÉ-S / OPPORTUN – Occasion, débouché, utilité / relevant, de l’opportunité.

 

OPPOSITION-S / OPPOSITIONNEL / OPPOSANT-S / OPPOSÉ – Antagonisme, désaccord, divergence / relevant, tenant, de l’opposition.

OPPROBRE-S – Honte, déshonneur, condamnation.

OPTIMISATION-S DE-S POTENTIELS – Amélioration, accroissement, des « rendements » & du développement personnel, renforcement, des qualités, ressources, capacités propres.

OPTIMISATION-S / OPTIMISATEUR / OPTIMISÉ – Amélioration, accroissement, du rendement & du développement propre, renforcement / relevant, de l’optimisation.

OPTIMISATION-S PERSONNELLE-S – Amélioration, accroissement, des « rendements » & du développement propre, renforcement, des vertus humaines individuelles.


 

 

OPTIMISME CRÉATEUR, L’ Ouvrage, de psychologie & développement personnel, France, 20e s.

OPTIMISME-S / OPTIMISTE-S – Positivité, confiance, enthousiasme / relevant, tenant, de l’optimisme.

OPTIMISTELivre de psychologie, France, 21e s.

OPTIMUM-S – Réalité satisfaisante, la plus favorable, la meilleure, la plus « productive ».

OPTION-S SCOLAIRE-S – Choix possible, entre plusieurs matières académiques, enseignées, pour l’élève, France.

 

ORADOUR-SUR-GLANECommune, théâtre, de faits, de guerre, criminels, de masse, contre l’humanité, sous l’Occupation allemande, France, 20e s.

ORAISON-SPrière liturgique, prière mentale, méditation affective & spirituelle.

ORAL – Expression verbale, par la parole, la voix.

ORALITÉ / ORAL – Parler, transmission, par la parole, le verbe, la voix / relevant, de l’oralité.

ORATORES / Ceux qui prient – Religieux, à fonction sacerdotale sacrée, souveraine, ordre, du clergé, France, Moyen Âge & ère moderne : Renaissance, Ancien Régime, 6e-18e s.

 

ORDALIE-S : probatoire-s : Jugement de Dieu/ ORDALIQUE – Mise à l’épreuve, jugement, probation / relevant, de l’ordalie.

ORDRE / ORDONNÉ – Sûreté, police, rigueur, individuelles & collectives, privées & publiques / relevant, de l’ordre.

ORGANISATION DU TEMPS – Aménagement, structuration, gestion, des durées journalières disponibles.

ORGANISATION DU TEMPS SCOLAIRE – Aménagement, structuration, gestion, des périodes, d’enseignements, disponibles.

ORGANISATION DU TRAVAIL SCOLAIRE – Aménagement, structuration, gestion, des tâches éducatives, à effectuer.


 

 

ORGANISATION / ORGANISATIONNEL / ORGANISATEUR / ORGANISÉ – Système, agencement, disposition / relevant, acteur, de l’organisation.

ORGASME-S / ORGASMIQUE –  Jouissance physiologique sexuelle, maximale / relevant, de l’orgasme.

ORGUEIL-S / ORGUEILLEUX – Suffisance, fierté, prétention / relevant, de l’orgueil.

ORIENTATION SCOLAIRE, L’ – Bilan des résultats de l’écoleRapport public, de sciences de l’éducation & sociologie éducative, France, 21e s.

ORIENTATION-S : D’ÉTUDES / SCOLAIRE / UNIVERSITAIRE / PROFESSIONNELLE / DE MÉTIERS – Aiguillage, proposition, indication, de voies académiques & d’emploi, France.

 

ORIENTATION-S : DE VIE – Choix & options, préférences, décisions existentiels personnels.

ORIGINALITÉ / ORIGINAL – Singularité, unicité & rareté, particularité / relevant, de l’originalité.

ORLÉANISTE-S / ORLÉANISMEPartisans, de la maison, d’Orléans, pour l’héritage, de la Couronne / courant politique monarchiste, afférent, France, dep., le 19e s.

ORTHODOXIE / ORTHODOXE-S – L’une, des trois Églises majeures, du christianisme, avec le catholicisme, le protestantisme / fidèles, de cette religion, monde, dep., le 11e s.

OSÉE, PROPHÈTEProphète biblique, de l’Ancien Testament, saint chrétien, Moyen-Orient, 8e s. av. J.-C.

 

OSTÉOPOROSE / OSTÉOPOROTIQUE – Fragilité pathologique, du squelette, par diminution, de la masse osseuse, altération structurelle osseuse / relevant, de l’ostéoporose.

OÙ ? / Ubi ?Interrogation concernant l’espace.

OUBLI DE SOI – Don de soi, altruisme, abnégation.

OUTIL-S / OUTILLÉ – Moyen, instrument, vecteur / muni, d’outil-s.

OUVERTURE : D’ESPRIT & MENTALE / OUVERT – « Largesse », curiosité & compréhension, tolérance, intellectuelles-cognitives, émotionnelles, comportementales, à l’égard, des différences / large, d’esprit.


 

 

OVE, Observatoire national de la Vie Étudiante – Organisme public, d’étude, de recherche scientifique, sur les conditions, de vie, les comportements, des étudiants, France.

OWENS, J.Athlète olympique, champion sportif, États-Unis, 20e s.

OXYGÉNATION-S / OXYGÉNANT / OXYGÉNÉ – Inhalation, respiration, d’air pur oxygéné / lié, à l’oxygénation.

OXYGÈNEGaz atmosphérique, composant, de l’air, élément chimique, indispensables, à la respiration pulmonaire humaine.


 

 


– P –


 

 

PACIFICATION-S / PACIFICATEUR / PACIFIÉ – Apaisement, adoucissement, r/établissement, du calme / tenant, relevant, de la pacification, la paix.

PACIFISME / PACIFISTE-S / PACIFIQUE – Recherche, de la paix, la concorde, l’harmonie, rejet, de la violence, la dissension, l’acrimonie / partisan, du pacifisme / paisible.

PACTE RÉPUBLICAINAdhésion, des citoyens, de la nation, à des valeurs communes, de la « chose publique », la République : universalisme, droits, libertés…

PAF, Positivité, Assurance, Foi – Valeurs androJeunologiques constructives, de confiance, d’idéal & d’espérance.

PAGANISME-S / PAÏEN-S / PAGANISTE-S – Pour le christianisme, polythéisme païen & état, de peuples, non évangélisés / relevant, tenant, du paganisme.

 

PAGNOL, M.Écrivain littéraire, dramaturge, France, 19e/20e s.

PAIR-S – Congénères, semblables, égaux.

PAIX DE L’ÂME & PAIX INTÉRIEUREAtaraxie, équanimité, sérénité.

PAIX FAMILIALE – Calme, quiétude, sérénité, entre membres, d’une même famille : parents & enfants, frères & sœurs, père & mère.

PAIX / PACIFIQUE / PAISIBLE / PACIFISTE-S – Calme, quiétude, sérénité / relevant, tenant, de la paix.

 

PALIMPSESTE-SParchemin manuscrit, à texte initial effacé, remplacé, par de nouvelles formulations écrites / métaphore.

PALLADIUMFigure protectrice, de la mythologie grecque antique / symbole, de sauvegarde, pérennité, protection.

PALO ALTO, École de – Courant, de pensée & recherche, en cybernétique, psychologie, psychosociologie, sciences, de l’information & la communication, États-Unis, 20e s.

PANIQUE-S / PANIQUANT / PANIQUEUR / PANIQUÉ – Affolement, sauve-qui-peut, effroi / relevant, de la panique.

PAPAUTÉ / PAPAL – Dignité, pouvoir, gouvernement, du Souverain pontife, chef, de l’Église catholique romaine, à la tête, du Saint-Siège / relevant, de la papauté, du pape.


 

 

PAPY KRACH / Crise de la société vieillissanteMarasme socioéconomique, sociétal, moral, actuel, de la prédominance, des seniors, aux dépens, des jeunes, France, Europe, Occident, 21e s.

PAR QUELS MOYENS ? / Quomodo ?Les outils.

PARABOLE-S / PARABOLIQUE – Allégorie, comparaison, symbole & mythe, notamment, néotestamentaires bibliques / lié, à la parabole.

PARADIGME-S / PARADIGMATIQUE – Conception, du monde, modèle, courant, de pensée / relevant, du paradigme.

PARAÎTRE – Apparence, artifice, superficialité.

 

PARALYSIE-S / PARALYSANT / PARALYSÉ-S – Blocage neurologique, physique, métabolique, de la motricité musculaire – immobilisation, marasme, léthargie / relevant, atteint, de paralysie.

PARANORMALPhénomènes hypothétiques, hors normes, scientifiquement, inexplicables, à ce jour / relevant, du paranormal.

PARAVERBAL – Aspect, de la communication non verbale, relatif, aux caractéristiques, de la voix humaine : ton, intonation, rythme.

PARDON-S / PARDONNEUR / PARDONNÉ – Indulgence, absolution & rémission, amnistie / relevant, du pardon.

PARENTALITÉ-SFonction, de parent-s, en toutes, ses implications.

 

PARENTOLOGIE / PARENTOLOGIQUE – Relation d’aide, aux parents, au sujet, de leurs enfants, en âge juvénile / relevant, de la parentologie.

PARENT-S / PARENTAL – Ascendants, biologiques & adoptifs : père & mère / relevant, des parents, de la parentalité.

PARESSE-S / PARESSEUX – Inertie & apathie, nonchalance, oisiveté & fainéantise / relevant, tenant, de la paresse.

PARI-S – Mise, confiance, foi.

PARIS ET LE DÉSERT FRANÇAIS Livre de géographie humaine, France, 20e s.


 

 

PARLEMENTARISME / PARLEMENTARISTE – Séparation & collaboration politiques, des pouvoirs, exécutif & législatif, avec responsabilité, du gouvernement, devant, le Parlement / relevant, du parlementarisme.

PARMÉNIDEPhilosophe, Grèce, 6e/5e s. av. J.-C.

PAROLE-SDire & langage, verbe & propos, expression orale humaine.

PAROLES D’ADOSLivre, de témoignages sociologiques, France, 21e s.

PAROUSIE / PAROUSIQUE – Notion biblique testamentaire, chrétienne : potentiel retour terrestre, du Christ / relevant, de la parousie.

 

PARTAGE-S / PARTAGEUR / PARTAGÉ – Métaphore morale : échange, ouverture, générosité / relevant, du partage.

PARTI POLITIQUE DE LA JEUNESSE – Hypothèse, d’un mouvement politique, réservé, aux jeunes, s’adressant, à eux, proposant, des mesures, en leur faveur, France, 21e s.

PARTICIPATION-S / PARTICIPATIF / PARTICIPANT-S – Contribution, coopération, apport & adhésion / relevant, acteur, de la participation.

PARTICULARISME-S / PARTICULARISTE – Volonté catégorielle, communautaire, d’identité, d’un groupe, de maintenir, ses spécificités / relevant, du particularisme.

PARTICULARITÉ-S / PARTICULIER – Caractéristique, singularité & spécificité, originalité / relevant, de la particularité.

 

PASCAL, B.Scientifique, philosophe, théologien, France, 17e s.

PASSAGE-S – Étape, période, phase & stade.

PASSÉISME / PASSÉISTE – Excès nostalgique, d’attachement, aux valeurs passées / relevant, du passéisme.

PASSER À L’ACTIONLivre, de développement personnel, France, 21e s.

PASSÉ-SÉcoulements temporels, temps révolus, époques antérieures.


 

 

PASSION-S / PASSIONNEL / PASSIONNANT / PASSIONNÉ – Engouement, vocation, penchant / relevant, de la passion.

PASSIVITÉ-S / PASSIF – Inaction, apathie & inertie, atonie / relevant, de la passivité.

PATERNITÉ-S / PATERNEL – État de père, sentiment paternel, lien, de parenté, père & enfant / relevant, de la paternité.

PATHOLOGIE-S MENTALE-SPsychopathologies, signes, de maladies psychiques, comme, psychiatriques.

PATHOLOGIE-S / PATHOLOGIQUE – Étude, des maladies, réalités, implications, des troubles & ensemble, des signes, d’une maladie / relevant, de la pathologie.

 

PATIENCE / PATIENT – Persévérance, constance, sérénité / relevant, de la patience.

PÂTISSERIE-S / PÂTISSIER – Préparation sucrée, à pâte cuite, au four / lié, à la pâtisserie.

PATRIARCAT-S / PATRIARCAL – Système social, de prééminence sociétale, familiale, comme, éducative, masculine & paternelle / relevant, du patriarcat.

PATRIMOINE-S / PATRIMONIAL – Capital, héritage & succession, fortune / lié, au patrimoine.

PATRIMONIALITÉ DES OFFICES / Offices patrimoniauxVénalité & hérédité, des charges, offices publics, sous l’Ancien Régime : monnayables & transmissibles, France, 16e-18e s.

 

PATRIOTISME / PATRIOTIQUE / PATRIOTE – Nationalisme, chauvinisme, civisme / relevant, tenant, du patriotisme.

PAUL DE TARSE, SAINT PAULFigure majeure, du christianisme, apôtre, du Christ, Moyen-Orient, 1er s.

PAUPÉRISATION-S : socioéconomique-s / PAUPÉRISÉ – Appauvrissement, matériel & financier, accru, continu, durable / relevant, de la paupérisation, du paupérisme.

PAVAGEAU, W.Médecin sexologue, consultant, d’une émission, de libre-antenne, d’une radio jeunes, France, 20e/21e s.

PAYS ÉMERGENT-SPays, à niveau socioéconomique « intermédiaire », entre ceux, dits, développés & ceux, dits, en développement.


 

 

PAYSANNERIE / PAYSAN-S – Classe socioéconomique, des travailleurs, de la terre, du monde agricole, des milieux ruraux / relevant, membre, de la paysannerie.

PÉCHÉ ORIGINELDoctrine théologique chrétienne, de la déchéance morale, de l’Humanité, depuis, l’indignité, d’Adam & Ève, premiers êtres humains, de la création divine.

PÉDAGOGIE / PÉDAGOGIQUE / PÉDAGOGUE – Sciences, pratiques éducatives, méthodes, d’enseignement, capacités didactiques / relevant, de la pédagogie.

PÉDOPSYCHIATRE-S – Praticien, de santé mentale, spécialiste, des enfants & adolescents.

PÉDOPSYCHIATRIE / PÉDOPSYCHIATRIQUE – Spécialité médicale, de santé mentale, de l’enfant & l’adolescent / relevant, de la pédopsychiatrie.

 

PÉDOPSYCHOLOGUE-S – Praticien, de la santé psychique, de l’enfant.

PÉDOPSYCHOTHÉRAPIE-S / PÉDOPSYCHOTHÉRAPEUTIQUE – Thérapie, soin psychiques, de l’enfant / relevant, de la pédopsychothérapie.

PEINE-S DE MORTDécision judiciaire, condamnant, à la perte, de vie, par exécution, pour les crimes, les plus graves.

PÉNIS, TAILLE DU – Dimension, du sexe masculin.

PENSÉE OCCIDENTALEIntellect, raisonnement, réflexion, culturels, de civilisation, spirituels & philosophiques, propres, à l’Occident européen, nord-américain, australien.

 

PENSÉE UNIQUE – Conformisme supposé, des idées, estimées, dominantes.

PENSÉE-S ADAPTATIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, se conformant, aux réalités, circonstances, à l’environnement, typologie psychologique.

PENSÉE-S DES APPRENTISSAGES – Intellect, raisonnement, réflexion, aptes, à la formation, l’expérience, l’instruction, typologie psychologique.

PENSÉE-S / ÉMOTION-S / COMPORTEMENT-S AUTOMATIQUES : NÉGATIFS – Raisonnement, affect, conduite réflexes, défavorables : non constructifs, défaitistes, pessimistes.

PENSÉE-S EXTERNE-S NÉGATIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, attribuant, toute la responsabilité, de la faute, à autrui, typologie psychologique.


 

 

PENSÉE-S EXTERNE-S POSITIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, attribuant, tout mérite, à autrui, typologie psychologique.

PENSÉE-S FORMELLE-S – Stade psychique, de maturité, du raisonnement intellectuel, juvénile humain, de type adulte.

PENSÉE-S HYPOTHÉTICO-DÉDUCTIVE-SStade psychique, de maturité, du raisonnement intellectuel, juvénile humain, de type adulte.

PENSÉE-S INTERNE-S NÉGATIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, attribuant, toute la responsabilité, de la faute, à soi-même, typologie psychologique.

PENSÉE-S INTERNE-S POSITIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, attribuant, tout mérite, à soi-même, typologie psychologique.

 

PENSÉE-S INTUITIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, issus, de la prescience, l’instinct, le pressentiment, typologie psychologique.

PENSÉE-S LIMITANTE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, restrictifs, pessimistes, défaitistes.

PENSÉE-S LOGIQUE-S & LOGICO-MATHÉMATIQUE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, du raisonnement, de la déduction, l’abstraction & du calcul, typologie psychologique.

PENSÉE-S NÉGATIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, défavorables : non constructifs, défaitistes, pessimistes.

PENSÉE-S OBSÉDANTE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, très obsessionnels, répétitifs, incoercibles : de manie, ressassement, d’idée fixe irrationnels.

 

PENSÉE-S ORGANISATIONNELLE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, de la structuration, la coordination, l’entreprise & l’élaboration, typologie psychologique.

PENSÉE-S / PENSANT / PENSIF – Intellect, raisonnement, réflexion / apte, à penser / pris, par ses pensées.

PENSÉE-S PERCEPTIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, des connaissances humaines, sentiments, sensations & impressions, typologie psychologique.

PENSÉE-S POSITIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, « favorables » : constructifs, optimistes, confiants.

PENSÉE-S PROSPECTIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, fort tournés, vers l’avenir, anticipant, le futur, imaginant, des réalités & concepts, à venir, typologie psychologique.


 

 

PENSÉE-S RATIONNELLE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, de la cohérence, du sens, de la méthode & la logique, typologie psychologique.

PENSÉE-S RELATIONNELLE-S / AFFECTIVE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, du lien & de l’échange, de l’attachement & des sentiments, des émotions & de la sensibilité, typologie psychologique.

PENSÉE-S RELIGIEUSE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, liés, à la spiritualité & au sacré, à la foi & la piété, aux choses confessionnelles.

PENSÉE-S SCIENTIFIQUE-S – Intellect, raisonnement, réflexion, liés, à la « méthode », dite, expérimentale, la rationalité & la rigueur, le savoir, typologie psychologique.

PENSÉESŒuvre, d’apologétique spirituelle, France, 17e s.

 

PENSUM-S / Corvée-s punitive-s – Sanction fastidieuse, tâche imposée, en sus, travail intellectuel pénible, notamment, scolaires.

PENTAGRAMME DE GINGERTypologie, de psychosociologie & philosophie, concernant, cinq grands champs, de la nature, la vie humaines, France, 20e s.

PÉNURIE-S / PÉNURIQUE – Carence, manque, rareté / relevant, de la pénurie.

PERCEPTION-S / PERCEPTIF / PERÇU – Sensation & impression, sentiment, connaissance / relevant, de la perception.

PERDANT-GAGNANT – Configuration, en laquelle, parmi, deux partenaires & protagonistes, le premier, est défavorisé, le second, avantagé.

 

PERDANT-PERDANT – Configuration, en laquelle, parmi, deux partenaires & protagonistes, le premier, est défavorisé, tout autant, que le second.

PERDITION-S / PERDU – Ruine, anéantissement, avilissement / en perdition.

PÈRE : TRINITÉDans la théologie chrétienne, l’une, des trois entités trinitaires, du Dieu unique, avec le Fils, le Saint-Esprit.

PÈRE-S DE L’ÉGLISEThéologien, dont les écrits, les actes, l’exemplarité morale, spirituelle, ont conduit, à fonder, défendre, promouvoir, la doctrine, de la foi chrétienne.

PÈRE-S / PATERNEL – Ascendant, géniteur, parent masculin / relevant, du père.


 

 

PÉRÉGRINATIONS – Voyages, trajets, déplacements fréquents, nombreux, aventureux.

PERFECTIBILITÉ / PERFECTIBLE – Fait, de pouvoir, être amélioré, perfectionné, optimisé / relevant, de la perfectibilité.

PERFECTIONNEMENT-S / PERFECTIONNÉ – Amélioration, progrès, avancée / optimisé.

PERFECTIONNISME / PERFECTIONNISTE-S – Préoccupation « sublimée », de perfectibilité, d’excellence, d’idéal / relevant, tenant, du perfectionnisme.

PERFORMANCE-S INDIVIDUELLE-S – Exploit, prouesse, record personnels

 

PERFORMANCE-S / PERFORMANT – Exploit, prouesse, record / relevant, de la performance.

PERFORMANCE-S SEXUELLE-S – Exploit, prouesse, record, en matière érotique.

PÉRIPÉTIE-S – Incident, avatar, contretemps.

PERMANENCE-S / PERMANENT – Continuité, constance, invariabilité / lié, à la permanence.

PERMIS DE CONDUIRE AUTOMOBILEExamen & habilitation, à faire circuler, un véhicule motorisé, France.

 

PERMISSION-S / PERMIS – Autorisation, accord, consentement / relevant, de la permission.

PERMISSIVITÉ-S / PERMISSIF – Tolérance, libertarisme, acceptation / lié, à la permissivité.

PERRAULT, C.Écrivain littéraire, France, 17e/18e s.

PERSÉCUTION, Syndrome de / PERSÉCUTIF / PERSÉCUTEUR / PERSÉCUTÉ – Paranoïa, psychose, délire, de victimisation / relevant, de la persécution & du syndrome, de persécution.

PERSÉVÉRANCE-S / PERSÉVÉRANT – Acharnement, constance, opiniâtreté / relevant, de la persévérance.


 

 

PERSONNALISATION-S / PERSONNALISÉ – Fait, d’individualiser, de rendre original, unique / relevant, de la personnalisation.

PERSONNALISME / PERSONNALISTE – Mise, au « premier plan », de la personne humaine, son respect, son épanouissement / relevant, du personnalisme.

PERSONNALITÉ COGNITIVE, du jeune – Tempérament, caractère, individualité psychique : mentaux, intellectuels, de la pensée.

PERSONNALITÉ COMPORTEMENTALE, du jeune – Tempérament, caractère, individualité psychique : des actes, abstentions, paroles.

PERSONNALITÉ ÉMOTIONNELLE, du jeune – Tempérament, caractère, individualité psychique : des sentiments, affects, sensations.

 

PERSONNALITÉ-STempérament, caractère, individualité psychique : cognitive, émotionnelle, comportementale, de façon, innée & acquise.

PERSONNE-S / PERSONNEL – Individu, être humain, homme / relevant, de la personne.

PERSPECTIVE-S – Point de vue, approche, conception.

PERSUASION-S / PERSUASIF / PERSUADÉ – Conviction, suggestion, certitude & croyance / relevant, de la persuasion.

PERTE-S AUDITIVE-S – Atteinte pathologique, de l’audition.

 

PERTE-S DE TEMPS – Gaspillage inutile, de la durée horaire disponible.

PERTE-S / PERDANT / PERDU – Disparition, privation, déficit & vide / sujet, à perte / disparu.

PERTURBATION-S / PERTURBATIF / PERTURBANT / PERTURBATEUR / PERTURBÉ – Trouble, bouleversement, ébranlement existentiels / relevant, de la perturbation.

PERVERTISSEMENT-S / PERVERTI – Débauche, dévoiement, dégénérescence / dévoyé.

PESSIMISME-S / PESSIMISTE-S – Défaitisme, négativité, alarmisme / relevant, tenant, du pessimisme.


 

 

PETIT CHOSE, LELivre, de littérature autobiographique, France, 19e s.

PETIT MANUEL D’AUTOCOACHINGLivre, de développement personnel, France, 21e s.

PETIT PRINCE, LEConte littéraire poétique & narration philosophique, États-Unis, France, 20e s.

PETITE PANOPLIE, POUR RÉUSSIR À L’ÉCOLEArticle, de psychosociologie éducative, de magazine, de presse écrite, d’information, France, 21e s.

PETIT-S EMPLOI-S – Travail ponctuel, occupation professionnelle, rémunérés & d’appoint, notamment, pour jeunes.

 

PETITS PRINCES, LESComédie cinématographique dramatique, France, 21e s.

PEUR-S / APEURÉ / PEUREUX – Crainte, inquiétude, effroi & frayeur / atteint, de peur / craintif.

PEUSOL, M.Jeune adolescente, victime, d’attentat terroriste, France, fin 18e s.

PEYREFITTE, A.Écrivain, diplomate, homme politique, France, 20e s.

PHALANSTÈRE-S / PHALANSTÉRIEN-S – Groupe humain, vivant, en collectivité, à activités & objectifs communs – Lieu, de vie, de ces adeptes / relevant, du phalanstère, métaphore.

 

PHÉNOMÉNOLOGIE / PHÉNOMÉNOLOGIQUE – Philosophie, œuvrant, à l’appréhension, de la nature, des choses, par la conscience, Allemagne, 20e s. / relevant, de la phénoménologie.

PHILIPPE Ier, des Francs – Souverain régnant, France, 11e/12e s.

PHILIPPE II, des Francs & de France / Auguste – Souverain régnant, France, 12e/13e s.

PHILIPPE IV, de France / le Bel – Souverain régnant, France, 13e/14e s.

PHILOSOPHIE DES LUMIÈRESDoctrine morale, principes existentiels, sagesse ontologique, de progrès & raison, liberté, renouveau, Europe, 18e s.


 

 

PHILOSOPHIE DU SENS – Doctrine morale, principes existentiels, sagesse ontologique, axés, sur la raison, d’être, la finalité, les valeurs.

PHILOSOPHIE MORALEDoctrine éthique, principes existentiels, sagesse ontologique, fondés, sur l’axiologie, la spiritualité, la métaphysique.

PHILOSOPHIE PRÉSOCRATIQUE / PRÉSOCRATISME – Doctrines morales, grands principes existentiels, sagesse ontologique, de l’Antiquité grecque, antérieurs, à Socrate, Grèce, 7e-5e s. av. J.-C.

PHILOSOPHIE-S DE – LA – VIE / EXISTENTIELLE-S – Principes fondamentaux existentiels, sagesse ontologique, du quotidien, axiologie, du vécu humain.

PHILOSOPHIE-S / PHILOSOPHIQUE / PHILOSOPHEScience, de la métaphysique & doctrine morale, principes fondamentaux existentiels, « sagesse ontologique » / relevant, tenant, de la philosophie.

 

PHOBIE-S / PHOBIQUE – Peurs irrationnelles, obsessionnelles, instinctives, troubles invasifs anxieux, psychopathologie / relevant, atteint, de la phobie.

PHOBIE-S SOCIALE-SAnxiété sociale, trouble anxieux : timidité cognitive, émotionnelle, comportementale, à forts évitements relationnels, mésestime, de soi.

PHOSPHORE, REVUEMagazine mensuel généraliste, pour lycéens, France.

PHOTO/GRAPHIE-S / PHOTOGRAPHIQUE / PHOTOGRAPHIÉ – Fixation, d’images, sur pellicule & numériques, par exposition, à la lumière & clichés obtenus, ainsi / relevant, de la photographie.

PHYSIQUE-S – Anatomie & morphologie, plastique, corps, des humains / corporel & charnel, physiologique & biologique, somatique & organique.

 

PHYTOTHÉRAPIE / PHYTOTHÉRAPEUTIQUE – Utilisation, des plantes médicinales, à usage sanitaire, préventif & thérapeutique / relevant, de la phytothérapie.

PIAGET, J.Psychologue, biologiste, Suisse, 19e/20e s.

PIB, Produit Intérieur Brut – Valeur annuelle, de la « production, de richesses », d’un pays.

PICOT de LIMOËLAN, J.Officier supérieur, chef militaire, France, 18e/19e s.

PIERCING-S / Perçage-s corporel-s – Trous, dans la peau, pour fixer, un bijou décoratif.


 

 

PIERROT (LUNAIRE) – Personnage de fiction, de la commedia dell’arte : candide, espiègle, de bon sens, à vêtement blanc, visage blafard, États italiens, 16e s. : métaphore.

PILORI, Clouer, auMétaphore : désigner, à la vindicte, la réprobation, le désaveu publics : en condamnation générale méprisante.

PINDAREPoète, Grèce, 6e/5e s. av. J.-C.

PINET-FERNANDES, C. – Sociologue, France, 20e/21e s.

PING, A. C. – Auteur, en développement personnel, Australie, 20e/21e s.

 

PIRE-S – Ce qu’il y a, de plus mauvais, médiocre, déplorable.

PISA, Programme International, pour le Suivi, des Acquis des élèves – Études, de l’Ocde, l’Organisation, de Coopération & Développement Économique, d’évaluation, des performances, des principaux systèmes éducatifs, monde.

PITTE, J.-R.Universitaire, en géographie, France, 20e/21e s.

PLACEBO, EFFETRésultats bénéfiques, avec un produit, une thérapie, une réalité, sans « principe actif », mais, du seul fait, de la conviction optimiste, induite, autosuggérée.

PLACE-S – Condition & situation, position, poids & importance.

 

PLAIDEURS, LESPièce de théâtre, de comédie, France, 17e s.

PLAINTE-S / PLAINTIF / PLAIGNANT / PLAINT – Douleur, lamentation, récrimination / relevant, de la plainte.

PLAISIR-S – Satisfaction, bien-être, divertissements.

PLANÈTE-S / PLANÉTAIRE – Corps céleste : astre, monde, Terre / relevant, de la planète.

PLANIFICATION-S / PLANIFICATEUR / PLANIFIÉ – Programmation, organisation, prévision / relevant, de la planification.


 

 

PLANNING FAMILIALMoyens, de planification, contrôle, régulation, des naissances.

PLANNING-S / AGENDA-S : SCOLAIRE-S / DU TEMPS – Programme, organisation, calendrier, de travail, d’études, scolaires & universitaires / de la durée horaire, disponible.

PLAN-S D’ACTION – Programme, de conduite, à tenir.

PLAN-S DE COURS – Subdivisions, structurant, un enseignement, scolaire & universitaire.

PLAN-S DE TRAVAIL SCOLAIRE – Programme structurant, organisant, dans le temps, les tâches, d’un cursus, d’enseignement.

 

PLASTICITÉ CHRONOLOGIQUE / PLASTIQUE – Temps disponible libre, « souple », à usage personnel, selon, les convenances individuelles / relevant, de la plasticité.

PLATONPhilosophe, Grèce, 5e/4e s. av. J.-C.

PLATONISME / PLATONICIEN – Courant philosophique, Grèce, 4e s. av. J.-C. / relevant, du platonisme, des enseignements, du philosophe, Platon.

PLÉNITUDE-S / PLÉNIER – Épanouissement, ataraxie, équanimité / relevant, de la plénitude.

PLÉNITUDE-S PSYCHOSOMATIQUE-S – Épanouissement, ataraxie & équanimité, bonne santé, tant, physique, que psychique, sociale.

 

PLESSY v. FERGUSONArrêt, de la Cour suprême, des États-Unis d’Amérique, légalisant, la ségrégation raciale, doctrine afférente : « Séparés, mais, égaux », États-Unis, 19e s.

PLÉTHORE-S / PLÉTHORIQUE – Excès, surabondance, profusion / relevant, de la pléthore.

PLINE, LE JEUNEÉcrivain, avocat, homme politique, Empire romain, 1er/2e s.

« PLI-S NEURONAL-AUX » – Ancrage, habitude, impression cérébraux.

PLOUTOCRATIE-S / PLOUTOCRATIQUE / PLOUTOCRATE-S – Gouvernement, dominé, par l’argent, ses détenteurs, argyrocratie / relevant, tenant, de la ploutocratie.


 

 

PLURICULTURALISME / PLURICULTURALISTE – Coexistence, de plusieurs cultures & habitus, idéologies, civilisations / relevant, du pluriculturalisme.

PLURIDISCIPLINARITÉ / PLURIDISCIPLINAIRE – Croisement, de divers champs scientifiques disciplinaires, pour une meilleure approche / relevant, de la pluridisciplinarité.

PME, Petite & Moyenne Entreprise – Unité économique, de taille limitée & intermédiaire.

PNUD, Programme des Nations Unies, pour le Développement – Système, politiques, fonds d’aide, des Nations Unies, aux pays, en développement, États-Unis, monde.

PODCAST/ING-S / Diffusion, de fichiers Internet / PODCASTÉ – Téléchargement audiovisuel, de données informatiques, numériques, sur Internet / téléchargé.

 

POÉSIE-S / POÉTIQUE – Art, genre littéraires, versification, poème / relevant, de la poésie.

POIDS / PONDÉRAL – Mesure, de la masse corporelle, ce que pèse, un humain / lié, au poids.

POINT-S FAIBLE-S – Défaut, inconvénient, faille.

POINT-S FORT-S – Qualité, atout, vertu.

PÔLE SUDPoint géographique terrestre, antarctique, le plus méridional, à l’exact opposé, du pôle Nord géographique, arctique, son pendant, le plus septentrional.

 

POLÉMIQUE-S / POLÉMISTE-S – Controverse, dispute, querelle / relevant & tenant-s, de la polémique.

POLITIQUE-SOrganisation & exercice, du pouvoir, d’État, conceptions idéologiques, des affaires publiques, structure & fonctionnement, d’une société.

POLITIQUE-S & ACTION-S PUBLIQUE-S, DE / POUR LA JEUNESSE – Dispositifs, mesures, actions, des pouvoirs publics, en faveur, à destination, des jeunes, France.

POLITIQUE-S DES JEUNES & DES DROITS DE LA JEUNESSE – Hypothèse, de mesures publiques globales, transversales, spécifiques, en faveur, de la jeunesse, France, 21e s.

POLLUTION-S / POLLUANT / POLLUEUR / POLLUÉ – Contamination, impureté, dégradation / relevant, de la pollution.


 

 

POMPÉIVille antique, détruite, par une éruption volcanique, Empire romain, 1er s.

POMPIDOU, G.Homme d’État, président de la République, France, 20e s.

PONDÉRATION / PONDÉRÉ – Sobriété, modération & mesure, prudence & sagesse / relevant, de la pondération.

POPULARITÉ / POPULAIRE – Estime & considération, réputation & renommée, faveur & vogue / relevant, de la popularité.

PORNOGRAPHIE / PORNOGRAPHIQUE – Représentations sexuelles artistiques, littéraires, de cinéma, l’Internet / relevant, de la pornographie.

 

POSITION-S CONJONCTIVE-S D’ACCEPTATION – Assentiment, approbation, agrément, des autres, en union, intégration, cohésion.

POSITION-S DISJONCTIVE-S D’EXCLUSION – Rejet, ostracisme, discrimination, d’autrui, en séparation, désunion, division.

POSITIVISME / POSITIVISTE – Doctrine philosophique, affirmant, le primat, de la connaissance, des faits, « validés, scientifiquement », pour décrire, les réalités humaines / relevant, tenant, du positivisme, France, 19e s.

POSITIVITÉ-S / POSITIF – Réalité, état d’esprit, disposition favorables, optimistes, confiants, de ce qui est constructif, productif & fécond, utile / relevant, de la positivité.

POSSESSIVITÉ-S / POSSESSIF – Abus, jalousie, domination / relevant, de la possessivité.

 

POSTENFANCE / POSTENFANT – Adolescence & jeunesse : entre enfance & adultisme / relevant, de la postenfance.

POSTMODERNITÉ / POSTMODERNE – État actuel désabusé, désemparé, pragmatique, réel & supposé, du monde occidental / relevant, de la postmodernité.

POSTURE-S / POSTURAL – Situation, attitude, position / relevant, de la posture.

POTASSIUMSubstance minérale, jouant, un rôle fondamental, dans l’activité électrique, des cellules humaines, notamment, musculaires.

POTENTIALITÉ-S / POTENTIEL – Possibilité, virtualité, éventualité / relevant, de la potentialité.


 

 

POTENTIEL-S – Ressource, force, capacité.

POTTER, H.Personnage, de fiction littéraire & cinématographique, Royaume-Uni, 20e/21e s.

POUCE ET LA SOURIS, LE – Enquête sur la culture numérique des ados Ouvrage de sociologie, France, 21e s.

POUR NOS ADOS, SOYONS ADULTESLivre de psychologie, France, 21e s.

POUR RÉTABLIR UNE VÉRITÉLivre, de réflexion politique, France, 20e s.

 

POURQUOI ? & POUR QUOI ? / Cur ?La raison, le sens, l’objet.

POUVOIR DE LA VOLONTÉ, LELivre, de psychologie & développement personnel, France, 20e s.

POUVOIR ILLIMITÉLivre, de développement personnel, États-Unis, 21e s.

POUVOIR-SFaculté & capacité, autorité, puissance.

POUVOIR-S D’ACHATCapacités consuméristes, d’acquisitions, de biens matériels, services, par le revenu disponible, France.

 

POUVOIR-S EXÉCUTIF-SAutorités publiques, initiant, la politique, d’un État, faisant appliquer, les lois, votées, par le pouvoir législatif, les faisant respecter, via, le pouvoir judiciaire.

POUVOIR-S JUDICIAIRE-SAutorités publiques, d’État, avec, les pouvoirs exécutif & législatif, faisant respecter, les lois, votées, par le législatif, mises, en application, par l’exécutif.

POUVOIR-S LÉGISLATIF-SAutorités publiques, d’État, avec, les pouvoirs exécutif & judiciaire, les contrôlant, votant, les lois, mises, en application, par l’exécutif, protégées, par le judiciaire.

POUVOIRS PUBLICS – Autorités étatiques gouvernementales, administratives, conduisant, la politique nationale, d’un pays, avec le concours, du Parlement, de la Justice.

PRAGMATISME / PRAGMATIQUE – Réalisme pratique, empirisme, d’expérience, adaptation, par action concrète / relevant, du pragmatisme.


 

 

PRATIQUE-S – Réalisation & exercice, procédé & méthode, usage & application.

PRATIQUE-S D’INSTRUMENT-S DE MUSIQUE / MUSICALE-S – Usage, art, production sonores : mélodiques, harmoniques, rythmiques : instrumentaux & vocaux.

PRAXITÈLESculpteur, Grèce, 4e s. av. J.-C.

PRÉ CARRÉ – Métaphore : domaine réservé, espace protégé, zone, d’influence, exclusive.

PRÉADULTISME / PRÉADULTE – Postadolescence, phase, d’adultisation, stade, de maturation, de la jeunesse / relevant, du préadultisme.

 

PRÉBENDE-S / PRÉBENDIER-S – Bénéfice lucratif, profit, de sinécure, revenu avantageux, par faveur, fait, du prince : métaphore / titulaire, d’une prébende.

PRÉCARITÉ-S / PRÉCAIRE – Incertitude, instabilité, insécurité / relevant, de la précarité.

PRÉCEPTORAT DE VIE & RÉALISATION DE SOI – Relation, dite, d’ « aide », en matière, de développement personnel, d’accomplissement, de soi, de guidance existentielle.

PRÉCEPTORAT-S / PRÉCEPTORAL – Éducation particulière, à demeure, par enseignant privé individuel – accompagnement, guidance, mentorat éducatifs / relevant, du préceptorat.

PRÉCIPITATION-S / PRÉCIPITÉ – Impatience, hâte, panique / relevant, de la précipitation.

 

PRÉCISION-S / PRÉCIS – Rigueur & justesse, exactitude & détail, clarté & spécification / relevant, de la précision.

PRÉDATEUR-S – Métaphore : agresseur, assaillant, attaquant.

PRÉDESTINATION-S / PRÉDESTINÉ – Prédétermination & prédéterminisme, inéluctabilité, dessein, divins & humains / relevant, de la prédestination.

PRÉDICTION-S / PROPHÉTIE-S AUTORÉALISATRICE-S – Croyance proclamée, en la survenue, d’une occurrence, influant, sur les pensées, émotions, comportements, ce qui provoque, ce qui était annoncé.

PRÉFÉRENCE-S / PRÉFÉRENTIEL / PRÉFÉRÉ – Attirance, penchant, prédilection / relevant, de la préférence.


 

 

PRÉHISTOIRE / PRÉHISTORIQUE – Période chronologique humaine, débutant, selon certains critères, avec les premiers hommes, Homo, finissant, avec les débuts, de l’écriture, monde, 2,8 millions d’années, avant, le présent – v. 3 600 av. J.-C. / relevant, de la préhistoire.

PRÉJUGÉ-SConception préconçue, non fondée, erronée & excessive.

PRÉJUGÉ-S D’INCOMPÉTENCE – Conception préconçue, non fondée, erronée & excessive, quant à l’incapacité, l’inaptitude, l’impéritie, supposées, d’un individu.

PREMIER CYCLE UNIVERSITAIRE & d’études supérieures Cursus de Licence, bac +3, système éducatif européen, LMD, France.

PREMIER DEGRÉ, DU CURSUS SECONDAIREÉtudes académiques, de collège, France.

 

PREMIER-ÈRE CONFLIT / GUERRE MONDIAL-E / GRANDE GUERRE, 1914-1918 – Combats militaires internationaux, d’ampleur inédite, monde, 20e s.

PREMIÈRE RÉPUBLIQUE FRANÇAISERégime politique, issu, de la Révolution : Convention nationale, Directoire, Consulat, France, 18e/19e s.

PREMIER-S EMPLOI-S – Premier poste, de travail professionnel, occupé, par un jeune.

PREMIER-S MINISTRE-SChef, du gouvernement national, France.

PRÉMISSE-S – Hypothèse, démonstration, principe.

 

PRÉPARATION-S / PRÉPARATOIRE / PRÉPARÉ – Organisation, préliminaire, maturation / relevant, de la préparation.

PRÉSENT – Temps actuel, contemporain, en cours.

PRÉSERVATIF-SCapote, condom, protection sanitaire, contraceptive, hygiénique, masculine & féminine.

PRÉSIDENT-S DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISEChef de l’État, du pouvoir exécutif national, France, dep., le 19e s.

PRESSE écriteJournaux, magazines, publications, d’information, papier.


 

 

PRESSION-S / PRESSANT / PRESSÉ – Influences, d’intimidations & menaces coercitives, contraintes morales, vives incitations / relevant, de la pression.

PRÉVARICATION-S / PRÉVARICATEUR-S – Manquement, aux devoirs, d’une fonction donnée : concussion, malversation, forfaiture / relevant, tenant, de la prévarication.

PRÉVENTION / PRÉVENTIF – Mesures, précautions, dispositions, pour empêcher, limiter, la survenue, de risques, de dangers, de réalités négatives / relevant, de la prévention.

PRÉVENTION SANITAIRE – Prophylaxie, hygiène, de vie, précaution, de santé.

PRIÈRE-SCulte, invocation, acte rituel & oraison.

 

PRINCIPAL – Essentiel & fondamental, majeur & primordial, capital & important.

PRINCIPE-SPhilosophie & fondement, règle & loi, précepte & norme.

PRINCIPE-S ÉDUCATIF-S – Règle, précepte, norme pédagogiques, didactiques, de savoir-vivre : d’apprentissage, de formation, d’enseignement.

PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, LESŒuvre de philosophie, France, 17e s.

PRINCIPES ÉTHIQUES UNIVERSELSStade ultime, de typologie psychomorale : fixation, du bien, par la conscience souveraine, étayée, par des normes universelles, appropriées.

 

PRIORITÉ-S / PRIORITAIRE – Préférence, urgence, primauté / relevant, de la priorité.

PRISE DE LA BASTILLE, 14 juillet 1789 – Événement historique, fondateur, de la Révolution, France, 18e s.

PRISE-S DE NOTES – Fait, pour un élève & un étudiant, de transposer, un enseignement professoral, complet oral, en un résumé, écrit, de l’essentiel.

PRISE-S DE RISQUE-S – Mise, en danger, péril, menace, de soi-même.

PRISE-S EN COMPTE – Admission, considération, intégration & appréhension.


 

 

PRIVATION-S / PRIVATIF / PRIVÉ – Absence & perte, suppression & abstinence, manque & restriction / relevant, de la privation.

PRIVILÈGE-S / PRIVILÉGIÉ-S – Avantage, bénéfice, faveur / relevant, bénéficiant, du privilège.

PROACTION-S / PROACTIVITÉ-S / PROACTIF – Comportement, actif & interactif, synergique, en dynamique collective / relevant, de la proaction, la proactivité.

PROBITÉ-S / PROBE – Droiture & intégrité, honnêteté & loyauté, moralité & rectitude / relevant, de la probité.

PROBLÉMATIQUE-S – Différents aspects, implications, configurations, d’un sujet, d’une réalité, d’une donnée spécifiques.

 

PROBLÈME-S / PROBLÉMATIQUE – Difficulté & souci, ennui & trouble, interrogation / relevant, du problème.

PROCRASTINATION-S / PROCRASTINATOIRE / PROCRASTINATEUR-S – Report ultérieur, ajournement, atermoiement : tendance excessive, à la tergiversation / relevant, tenant, de la procrastination.

PRODIGALITÉ-S / PRODIGUE – Générosité excessive, gabegie, dilapidation / relevant, de la prodigalité.

PRODUCTION-S / PRODUCTIF / PRODUCTEUR / PRODUIT – Création, rendement, réalisation / relevant, de la production.

PRODUCTIVISME / PRODUCTIVISTE – Obsession économique, de la production, de biens, services / relevant, du productivisme.

 

PROFESSIONNALISATION : des études / PROFESSIONNALISANT / PROFESSIONNALISÉ – Instauration, de formations, d’enseignements, de cursus, secondaires & supérieurs, menant, directement, à l’emploi / lié, à la professionnalisation.

PROFESSION-S / PROFESSIONNEL-S – Métier, emploi, travail rémunérés / relevant, acteur, d’une profession.

PROGRAMME 3 M, « Mutation / Maîtrise / Maturité » – Objectif, planification, travail, de la relation d’aide androJeunologique, axés, sur le changement, l’assurance, la responsabilité.

PROGRAMME-S / PROGRAMMATIQUE / PROGRAMMÉ – Objectif, planification, projet / lié, à un programme / planifié, projeté, prévu.

PROGRÈS / PROGRESSISTE-S – Développement, avancée, essor / relevant, tenant, du progrès.


 

 

PROGRESSION-S / PROGRESSIF – Accroissement, expansion, progrès / lié, à la progression.

PROGRESSISME / PROGRESSISTE – Défense politique, de la justice sociale, des innovations technoscientifiques, améliorations morales humaines, de progrès / relevant, du progressisme.

PROJECTION-S MENTALE-S / PROJECTIF – Mécanisme, de défense, attribuant, à autrui, un sentiment personnel, mais, que l’on récuse / relevant, de la projection.

PROJECTION-S VISUELLE-S / PROJETÉ – Représentation personnelle, d’images, mentalement, projetées, aux fins, d’autosuggestion positive, en prédiction autoréalisatrice / lié, à la projection.

PROJET, DE RÉFORME UNIVERSITAIRE, DIT, DEVAQUETProjet, de loi, de réforme, des universités – sélection, concurrence, autonomie – retiré, France, 20e s.

 

PROJET-S DE VIE – Ambitions, objectifs, desseins personnels existentiels, d’avenir, que se propose, pour lui-même, un individu.

PROJET-S PROFESSIONNEL-SDesseins, objectifs, intentions, en matière, d’emplois, de métiers, de travail & carrières.

PROJET-S / PROJETÉ – Dessein, objectif, intention / relevant, du projet.

PROMESSE-S / PROMETTEUR / PROMIS – Engagement, serment, parole d’honneur / relevant, de la promesse.

PROPOS – Parole, discours, verbe.

 

PROPOSITION-S / PROPOSITIONNEL / PROPOSÉ – Suggestion, initiative, offre / relevant, de la proposition.

PROPRIÉTÉ-S PRIVÉE-S / PROPRIÉTAIRE-S – Possession, en propre, inaliénable, d’un individu, groupe, d’une entité morale & droit, d’en jouir, librement / possesseur, détenteur, titulaire.

PROSPECTIVE / PROSPECTIF – Anticipations, du futur, élaborations, des évolutions, à venir, projection actuelle préparatoire, d’avenir / relevant, de prospective.

PROSPÉRITÉ-S / PROSPÈRE – Opulence & richesse, aisance & expansion, développement & abondance / relevant, de la prospérité.

PROSTITUTION-S / PROSTITUTIONNEL / PROSTITUÉ-S – Sexualité rémunérée / relevant, acteur, de la prostitution.


 

 

PROTAGONISTE-S / PROTAGONIQUE – Intervenant & acteur, participant, instigateur & meneur / relevant, des protagonistes & du protagonisme : interactions humaines, en société.

PROTECTION SOCIALE / PROTECTEUR / PROTÉGÉ – Mécanismes, de prévoyance collective, permettant, aux individus, ménages, de surmonter, financièrement, les effets, de risques sociaux / relevant, de la protection.

PROTÉINE-S / PROTÉINIQUE – Macromolécule biologique, d’acides aminés, animale, végétale, présente, dans les tissus, de l’organisme, régénérant, les cellules, par l’alimentation / relevant, des protéines.

PROTESTANTISME / PROTESTANT – Courants religieux chrétiens, réformés, monde, dep., le 16e s. / relevant, du protestantisme.

PROTESTANT-S – Chrétiens, issus, de la Réforme protestante, monde, dep., le 16e s.

 

PROTIDES / PROTIDIQUE – Protéines, acides aminés, éléments nutritionnels, d’origines animales, autant, que végétales / relevant, des protides.

PROTOHISTOIRE / PROTOHISTORIQUE – Période, entre Préhistoire & Histoire, de peuples, sans écriture, évoqués, par des écrits étrangers contemporains, Europe, Asie, 3e-1er millénaires av. J.-C. / relevant, de la protohistoire.

PROUST, M.Écrivain littéraire, France, 19e/20e s.

PROVENCEŒuvre picturale artistique, États-Unis, Allemagne, 20e s.

PROVIDENCE / PROVIDENTIEL – Dieu & intervention divine, destin, sort / relevant, de la providence.

 

PROVINCIALES, LESŒuvre, de réflexion théologique, France, 17e s.

PROXIMITÉ-S / PROCHE – Fait, d’être près, dans le temps & l’espace : imminence & contiguïté / relevant, de la proximité.

PSY-S – Praticiens, de santé, soignant, les troubles & difficultés psychiques.

PSYCHANALYSE / PSYCHANALYTIQUE – Technique psychothérapeutique, d’investigation introspective freudienne, de l’inconscient existentiel psychique / relevant, de la psychanalyse.

PSYCHANALYSTE-SPraticien thérapeute, exerçant, la psychanalyse.


 

 

PSYCHÉEnsemble, des manifestations, conscientes & inconscientes, de l’esprit humain, selon, la psychologie analytique.

PSYCHÉDÉLISME / PSYCHÉDÉLIQUE – Perceptions sensorielles, états, dits, « modifiés », de conscience, rêves éveillés, induits, par stupéfiants hallucinogènes, psychotropes / relevant, du psychédélisme.

PSYCHIATRE-SPraticien thérapeute médical, exerçant, la psychiatrie : soin, des troubles psychiques, mentaux humains.

PSYCHIATRIE / PSYCHIATRIQUE – Science, traitement médicaux, des psychopathologies humaines, en matière cognitive, émotionnelle, comportementale / relevant, de la psychiatrie.

PSYCHIATRISATION-S / PSYCHIATRISÉ-S – Soumission abusive, à la psychiatrie, un traitement psychiatrique – appréhension, en terme, de pathologie mentale / relevant, de la psychiatrisation.

 

PSYCHISME-S / PSYCHIQUE – Ensemble, conscient & inconscient, intégral & partiel, des réalités, de l’esprit, l’intelligence, l’affectivité, constituant, la vie psychique / relevant, du psychisme.

PSYCHOAFFECTIVITÉ / PSYCHOAFFECTIF – Ensemble, relevant, de la sphère psychologique, des sentiments humains / lié, à la psychoaffectivité.

PSYCHOÉDUCATION-S / PSYCHOÉDUCATIF – Formation, guidance, accompagnement, en matière, de choses, de l’esprit, d’accomplissement personnel, de réalisation, de soi / relevant, de la psychoéducation.

PSYCHOLOGIE CLINIQUEAnalyse, observation, étude, en psychothérapie, recherche, de cas individuels, de groupes humains, du point de vue, des pensées, émotions, comportements, typologie psychologique.

PSYCHOLOGIE COGNITIVEÉtude scientifique, des réalités psychiques, intellectuelles, liées, aux connaissances & personnalité, de l’humain, comme, « sujet pensant, sachant », typologie psychologique.

 

PSYCHOLOGIE COMPORTEMENTALE – Étude scientifique, du psychisme inactif, réactif, actif, proactif & personnalité, de l’humain, comme, sujet, d’action, de parole, d’abstention, typologie psychologique.

PSYCHOLOGIE DE L’ADOLESCENCE & L’ADOLESCENT – Personnalité propre, spécificités cognitives, émotionnelles, comportementales, innées & acquises, des adolescents.

PSYCHOLOGIE DE L’ENFANT ET DE L’ADOLESCENT, LALivre de psychologie, France, 20e s.

PSYCHOLOGIE DÉVELOPPEMENTALEÉtude scientifique, des évolutions, du fonctionnement psychique humain : cognitif, émotionnel, comportemental, social…, de tous âges, typologie psychologique.

PSYCHOLOGIE DIFFÉRENTIELLEÉtude scientifique, des dissemblances psychologiques, entre individus & entre groupes – analyse, des « mutations », d’un même individu, typologie psychologique.


 

 

PSYCHOLOGIE ÉMOTIONNELLE – Étude scientifique, du psychisme, re/lié, aux sentiments, affects, perceptions & personnalité, de l’humain, tel, sujet, éprouvant, des émotions, typologie psychologique.

PSYCHOLOGIE HYPOTHÉTICO-DÉDUCTIVEApproche scientifique, de formulation, d’une hypothèse, pour en déduire, des effets futurs – prédiction – & passés – rétrodiction -, de façon, valide.

PSYCHOLOGIE SOCIALEÉtude scientifique, de l’interaction, entre la « présence » réelle, supposée, implicite, d’autrui & les pensées, sentiments, comportements humains, typologie psychologique.

PSYCHOLOGIE-S / PSYCHOLOGIQUE – Étude scientifique & état, des « réalités » mentales : cognitives, émotionnelles, comportementales & de la personnalité : tempérament, caractère & des spécificités psychiques : innées, acquises, des humains / relevant, de la psychologie.

PSYCHOLOGUE-SPraticien thérapeute, en psychologie humaine.

 

PSYCHOLOGUE-S SCOLAIRE-SPraticien thérapeute, en psychologie humaine, exerçant, en milieu, d’études, secondaires & supérieures, auprès, des jeunes scolarisés.

PSYCHOPATHOLOGIE-S / PSYCHOPATHOLOGIQUE – Étude scientifique, des troubles mentaux humains & ensemble, des signes, d’une maladie psychique / relevant, de la psychopathologie.

PSYCHOPÉDAGOGIE / PSYCHOPÉDAGOGIQUE – Approche scientifique, associant, sciences, de l’éducation & étude, de la personnalité, cognitive, émotionnelle, comportementale, du jeune / relevant, de la psychopédagogie.

PSYCHOSE-S / PSYCHOTIQUE-S – Délire, démence, schizophrénie / relevant, atteint, de la psychose.

PSYCHOSOCIOLOGIE ANDROJEUNOLOGIQUE – Approche psychosociologique, de la relation d’aide androJeunologique.

 

PSYCHOSOCIOLOGIE DU DÉVELOPPEMENT – Étude scientifique, des « évolutions », du fonctionnement psychique & sociologique humain, de tous âges.

PSYCHOSOCIOLOGIE / PSYCHOSOCIOLOGIQUE – Science, des interactions mutuelles, entre les disciplines psychologique & sociologique / relevant, de la psychosociologie.

PSYCHOSOMATIQUE-SQui concerne, le corps & l’esprit – qui a trait, à un trouble physique, organique & fonctionnel, d’origine psychique.

PSYCHOTHÉRAPEUTE-S – Praticien, de santé, traitant, des troubles & difficultés psychiques.

PSYCHOTHÉRAPIE FAMILIALE / DE GROUPE / COUPLE – Approche, du soin psychologique, à dimension collective, concernant, plusieurs membres, d’une famille, d’un groupe, un couple.


 

 

PSYCHOTHÉRAPIE-S / THÉRAPIE-S PSY / PSYCHOTHÉRAPEUTIQUE – Relation d’aide », fondée, sur diverses approches, psychologiques curatives / relevant, de la psychothérapie.

PSYCHOTHÉRAPIES, LESLivre de psychologie, France, 21e s.

PUBERTÉ-S / PUBERTAIRE / PUBÈRE – Mutation physiologique, morphologique, psychique, de l’adolescence, phase, du développement, entre enfance & adultisme / relevant, de la puberté.

PUGNACITÉ-S / PUGNACE – Combativité, agressivité & mordant, ténacité / relevant, de la pugnacité.

PUISSANCE DE L’AUTOSUGGESTION, LALivre, de psychologie & développement personnel, France, 20e s.

 

PUISSANCE DE VOTRE SUBCONSCIENT, LAOuvrage, de psychologie & développement personnel, États-Unis / France, 20e s.

PUISSANCE-S / PUISSANT – Pouvoir & domination, autorité, force & vigueur / relevant, de la puissance.

PULSION-S / PULSIONNALITÉ / PULSIONNEL – Instinct, force irrépressible, mouvement inconscient / relevant, de la pulsion.

PURSUIT OF HAPPINESS / QUÊTE DU BONHEUR – Objectif, de réalisation, de soi, personnelle, inscrit, dans la Constitution, des États-Unis d’Amérique, 18e s.

PYTHAGOREPhilosophe présocratique, Grèce, 6e/5e s. av. J.-C.


 

 


– Q –


 

 

QUALIFICATION-S / QUALIFIANT / QUALIFIÉ – Compétence, aptitude, savoir-faire personnels / relevant, de la qualification.

QUALITÉ DE LA VIENiveau, de plénitude humaine, par conjonction, de vecteurs physiques, psychiques, moraux, sociaux, matériels.

QUALITÉ-S / QUALITATIF – Vertu, mérite, faculté spécifiques / relevant, de la qualité.

QUAND ? / Quando ?La datation temporelle.

QUANTIFICATION-S / QUANTIFICATIF – Mesure, évaluation, détermination quantitatives / relevant, de la quantification.

 

QUANTITÉ-S / QUANTITATIF – Nombre, masse, volume / relevant, de la quantité.

QUARANTE HONTEUSES & PITEUSES – Quatre dernières décennies, de crise internationale morale, socioéconomique, politique, monde, 20e/21e s.

QUATRE SAISONS, LESŒuvre culturelle musicale, États italiens, Pays-Bas, 18e s.

QU’AVONS-NOUS FAIT DE LEUR JEUNESSE – ET QU’EN FONT-ILS ?Livre de sociologie, France, 20e s.

QUERCÉTINE / Quercétol – Antioxydant, anti-inflammatoire, flavonoïde & polyphénol, présent, notamment, dans les plantes médicinales.

 

QUESTIONNEMENT-S / QUESTIONNÉ – Problématique, interrogation & interpellation, demande / interrogé.

QUESTION-S D’APPROFONDISSEMENT-S – Demande, de plus amples informations.

QUESTION-S D’ÉCLAIRCISSEMENT-S – Demande, de clarification.

QUESTION-S FERMÉE-S – Interrogation, n’appelant, qu’une réponse laconique, positive & négative, par oui & par non, parmi, un choix limité, préétabli.

QUESTION-S OUVERTE-S – Interrogation, permettant, une libre réponse, multiforme détaillée, sans cadre prédéfini.


 

 

QUESTIONS D’ADOLESCENTSLivre, de santé & psychologie, France, 20e s.

QUI ? / Quis ?Les personnes.

QUIÉTUDE-S / QUIET – Sérénité, paix, ataraxie / relevant, de la quiétude.

QUINT, C.Souverain régnant, Espagne, Saint-Empire, 16e s.

QUOI ? / Quid ?Les matières.


 

 


– R –


 

 

RACINE, J.Dramaturge, poète, France, 17e s.

RADIOFRÉQUENCE-S / RADIOFRÉQUENTIEL – Émission, de fréquence radioélectrique, d’onde électromagnétique, d’onde radio / relevant, des radiofréquences.

RADIO-S JEUNES – Station radiophonique, émettant, des programmes médias, audiodiffusés spécifiques, pour la jeunesse.

RADIO-S / RADIOPHONIQUE – Radiophonie & radiodiffusion, programmes audiodiffusés, station radiophonique / relevant, de la radio.

RAISON / RAISONNABLE – Discernement, logique, sagesse / relevant, de la raison.

 

RAISONNEMENT-S / RAISONNEUR-S / RAISONNÉ – Argumentation & analyse, déduction & démonstration, conclusion & jugement / tenant, relevant, du raisonnement.

RAMPNOUX, R.Philosophe, France, 20e/21e s.

RANCŒUR-S – Ressentiment, amertume, dépit & rancune.

RANCUNE-S / RANCUNIER – Animosité, hostilité, aigreur / relevant, de la rancune.

RANGEMENT-S / RANGÉ – Ordre, classement, rationalisation & organisation / en ordre.

 

RAPHAËLPeintre, architecte, États italiens & pontificaux, 15e/16e s.

RAPPORT 2007, DE LA DÉFENSEURE DES ENFANTSDocument public, rendant compte, des difficultés, de la jeunesse mineure vulnérable, à protéger, France, 21e s.

RATAGE-S / RATÉ – Fiasco, échec & insuccès, faillite / relevant, du ratage.

RATIOCINATION-S / RATIOCINEUR / RATIOCINATEUR-S – Raisonnement excessif, abscons, trop subtil / relevant, tenant, de la ratiocination.

RATIONALISATION-S / RATIONALISATEUR / RATIONALISÉ – Autojustifications défensives favorables, a posteriori, de réalités, plus mitigées, sous couvert, de la raison logique / relevant, de la rationalisation.


 

 

RATIONALITÉ-S / RATIONNEL – Pensée axée, sur la logique & la raison, le bon sens, la méthode & la rigueur / relevant, de la rationalité.

RAVEL, M.Compositeur, France, 19e/20e s.

RAYONNEMENT-S / RAYONNANT – Éclat, prestige, influence / relevant, du rayonnement.

RÉACTION-S / RÉACTIONNEL – Réflexe & attitude, riposte & réplique, réponse & effet / lié, à la réaction.

RÉACTIVITÉ-S / RÉACTIF – Capacité, d’adaptation, à une réalité, difficulté, conjoncture / relevant, de la réactivité.

 

RÉALISATION DE SOIAccomplissement, de soi, développement personnel, plénitude & épanouissement individuel.

RÉALISATION-S PERSONNELLE-S – Accomplissement, pratique, action individuels.

RÉALISATION-S / RÉALISATEUR-S / RÉALISÉ – Aboutissement & concrétisation, action & accomplissement, création & œuvre / relevant, de la réalisation.

RÉALISME-S / RÉALISTE – Pragmatisme, objectivité, empirisme / relevant, du réalisme.

RÉALITÉ-S OBJECTIVE-S – Fait, vérité, certitude impartiaux, authentiques, tangibles & concrets.

 

RÉALITÉ-S / RÉEL – Fait, vérité, certitude / relevant, de la réalité.

REBOUL, O.Philosophe, France, 20e s.

RÉCAPITULATION-S / RÉCAPITULATIF-S – Rappel, répétition, inventaire / qui récapitule.

RÉCEPTEUR-S – Interlocuteur auditeur, destinataire, qui reçoit, perçoit, décode, oralement & visuellement, les propos, signaux, messages, d’un locuteur émetteur.

RECETTE-S DE CUISINE – Formule, guide, procédé, de préparation, d’un mets, culinaire, gastronomique.


 

 

RECHERCHE-STravaux, d’études, d’expérimentations, d’investigations scientifiques, pour le progrès, des savoirs.

RÉCIPROCITÉ-S / RÉCIPROQUE – Mutualité & solidarité, correspondance & retour, échange / relevant, de la réciprocité.

RÉCOMPENSE-S / RÉCOMPENSANT / RÉCOMPENSEUR-S / RÉCOMPENSÉ – Gratification & avantage, reconnaissance & distinction, remerciement & dédommagement / lié, à la récompense.

RECOMPOSITION-S FAMILIALE-SReconstitution, reconstruction, refondation, d’une famille : couple, d’adultes & au moins, un enfant, né, d’une union précédente, de l’un, des conjoints.

RECOMPOSITION-S / RECOMPOSÉ – Reconstitution, restauration & rétablissement, refondation & reconstruction / relevant, de la recomposition.

 

RÉCONCILIATION-S / RÉCONCILIÉ – Rapprochement, raccommodement, réunion / réuni.

RECONFIGURATION-S / RECONFIGURATEUR-S / RECONFIGURÉ – Réorganisation, nouvelle conformation, nouvelle disposition / relevant, de la reconfiguration.

RÉCONFORT-S / RÉCONFORTANT / RÉCONFORTÉ – Consolation, soulagement, soutien & appui / relevant, du réconfort.

RECONNAISSANCE-S / RECONNAISSANT / RECONNU – Acceptation, respect, estime / relevant, de la reconnaissance.

RECONSTRUCTION / RECONSTRUCTIF / RECONSTRUCTEUR / RECONSTRUIT – Recomposition, reconfiguration, réorganisation / relevant, de la reconstruction.

 

RÉCRÉATION-S / RÉCRÉATIF – Divertissement, délassement & détente, distraction / relevant, de la récréation.

RECRUTEMENT-S / RECRUTEUR-S / RECRUTÉ-S – Engagement, embauche, intégration / relevant, du recrutement.

RECUL-S – Régression, retrait & repli, distance.

RÉDEMPTION-S / RÉDEMPTEUR – Libération, salut, délivrance / relevant, de la rédemption / métaphore.

REFASOJ, Règles Fondamentales, d’Accomplissement de Soi, du Junior masculin, Cent – Grands principes existentiels, de guidance de vie androJeunologique.


 

 

RÉFÉRENDUM, DE 1969, EN FRANCEConsultation populaire, sur la réforme du Sénat & la régionalisation, France, 20e s.

RÉFÉRENT-S – Ce, à quoi, ceux, à qui, l’on se réfère : l’on se rapporte, l’on recourt, s’en remet.

RÉFLEXION-S / RÉFLEXIF – Idée & pensée, spéculation, méditation & introspection / relevant, de la réflexion.

REFONTE-S / REFONDU – Modification, remodelage, remaniement / relevant, de la refonte.

RÉFORME CATHOLIQUE / CONTRE-RÉFORMEMouvement, de rénovation, renouveau, clarification, de l’Église catholique romaine, parallèlement, à la Réforme protestante, Europe, 16e s.

 

RÉFORME-S / RÉFORMATIF / RÉFORMATEUR / RÉFORMÉ – Changement, révision, modification / relevant, de la réforme.

REFORMULATION-S / REFORMULÉ – Approche assertive, de communication, de relation d’aide, consistant, à redire, la pensée, les propos, d’autrui, de façon, plus claire, concise, explicite / relevant, de la reformulation.

REFOULEMENT-S / REFOULÉ – Rejet, de ses propres désirs, envies, sentiments inconscients / relevant, du refoulement.

REFUS / REFUSÉ – Rejet, opposition, veto / relevant, du refus.

REFUZNIK-S / Dissident-s – Opposant, insoumis, rebelle.

 

RÉGÉNÉRESCENCE-S / RÉGÉNÉRESCENT – Renouvellement, revitalisation, renaissance : notamment, moraux / relevant, de la régénérescence.

RÉGIME-S : ALIMENTAIRE-SChangement restrictif, des modes, de nutrition, habituels, à des fins, d’amaigrissement pondéral.

RÈGLEMENT intérieur scolaire / RÉGLEMENTAIRE / RÉGLEMENTÉ – Des établissements, d’enseignement secondaire, charte écrite, des droits & devoirs, de la communauté éducative, France / relevant, du règlement.

RÈGLE-S – Précepte, norme, principe & convention.

REGRET-S / REGRETTABLE / REGRETTÉ – Nostalgie, repentir, peine / relevant, du regret.


 

 

RÉGULARITÉ / RÉGULIER – Assiduité, ponctualité, constance & continuité / lié, à la régularité.

RÉHABILITATION-S / RÉHABILITÉ – Absolution & disculpation, revalorisation, réinsertion & réintégration / relevant, de la réhabilitation.

REJET-S / REJETÉ – Éviction, exclusion, refus / relevant, du rejet.

RELATION-S D’AIDE – Accompagnement, guidance, suivi.

RELATION-S / RELATIONNEL – Liens, rapports, fréquentations humains / lié, à la relation.

 

RELATIVISATION-S / RELATIVISÉ – Valorisation comparative, nuancement, perte, de caractère absolu, par contextualisation / relevant, de la relativisation.

RELATIVISATION-S SOCIALE-S – Valorisation comparative, nuancement, perte, de caractère absolu, par contextualisation, en société, collectivité, sociabilité.

RELATIVISME / RELATIVISTE – Doctrines, selon, lesquelles, le sens, la valeur, des adhésions, comportements humains, ne sont ni, absolus ni, transcendants / relevant, du relativisme.

RELATIVITÉ DES COULEURS – Théorie artistique picturale, États-Unis, 20e s.

RELATIVITÉ-S / RELATIF – Limitation, imperfection, caractère non absolu / lié, à la relativité.

 

RELAXATION MUSCULAIRE progressive de Jacobson – Détente, décontraction, contraction & relâchement, des muscles, selon, la méthode, dite, de Jacobson, États-Unis, 20e s.

RELAXATION-S / RELAXANT / RELAXÉ – Détente, décontraction, relâchement / relevant, de la relaxation.

RELIGION-S / RELIGIEUX – Foi spirituelle & théologique, culte transcendant & adhésion, au sacré, doctrine morale & philosophique révélée / relevant, tenant, de la religion.

REMANIEMENT-S COGNITIF-S – Changement, révision, remise, en question, psychiques : nouvelle configuration mentale, typologie psychologique.

REMANIEMENT-S COMPORTEMENTAL-AUX – Changement, révision, remise, en question, psychiques : nouvelle configuration, de conduites, typologie psychologique.


 

 

REMANIEMENT-S ÉMOTIONNEL-S – Changement, révision, remise, en question, psychiques : nouvelle configuration, d’affects, typologie psychologique.

REMANIEMENT-S / REMANIÉ – Changement, révision, remise, en question / révisé.

REMÈDE-S – Antidote, solution, issue.

RÉMOND, R.Historien, politologue, France, 20e/21e s.

REMY, Y.AndroJeunologue®, consultant Éducation-Jeunesse, conseil mentoral des jeunes masculins, France, 20e/21e s.

 

RENAISSANCEPériode historique, de renouveau, de l’ère moderne occidentale, revisitant, l’Antiquité classique européenne, gréco-romaine, Europe, 15e/16e s.

RENAUDArtiste chanteur, France, 20e/21e s.

RENCONTRE-S / RENCONTRÉ-S – Entrevue, rendez-vous, tête-à-tête / mis, en contact.

RENFORCEMENT-S NÉGATIF-S – Ancrage psychomental défavorable, pessimiste, défaitiste, de ce qui est, non constructif, improductif & stérile, inutile, typologie psychologique.

RENFORCEMENT-S NEUTRE-S – Ancrage psychomental, sans particularité, effet, implication : ni, positif ni, négatif, typologie psychologique.

 

RENFORCEMENT-S POSITIF-S – Ancrage psychomental favorable, optimiste, confiant, de ce qui est constructif, productif & fécond, utile, typologie psychologique.

RENFORCEMENT-S / RENFORÇANT / RENFORCÉ – Affermissement, consolidation, fortification psychiques, mentaux, moraux / relevant, du renforcement.

RENIEMENT-S / RENIÉ – Trahison & désaveu, rejet & rétractation, répudiation & désertion / relevant, du reniement.

RENONCEMENT-S – Abnégation, ascèse, élévation morales.

RENONCIATION-S – Abandon & résignation, capitulation, démission.


 

 

RENTABILISATION-S – Fait, de rendre bénéficiaire, profitable, avantageux.

RENTABILITÉ-S / RENTABLE / RENTABILISÉ – Caractère, de ce qui est bénéficiaire, profitable, avantageux / relevant, de la rentabilité.

RÉPARTITION : DES RICHESSES & DES TÂCHES – Transferts économiques, entre acteurs productifs, d’un pays / distribution, partage, attribution, de mission, rôle, besogne, à accomplir, entre différents acteurs.

REPAS DE FÊTE – Menu exceptionnel, soigné, servi, à l’occasion, de réjouissances collectives, particulières.

REPÈRE-S moral-aux – Référence, éclairage, balise, en matière axiologique, ontologique, de valeurs.

 

REPLI-S / REPLIÉ : SUR SOI – Retrait, r/enfermement, sur soi-même, isolement / isolé.

REPORT-S / REPORTÉ – Renvoi, ajournement, temporisation / relevant, du report.

REPOS / REPOSANT / REPOSÉ – Inactivité, relâche, détente / relevant, du repos.

REPRÉSENTATION-S / REPRÉSENTATIF / REPRÉSENTANT-S / REPRÉSENTÉ-S – Fait, d’avoir, ses propres délégués, défendant, ses droits, intérêts, choix, de participer, par soi-même, à la vie publique / tenant, relevant, de la représentation.

REPRÉSENTATION-S VISUELLE-S / ÉMOTIONNELLE-S / MENTALE-S POSITIVE-S – Figuration, symbolisation, conscience, par imagination, affects, psychologie, très favorables : constructifs, optimistes, confiants.

 

REPROCHE-S – Remontrance & blâme, réprimande & semonce, grief & réprobation.

REPRODUCTION / REPRODUCTIF / REPRODUCTEUR / REPRODUIT – Duplication, restitution & reconstitution, renouvellement & répétition / relevant, de la reproduction.

REPRODUCTION-S SOCIALE-SEntretien, de l’ « inégalité, des chances », répétition, des scénarios existentiels, duplication, des schémas sociétaux.

RE/PROGRAMMATION-S PSYCHOMENTALE-S / PHYSIQUE-S – Re/définition, ré/initialisation, re/configuration psychiques, intellectuelles, somatiques.

RÉPUBLICAIN-S / RÉPUBLICANISMEPartisan, de la république / attachement, au régime, de la république, doctrine républicaine, objectif & sens publics, du bien commun.


 

 

RÉPUBLIQUE ARISTOCRATIQUERégime politique, non héréditaire, oligarchique, élitiste, nobiliaire, typologie politique, France, 18e s.

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUERégime politique, non héréditaire, à souveraineté populaire, typologie politique, France, 18e s.

RÉPUBLIQUE OU DE LA JUSTICE, LAŒuvre de philosophie, Grèce, 4e s. av. J.-C.

RÉPUBLIQUE-S / RÉPUBLICAIN – Régime politique, d’États, dont, le chef, n’est pas héréditaire, mais, généralement, élu / relevant, de la république.

RÉPULSION-S / RÉPULSIF – Dégoût, répugnance, aversion / relevant, de la répulsion.

 

RES PUBLICA / Chose publique – Bien commun, intérêt général, gouvernement & politique & État.

RÉSEAU-X – Ensemble, de personnes, en contacts mutuels : liens & rapports, attaches, relations réciproques interactives.

RÉSEAU-X SOCIAL-AUX, en ligne – Site Internet communautaire, de libres échanges interactifs, multimédias informatiques, de toutes natures.

RÉSEAUTAGE-S / RÉSEAUTÉ – Ensemble, de liens interactifs, entre humains, notamment, sur les réseaux sociaux Internet / relevant, du réseautage.

RÉSIGNATION-S / RÉSIGNÉ – Renonciation & abandon, fatalisme, défaitisme / relevant, de la résignation.

 

RÉSILIENCE-S / RÉSILIENT – Endurances, résistances, solidités psychiques, permettant, de surmonter, se reconstruire, se transcender, suite, à un traumatisme / relevant, de la résilience.

RÉSISTANT-S / RÉSISTANCECombattants clandestins, luttant, contre, l’occupant nazi & ses soutiens, France, 20e s. / combats politiques, militaires, afférents.

RÉSOLUTION-S / RÉSOLUTIF / RÉSOLU – Solution, détermination & ténacité, volonté & énergie / relevant, de la résolution.

RESPECT-S / RESPECTABLE / RESPECTUEUX / RESPECTÉ – Déférence, considération, égards / relevant, du respect.

RESPIRATIONÉchange gazeux, absorption, d’oxygène, rejet, de gaz carbonique : inspiration & inhalation, expiration, souffle.


 

 

RESPIRATION ABDOMINALE – Technique, de respiration lente, par gonflement ventral, diaphragmatique.

RESPONSABILISATION-S / RESPONSABILISANT / RESPONSABILISÉ – Fait, de rendre, soi-même & autrui, responsable, capable, de répondre, de soi-même, de ses paroles, actes : en adultisme, maturité, autonomie / relevant, de la responsabilisation.

RESPONSABILITÉ-S PARENTALE-S – Devoir, obligations, conscience moraux, des parents, quant à leurs enfants, notamment, mineurs.

RESPONSABILITÉ-S / RESPONSABLE – Devoir, obligations, conscience moraux / relevant, de la responsabilité.

RESSASSEMENT-S / RESSASSÉ – Rabâchage, « rumination », remémoration & répétition obsessionnels / relevant, du ressassement.

 

RESSENTIMENT-S – Rancœur & hostilité, aigreur & colère, animosité & dépit.

RESSOURCEMENT-S / RESSOURCÉ – Retour, à ses racines, valeurs fondamentales, soi-même & ses raisons, d’être / relevant, du ressourcement.

RESSOURCE-S – Moyen & atout, ressort & volonté, subsistance.

RESSOURCE-S ENDOGÈNE-S – Moyen, atout, ressort internes, intérieurs, personnels & propres.

RESTAURATION RAPIDESandwicherie, bon marché, consommable, sur place & à emporter.

 

RESTOS DU CŒURŒuvre sociale caritative, d’urgence, d’aide, à la personne, en matière, d’insertion socioéconomique, anti-pauvreté, d’utilité publique, France, 20e/21e s.

RÉSULTAT-S – Aboutissement & issue, effet & conséquence, fruit & produit.

RÉSULTAT-S DÉCISIF-S – Aboutissement, issue, effet, des plus déterminants, irréfutables & incontestables, cruciaux.

RÉSULTAT-S SCOLAIRE-S – Notes, évaluations, réussite & échec académiques, des contrôles, examens, concours, France.

RÉSURRECTION-S / RESSUSCITÉ – Retour, à la vie spirituelle, céleste éternelle, après, la mort physique terrestre, à l’image, de la Renaissance, du Christ, dans la foi, la théologie, du christianisme / métaphore / relevant, de la résurrection.


 

 

RETARD DE PHASE, SYNDROME DEArticle, de santé, de publication médicale écrite, France, 21e s.

RÉTIAIRE-SType, de gladiateur antique, Empire romain, 1er-3e s.

RÉTINOLForme active, de la vitamine A, présente, en certains aliments, d’origine animale, à effet antioxydant, antivieillissement, favorable, au système cardiovasculaire.

RETRAITE-S / RETRAITÉ-S – Cessation, de vie active, non-activité professionnelle, retrait définitif, de l’emploi, d’un métier / relevant, de la retraite.

RETRAIT-S – Effacement, recul & repli, éloignement.

 

RÉUSSIR / RÉUSSITE, DANS LA VIE – Succès, prospérité, résultats favorables : matériels, économiques, sociaux.

RÉUSSIR / RÉUSSITE, SA & DE VIE – Accomplissement, de soi, plénitude, félicité moraux, ontologiques, spirituels.

RÉUSSITE-S FINANCIÈRE-S – Succès, prospérité, résultat favorable, en matière budgétaire & patrimoniale, pécuniaire & de capitaux, d’argent.

RÉUSSITE-S MATÉRIELLE-S – Succès, prospérité, résultat favorable, liés, à la matière & l’argent, aux objets & biens, conditions & niveau, de vie.

RÉUSSITE-S MORALE-S – Accomplissement, réalisation, « élévation, de soi », en matière axiologique, spirituelle, d’idéaux personnels existentiels.

 

RÉUSSITE-S / RÉUSSI – Succès, prospérité, résultat favorable & fait, d’être opulent, de parvenir, mener, à bien / relevant, de la réussite.

RÉUSSITE-S SCOLAIRE-S & UNIVERSITAIRE-S – Succès, brio, résultats favorables, en matière académique.

RÉVEILLEZ-VOUS !Ouvrage, de sociophilosophie politique, économique, morale, France, 21e s.

REVEL, J.-F.Philosophe, écrivain, journaliste, France, 20e/21e s.

RÉVÉLATION / RÉVÉLÉ – Acte, par lequel, Dieu, transmet, aux hommes, son œuvre, de salut, se fait connaître, d’eux, en foi & théologie monothéistes, notamment, chrétiennes / relevant, de la Révélation.


 

 

RÉVERSIBILITÉ OPÉRATOIREÉtat, des systèmes opératoires, selon, J. Piaget, psychologue suisse, en lequel, certaines mutations, peuvent être annulées, par une transformation inverse.

RÊVE-S / RÊVEUR-S / RÊVÉ – Songe & vision, désir & ambition, idéal & aspiration / relevant, du rêve.

RÉVISIONS : SCOLAIRES & UNIVERSITAIRES – Étude renouvelée, mise à jour, répétition, des tâches académiques.

RÉVOLTE-S LYCÉENNE-S / ÉTUDIANTESSédition, rébellion, protestation, de masse, de jeunes lycéens, de l’enseignement secondaire et, étudiants, de l’enseignement supérieur, France, dep., le 19e s.

RÉVOLTE-S / RÉVOLTANT / RÉVOLTÉ-S – Sédition, rébellion, protestation / relevant, tenant, de la révolte.

 

RÉVOLUTION ANGLAISE / PREMIÈRE & SECONDEMouvement politique, en deux temps, établissant, une monarchie parlementaire, le renforcement, du Parlement, Royaume d’Angleterre, 17e s.

RÉVOLUTION DE JUILLETMouvement politique, dit, des « Trois Glorieuses », opérant, un changement, de dynastie royale régnante, France, 19e s.

RÉVOLUTION D’OCTOBREMouvement politique, de remplacement, de la République, par un collectivisme communiste, après, la Révolution, de Février, abolissant, l’Empire, Russie, 20e s.

RÉVOLUTION FRANÇAISE / RÉVOLUTIONNAIRE-S – Mouvement politique, mettant fin, à l’Ancien Régime, instaurant, une monarchie constitutionnelle, puis, une république, France, 18e s. / relevant, tenant, de la révolution & la Révolution.

REYNIÉ, D.Universitaire, de sciences politiques, homme politique, France, 20e/21e s.

 

RHÉTORIQUE / RHÉTORICIEN – Art oratoire, de persuasion, d’éloquence, en Antiquité gréco-romaine classique, européenne / relevant, tenant, de la rhétorique.

RICARD, M.Religieux bouddhiste tibétain, France, Népal, 20e/21e s.

RICHAUD, A. – Chef d’établissement, d’enseignement secondaire, proviseur, France, 20e/21e s.

RICHESSE-S / RICHE-S – Opulence, fortune, prospérité / relevant, bénéficiant, de la richesse.

RICOU, A. – Journaliste, France, 20e/21e s.


 

 

RIGIDITÉ-S / RIGIDE – Dureté, intolérance, intransigeance & rigorisme / relevant, de la rigidité.

RIGORISME / RIGORISTE – Austérité, exigence, ascèse morales, spirituelles, de vie / relevant, du rigorisme.

RIGUEUR TEMPORELLE – Précision, soin & méticulosité, sérieux, en matière, de gestion, de l’emploi, du temps, imparti, disponible, optimisable.

RIGUEUR-S / RIGOUREUX – Précision, soin & méticulosité, sérieux / relevant, de la rigueur.

RIMBAUD, A.Poète, France, 19e s.

 

RIMBAUD, MON BEAU SALAUD !Essai, de réflexion morale personnelle, Canada, 20e s.

RIRE-S – Hilarité, rigolade, gaieté.

RISQUE-S / RISQUÉ – Danger, péril, aléa / relevant, du risque.

RITE-S DE PASSAGE / RITUEL – Rituel, marquant, la mutation, de statut social & sexuel, notamment, la puberté sociale, par cérémonies, épreuves / relevant, du rite.

RITUEL-S – Routine & habitude, tradition, protocole & règle.

 

RIVAIS, R. – Journaliste, France, 20e/21e s.

RIVALITÉ-S / RIVAL-AUX – Antagonisme, concurrence, compétition / relevant, de la rivalité.

ROBBINS, A.Coach, en développement personnel, États-Unis, 20e/21e s.

ROBOTISATION-S / ROBOTISÉ – Automatisation, par robots, de certaines tâches, notamment, industrielles / relevant, de la robotisation.

ROGERS, C.Psychologue, États-Unis, 20e s.


 

 

ROLLOT, O. – Journaliste, France, 20e/21e s.

ROMANPoème, France, 19e s.

ROMAN-SŒuvre fictionnelle narrative, de récit littéraire imaginaire, en prose.

ROMAN-S POUR ADOS – Œuvre fictionnelle narrative, de récit littéraire imaginaire, en prose, destinée, à un public adolescent.

ROMANTISME / ROMANTIQUE – Mouvement global culturel, littéraire, intellectuel sentimental, d’imagination, de sensibilité, Europe, 19e s. / relevant, tenant, du romantisme.

 

ROME ANTIQUEVille, de Rome & État, de culture, civilisation latines, dont elle est, la capitale, monarchie, république, empire romains, Antiquité, 8e s. av. J.-C.-5e s.

RONDO-SŒuvre musicale instrumentale, alternant, refrain & couplets, constituant, le finale, de sonate, symphonie, concerto.

RONSARD (de), P.Poète, France, 16e s.

ROOSEVELT, F. D.Homme d’État, États-Unis, 19e/20e s.

ROSTOPCHINE, S.Comtesse de Ségur, écrivaine, Russie, France, 18e/19e s.

 

ROTA, M. – Médecin, psychothérapeute, France, 20e/21e s.

ROUDET, B. – Sociologue, France, 20e/21e s.

ROUSSEAU, J.-J.Philosophe, écrivain littéraire, Suisse, France, 18e s.

ROUTINE-S / ROUTINIER – Tradition, habitude, rituel / relevant, de la routine.

ROWLING, J. K.Écrivaine, Royaume-Uni, 20e/21e s.


 

 

ROYAUTÉ-S / ROYAL – Monarchie, souveraineté, régime & dignité, d’un roi & royaux / relevant, de la royauté.

RUFO, M.Médecin pédopsychiatre, France, 20e/21e s.

RUMSPRINGA / Émancipation & découverte, du monde – Rituel, de passage adulte, des adolescents anabaptistes amish, États-Unis.

RUPTURE-S / ROMPEUR-S / ROMPU – Cassure & séparation, révocation, antagonisme / relevant, de la rupture.

RUSSIE / RUSSE-S – Fédération de Russie, État fédéral transcontinental, plus vaste pays, du monde, entre Asie & Europe / relevant, ressortissant, de la Russie.

 

RYTHMES CHRONO-PSYCHOBIOLOGIQUESOrganisation temporelle circadienne, des êtres vivants, des mécanismes psychophysique, qui les régulent, de leurs troubles.

RYTHMES SCOLAIRES & UNIVERSITAIRESAlternance, des temps, d’enseignements, en cursus secondaires, supérieurs & de ceux, de détente, de pratiques extrascolaires, France.


 

 


– S –


 

 

SACRIFICE-S / SACRIFICIEL / SACRIFIÉ – Renoncement, dévouement, abnégation / relevant, du sacrifice.

SAGAN, F.Écrivaine littéraire, France, 20e/21e s.

SAGESSE ANTIQUE – Idéal, d’ « élévation » morale, philosophique, spirituelle, de l’Antiquité classique, gréco-romaine, 6e s. av. J.-C.-4e s.

SAGESSE ET SPIRITUALITÉLivre, de développement personnel & spiritualité, Royaume-Uni, France, 21e s.

SAGESSE / SAGE-S – Idéal, d’ « élévation » morale, philosophique, spirituelle & discernement ontologique, éthique, axiologique & en circonspection, modération, conscience / relevant, tenant, de la sagesse.

 

SAINT-EXUPÉRY (de), A.Écrivain, poète, aviateur, France, 20e s.

SAINT GENET, COMÉDIEN ET MARTYREssai biographique, France, 20e s.

SAINT LAURENT, Y.Grand couturier, France, 20e/21e s.

SAINT-PIERRE DE ROME & DU VATICAN – Basilique, du Saint-Siège, dep., les 16e/17e s.

SAINT-SAËNS, C.Compositeur, France, 19e/20e s.

 

SAINTE TRINITÉ & TRINITÉ / TRINITAIRE – Selon, le christianisme, Dieu unique, en trois entités divines : Père, Fils, Saint-Esprit / relevant, de la Trinité, la Sainte Trinité.

SALUT / SALUTAIRE – Rédemption, félicité, sauvegarde / métaphore / relevant, du salut.

SAN GREGORIOEx-collège religieux, d’enseignement supérieur théologique, de Valladolid, Espagne, 15e-19e s.

SANCTION-S : négative-s / SANCTIONNATEUR / SANCTIONNÉ négativement – Peine & punition, condamnation & répression, effet néfaste / relevant, de la sanction négative.

SANCTION-S : positive-s / SANCTIONNATEUR / SANCTIONNÉ positivement – Récompense, reconnaissance & gratification, effet bénéfique / relevant, de la sanction positive.


 

 

SANGUIN-S – Personnalité impulsive & extravertie, imaginative & optimiste, excessive & sans scrupules, selon, l’ancienne théorie antique, des tempéraments.

SANT (van), G.Réalisateur, de cinéma, États-Unis, 20e/21e s.

SANTÉ AUDITIVE – Constitution & état, équilibre, hygiène physiques, de l’ouïe, du système, de perception, des sons, de l’audition & l’oreille humains.

SANTÉ DERMATOLOGIQUE – Constitution & état, équilibre, hygiène physiques, de la peau, des muqueuses, des phanères : ongles, poils, cheveux humains / sauvegarde vénérologique.

SANTÉ DES ADOLESCENTS, LALivre de santé, France, 20e s.

 

SANTÉ INTÉGRATIVEMagazine de presse, d’information écrite, médicale : dossier spécial, Adolescence, France, 21e s.

SANTÉ PSYCHOSOMATIQUE / SOCIALE – Constitution & état, équilibre, hygiène, physiques, psychiques, sociaux.

SANTÉ-S / SANITAIRE – Constitution & état, équilibre, hygiène, physiques, psychiques, sociaux / relevant, de la santé.

SARAJEVO, ATTENTAT DE – 1914 – Attentat terroriste politique, déclencheur, de la Grande Guerre, Autriche-Hongrie, 20e s.

SARKOZY, L. – Jeune étudiant, fils, d’ancien chef d’État, France, 20e/21e s.

 

SARTRE, J.-P.Philosophe, écrivain, France, 20e s.

SATIRES, LESŒuvre poétique, Empire romain, 1er/2e s.

SATISFACTION-S / SATISFAISANT / SATISFAIT – Contentement, assouvissement, plénitude / relevant, de la satisfaction.

SAUVEGARDE-S VITALE-S – Préservation, protection, défense, des plus cruciales, capitales & primordiales, fondamentales.

SAVOIR COMMUNIQUER AVEC LES ADOLESCENTSLivre, de développement personnel, France, 21e s.


 

 

SAVOIR-ÊTREQualités cognitives, émotionnelles, comportementales propres & aptitude, aux pensées, affects, actes adéquats, quant à soi, autrui, aux réalités, circonstances.

SAVOIR-FAIRECompétence technique spécifique, impliquant, expérience, adresse & talent, qualification, en un champ donné, pour sa complète maîtrise.

SAVOIR GÉRER SON TEMPSLivre de développement personnel, France, 21e s.

SAVOIR RÉUSSIR SES PROJETSOuvrage, de psychodéveloppement personnel, France, 20e s.

SAVOIR-S / SACHANT-S / SU – Acquis, connaissances, érudition / relevant, du savoir.

 

SCÉLÉRATESSE-S / SCÉLÉRAT-S – Perfidie, vilenie, infamie & malfaisance / relevant, de la scélératesse.

SCEPTICISME-S / SCEPTIQUE-S – Relativisme, doute & incrédulité, méfiance / philosophie sceptique / relevant, tenant, du scepticisme.

SCHÉMA-S MENTAL-AUXConfiguration, représentation, image, psychiques, cognitives & de pensées, intellectuelles.

SCHIZOPHRÉNIE / SCHIZOPHRÈNE-S – Troubles neuropsychopathologiques psychotiques, anosognosie, perte mentale, de contact, avec la réalité / relevant, atteint, de la schizophrénie.

SCHWARTZ, S.Psychologue social, Israël, 20e/21e s.

 

SCIENCE-S DE LA JEUNESSE Étude, théorique & pratique, transversale, pluridisciplinaire, holistique, de la jeunesse, des questions afférentes.

SCIENCE-S / SCIENTIFIQUE-S – Instruction, savoir, étude – connaissance expérimentale, des plus « raisonnées », pratique objective, permettant, la compréhension, de données, champs, d’investigation, universels / relevant, tenant, des sciences.

SCIENCES DE L’ÉDUCATIONÉtude transversale, pluridisciplinaire, globale, de la sphère éducative & de l’enseignement : pédagogie, méthode, didactique.

SCIENCES DE L’ÉDUCATION, LESLivre, de sciences éducatives, France, 21e s.

SCIENCES & TECHNOLOGIES – Connaissances expérimentales raisonnées / ensemble, des techniques & matériels, outils & machines, procédés & méthodes, scientifiques, pratiques.


 

 

SCLÉROSE-S / SCLÉROSANT / SCLÉROSÉ – Immobilisme, perte, des capacités d’adaptation, d’évolution, face, au changement, par apathie, vieillissement / métaphore / relevant, de la sclérose.

SCOLARISÉ-S – Jeune, suivant, des études, en établissement, d’enseignement, secondaire & supérieur, France.

SCOLARITÉ-S – Ensemble, du parcours, d’études, d’un élève, comme, d’un étudiant, en cursus, d’enseignements, secondaires & supérieurs, France.

SCOLASTIQUEEnseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne & pensée, de l’Antiquité grecque, morale afférente.

SCOLASTIQUE ANTIQUE – Pensée, de l’Antiquité grecque, morale afférente.

 

SCOLASTIQUE CHRÉTIENNE – Enseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne.

SCOLASTIQUE DU DIX-NEUVIÈME SIÈCLE – Enseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne & pensée, de l’Antiquité grecque, morale afférente, France, 19e s. : perpétuation, à l’époque contemporaine.

SCOLASTIQUE MÉDIÉVALE – Enseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne.

SCOLASTIQUE SOUS L’ANCIEN RÉGIME – Enseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne & pensée antique grecque, morale afférente, France, 16e-18e s. : perpétuation, à l’époque moderne.

SCOLASTIQUE SOUS LA TROISIÈME RÉPUBLIQUE – Enseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne & pensée, de l’Antiquité grecque, morale afférente, France, 19e/20e s. : perpétuation, jusqu’à l’Entre-deux-guerres.

 

SCOUTISMEMouvement éducatif mondial, de jeunesse, Royaume-Uni, monde, 20e/21e s.

SCOUT-S – Jeune, participant, à un mouvement éducatif mondial, de scoutisme / relevant, du scoutisme.

SECOND DEGRÉ, DU SECONDAIRE / Lycée – Classes, de seconde, première, terminale, des lycées généraux, professionnels, technologiques, France.

SECOND EMPIRE FRANÇAISRégime politique monarchique, constitutionnel, France, 19e s.

SECONDARITÉ / SECONDAIRE – Qualité, de ce qui est secondaire : fort accessoire & peu important, mineur & négligeable, subalterne / relevant, de la secondarité.


 

 

SECOND-E CONFLIT & GUERRE MONDIAL-E, 1939-1945 – Engagements militaires massifs, d’ampleur internationale, monde, 20e s.

SECONDE PROFESSIONNELLE, Classe de – Première année, d’études professionnalisées, du second degré, d’enseignement secondaire, de lycée professionnel, France.

SECRET DE LA LICORNE, LEAlbum, de bande dessinée, Belgique, 20e s.

SECRET STORY / Histoire secrète – Émission télévisuelle, dite, de téléréalité, France, 21e s.

SECRET-SCe qui n’est pas, à divulguer, ce que l’on désire, dissimuler, discrétion & silence, observés / relevant, du secret.

 

SECTARISME / SECTAIRE – Intolérance, fanatisme, fermeture / relevant, du sectarisme.

SECTE-S / SECTAIRE – Groupement idéologique communautaire, mené, par un chef moral, gourou / propre, aux sectes.

SECTEUR ÉCONOMIQUE PRIMAIRE : « agroalimentation » – Activités, d’exploitation, des ressources naturelles, produisant, des matières premières, non transformées : agriculture, forêt, pêche…, typologie économique, France.

SECTEUR ÉCONOMIQUE SECONDAIRE : « industries » – Activités, de transformation, des matières premières, du domaine primaire : industrie manufacturière, construction, typologie économique, France.

SECTEUR ÉCONOMIQUE TERTIAIRE : « services » – Activités économiques, hors domaines primaire, secondaire : filière productrice, de prestations, services, typologie économique, France.

 

SECTION / CURSUS ÉCONOMIQUES & SOCIAUX – Études, à options socio-économiques dominantes, de second degré, de l’enseignement secondaire général, de lycée, France.

SECTION / CURSUS LITTÉRAIRES – Études, à options littéraires dominantes, de second degré, de l’enseignement secondaire général, de lycée, France.

SECTION / CURSUS SCIENTIFIQUES – Études, à options scientifiques dominantes, de second degré, de l’enseignement secondaire général, de lycée, France.

SÉCURITÉ / SÉCURE – Sûreté, fiabilité, quiétude & tranquillité / relevant, de la sécurité.

SEIJIN SHIKI / Cérémonie, de la majorité – Rituel, de passage adulte, des jeunes japonais majeurs, de vingt ans, des deux sexes, d’origine religieuse shintoïste.


 

 

SÉJOUR-S D’ÉTUDES – Villégiature, voyage, lieu & temps, de formations académiques, de jeunes français, à l’étranger & de jeunes étrangers, en France.

SÉJOUR-S LINGUISTIQUE-S – Villégiature, voyage, lieu & temps, d’apprentissage, de langues étrangères, par de jeunes français, à l’étranger & de jeunes étrangers, en France.

SÉMANTIQUELinguistique, sémiologie & sémiotique, signification, de la langue, du langage.

SE NOURRIR, CONTRE LE CANCERArticle, de santé, de magazine hebdomadaire, de presse écrite, d’information, France, 21e s.

SENS À SA VIE / EXISTENTIEL – Raison, d’être & finalité, portée, valeur, accordées, à un parcours humain.

 

SENS / SENSÉ – Sensations psychophysiquessignificationraison d’être & finalité, portée, valeur / de bon sens.

SENSIBILITÉ-S / SENSIBLE – Acuité, émotivité, affectivité / relevant, de la sensibilité.

SENTIMENT-S / SENTIMENTAL – Affect, émotion, attachement / relevant, du sentiment.

SÉPARATION DES POUVOIRSTriple division politique, de l’autorité publique : législative, faisant la loi & exécutive, la rendant effective & judiciaire, la faisant respecter.

SEPT HABITUDES DES ADOS, BIEN DANS LEUR PEAU, LESOuvrage, de psychologie & développement personnel, États-Unis, 20e s.

 

SEPT PILIERS DE LA SAGESSE, LESRécit autobiographique, de sciences politiques & militaires, géopolitique, Royaume-Uni, 20e s.

SÉPULCRE-S / SÉPULCRAL – Sépulture, tombeau & caveau, mausolée / relevant, du sépulcre.

SEPÚLVEDA (de), J. G. – Homme d’Église, théologien, Espagne, 15e/16e s.

SÉRÉNITÉ-S / SEREIN – Ataraxie, paix, quiétude / relevant, de la sérénité.

SÉRIE-S TÉLÉVISÉE-SŒuvre, de fiction audiovisuelle, de télévision, comportant, une suite, de plusieurs épisodes successifs.


 

 

SERMONSŒuvre théologique & de philosophie religieuse, Afrique du Nord, 5e s.

SÉROTONINENeurotransmetteur, permettant, de diffuser, l’influx nerveux, entre les neurones.

SERVICE-SAide, assistance, coopération – secteur, de l’activité économique tertiaire, de prestations, aux personnes & entreprises.

SEXE-S / SEXUALITÉ-S / RAPPORT-S / RELATION-S SEXUELS / SEXUEL – Sexualité, pratiques sexuelles, activité sexuelle / genre sexué / relevant, du sexe, de la sexualité.

SHAKESPEARE, W.Poète, dramaturge, écrivain littéraire, Royaume d’Angleterre, 16e/17e s.

 

SIDA, Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise / SIDÉEN-S – Symptômes, de la destruction, du système immunitaire, par le virus d’immunodéficience humaine, dernier stade, de l’infection / relevant, atteint, du Sida.

SIDÉRATION-S / SIDÉRANT / SIDÉRÉ – Anéantissement apathique, stupeur émotionnelle, catatonie / relevant, de la sidération.

SIÈCLE DE LOUIS XIVGrand Siècle, ère, de prospérité, prestige, puissance, France, 17e s.

SIGNIFICATION-S / SIGNIFICATIF – Acception, sens & portée, définition / relevant, de la signification.

SILENCE-S / SILENCIEUX – Calme, mutisme, tranquillité / relevant, du silence.

 

SILICON VALLEY / Vallée du silicium – Pôle, des industries, de pointe, de la baie, de San Francisco, en Californie, États-Unis.

SINGLY (de), F.Sociologue, France, 20e/21e s.

SISYPHEPersonnage, de fiction mythologique, grecque antique.

SITE-S WEB / INTERNETDocuments structurés : pages Web, stockés, sur un ordinateur : serveur, connecté, au réseau Internet, avec textes, images, sons, vidéos, liens extérieurs.

SITUATION-S / SITUATIONNEL / SITUÉ – Circonstance, contexte, conjoncture / relevant, de la situation.


 

 

SI VOUS ÉTIEZ AU POUVOIR, QUE FERIEZ-VOUS ? Livre, de sciences politiques, rapport, d’analyse sociologique, France, 21e s.

SKYPE / Messagerie, de communications audiovisuelles – Logiciel « interactif », de communications téléphoniques, audiovisuelles Internet, partage, d’écran, transfert, de fichiers, monde.

SMARTPHONE-S / Téléphone mobile intelligent – « Ordiphone », téléphone mobile tactile, évolué, ordinateur, de poche, logiciels & applications, par système, d’exploitation.

SMIC, Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance – Salaire horaire minimal, légal obligatoire, automatiquement, réévalué, France.

SMS, Short Message Service / Service de Messagerie Rapide – « Texto », mini message, service, de téléphonie mobile, de transmission, de courts messages textuels.

 

SNAPCHAT / Application informatique, de partage de photos, vidéos – Réseau social, de supports visuels éphémères, en ligne, à temps, de visualisation, limité.

SOCIABILITÉ-S / SOCIABILISÉ / SOCIABLE – Vécu, en société, socialisation collective & réseau social, de groupe, cohérent, aptitude, à cultiver, des liens harmonieux, à autrui & en société / relevant, de la sociabilité.

SOCIALISATION-S SCOLAIRE-S / UNIVERSITAIRE-S – Insertion sociale, apprentissage, de la vie collective, intériorisation, des habitus sociétaux & construction, d’une « identité propre », en cursus, d’études, secondaires & supérieures.

SOCIALISATION-S / SOCIALISÉ – Insertion, dans la société, apprentissage, de la vie collective, intériorisation, des habitus sociétaux & re/construction, de l’identité sociale / relevant, de la socialisation.

SOCIÉTÉ DE CHIENS, UNELivre, de sociophilosophie politique, France, 21e s.

 

SOCIÉTÉ DE CONFIANCE, LALivre d’histoire, France, 20e/21e s.

SOCIÉTÉ DE LA PEUR, LALivre, de sociophilosophie politique, France, 21e s.

SOCIÉTÉ-S BARBARE-S – Collectivités, civilisations, communautés, « arriérées », primitives, sauvages & inhumaines.

SOCIÉTÉ-S CIVILISÉE-S – Collectivités, civilisations, communautés, « évoluées », policées, humanistes.

SOCIÉTÉ-S DE DÉFIANCE – Collectivités, civilisations, communautés, de crainte, suspicion, soupçon & méfiance.


 

 

SOCIÉTÉ-S / SOCIÉTAL – Collectivité, civilisation, communauté : vie, en groupes organisés, en partages, interactions, coopérations / relevant, de la société.

SOCIOLOGIE DE LA JEUNESSE Livre de sociologie, France, 20e/21e s.

SOCIOLOGIE DES GÉNÉRATIONSLivre de sociologie, France, 20e s.

SOCIOLOGIE / SOCIOLOGIQUE – Science & réalités, de l’être humain, en ses interactions, avec autrui, analyse, de l’effet, l’aspect sociaux, sur les sujets, leurs conduites… / relevant, de la sociologie.

SOCIOPATHOLOGIE / SOCIOPATHOLOGIQUE – Sciences & état, des sociétés, communautés pathologiques, dysfonctionnelles, anomiques / relevant, de la sociopathologie.

 

SOCRATE / SOCRATIQUE – Philosophe, Grèce, 5e s. av. J.-C. / propre, à Socrate, son œuvre.

SODIUMChlorure salin, sel marin, substance cristallisée, d’assaisonnement.

SŒUR ANNEPersonnage, de fiction littéraire, France, 17e s.

SŒUR-S / SORORAL – Fille, née, des mêmes parents, qu’une personne / lié, à la sœur.

SOFTWARE / Logiciel-s informatique-s – Programme interne, d’un ordinateur, à support informatique dématérialisé, rationnel.

 

SOI / SOI-MÊME – Ensemble, du conscient & de l’inconscient, de la personnalité humaine, cognitive, émotionnelle, comportementale / lien, du sujet, à lui-même.

SOIN-S / SOIGNANT / SOIGNÉ – Traitement, médication, secours sanitaires thérapeutiques, préventifs & curatifs : physiques, psychiques, sociaux / relevant, du soin.

SOLIDARITÉ-S / SOLIDAIRE – Lien sociomoral mutuel : entraide, fraternité, unité / relevant, de la solidarité.

SOLIPSISME / SOLIPSISTE – Idéal philosophique, selon, lequel, il n’existe, pour le « sujet pensant », qu’une seule réalité, la sienne / relevant, du solipsisme.

SOLITUDE-S / SOLITAIRE – Isolement, désengagement, éloignement / relevant, de la solitude.


 

 

SOLLICITUDE-S – Prévenance, attention, préoccupation.

SOLONHomme d’État, législateur, poète, Grèce, 7e/6e s. av. J.C.

SOLUTION-S / SOLUTIONNÉ – Réponse, clé, issue & dénouement / résolu.

SOMA / Cellules – Ensemble, de cellules, constituant, la masse, du corps humain, excepté, les cellules reproductrices.

SOMME THÉOLOGIQUETraité théologique & réflexion philosophique, États italiens, 13e s.

 

SOMMEIL-SFait, de dormir, repos, perte, de conscience.

SOMNIFÈRE-SBarbituriques, calmants, hypnotiques.

SONATE POUR PIANO, N° 29, en si-bémol majeur, op. 106Hammerklavier, œuvre musicale, Empire d’Autriche, 19e s.

SONNET-SPoème, à forme fixe, codifiée, à rimes.

SON-S / SONORE – Perceptions auditives, bruits, accessibles, à l’ouïe, vibrations & ondes acoustiques / relevant, du son.

 

SORTIE-S – Activité récréative, conviviale, de distraction & détente.

SORTIE-S & HORS DES SENTIERS BATTUS – Fait, d’un comportement original, atypique, non conformiste, ne suivant pas, les conventions, normes, préceptes, communément, préétablis.

SOUFFRANCE-S / SOUFFRANT – Affliction, tourment, douleur physiques, psychiques, moraux / affecté, de souffrance-s.

SOUHAIT-S / SOUHAITABLE / SOUHAITÉ – Envie & désir, aspiration & vœu, volonté / relevant, du souhait.

SOUMISSION-S / SOUMIS – Assujettissement & asservissement, allégeance & obéissance, docilité / relevant, de la soumission.


 

 

SOUPLESSE-S / SOUPLE – Plasticité & flexibilité, adaptabilité, habileté / lié, à la souplesse.

SOUTIEN-S : MORAL-AUX / SOUTENU – Appui & assistance, secours & aide, protection & réconfort mentaux, psychologiques, spirituels / relevant, du soutien.

SOUTIEN-S PROFESSIONNEL-S – Assistance & appui, accompagnement, suivi, en matière, de relation d’aide : conseil, de vie, coaching, psychothérapies.

SOUTIEN-S SCOLAIRE-SPréceptorat privé : accompagnement pédagogique, individuel personnalisé, pour élèves, en ayant besoin & par choix éducatif spécifique, France.

SOUVERAINETÉ-S NATIONALE-SIndépendance & autonomie, liberté & libre-arbitre, autorité & pouvoir, des États, des peuples, des pays.

 

SOUVERAINETÉ-S : PERSONNELLE-S / SOUVERAIN – Indépendance & autonomie, liberté & libre-arbitre, autorité & pouvoir, sur soi / relevant, de la souveraineté.

SPARTE / LacédémoneAncienne cité antique, de Grèce, notamment, à l’ère classique : 6e s. av. J.-C.-4e s.

SPÉCIALISATION-S / SPÉCIALISÉ – Fait, d’opter, pour une profession & un métier, une discipline & un domaine, une branche particuliers / relevant, de la spécialisation.

SPHÈRE PSY – Domaine, champ, matière, d’exercice, de la relation d’aide professionnelle, concernant, le soin psychothérapeutique : du psychisme humain.

SPIRITUALITÉ-S / SPIRITUEL – Foi, « mystique », esprit & champs théologique, axiologique, philosophique / relevant, de la spiritualité.

 

SPITZ, C.Médecin pédiatre & consultant, intervenant audiovisuel, France, 20e/21e s.

SPORT-ÉTUDEActuelles Sections sportives scolaires, structures spécialisées, associant, cursus classiques secondaires & sport, de haut niveau, en certains collèges, lycées.

SPORT-S / AMINCISSEMENT-S – Amaigrissement, par l’activité physique & sportive.

SPURLOCK, M.Réalisateur de cinéma, États-Unis, 20e/21e s.

STABILISATION-S AFFECTIVE-S – Équilibre, « consolidation », affermissement psychiques, cognitifs, émotionnels, comportementaux : sentimentaux, d’attachements, pulsionnels.


 

 

STABILISATION-S : PSYCHIQUE-S / STABILISATEUR / STABILISÉ – Équilibre, « consolidation », affermissement, cognitifs, émotionnels, comportementaux, des pensées, affects, conduites humains / relevant, de la stabilisation.

STABILITÉ-S / STABLE – Équilibre, constance, solidité / relevant, de la stabilité.

STADE-S D’AVANCÉES – Degrés, phases, niveaux, de progrès, progression, d’évolution.

STADE-S DE MATURATION MORALE – Degrés, phases, niveaux, de développement, de plénitude, d’évolution, de l’esprit, axiologiques & spirituels, en matière, de valeurs & d’idéaux.

STADE-S D’ÉVOLUTION – Degrés, phases, niveaux périodiques développementaux, de la croissance, la transformation progressifs humains : psychosomatiques, moraux.

 

STAGE-S DE LANGUES – Formation, « perfectionnement », activité, d’emploi, temporaires pratiques, de finalisation, en langues étrangères, en cours, de cursus, d’études.

STAGE-S professionnel-s étudiant-s – Formation, « perfectionnement », activité, d’emploi, temporaires pratiques, de finalisation, en cours, de cursus, d’études, France.

STAGIAIRE-S – Jeune étudiant & professionnel, en formations, perfectionnements, activités, d’emploi, temporaires pratiques, de finalisation, d’études, France.

STANCESŒuvre poétique, France, 16e s.

START-UPJeune pousse, nouvelle entreprise innovante, à haut potentiel économique & financier.

 

STATUT JURIDIQUE / LÉGAL, DU MINEUR / DE LA JEUNESSE – État & condition, situation & position, réglementation, de la minorité, des jeunes majeurs.

STATUT-S / STATUTAIRE – État & condition, situation & position, réglementation / relevant, du statut.

STEINBECK, J.Écrivain littéraire, États-Unis, 20e s.

STELLINGER, A. – Politologue, Suède, France, 20e/21e s.

STÉROÏDE-S / STÉROÏDIEN – Hormone sécrétée, par les glandes endocrines / relevant, des stéroïdes.


 

 

STIGMATE-S / STIGMATISANT / STIGMATISÉ – Flétrissure, trace, marque & empreinte / lié, au stigmate.

STIMULATION-S MULTISENSORIELLE-S – Excitation, sollicitation & aiguisement, « éveil », agissant, sur divers modes, de perception, des cinq sens.

STIMULATION-S / STIMULANT / STIMULÉ – Activation, incitation, motivation & encouragement / relevant, de la stimulation.

STOÏCIEN-S – Tenant, du stoïcisme : tempérance, détachement, relativisation, par la raison, aux fins, du bonheur personnel, Grèce, 4e s. av. J.-C., monde, jusqu’à nos jours.

STOÏCISME / STOÏCIEN – École philosophique antique, d’eudémonisme, de tempérance, de détachement, par la raison, Grèce, 4e s. av. J.-C., monde, jusqu’à nos jours / lié, au stoïcisme.

 

STRATÉGIE-S PROTECTRICE-S – Manœuvre & tactique, politique, coordination, d’assistance, de préservation & sauvegarde, défense & soutien.

STRATÉGIE-S / STRATÉGIQUE / STRATÈGE – Manœuvre & tactique, politique, coordination / relevant, tenant, de la stratégie.

STREAMING / Diffusion Internet, audio-vidéo, en continu – Technique, de diffusion, de flux informatiques, en direct.

STRESS POST-TRAUMATIQUE, TROUBLE DEÉtat psychosomatique réactionnel, de l’organisme humain, confronté, à une attaque brutale : tension, choc, perturbation graves, à atteintes psychiques.

STRESS SCOLAIRE – État psychosomatique réactionnel, de l’organisme humain, confronté, à une attaque brutale : tension, choc, perturbation, des jeunes, en études.

 

STRESS / STRESSEUR-S / STRESSANT / STRESSÉ – État psychosomatique réactionnel, de l’organisme humain, confronté, à une attaque brutale : tension, choc, perturbation / relevant, du stress.

STRETCHING / Étirements – Gymnastique, d’assouplissement : conditionnement physique, par contraction-tension & relâchement-détente musculaires, avant, extension.

STRUCTURATION-S DE COURS : d’études – Prise de notes, présentation, disposition écrites, d’un enseignement, scolaire & universitaire, de façon, claire, précise, rigoureuse.

STRUCTURATION-S / STRUCTURANT / STRUCTURÉ – Agencement, « ordonnancement », organisation / relevant, de la structuration.

STRUCTURE-S / STRUCTUREL – Agencement, organisation, « architecture » / relevant, de la structure.


 

 

STS, Sections de Techniciens Supérieurs – Cursus technique, d’enseignement supérieur court, menant, au Bts, Brevet de technicien supérieur, France.

STYLE-S / STYLÉ – Allure, élégance, genre & apparence vestimentaires & physiques / élégant.

STYXDans la mythologie antique grecque, fleuve, des Enfers.

SUBCONSCIENTÉtat psychique inconscient, mais, influant, sur les cognitions, émotions, comportements / relevant, du subconscient.

SUBÉDUCATION / SUBÉDUCATIF – Infraéducation, sous-éducation, hypoéducation : formation, apprentissage, enseignement inexistants, insuffisants & parcellaires, défaillants & médiocres / relevant, de la subéducation.

 

SUBJECTIVITÉ / SUBJECTIF – Spécificité, particularisme, individualité, de la pensée, de la conscience, la réalité humaines / relevant, de la subjectivité.

SUBLIMATION-S / SUBLIMATOIRE / SUBLIMÉ – Idéalisation, élévation, ennoblissement, de valeurs, moraux transcendants / relevant, de la sublimation.

SUBLIME PORTEFormulation diplomatique, désignant, l’Empire ottoman, en tant, qu’État, Turquie, 16e/20e s. / métaphore.

SUBORDINATION-S / SUBORDONNÉ – Dépendance, servitude, assujettissement / relevant, de la subordination.

SUBSISTANCE : physique, matérielle, financière – Moyens, de « survie », élémentaires humains : nutrition, entretien, ressources.

 

SUBSTANTIFIQUE MOELLE – Le meilleur, le plus fondamental, plus significatif, plus précieux, d’une réalité, métaphore littéraire.

SUBTERFUGE-S – Stratagème & artifice, ruse & faux-fuyant, esquive & prétexte.

SUBVERSION-S / SUBVERSIF / SUBVERTI – Contestation, remise, en cause, soulèvement : acte, de sape nihiliste, séditieux, négativiste, contre, les valeurs, principes établis / relevant, de la subversion.

SUCCÈSRéussite, performance, prospérité.

SUCCÈS SELON JACK, LEOuvrage, de psychodéveloppement personnel, réalisation, de soi, États-Unis, 21e s.


 

 

SUFFISANCE / SUFFISANT – Orgueil & outrecuidance, morgue & prétention, fatuité & vanité / relevant, de la suffisance.

SUGGESTION-S / SUGGESTIF / SUGGESTIONNÉ / SUGGÉRÉ – Conseil, proposition, avis – hypnose, influence & persuasion, évocation & insinuation / relevant, de la suggestion.

SUICIDE-S / SUICIDAIRE / SUICIDANT-S / SUICIDÉ-S – Autolyse, mort volontaire, autodestruction mortelle / relevant, du suicide, en risque, de suicide / en tentative, de suicide / mort, de suicide.

SUIVI-S – Entretiens successifs réguliers, pendant, une durée étendue, d’une relation d’aide, notamment, androJeunologique.

SUIVISME-S / SUIVISTE-S – Opportunisme systématique, consistant, à « se calquer », sur la conjoncture & la tendance, l’autorité, autrui…, sans esprit critique / relevant, tenant, du suivisme.

 

SUPER SIZE ME / Malbouffe, à l’américaine – Documentaire audiovisuel autobiographique, États-Unis, 21e s.

SUPERFICIALITÉ-S / SUPERFICIEL – Légèreté, de surface, sans profondeur / relevant, de la superficialité.

SUPERSTRUCTURE-S / SUPERSTRUCTUREL – Ensemble, système, appareil / relevant, de la superstructure.

SUPERVISION-S / SUPERVISEUR / SUPERVISÉ – Contrôle, surveillance, inspection, vérificatifs, de révision, qualité / relevant, de la supervision.

SUPPLICE DU LACET DE SOIE CHINOIS – Exécution, par strangulation, avec un garrot / métaphore.

 

SUPPORT-S MOBILE-S TACTILE-S – Outils multimédias numériques, non fixes, sans touches ni, clavier mécaniques, à écrans : téléphonie, tablettes, ordinateurs, de poche…

SUPPUTATION-S / SUPPUTATIF – Supposition & spéculation, hypothèse & induction, estimation & évaluation / relevant, de la supputation.

SUR, J.Écrivain, formateur, France, 20e/21e s.

SURADOJEUNE-S ÉTUDIANT-S – Jeune majeur, préadulte & quasi adulte, engagé, dans les études supérieures.

SURCHARGE-S / EXCÈS PONDÉRAUX / SURPOIDS – Indice, de masse corporelle : rapport, taille & poids, trop élevé : poids divisé, par le carré, de la taille, exprimé, en kg/m2.


 

 

« SURDIPLÔMITE-S » / SURDIPLÔMÉ – Course, aux parchemins, empilement, des diplômes, survalorisation, des certifications académiques, pour elles-mêmes / relevant, de la surdiplômite.

SURDITÉ-S / SOURD-S – Pathologie, de l’audition, par perte, partielle & totale – cophose -, de la perception, des sons, de l’ouïe / relevant, atteint, de surdité.

SURDOUÉ-SJeune, à développement, haut potentiel, capacités, intellectuels exceptionnels, à quotient intellectuel, supérieur & égal, à 130-140.

SÛRETÉ / SÛR – Sécurité & garantie, certitude & justesse, assurance & habileté / relevant, de la sûreté.

SURGÉNÉRALISATION-S / SURGÉNÉRALISÉ – Élaborations mentales, de principes, d’une conclusion générale, négatifs, sur le fondement, d’une & de quelques réalités malheureuses, antérieures / relevant, de la surgénéralisation.

 

SURINFORMATION-S / SURINFORMÉ-S – Excès quantitatif, très dommageable, de données informatives reçues, surcharge informationnelle, infobésité / relevant, de la surinformation.

SURMENAGE-S / SURMENÉ – Asthénie : fatigue intense, épuisement, affairement excessif & insuffisant, morne, répétitif / relevant, du surmenage.

SURMOISystème psychomoral, de contrôle, censure, du Moi, en psychanalyse.

SURPASSEMENT-S / SURPASSEMENT-S, DE SOI – Fait, de devancer, surmonter & dominer, surclasser & vaincre, les difficultés, autrui, soi-même.

SUSPICION-S / SUSPICIEUX – Défiance & méfiance, soupçon, doute & réserve / relevant, de la suspicion.

 

SYLLOGISME CATÉGORICO-DÉDUCTIF – Raisonnement déductif, lié, à trois propositions, logiquement, impliquées, dont, les prémisses, étant vraies, les conclusions afférentes, le sont, aussi.

SYLLOGISME HYPOTHÉTICO-DÉDUCTIFRaisonnement déductif, lié, à trois propositions, logiquement, impliquées, dont, les prémisses, si elles sont vraies, font, que toute conclusion subséquente, l’est, aussi.

SYLLOGISME / SYLLOGIQUE – Raisonnement déductif, lié, à trois propositions, logiquement, impliquées, à antécédent, conjonction, de deux propositions-prémisses / relevant, du syllogisme.

SYMBOLE-S / SYMBOLIQUE – Allégories & figures, représentations & emblèmes, images & métaphores / relevant, du symbole.

SYMPATHIE-S / SYMPATHIQUE – Attraction, affinité, bienveillance / relevant, de la sympathie.


 

 

SYMPHONIE NUMÉRO 3, POUR ORGUE & ORCHESTREEn ut mineur, opus 78, composition musicale, France, 19e s.

SYMPHONIE PASTORALENuméro 6, en fa majeur, opus 68, composition musicale, Empire d’Autriche, 19e s.

SYNCHRONICITÉ-S / SYNCHRONE – Simultanéité, concordance, concomitance / relevant, de la synchronicité & du synchronisme.

SYNCRÉTISME-S / SYNCRÉTIQUE – Système philosophique, spirituel, culturel, pluridoctrinal, pluriel / relevant, du syncrétisme.

SYNDROME, DE RETARD DE PHASE, ET ADOLESCENCEArticle de santé, de publication écrite, d’information médicale, France, 21e s.

 

SYNERGIE-S / SYNERGIQUE – Conjonction, de vecteurs, se renforçant, pour atteindre, un effet optimal / relevant, de la synergie.

SYNOPSIS / SYNOPTIQUE – Résumé, intrigue, trame écrits, d’un scénario cinématographique / relevant, d’une vue générale, d’ensemble.

SYNTHÈSE-S / SYNTHÉTIQUE – Assemblement & structuration, résumé, abrégé / relevant, de la synthèse.

SYSTÈME CARDIOVASCULAIREEnsemble, cœur & vaisseaux sanguins, répartissant, le sang, dans l’organisme, apportant, oxygène, substances nutritives, éliminant, les déchets.

SYSTÈME ÉDUCATIF / SCOLAIRE français – Organisation, de l’enseignement, secondaire & supérieur, public & privé, par l’Éducation nationale, France, 21e s.

SYSTÈME NERVEUXCentre, de traitement, des informations, assurant, les fonctions vitales, de la locomotion, la sensorialité, cognitives, émotionnelles, comportementales.


 

 


– T –


 

 

3 M : MUTATION / MAÎTRISE / MATURITÉ – Programme relationnel, d’aide androJeunologique, de changement, contrôle, de soi, cognitif & émotionnel & comportemental, plénitude morale.

TABAC / TABAGIQUE – Produit nicotinique, psychoactif herbacé, addictif / relevant, du tabac.

TABACOLOGIE / TABACOLOGIQUE – Discipline médicale, d’addictologie & de toxicologie, étudiant, le tabagisme, en sa prévention, ses effets, son sevrage / relevant, de la tabacologie.

TABAGIE / TABAGISMEConsommation tabagique / intoxication, par abus, de tabac.

TABLEAU DE BORD androJeunologique – Outil, d’organisation de vie, présentant, les réalités, résultats, du jeune homme, par indicateurs, de contrôle, d’atteinte, des objectifs fixés, pour agir, à temps.

 

TABLEAUX D’UNE EXPOSITIONComposition musicale, Russie, 19e s.

TABLETTE-S MULTIMÉDIA-S électronique-s – Ordinateur mobile audiovisuel, à écran plat, numérique tactile informatique, de loisir, de l’Internet, d’information & de communication.

TABOU-SInterdit, prohibition, censure & proscription.

TÂCHE-S / TRAVAUX DOMESTIQUE-S – Occupation, besogne, labeur ménagers, propres, au domicile, de gestion matérielle, du quotidien.

TACTION / TOUCHER / TACTILE – Sens proprioceptif, par contact tactile, palpation, approche directe cutanée / relevant, de la taction.

 

TAG, Troubles d’Anxiété Généralisée – Affection psychiatrique, à manifestations physiques aiguës, inquiétudes permanentes irrépressibles, de façon, conjoncturelle & structurelle.

TAILLE-S – Gabarit, stature, dimension, corporels humains, en longueur & hauteur.

TALENT-S / TALENTUEUX – Savoir-faire, capacité & aptitude, prédisposition / lié, au talent.

TALENTS, PARABOLE BIBLIQUE, DESRécit, d’ « exemplarité » évangélique, Moyen-Orient, Antiquité.

TALIBAN-SFondamentaliste religieux musulman, combattant armé militarisé, Afghanistan, Pakistan, 20e/21e s.


 

 

TALISMAN-S / TALISMANIQUE – Objet cabalistique magique, amulette occulte protectrice, fétiche rituel, jugés, bénéfiques : métaphore / relevant, du talisman.

TALLEYRAND-PÉRIGORD (de), C.-M.Homme d’État, diplomate, France, 18e/19e s.

TANGUY / TANGUY, SYNDROMEPersonnage, de fiction cinématographique & cohabitation familiale, intergénérationnelle tardive, voire, abusive, de certains jeunes adultes, résidant encore, au domicile parental, Occident, 21e s.

TANNENBERG, Bataille de – Combats militaires, de début, de la Grande Guerre, Allemagne, actuellement, Pologne, 20e s.

TANT QU’IL Y AURA DES ÉLÈVESLivre, de sociologie éducative, France, 21e s.

 

TANT QU’IL Y AURA DES PROFSLivre, de sociologie éducative, France, 20e s.

TAOÏSME / TAOÏSTE – « Enseignement, de la voie », philosophie, spiritualité, mystique, Chine, depuis, l’Antiquité / relevant, tenant, du taoïsme.

TARTAR GODDET, É. – Psychologue, psychosociologue, France, 20e/21e s.

TARTUFFERIE-S / TARTUFFEHypocrisie, pharisaïsme, fourberie & sournoiserie / relevant, tenant, de la tartufferie.

TATOUAGE-S / TATOUÉ – Marquage indélébile, décoratif & symbolique, cutané, par colorants injectés / relevant, du tatouage.

 

TAXINOMIE / TAXINOMIQUE – Sciences, de la classification, classements, représentations hiérarchiques, de concepts, sujets, domaines / relevant, de la taxinomie.

TCA, Troubles du Comportement Alimentaire – Dérèglement psychopathologique, de la nutrition.

TCHAGUINE (de), D. – Naturopathe, conseil, de vie, France, 20e/21e s.

TD / Travaux dirigés – Type, d’enseignement académique, permettant, d’appliquer, les savoirs appris, lors, des cours théoriques & d’étudier, des connaissances nouvelles.

TE DEUM / « Action de grâce » – Hymne latin, du christianisme, de louanges, de gratitude, rejouissance, en hommage, à Dieu, remerciement, de ses bienfaits.


 

 

TECHNO AMBIENT MUSIC / Musique techno d’ambiance planante – Courant musical électronique, issu, de la mouvance techno, Grande-Bretagne, années 1980.

TEEN LIFE COACHING / Coaching de vie, pour ados – Relation d’aide, accompagnement, guidance, en développement personnel, réalisation, de soi, gestion, du quotidien, pour juniors.

TEEN LIFE COUNSELLING & CONSULTING / Conseil de vie, pour adoJeune – Assistance, guidance, en accomplissement, de soi, gestion & optimisation, du quotidien, pour juniors.

TEL PÈRE, TEL FILS !Adage, exprimant, le fait que, les jeunes descendants, héritent, des qualités & défauts, de leurs ascendants, sont à leur image.

TÉLÉCHARGEMENT-S / TÉLÉCHARGÉ – Transfert informatique, sur l’Internet & l’Intranet, d’informations numériques, entre ordinateurs / relevant, du téléchargement.

 

TÉLÉPHONE-S / TÉLÉPHONIE MOBILES cellulaires / TÉLÉPHONIQUE – Système-s, de télécommunications, par dispositif électronique numérique, sans fil, radiofréquences & ondes électromagnétiques / relevant, du téléphone, de la téléphonie.

TÉLÉRÉALITÉ-S / TÉLÉRÉEL – Genre télévisuel fictionnel, de série, mettant, en scène, le quotidien, de participants volontaires, présélectionnés / relevant, de la téléréalité.

TÉLÉVISION-S / TÉLÉVISUEL – Télédiffusion, société, de programmes audiovisuels / relevant, de la télévision.

TEMPÉRANCE / TEMPÉRANT / TEMPÉRÉ – Réserve & mesure, sobriété, modération : l’une, des « vertus cardinales » antiques & du christianisme / relevant, de la tempérance.

TEMPÊTE-S / TEMPÉTUEUX – Perturbation, tumulte & agitation, tourmente & trouble / agité.

 

TEMPORALITÉ-SCe qui est propre, au déroulement irréversible, du temps.

TEMPORISATION-S / TEMPORISATEUR – Ajournement & report, attentisme & atermoiement, retardement & tergiversation / relevant, de la temporisation.

TEMPO-S – Mouvement, rythme, vitesse.

TEMPS LIBRECongés, loisirs, occupations « libres », du temps, en dehors, des obligations habituelles, notamment, scolaires, professionnelles.

TEMPS PLASTIQUE – Durée, période, moment, de la « plénitude » : personnel, libre, de la récréation.


 

 

TEMPS RIGOUREUX – Durée, période, moment, du devoir : social, contraint, du labeur.

TEMPS / TEMPOREL – Passé, présent, avenir : durée & délai, période & époque, conjoncture & moment / relevant, du temps.

TEMPUS IRREPARABILE FUGIT / Le temps s’échappe irrémédiablement – Aphorisme : le temps passe vite, sans, pouvoir être rattrapé, il est précieux, à user, à bon escient, sans, perte inutile, Rome, 1er s. av. J.-C.

TÉNACITÉ-S / TENACE – Opiniâtreté & persévérance, volonté & résolution, détermination & obstination / relevant, de la ténacité.

TENSION-S / TENDU – Crise & trouble, stress, discorde & friction / relevant, de la tension.

 

TENUE-S VESTIMENTAIRE-S – Habillement, accoutrement, mise & vêture.

TEPPERWEIN, K. – Auteur, en développement personnel, Allemagne, 20e/21e s.

TERRE PROMISETerre, d’Israël, promise, par Dieu, selon, la Bible, à Abraham, Isaac, Jacob, par analogie : Paradis, Éden, lieu, de béatitude.

TERRE / TERRESTRE – Sol, couche terrestre, part solide, du globe / métaphore : corps humain / relevant, de la terre.

TERREUR, LAPériode révolutionnaire, « totalitaire, arbitraire, répressive », d’exécutions, de masse, au début, de la Première République, France, 18e s.

 

TERRORISME-S / TERRORISTE-S – Usage, de violences, terreur, crimes, pour parvenir, à des fins idéologiques & de droit commun / relevant, tenant, du terrorisme.

TESTOSTÉRONE / TESTOSTÉRONIQUE – Principale, hormone sexuelle masculine / relevant, de la testostérone.

TEST-S DE GROSSESSE – Dispositif permettant, à une femme, de déterminer, si elle est enceinte.

THANATOSEntité, de fiction mythologique, grecque antique, symbolisant, la Mort.

THATCHER, M.Femme d’État, Royaume-Uni, 20e/21e s.


 

 

THAUMATURGIE / THAUMATURGE-S / THAUMATURGIQUE – Accomplissement, de miracles / faiseur, de miracles / relevant, de la thaumaturgie, du thaumaturge.

THÉÂTRE / THÉÂTRAL – Genre littéraire, mettant, en scène, une action, un jeu, de tragédie & comédie, en dialogues, entre les personnages, de la pièce concernée / relevant, du théâtre.

THÉOLOGIE SCOLASTIQUEEnseignements, théologiques & philosophiques, universitaires, médiévaux européens, foi chrétienne, reliés, à la pensée, de l’Antiquité grecque.

THÉOLOGIE / THÉOLOGIQUE – Sciences, du divin, étude religieuse, sacrée, dogmatique, exégèse spirituelle & métaphysique / relevant, de la théologie.

THÉOLOGISME / THÉOLOGISTE – Exagération, abus, extrapolation excessive, des règles, de théologie, de la science religieuse, des dogmes sacrés / relevant, du théologisme.

 

THÉORIE-S / THÉORIQUE – Hypothèse, doctrine, postulat / relevant, de la théorie.

THÉORISATION / THÉORICIEN / THÉORISÉ – Approche, par abstraction & hypothèse, postulat & spéculation, système & principe / relevant, de la théorisation.

THEORY OF HUMAN MOTIVATION, A / Une théorie de la motivation humaine Livre de psychologie, États-Unis, 20e s.

THÉRAPEUTE-S D’ADO-S – Praticien, de la relation d’aide, du soin, de l’accompagnement psychothérapeutiques, pour adolescents.

THÉRAPEUTE-S : PSY-S – Praticien, de la relation d’aide, du soin, de l’accompagnement psychothérapeutiques.

 

THÉRAPIE COGNITIVE ET LES TROUBLES ÉMOTIONNELS, LA Livre de psychologie, États-Unis, 21e s.

THÉRAPIE D’ACCEPTATION & D’ENGAGEMENT, LA – ACTLivre de psychologie, France, 21e s.

THÉRAPIE-S / APPROCHE-S HUMANISTES – Relation d’aide, axée, sur une vision positive, de l’être humain, le renouvellement & développement, de soi, l’optimisation, de son potentiel.

THÉRAPIE-S COGNITIVE-S, ÉMOTIONNELLE-S, COMPORTEMENTALE-S, Tcec – Relation d’aide psychothérapeutique, axée, sur les pensées, affects, conduites.

THÉRAPIE-S DE SOUTIENRelation d’aide supportive, axée, sur l’assistance, le secours, le réconfort moraux, par renforcement mental, émotionnel, des conduites.


 

 

THÉRAPIE-S FAMILIALE-SRelation d’aide, psychothérapeutique systémique, axée, sur la famille, l’individu, comme, membre, d’une famille, les liens familiaux.

THÉRAPIE-S FAMILIALE-S COGNITIVE-S & COMPORTEMENTALE-S – Psychothérapie, de la famille, l’individu, membre, d’une famille, des liens familiaux, axée, sur les pensées, affects, conduites.

THÉRAPIE-S FAMILIALE-S PSYCHANALYTIQUE-S – Lien d’aide psychodynamique, axé, sur la famille, l’individu, comme, membre, d’une famille, les liens familiaux.

THÉRAPIE-S FAMILIALE-S PSYCHODYNAMIQUE-S – Lien d’aide, de thérapie psychanalytique, axé, sur la famille, l’individu, comme, membre, d’une famille, les liens familiaux.

THÉRAPIE-S FAMILIALE-S PSYCHOÉDUCATIVE-S – Relation d’aide, psychothérapeutique systémique, axée, sur la famille, le jeune, comme, membre, d’une famille, son éducation, les liens familiaux.

 

THÉRAPIE-S FAMILIALE-S SYSTÉMIQUE-SAide psychothérapeutique, axée, sur la famille, comme, ensemble, de sujets, à liens mutuels, l’individu, tel, membre, d’une famille, les affects familiaux.

THÉRAPIE-S (PSY) / (PSYCHO)THÉRAPEUTIQUE – « Relation d’aide », traitement, d’un trouble, notamment, psychique, suivi curatif, de type psychothérapeutique / relevant, de la thérapie.

THOMISME / THOMISTE – Courant « philo-théologique », selon, les enseignements moraux pragmatiques, de T. d’Aquin, monde, dep., le 13e s. / relevant, du thomisme.

THURIFÉRAIRE-S – Laudateur, louangeur, flatteur.

TIC, Technologies de l’Information & la Communication – Communications électroniques télématiques : informatique, audiovisuel, multimédias, néotélécommunications, Internet.

 

TIERS-ÉTATDéputés, de la bourgeoisie urbaine, aux derniers États généraux, de l’Ancien Régime, France, 18e s.

TIME MAGAZINE / Magazine Time – Publication nationale, de presse écrite, d’information, États-Unis.

TIMIDITÉ-S / TIMIDE – Embarras, indécision, crainte / relevant, atteint, de la timidité.

TINTINJeune héros, de bande dessinée, Belgique, 20e s.

TIROT, G. – Auteur, d’un livre de sociologie, France, 20e/21e s.


 

 

TOC, Trouble-s Obsessionnel-s Compulsif-s – Psychopathologie, à pensées, fortement, intrusives & comportements rituels, répétés.

TOCQUEVILLE (de), A.Philosophe, homme politique, historien, écrivain, France, 19e s.

TOLÉRANCE / TOLÉRANT / TOLÉRÉ – Respect, compréhension, ouverture, d’esprit / relevant, de la tolérance.

TOPAZEComédie théâtrale & personnage, de fiction littéraire, France, 20e s.

TORO-PISCINEJeu taurin ludique, d’adresse, d’esquive, de feinte.

 

TOTALITARISME-S / TOTALITAIRE – Monopole idéologique dictatorial : absolutiste, tyrannique, despotique / relevant, du totalitarisme.

TOTEM-S / TOTÉMIQUE – Emblème, représentation, symbole / relevant, du totem.

TOURMENT-S / TOURMENTEUR / TOURMENTÉ – Douleur & souffrance, affliction & affres, peine & tracas / relevant, du tourment.

« TOUT PSY » – Emprise excessive, de la psychologie, normativité psychologisante, abus, de l’approche & l’usage psychothérapeutiques.

TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISEChanson artistique, œuvre musicale, France, 20e s.

 

TOUTÂNKHAMONSouverain régnant, Égypte, 14e s. av. J.-C.

TOUTE PUISSANCE (INFANTILE)Illusion psychopathologique, naïve, immature, destructrice, d’un pouvoir personnel illimité, magique, totalitaire.

TP / Travaux pratiques – Enseignement axé, sur l’apprentissage concret, l’expérimentation, corroborant, élargissant, les savoirs, des transmissions théoriques.

TPE, Très Petite Entreprise – Unité économique, de taille, la plus modeste.

TRACTimidité sociale, de performance, face, au risque : peur, crainte, angoisse, des plus irraisonnées, irrationnelles, irrépressibles.


 

 

TRADITION-S / TRADITIONNEL – Usage & coutume, héritage & transmission, légende & mémoire / relevant, de la tradition.

TRAINING AUTOGÈNE, DE SCHULTZ / Entraînement autogène, de Schultz – Relaxation thérapeutique hypnotique, d’apaisement, du stress, de l’anxiété, par concentration passive.

TRAINING MENTAL, MÉTHODE, DE / Méthode, d’ « entraînement mental » – Formation intellectuelle pratique, de renforcement psychique, analytique, d’abstraction.

TRANSCENDANCE-S / TRANSCENDANT – Métaphysique, dépassement, élévation, spirituels, philosophiques, moraux / relevant, de la transcendance.

TRANSCULTURATION / TRANSCULTUREL – Influence mutuelle, de civilisations, interactions, entre différentes cultures, implication, de plusieurs cultures / relevant, de la transculturation.

 

TRANSFIGURATION-S / TRANSFIGURÉ – Métamorphose, changement, transformation, en un genre éclatant, extraordinaire, magnifique / métaphore / relevant, de la transfiguration.

TRANSFORMATION-S / TRANSFORMATEUR / TRANSFORMÉ – Modification, changement, métamorphose / relevant, de la transformation.

TRANSGRESSION-S / TRANSGRESSIF / TRANSGRESSEUR / TRANSGRESSÉ – Manquement, anticonformisme, violation / relevant, de la transgression.

TRANSITION-S / TRANSITIONNEL / TRANSITOIRE – Liaison graduelle, passage progressif, changement intermédiaire / relevant, de la transition.

TRANSMISSION-S : ÉDUCATIVE-S / MORALE-S – « Enseignements, de vie » : pédagogiques, axiologiques, spirituels…

 

TRANSPARENCE-S / TRANSPARENT – Limpidité, clarté, netteté – Vérité, authenticité, sincérité & dévoilement, de soi / relevant, de la transparence.

TRANSSUBSTANTIATION-SDans le christianisme, transmutation eucharistique, du pain & du vin, en Corps & Sang, du Christ – métaphore : changement, d’une réalité, en une autre.

TRANSVERSALITÉ / TRANSVERSAL – Interdisciplinarité, horizontalité & recouvrement, de plusieurs domaines, de connaissance, caractère multisectoriel / relevant, de la transversalité.

TRAPÈZECollection, de haute couture, France, 20e s.

TRAUMATISME-S PSYCHIQUE-STrouble, choc, ébranlement, cognitifs, émotionnels, moraux.


 

 

TRAUMATISME-S / TRAUMATIQUE / TRAUMATISANT / TRAUMATISÉ – Trouble, ébranlement, choc, physiques, psychiques, moraux / relevant, du traumatisme.

TRAVAIL, À L’ÉTRANGER – Exercice, d’un métier, d’un emploi, une profession, hors, de son pays, d’origine.

TRAVAIL D’ÉQUIPE-S – Réalisation, de travaux, scolaires & universitaires, impliquant, une coopération, de groupe, collective, commune, avec des condisciples.

TRAVAIL, DES MINEURSExercice, d’une activité professionnelle, salariée rémunérée, par un jeune, non encore majeur, France.

TRAVAIL : SCOLAIRE / UNIVERSITAIRE / PROFESSIONNELTâches, activités, occupations, des cursus, d’études, secondaires & supérieures, de l’emploi, France.

 

TRAVAIL SUR SOI – Processus, d’analyse, de maîtrise, dépassement, de soi, psychiques, d’un point de vue, cognitif, émotionnel, comportemental.

TRAVAUX ET LES JOURS, LESPoème antique, Grèce, 8e s. av. J.-C.

TRENTE, CONCILE DESynode œcuménique, de la Réforme, de l’Église catholique, États pontificaux, Italie actuelle, Saint-Siège, 16e s.

TRENTE GLORIEUSESTrois décennies, de forte croissance économique, internationale, monde, 20e s.

TRÉSOR DE RACKHAM LE ROUGE, LEAlbum, de bande dessinée, Belgique, 20e s.

 

TRIBU-S – Clan, groupe, microcosme.

TRIERWEILLER, L. – Jeune étudiant, fils, d’une ex- « Première Dame », France, 20e/21e s.

TRISTESSE-S / TRISTE – Chagrin & mélancolie, affliction & désenchantement, accablement & amertume, en désespérance morale / relevant, de la tristesse.

TROGLODYTE-S / TROGLODYTISME / TROGLODYTIQUE – Personne, habitant, une grotte, une caverne, une demeure, creusée, à même la roche / mode, de vie, des troglodytes / relevant, des troglodytes & de leur type existentiel / métaphore.

TROIS GLORIEUSES, LES / Révolution de Juillet – Soulèvement populaire, aboutissant, à changement, de régime politique, de dynastie régnante, France, 19e s.


 

 

TROIS VILLES, LES – Lourdes / Rome / ParisŒuvre littéraire, trois tomes, France, 19e s.

TROISIÈME CYCLE UNIVERSITAIRE / d’études supérieures – Mba, Doctorat, diplômes, de Grandes écoles, d’écoles supérieures…, bac +6 & plus, système éducatif européen, LMD, France.

TROISIÈME RÉPUBLIQUE FRANÇAISERégime politique parlementaire, France, 19e/20e s.

TROMPETTES DE JÉRICHOMétaphore, référence biblique, symbole, d’espérance, Moyen-Orient, Antiquité.

TROUBLE-S BIPOLAIRE-S / maniaco-dépressif-s – Psychopathologie alternative, de l’humeur.

 

TROUBLE-S PANIQUE-SPathologie anxieuse, par crises, d’affolement, régulières, aiguës, peur, des conséquences, inquiétudes, d’attaques réitérées, anticipatoires.

TROUBLE-S / TROUBLANT / TROUBLÉ – Émotion & ébranlement, désordre & crise, désarroi & perturbation / relevant, du trouble.

TRUFFAUT, F.Réalisateur, de cinéma, France, 20e s.

TSUNAMI-S / Raz, de marée – Vague océanique, de grande ampleur, suscitée, par un choc tellurique : séisme, éruption sous-marine, glissement.

TUTORAT SCOLAIRESuivi éducatif individualisé, des élèves, du secondaire, en difficulté, en sus, des cours, au sein, des établissements, d’enseignement, France.

 

TUTORAT-S / TUTORAL / TUTORÉ – Suivi individualisé, de jeunes, en difficulté / relevant, du tutorat.

TWITTER / Réseau social électronique – Messagerie interactive, de communications, en ligne, microblogs, d’échanges brefs instantanés, sur Internet & par Sms, dits, tweets, États-Unis, monde.


 

 


– U –


 

 

ULTRAMONTAIN-S – Tenant, de l’ultramontanisme temporel, spirituel : universalisme ecclésial catholique, du Saint-Siège, France, 16e-19e s.

ULTRAMONTANISME / ULTRAMONTAIN – Primauté universaliste spirituelle, de la papauté, sur le pouvoir politique & l’Église nationale, face, au gallicanisme autonomiste, France, 16e-19e s. / relevant, de l’ultramontanisme.

UNICEF FRANCE / Fonds des Nations Unies, pour l’Enfance – l’Adolescence – Agence mondiale, de défense, des intérêts, des mineurs : étude sociologique, France, 21e s.

UNICITÉ : HUMAINE / UNIQUE – Singularité, prééminence, spécificité, des humains / relevant, de l’unicité.

UNILATÉRALISME / UNILATÉRALISTE / UNILATÉRAL – Arbitraire, partialité, positions léonines / relevant, de l’unilatéralisme, l’unilatéralité.

 

UNION EUROPÉENNEAlliance politico-économique, d’États européens, déférant, par traité, des attributs, à des entités communes.

UNITÉ-S / UNI – Solidarité, homogénéité, rassemblement / relevant, de l’unité.

UNIVERS / UNIVERSEL – Cosmos, monde & humanité, milieu spécifique / lié, à l’univers.

UNIVERS SOCIAL DES ADOLESCENTS, L’Livre de sociologie, Canada, 21e s.

UNIVERSALISME / UNIVERSALISTE – Vision, idéal, doctrine, à objectifs « consensuels », s’adressant, à tous, en l’intérêt général / relevant, de l’universalisme.

 

UNIVERSALITÉ-S / UNIVERSEL – Généralité, totalité, globalité : qui concerne, tous les humains, les sujets, les conceptions / relevant, de l’universalité.

UNIVERSAUXEn métaphysique, concepts globaux, communs, à l’ensemble, de l’humanité, aux choses, aux occurrences particulières.

UNIVERSIADECompétition internationale universitaire, multisports, de jeunesse, monde, dep., le 20e s.

UNIVERSITÉ DE PARISEx-établissement, d’enseignement supérieur universitaire, parisien, unifié, corporatif, puis, public, France, 12e-18e s., puis, 19e/20e s. Également, entité issue, de la fusion, de deux universités parisiennes, 21e s.

UNIVERSITÉ-S TECHNOLOGIQUE-SÉtablissements publics, d’enseignements supérieurs universitaires, de technologie, France.


 

 

UNIVERSITÉ-S / UNIVERSITAIRE – Établissements publics, comme, privés, d’enseignements supérieurs, de recherche, de publications & conservation scientifiques, notamment, France / relevant, de l’université.

URBI ET ORBI / À la Ville de Rome et, au Monde, proclamations – Adresses solennelles publiques, des Souverains pontifes, dites : À Rome et, à l’Univers entier, Vatican.

URGENCE-S CAPITALE-S – Ce qui présente, un caractère, fondamentalement, impérieux, pressé, pressant, typologie sociologique.

URGENCE-S IMPORTANTE-S – Ce qui présente, un caractère, essentiellement, impérieux, pressé, pressant, typologie sociologique.

URGENCE-S PRIORITAIRE-S – Ce qui présente, un caractère, de « primauté » impérieuse, pressée, pressante, typologie sociologique.

 

URGENCE-S SECONDAIRE-S – Ce qui présente, un caractère, accessoirement, impérieux, pressé, pressant, typologie sociologique.

URGENCE-S / URGENT – Ce qui présente, un caractère impérieux, pressé, pressant / relevant, de l’urgence.

UTILITARISME / UTILITARISTE – Matérialisme, survalorisation, de l’utile, optimisation, du bien-être, pour tous / relevant, de l’utilitarisme.

UTILITÉ-S : personnelles-s & sociale-s / UTILE – Avantages, services, « commodités », fonctionnels, répondant, à des besoins / relevant, de l’utilité.

UTOŒuvre, de littérature & personnage, de fiction littéraire, Italie, 20e s.

 

UTOPIE-S / UTOPIQUE – Illusion, chimère, rêve idéalisés, de plénitude, perfection, d’harmonie / relevant, de l’utopie.

UTOPISME / UTOPISTE – Évasions illusoires, chimériques, oniriques, de plénitude, perfection, d’harmonie idéalisées, par fantasmagories inaccessibles / relevant, tenant, de l’utopisme.


 

 


– V –


 

 

VACANCES / VACANCIER-S – Temps, de congé, repos, d’interruption, d’activités / en vacances.

VACUITÉ : morale / VACUITAIRE – Vacance, inconsistance, néant, axiologiques, spirituels, de l’esprit & la conscience éthique / relevant, de la vacuité.

VAILLANCE / VAILLANT – Courage, audace & bravoure, force morale & stoïcisme / relevant, de la vaillance.

VALADE, C. – Journaliste, France, 20e/21e s.

VALÉRY, P.Écrivain littéraire, poète, philosophe, France, 19e/20e s.

 

VALEUR, MISE EN & VALORISATION / VALORISANT / VALORISÉ – Mise, en évidence & en exergue, en avantage & sous, un jour favorable, fait, de rendre, plus important & visible / lié, à la valorisation.

VALEUR-S AJOUTÉE-S – Avantages, originalité, progrès, différentiels spécifiques, apportés, par une personne, une entité, comparativement, à d’autres & à la créativité, d’autrui.

VALEUR-S ÉDUCATIVE-S – Idéaux, principes, objectifs, éthiques, pédagogiques, intellectuels, en matière, de formation, d’instruction, d’accomplissement, de soi, de la jeunesse.

VALEUR-S MORALE-SIdéaux, principes, objectifs, axiologiques, spirituels, de l’esprit & la conscience éthique.

VALEUR-S SPIRITUELLE-S – Idéaux, principes, objectifs, moraux, de l’esprit & immatériels, mystiques & religieux.

 

VALEUR-S / VALEUREUX / VALORISANT / VALORISÉ – Idéaux, principes, objectifs moraux, spirituels, culturels, motivant, les êtres humains, en éthique, guidance, ontologie, axiologiques existentielles / relevant, des valeurs.

VALEURS DE BASE, DE LA PERSONNE, LESArticle philosophique, de publication écrite, de sociologie, France, 21e s.

VALEURS DE L’ÉDUCATION, LESLivre, de philosophie éducative, France, 20e s.

VALLADOLID, CONTROVERSE DE (LA)Débat théologique doctrinal, au sujet, de la conquête, du Nouveau Monde, Espagne, 16e s. & Œuvre, de littérature historique, France, 20e s.

VALLÉE DES ROISSites archéologiques antiques, d’hypogées pharaoniques, Égypte, 16e- 11e s. av. J.-C.


 

 

VALOISDynastie royale capétienne, régnante, France, 14e-16e s.

VANITÉ-S / VANITEUX – Orgueil & suffisance, fatuité & prétention, vacuité morale & futilité / relevant, de la vanité.

VARIÉTÉ, I à V Œuvre, de réflexion morale & philosophique, France, 20e s.

VATICAN, État de la Cité du – Entité territoriale géographique, temporelle, du Saint-Siège & de l’Église catholique romaine, Europe.

VATICINATION-S / VATICINATEUR – Imagination, prédiction, prophétie & oracle / relevant, tenant, de la vaticination.

 

VÉGÈCEÉcrivain littéraire, Rome, 4e/5e s.

VÉGÉTARISME / VÉGÉTARIEN-S – Mode alimentaire, excluant, la nutrition carnée, le poisson / relevant, tenant, du végétarisme.

VELLÉITÉ-S / VELLÉITAIRE – Intention, désir & envie, volonté, de principe & souhait / relevant, de la velléité.

VENTURA, R.Compositeur, chef d’orchestre, France, 20e s.

VÊPRESOffice liturgique chrétien, de fin, de journée & du soir.

 

VERBALExpression, orale & parlée, vocale & sonore, concernant, la parole & le langage / relevant, du verbe.

VERBALISATION-S / VERBALISATEUR / VERBALISÉ – Expression orale, vocale, sonore, par mots, parole, langage / relevant, de la verbalisation.

VERBE / VERBAL – Expression, de la pensée, en mots : parole, langage, propos / relevant, du verbe.

VÉRITÉ RÉVÉLÉE & RÉVÉLATIONEn foi monothéiste, acte, par lequel, Dieu, transmet, aux humains, son dessein salutaire, se fait connaître, d’eux / compréhension divine.

VÉRITÉ-S / VRAI – Réalité, bien-fondé, authenticité / relevant, de la vérité.


 

 

VERNER, M. – Jeune homme politique, entrepreneur, France, 20e/21e s.

VERSATILITÉ / VERSATILE – Inconstance & irrésolution, indécision & incertitude, instabilité / relevant, de la versatilité.

VERTICALITÉ-S : d’autorité & sociale-s / VERTICAL – Conception sociétale, de management, relationnelle, hiérarchisée & rigide : de subordination, dépendance, conditionnement / relevant, de la verticalité.

VERTU-S / VERTUEUX – Mérite, qualité, moralité & sagesse / relevant, de la vertu.

VÉSUVE Volcan, à l’origine, de la destruction, de cités antiques, conservées, de nos jours, de ce fait, Empire romain, 1er s.

 

VÊTEMENT-S / VÊTU – Habit, tenue & mise, habillement / habillé.

VIAN, B.Écrivain littéraire, poète, musicien, France, 20e s.

VIATIQUE-S – Soutien & secours, provisions, extrême-onction / métaphore.

VICE-S / VICIEUX / VICIÉ – Corruption & défaillance, perversion & immoralité, faiblesse & déchéance / relevant, du vice.

VICTIME-S EXPIATOIRE-S – Personne, qui subit, un aléa, de l’adversité existentielle humaine, pour les autres, à leur place, en optique, d’exemplarité rédemptrice, transcendante, de salut.

 

VICTIMISATION-S / VICTIMISÉ / VICTIMISTE – Fait, de parer, une personne, du statut, de sujet, à plaindre, subissant, un sort & préjudice, défavorable, injuste, funeste / lié, à la victimisation.

VICTOIRE-DOTATION – Réussite, conquête, consécration – attribut, gratification, ressource.

VIDÉO-SEnregistrement, transmission, diffusion audiovisuels, d’images animées, de sons.

VIE ACTIVE / PROFESSIONNELLE – Emploi, carrière, « parcours », de métier, de travail, de responsabilités rémunérées.

VIE EST BELLE, LAComédie dramatique cinématographique, Italie, 20e s.


 

 

VIE ÉTERNELLEDogme religieux monothéiste, notamment, chrétien, selon, lequel, l’être humain survit, post-mortem, le corps terrestre, disparaissant, l’âme spirituelle, subsistant.

VIE RÉUSSIE, POUR CHAQUE JEUNE, UNELivre de sociologie, France, 21e s.

VIE SOCIALE – Existence relationnelle collective, en société, communauté, groupe humain.

VIE-S / VIVANT-S / VITAL – Existence, « destin & destinée », condition, humains, terrestres, biologiques, de la naissance, au trépas / en vie / relevant, de la vie.

VILAIN PETIT CANARD, Syndrome, du – Phénomène, de rejet, d’exclusion, de discrimination & d’ostracisme, par préjugé, d’intolérance, à l’égard, des différences minoritaires, marginalisées.

 

VILLAGE GAULOISMétaphore : à l’instar, du « village, d’Astérix et Obélix », syndrome, de méfiance française, à l’égard, de l’étranger, repli, sur soi, défense, contre, les influences externes.

VINDICTE-S / VINDICATIF – Dénonciation & poursuite publiques, condamnation, punition, de forfaits criminels / relevant, de la vindicte.

VIOLENCE-S SCOLAIRE-SAgression, contrainte, brutalité, exercées, au cours, des études, dans les établissements d’enseignement, contre les biens, les personnes.

VIOLENCE-S / VIOLENT – Brutalité & agression, contrainte & force, brutalité & sévices / relevant, de la violence.

VIRGILEP. V. Maro, poète, Rome, 1er s. av. J.-C.

 

VIRILITÉ / VIRIL – Masculinité, énergie & fermeté, courage & puissance / relevant, de la virilité.

VIRTUALITÉ / VIRTUEL – Potentialité, théorie, abstraction / relevant, de la virtualité.

VISIONSens, de la vue, perception oculaire, faculté, de voir, avec les yeux.

VISIONNAIRE-S – Personne inspirée & imaginative, clairvoyante & intuitive, de l’avenir, apte, à l’anticipation / relevant, de la clairvoyance, l’inspiration, la prospective.

VISUALISATION-S : MENTALE-S / MULTISENSORIELLE-S / VISUALISÉ – Représentation cérébrale conçue, mémorisée, imaginée, d’un objet, un concept & une idée, une réalité / lié, à la visualisation.


 

 

VITAMINE-S / VITAMINIQUE / VITAMINÉ – Substance organique azotée, fort nécessaire, à l’organisme humain / relevant, contenant, des vitamines.

VITESSE-S / VITE – Rapidité, vélocité, célérité & diligence / rapidement.

VIVALDI, A.Compositeur, États italiens, 17e/18e s.

VIVE LES 11-25Livre de sociologie, France, 21e s.

VIVRE / VÉCU – Être, existence, destinée / vie, parcours humain, ce qui a été expérimenté.

 

VOCATION-S / VOCATIONNEL – Inclination, penchant, goût & passion / relevant, de la vocation.

VOGT-ROBERTS, J.Réalisateur, de cinéma, États-Unis, 20e/21e s.

VOITURE-SAutomobile, véhicule motorisé, moyen, de transport, à quatre roues.

VOLITION-S / VOLITIF – Acte, détermination, manifestation, de volonté / relevant, de la volition, la volonté.

VOLONTARISME / VOLONTARISTE – Primat, de la volonté cognitive, émotionnelle, en actes, sur le cours, des événements, la raison, les contraintes / relevant, du volontarisme.

 

VOLONTÉ-S : individuelle-s & personnelle-s / VOLONTAIRE – Volition : détermination & résolution, obstination & ténacité, désir & dessein / relevant, de la volonté.

VOLTAIREF.-M. Arouet, philosophe, écrivain littéraire, France, 17e/18e s.

VOS ENFANTS NE M’INTÉRESSENT PLUSOuvrage, de sociologie de l’éducation, France, 20e s.

VOTRE ADOLivre de santé, France, 21e s.

VOULEZ-VOUS VRAIMENT DES ENFANTS IDIOTS ?Livre, de sociologie éducative, France, 20e s.


 

 

VOX POPULI, VOX DEI / La voix du peuple est celle de DieuAdage : l’avis populaire est décisif, en la détermination, de la sainteté chrétienne, Europe, Moyen Âge.

VOYAGE-S SCOLAIRE-S – Déplacement, périple, trajet, à visée culturelle, pédagogique, d’échanges, au cours, des cursus, d’études académiques.

VOYAGE-S / VOYAGEUR-S – Déplacement, périple, trajet / en déplacement.

VUILLE, P. – Psychiatre, psychothérapeute, France, 20e/21e s.

VULNÉRABILITÉ / VULNÉRABLE – Fragilité & faiblesse, sensibilité, réceptivité & perméabilité, aux attaques / relevant, de la vulnérabilité.


 

 


– W –


 

 

WATERLOO, BATAILLE DECombats militaires, Pays-Bas & actuelle Belgique, 19e s.

WEBJOURNAL-AUX / Journal-aux Internet / WEBJOURNALISME / WEBJOURNALISTIQUE – Médias, d’information classiques & seulement, numériques, diffusés, sur Internet / relevant, des webjournaux, du webjournalisme.

WEBRADIO-S / Radio-s Internet / WEBRADIOPHONIQUE – Média radiophonique, d’information, de divertissement, diffusés, sur Internet / relevant, des webradios.

WEBTÉLÉVISION-S / Télévision-s Internet / WEBTÉLÉVISUEL – Média télévisuel, d’information, comme, de divertissement, diffusé, sur Internet / relevant, des webtélévisions.

WIFI / Communications informatiques, sans fils – Relations, par ondes radio, de postes informatiques, en réseau, pour échanges, de données, entre eux.

 

WIKIPÉDIA / Encyclopédie universelle, en ligne – Site Internet encyclopédique, multilingue participatif, de libre rédaction, par tout internaute, États-Unis, monde.

WILDE, O.Écrivain littéraire, Irlande, 19e s.

WILL HUNTING, Good Will Hunting / Le Destin de W. HuntingDrame cinématographique, États-Unis, 20e s.

WWW.COLLEGEDESBERNARDINS.FRSite Internet culturel, spirituel, France.

WWW.FACEBOOK.COM/LOVINFUN – Site Internet, de réseau social, en ligne, d’une émission radiophonique jeunesse, France.

WWW.FORUMDESADOS.NET / ADOASIS.NET – Site Internet jeune, d’expression, d’échanges, d’information adojuvéniles, France.


 

 


– Y –


 

 

YIDDISHLangue germanique, des communautés juives ashkénazes, d’Europe / relatif, à cette langue.

YORKDynastie royale, régnante, opposée, à celle, de Lancastre, Royaume d’Angleterre, 14e/15e s.

YOUSAFZAI, M.Adolescente, prix Nobel de la Paix, militante, pour l’éducation, Pakistan, Royaume-Uni, 20e/21e s.

YOUTUBESite Internet, d’hébergement, de vidéos, d’envois, de visionnages & partages audiovisuels, États-Unis, monde.

YOUTUBEUR-S – Vidéaste Internet, sur la chaîne vidéo YouTube – Usager, de YouTube.

YPRES, Première Bataille, d’ – Combats militaires, de la première année, du Premier Conflit mondial, Belgique, 20e s.


 

 


– Z –


 

 

ZAPPING-S / ZAPPÉ – Fait, de passer, sans cesse, d’une chose, à une autre / métaphore, tendance, de la jeune génération actuelle, dite, Z, à une certaine « inconstance » / relevant, du zapping.

ZAZZO, B.Psychologue, France, 20e/21e s.

ZENPhilosophie bouddhique japonaise, sérénité ataraxique, méditation, d’équanimité.

ZOLA, É.Écrivain littéraire, France, 19e/20e s.

ZYGOMATIQUE-SMuscles & os, de la pommette, apophyse, muscles agissant, dans la fonction, du sourire & rire.


 

 


TABLE DES MATIÈRES


 

 


(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Relever Votre Défi Jeune !


 

 


Tome II


 

 

JEUNOLOGIE D’ « OPTIMISATION

DE VOTRE POTENTIEL » DE JUNIOR MÂLE


 

 


Mentoring

d’AndroJeunoConseil®


 

 


SOMMAIRE

Tome II – V. 1


 

 


PRÉAMBULE

 

 

Volume II-1


 

 


L’Alternative AndroJeunologique

Face à Vos « Enjeux » de Jeune Homme


 

 


1


 

 

VOS « BASES »


 

 

Public, Nature, Impact Supportif

De Votre AndroJeunoConseil®


 

 


[ Une Résolutive Relation d’Aide ]

Pour Vous Seul, Jeune Masculin


 

 

Votre graduelle progression androJeunologique, à quinze – vingt-quatre ans

Vos autoconditionnement, autosuggestion « porteurs », de garçon junior

Vos fruits séquentiels de conseil, tutoral et d’inflexion, de jeune homme


 

 


[ Votre « Stratégie AndroJeunologique » ]

Spécificité, Méthode, Effet


 

 

Votre « motivationnelle tactique », d’acceptation / engagement, de jeune mâle

Protocole, « feuille de route » mobilisateurs, de votre jeunologie

Votre re/structurante pédagogie – Mutation, maîtrise, maturité androJuvéniles


 

 


[ Un Volontariste Résultat Intégratif, Holistique ]

Pour Votre AndroJeunesse


 

 

AndroJeunologie® d’optimisme salvateur, pour votre néogénération masculine

Parfaire, vos autodiscipline de vie, emploi du temps, scolarité, d’androJunior

Profitables refontes de votre jeunoConsulting – Études, affectivités, challenges


 

 


2


 

 

VOTRE « AVANCÉE »


 

 

Apports de Votre Médiation

AndroJeunologique


 

 


[ L’Idoine « Percée » Déterminante ]

De Votre Jeunologie Andro


 

 

« Élargir, adapter », le rôle des thérapies psy, pour vous, androJeune

« Aménager », vos coaching, orientation, soutien scolaires androJuvéniles

AndroJeunoConseil®, androJeunologue®, androJeunologué – Votre clé libératrice


 

 


[ Hardiment Créditer, « Ré/Enchanter » ]

Votre (Andro)Jeunesse


 

 

Pour votre (andro)Néogénération de France, aussi vive, que celle du monde

Provoquer, un sursaut français, en votre acceptation (andro)Jeunologique

Nouer, un « lien didactique pacifié », entre vous, (andro)Jeune / enseignants


 

 


[ La Triple Contribution Intello-Disciplinaire ]

De Votre AndroJeunoConsulting


 

 

Psychosociologie androJuvénile – Votre « recomposition » bénéfique

Sciences de l’éducation de l’androJunior – Vos « incisifs » apprentissages

Anthropophilosophie, culturalisme – « Combats », de votre androJuvénologie


 

 


3


 

 

VOTRE « RÉPONSE »


 

 

Appréhender Vos Réalités, Besoins, Attentes

Andro-Néogénérationnels


 

 


[ Prendre en Considération l’Unicité ]

De Votre Jeunesse Mâle


 

 

Libérer, votre parole médiatique, d'(andro)Junior – Conjoncture / structure

Satisfaire vos impératifs d’androJeunoConsulting – Standards Fize, Maslow

Porter, vos ambitions d’androJeune Y / Z, classe d’âge, à part entière


 

 


[ L’AndroJeunoConseil®, « Ranimer Votre Énergie ]

Doper Vos Aptitudes », Vous Apaiser


 

 

Gagner, densifier votre temps, pour votre « excellence », à l’androJeunesse

Améliorer, vos capacités, compétences, performances, de jeune homme

Profiter, des lois de votre jeunoConseil, pour vos santé, prospérité, joie de vivre


 

 


[ Réaliser, « à Tout Prix », Votre Dessein Adulte ]


 

 

Maturité, autonomie, responsabilité – Appuyer, votre volonté androJuvénile

Étendre, les rôles, qualités, savoir-faire illimités, de votre jeunesse masculine

Attiser, par l’AndroJeunologie®, vos rayonnement, altruisme, ouverture


 

 


4


 

 

VOS « CATALYSEURS »


 

 

Votre Mutatif Conseil

Psychoéducatif de Jeune Homme


 

 


[ Votre Accompagnement AndroJeunologique ]

En Développement Personnel


 

 

Votre névralgique éclairage de jeunoConsulting – Éveiller, expliquer, empreindre

Outil, à votre unisson, de jeune mâle – Comprendre, consolider, résoudre

Congruent regard, sur votre androJuvénilité – Encourager, soutenir, valoriser


 

 


[ Votre Préceptorat en Réalisation de Soi ]

De l’AndroJeunoConseil®


 

 

Vous faire prendre conscience, de vos atouts androJuvéniles, en / par vous

Vous conduire, jeune garçon, à cultiver vos talents, donner le meilleur de vous

Vous androJeunoConseiller à « savoir triompher », de toute occurrence traversée


 

 


Votre AndroJeunologique

[ « Guidance Directionnelle » Éducation-Jeunesse ]


 

 

Vous apprendre, jeune masculin, à vous organiser, pour renforcer vos études

Vous aider, androJunior, à définir, votre aiguillage académique, de métier

Éducative priorité androJeunologique d’adultisation, de votre néogénération mâle


 

 


5


 

 

VOS OUTILS POUR « MIEUX VIVRE »


 

 

Vos Appui, Balisage, Entraînement

AndroJeunologiques


 

 


Vous Conseiller, Garçon Adolescent

[ À « Assumer » Vos Écueils, Issues, Applications ]


 

 

Identifier les « dé/verrouillages », les plus cruciaux, de votre androJeunesse

Définir vos solutions androJeunologiques, les mieux « ad hoc »

Asseoir votre « projet de vie », ordonnancer votre existence de jeune mâle


 

 


Votre Nouvelle Génération Masculine

[ Appelée, à « s’Autocontrôler » ]


 

 

Vous « instiller » quiétude, sentiment de dignité androJuvéniles

Entretenir, votre vaillance, de jeune homme, en plein esprit antistress

Rester, en bonne « communion », communication, avec vous, androJunior


 

 


[ L’AndroJuvénologie, « Agir à Bon Escient ]

Faire Votre Possible », Progresser


 

 

Affermir, vos néogénérationnelles force mentale, maîtrise de soi mâles

« Planifier votre changement » d’androJeune, en rigueur, systématisation

Concrétiser votre passage à l’action, jusqu’à votre victoire androJuvénile


 

 


Notes

 

Lexique

 

Table des matières


 

 


Yves REMY

Dr / PhD


 

AndroJeunologue®

Docteur des Universités


 

 


(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Relever Votre Défi Jeune !


 

 


Ce livre est une introduction, inédite et novatrice, aux sciences

Et, au conseil personnel, de votre (andro)Jeunesse

Et, androJeunologiques.

 

En une large vision optimale : globale, transversale et, pluridisciplinaire.


 

 

L’ouvrage présente, l’essentiel, des particularités, de votre (andro)Juvénilité.

Les outils, de pointe, d’appréhension et, de mentorat, pour vous, jeune homme.

 

L’(Andro)Jeunologie®, étude et, assistance maximale, pour vous, 15-24 ans.

Spécialement, garçon. Balisage, tutorat, conseil

En réalisation de vous, pour vous mener, junior XY, à mieux vous diriger.


 

 

Ce traité analyse, votre néogénération, en ce qu’elle est. Il décrit, les meilleurs

Et, plus appropriés procédés, pour vous soutenir, les issues, à vos aléas

Attentes, réalités, besoins spécifiques.

 

En théorie abstraite réflexive : (Andro)JeunoScience®

Et, pratique concrète, de terrain : AndroJeunoConseil®.


 

 


Protocoles in vitro et, in vivo, d’avant-garde.

Plus particulièrement, concernant, votre jeunesse masculine.

 

En deux tomes doubles

Soit, quatre volumes d’AndroJeunologie®.


 

 


Tome I


 

 

Réflexion

D'(Andro)JeunoScience®


 

 

Données anthropologiques, d’ensemble, de recherche

Sur votre génération préadulte. Vous, jeune, de 13-24 ans.


 

 


Tome II


 

 

Mentoring

D’AndroJeunoConseil®


 

 

Moyens, d’accomplissement de vous androJuvénile.

Vos compréhension et, conseil particuliers de junior masculin.


 

 


Tome I / Volume I-1


 

 

[ Votre « Essence » Individuelle de Jeune ]


 

Santé, psychisme, affectivité, sociabilité, ethno-économie.


 

 


Tome I / Volume I-2


 

 

[ Votre « Insertion » Sociale de Jeunesse ]


 

États philo-historiques, formation / emploi, récréativité, valeurs, droit-s.


 

 


Tome II / Volume II-1


 

 

[ Vos « Solutions » AndroJeunologiques ]


 

Fondements, apport, réponse, nature, leviers, d’intervention.


 

 


Tome II / Volume II-2


 

 

[ « Effets » de Votre AndroJeunoConseil® ]


 

Performance, adaptation, résultats, principes, plénitude, d’action.


 

 


Yves REMY, Dr est consultant

Pour vos questions d’Éducation et de Jeunesse.

 

Conseil, en matière de développement individuel

Pour vous, garçon de 15-24 ans. Expert, en AndroJeunologie® :

Vos problématiques et, thématiques juvéniles masculines.


 

 

Docteur des Universités, en Sciences humaines et sociales.

(PsychoSociologie adoJuvénile), Paris. Certifié Acec / Mentoring personnel.

(Jeunesse). Paris. Conseil androJeunologue®.

 

Concepteur et, théoricien-praticien, de l’AndroJeunologie®

Investigations et, relation d’aide holistiques, vous concernant, junior mâle.


 

 

Approche cognitive, émotionnelle, comportementale, de vos vécus, difficultés

Sui generis, de garçon jeune. Notamment, de votre confiance en vous.

 

Vos socialisation, gestion du stress, motivation, affirmation de vous

Optimisation, de potentiels androJuvéniles…


 

 


Yves REMY, Dr a créé, à Paris, le premier et, unique cabinet privé, ad hoc

Spécialisé, en France. De conseil androJeunologique

 

Personnel et intégral, de vous seul, 15-24 ans masculin, à titre exclusif.

Comme de consulting Éducation-Jeunesse.


 

 


Yves REMY

Dr / PhD


 

AndroJeunologue®

Docteur des Universités


 

 


(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Relever Votre Défi Jeune !


 

 


Tome II


 

 

JEUNOLOGIE D’ « OPTIMISATION

DE VOTRE POTENTIEL » DE JUNIOR MÂLE


 

 


Mentoring

D’AndroJeunoConseil®


 

 


Volume II-2


 

 

L’AndroJeunoConseil®

« Vous, Junior Masculin, Aller au Bout de Vous-Même »


 

 


Yves REMY, Dr / PhD  © 2019 

Protection copyright SGDLDépôt légal BNF


 

 


SOMMAIRE

Tome II – V. 2


 

 


6


 

 

VOTRE PERFORMANTE APPROCHE INNOVANTE


 

 

Vous Aider, Garçon Junior

[ À « Vous Dépasser » ]


 

 

Le « double intérêt » de votre jeunologie – Conseil /science de la Jeunesse

Un dispositif neuro-affectivo-béhavioriste, bienveillant, productif, pour vous

Votre « tonique procédure » – Écrite, directive, interactive, structurée


 

 


7


 

 

« VOUS ADAPTER » POUR RÉUSSIR


 

 

Vos AndroJeunologiques

[ Équilibre, Aplomb, Activation ]


 

 

Votre épanouissement juvénile masculin – Pensées, émotions, actes

Votre assurance, de garçon junior – Estime, confiance, affirmation de soi

Votre motivation androJeunologique – Buts, conviction, moyens, ténacité


 

 


8


 

 

VOTRE « DÉNOUEMENT »


 

 

[ Vos Témoignage / Cas Concluant ]

De Conseil AndroJeunologique


 

 

Votre expression significative, d’androJeunoConseillé « revigoré »

Votre probante illustration, d’androJeunologué, « en progrès »

Vos enseignements « parlants », d’androJeunologie® réussie


 

 


9


 

 

VOS IDÉAUX


 

 

[ Vos « Fondamentaux » d’AndroJeunologie® ]

Acquis, Par Vous, Junior Masculin


 

 

Bâtir, vos ontologie, « philosophie de vie », espérance, de jeune homme

L’ancrage, de votre « transcendance » andro-néogénérationnelle

Votre appropriation, androJeune, de « solides repères »


 

 


10


 

 

VOTRE PLÉNITUDE INTÉRIEURE


 

 

[ « Décupler Vos Ressources ]

AndroJuvéniles »


 

 

Préparer, votre néogénération masculine, à la « compétition » de la vie

Accueillir, votre androJeunesse, en toutes ses « capitales dimensions »

Votre androJeunoConsulting d’ « affranchissement » favorable


 

 


VOS TROIS CENTS MESURES

D'(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Oser, Votre Pari Junior !


 

 


ÉPILOGUE

 

Votre « Jeunesse Revivifiée »


 

 


Remerciements

 

Postface

 

Sources / Bibliographie


 

Notes

 

Lexique

 

Table des matières


 

 


II-2


 

 

L’ANDROJEUNOCONSEIL®

« VOUS, JUNIOR MASCULIN

ALLER AU BOUT DE VOUS-MÊME »


 

 


La jeunesse est le sourire de l’avenir

Devant un inconnu qui est lui-même


 

 


V. Hugo

Écrivain, France, 1802-1885


 


Les Misérables

Œuvre littéraire, sociophilosophique

Historique, France, 1862


 

 


Être jeune, c’est être spontané, rester proche des sources de la vie

Pouvoir se dresser, secouer les chaînes d’une civilisation périmée

Oser, ce que d’autres n’ont pas eu le courage d’entreprendre


 

 


T. Mann

Écrivain, Allemagne, 1875-1955


 


Le Docteur Faustus

Œuvre littéraire biographique

Allemagne, 1947


 

 

La finalité première, de votre suivi androJeunologique, est de vous aider, junior masculin, à « vous dépasser ». Cela, consiste, aussi, à vous adapter, pour réussir, par l’équilibre, l’aplomb, l’activation. Les résultats, de votre travail androJeunologique, sont parfaitement, illustrés, par vos exemples, de cas concrets, témoignages, délivrés, par vous-même, jeune androJeunoCoaché. De façon, des plus « concluantes ».

 

Les fondamentaux, de l’AndroJeunologie®, ne peuvent reposer, que sur des « idéaux intangibles », indiscutables. Votre réelle plénitude intérieure, un net décuplement, de vos ressources juvéniles, sont gages, de votre félicité, rassurante et bienfaisante. Pour votre jeunesse inquiète, à juste titre, de lendemains, « de moins en moins, prometteurs, mais, de plus en plus, désenchantés »647.


 

 


Jeunes et, adultes, ont du mal, à se comprendre et, s’entendre, car ils « fonctionnent », de façon, fort dissemblable. Plus antagonique, antinomique, que complémentaire et, conciliable. Les juniors sollicitent, avant tout, leurs émotions et, le siège neuronal, correspondant, qui en est, le cerveau, dit, limbique, plus précisément, l’amygdale. Quand, les adultes font, surtout, appel, à la logique et, à la raison, donc, à la zone, du cerveau, concernée, soit, le néocortex préfrontal. D’où, les fort nombreux malentendus, conflits, entre aînés et, cadets. L’AndroJeunologie® en fait, le très fréquent constat. Il y a souvent, entre parents et, jeunes, interprétations, analyses et, conclusions, différentes, voire, opposées, d’un même fait.

 

D’où, conciliation, des points de vue, en médiation. La nouvelle génération devient, de plus en plus, « jeunesse virtuelle, numérisée ». Ce qui creuse, encore, un peu plus, le fossé culturel 2.0, avec, des « anciens », bien « dépassés » et, fort démunis. Les adultes dépendent, aussi, des juniors. Qu’ils n’oublient jamais, qu’ « On a souvent, besoin, d’un plus petit, que soi ». (J. de La Fontaine, poète, France, 1621-1695, Le Lion et le Rat, fable 11, livre II, premier recueil, œuvre littéraire, de morale allégorique, France, 1668). Quoi, qu’il en soit, les jeunes sont lucides, conscients, de leur « étisie morale et, sociétale », qui les discrimine, fort. En « un monde, de paltoquets, de cuistres et, de tristes sires », qui ne les fait pas grandir !


 

 


6


 

 

VOTRE PERFORMANTE APPROCHE INNOVANTE


 

 

Vous Aider, Garçon Junior

« À Vous Dépasser »


 

 


Il faut redonner confiance à la jeunesse !


 

 


V. Pécresse

Ministre de l’Enseignement Supérieur

France, 2007-2011


 


Déclaration de prise de fonction

Intervention publique, France, 2007


 

 


Jeunesse ne vient pas au monde

Elle est constamment de ce monde


 

 


P. Éluard

Poète, France, 1895-1952


 

 

Il y a, pour vous, jeune suivi, une double composante androJeunologique, idoine : conseil et, « science de la jeunesse », notamment, masculine. L’AndroJeunoConseil® est de nature, neuro-affectivo-béhavioriste, bienveillante, productive. La procédure opératoire androJeunologique, est tonique : écrite, directive, interactive, structurée.


 

 


Sami, quatorze ans, issu, de l’immigration, orphelin, de père, vit, en une cité, fort modeste, de province. Sa mère doit partir, travailler, « en mer ». Sami doit, alors, quitter, son univers familier, ses amis, pour s’installer, à l’hôtel particulier, de sa tante maternelle, mariée, à un aristocrate divorcé. Lequel, a deux enfants adolescents, de son précédent mariage, cousins, par alliance, de Sami. Qui changera, de vie, demeurant, désormais, en la très chic ville, de Neuilly-sur-Seine. Il intègre, un collège privé, non moins, sélect.

 

Son cousin, Charles, le traite, de haut, or, le reste, de la famille, l’apprécie. Il devient, le « bouc émissaire », de certains garçons, de sa classe, pour ses origines défavorisées. Il se fait attaquer, par les voyous, d’une cité voisine. À force, de charisme, d’ingéniosité, de volonté, qualités, il « retourne », la situation, à son profit. L’emporte, sur ses tourmenteurs, devient, fort populaire, sortira même, avec, la plus jolie fille, du collège ! Étonnante, adaptabilité juvénile, qui parvient, tant, à si bien, tirer profit, des pires adversités !

 

Plus encore, que l’adultisme, la jeunesse, a cette « spécificité remarquable », de ne jamais, s’avouer, vaincue. De toujours, « repartir, à l’abordage, jusqu’à, la victoire finale », ce qui arrive, très généralement. En néogénérationnelle quête, de dépassement, de soi. (Neuilly sa mère !, comédie de cinéma, du réalisateur français, G. Julien-Laferrière, France, 2009)648. Ainsi, tout petit, Jean-Philippe, est-il, avec sa mère, abandonné, par son père. Des décennies, plus tard, il écrira, au sujet, de son ascendant : « Il a fait, de moi, un déraciné. Une déchirure, qui me marquera, à vie ».

 

Son père, étant mort, solitaire, dans le dénuement, il sera, la seule personne, à suivre, son corbillard, ce qui le bouleversera. Délaissé, par sa mère, il est élevé, par une tante et, rejeté, comme, « enfant, sans père ». Cela, ne l’empêchera, nullement, de devenir… J. Hallyday (1943-2017) ! Le plus célèbre, chanteur français. En 1960, à dix-sept ans, il est le premier, à populariser, la musique rock, en France. Il devient, « l’idole, des jeunes ». En 1963, à vingt ans, à Paris, place, de la Nation, il enflamme, la jeunesse, en un mémorable concert.


 

 


S’il manque quelque chose à votre vie

C’est que vous n’avez pas regardé assez haut


 

 


R. Follereau

Écrivain, journaliste, philanthrope

France, 1903-1977


 

 


LE « DOUBLE INTÉRÊT » DE VOTRE ANDROJUVÉNOLOGIE

[ CONSEIL / SCIENCE DE L’ANDROJEUNESSE ]


 

 

L’AndroJeunologie® – parentologie est un conseil, préventif et réparateur, pertinent, auprès, de vous, junior masculin, de vos ascendants. Pour un « nouveau départ ». L’AndroJeunoConseil® veut aussi, amplifier, la connaissance scientifique globale, de votre néogénération. Il tend, en outre, à maximiser, votre créativité naturelle, inhérente, à tout jeunado. Telle est, la voie, à suivre, pour vous dynamiser.


 

 


Le 21 mai 1924, à Chicago, N. Leopold, dix-neuf ans et, R. Loeb, dix-huit ans, enlèvent, assassinent, B. Franks, quatorze ans. Ces deux étudiants, très favorisés, voulaient, une rançon, de leur crime, ils récolteront, l’emprisonnement, à vie. Ils souhaitaient, surtout, « marquer, leur supériorité, de caste, réussir, un crime parfait ». Leur avocat plaidera, le déterminisme. Un quart de siècle, plus tard, A. Hitchcock, (Réalisateur britannique, 1899-1980), s’inspirera, de l’affaire, pour son film dramatique, La Corde. (Thriller policier, États-Unis, 1948)649.

 

Deux étudiants, en droit, des plus privilégiés, de New York, étranglent, l’un, de leurs condisciples, avec une corde. Ils veulent, en cela, suivre, la « théorie », de l’un, de leurs enseignants, qui arroge, aux « êtres supérieurs », le droit, de tuer, les « êtres inférieurs ». Le soir même, de leur forfait, les assassins invitent, à dîner, la famille, de la victime, sa fiancée, le professeur, qui les a inspirés. Sur le lieu même, du crime, le cadavre, étant encore, sur place.

 

Devant, l’attitude, très étrange, des meurtriers, l’enseignant comprend, peu à peu, ce qui s’est passé, « découvre », dénonce, l’assassinat. La table, du dîner, étant, la malle, même, où était caché, le corps ! Quelles, « leçons », retenir, de tout cela ? Tout d’abord, la responsabilité, des enseignants, l’impact, de ce qu’ils délivrent, aux juniors. Par nature, influençables, fragiles, crédules, jusqu’au défi. Ensuite, la forte propension juvénile, à l’anticonformisme, la déviance, des normes, admises, comme, au « pari », à la provocation et, au risque.

 

Jusqu’au pire, parfois, de l’étrange, du bizarre et, du morbide malsain, au macabre, le plus pervers. En particulier, chez les jeunes mâles. Puis, les comportements, des juniors, entre eux. Le désir, de domination, des « jeunes coqs », sur d’autres jeunes, perçus, comme, plus faibles, différents ou, vulnérables. En barbare, « loi, du plus fort ». Aux adultes, à éduquer, leurs enfants, pour, qu’ils se comportent, de façon, « civilisée », sans laxisme, aucun !


 

 


– Vos Préventive, Réparatrice –

AndroJeunologie® / Parentologie, Nouveau Départ


 

 

Dépasser, est un verbe, du douzième siècle. « Se dépasser » signifie : « faire effort, pour sortir, de soi-même, vers une transcendance ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)650.


 

 


De fait, l’AndroJeunologie® aide, le junior, à s’en tenir, aux « réalités intangibles fondamentales ». En conscience, pleine souveraineté, à l’égard, des faits, comme, des circonstances, extérieurs. Par essence, fort mouvants, révocables. En un objectif, d’efficacité, l’AndroJeunoConseil® est un travail, écrit et directif, interactif et structuré. Seul, l’écrit, tant, pour le praticien, que pour le jeune, suivi, permet, de garder, une trace tangible, retravailler, l’ensemble ou, une part, du « protocole ».

 

Seul, lors, de son déroulement, comme, après, son achèvement. La directivité est indispensable, à un âge, où, l’on nécessite, une guidance, fort sûre. L’interactivité correspond, également, au besoin, des juniors, d’échanges réciproques, enrichissants. Les priorités juvéniles, sont passées, en revue, « disséquées », mises, en perspective, pour en déduire, des « leçons », aux fins, de remaniements correctifs, les plus adéquats, adaptés. Un « inventaire » est dressé, du parcours effectué, entre, deux entretiens. Pour souligner, progrès et, blocages.

 

Un « programme prospectif » s’établit, en vue, de la rencontre suivante. Le jeune énonce, son « autobiographie », pour mieux, cerner, ses contextes, identité, aspirations. Son suivi prend la forme, de prises de notes, manuscrites. Illustrations, exemples, analyses, sont fournis, par le junior, lui-même, selon, sa propre « expérience, de vie ». Exercices pratiques, d’entraînements, simulations, application, se succèdent. Résolution, réactivité, rayonnement, l’emportent, sur les défaillances, déficiences ou, défectuosités. Le travail écrit sera conservé, par le junior et, son praticien-conseil. Naturellement, secret professionnel, comme, confidentialité, respect, de la personnalité, dignité, des libertés, de l’intimité, du junior, prévalent.

 

L’AndroJeunologie® traite, en préambule, anamnèse, hygiène, auto/discipline, de vie, androJuvéniles : alimentation, sommeil, activité physique, sportive, addictions, organisation, du quotidien. La gestion, de l’emploi, du temps. La méthode, de travail, d’études, l’orientation, des formations, professionnelle. Il agit, sur les cinq leviers, de réussite, du jeune, en matière, d’équilibre, d’assurance et, de motivation. C’est-à-dire, ses réalités cognitives, émotionnelles et, comportementales, projets, savoir-faire, être, créativité, mutations. Les usuels outils androJeunologiques, d’intervention sont, notamment, l’écoute, le questionnement, le dialogue, le « diagnostic » et, un programme, de suivi. En esprit, d’empathie-compréhension, de compassion-partage, congruence-adéquation, d’harmonie, pleine et entière.


 

 


R. Schumann, compositeur allemand (1810-1856), produit, son Concerto, pour piano et, orchestre, en la mineur, opus 54, en 1845651. Il s’agit, d’une œuvre musicale romantique, par excellence, en trois mouvements. Le Vaisseau fantôme (1843), de R. Wagner, (Compositeur allemand, 1813-1883), en est, l’une, des sources, d’inspiration. Le profond lyrisme, qui s’en dégage, se rapproche fort, de celui, des concertos, de L. v. Beethoven. (Compositeur allemand, 1770-1827). L’infinie mélancolie lancinante, qui en découle, n’est pas, sans évoquer, les « tourments, de la construction juvénile »652.

 

Le courant, des Lumières, (Europe, 1715-1789), romantique, (Europe, 1770-1860), jusqu’à la Belle Époque, (France, 1880-1914), est soit, littéraire, musical ou, pictural. Il s’oppose, au classicisme, au rationalisme, européens, antérieurs. Notamment, par l’entremise, des arts, il exalte fort, les émotions, sentiments, affects personnels, vrais. Plutôt, qu’un certain académisme, froid et convenu, que la seule, raison pure. Il y a recherche, du fantasque, du rêve, du sublime, de la passion nostalgique, idéaliste. Tout cela, a traversé, des générations nouvelles, entières, du passé. Avant, que le Premier Conflit mondial (1914-1918), tout comme, les Années folles, (France, 1920-1929), n’engloutissent, à tout jamais, un certain « ordre ancien, immémorial ».


 

Toutefois, ce romantisme, n’est pas seulement, lié, à une conception, un courant culturels, révolus. Il est, aussi, en une certaine mesure, un trait, de la personnalité juvénile, de notre temps, comme, d’autres. C’est-à-dire, une aspiration morale supérieure, qui veut, résolument, dépasser, les viles contingences prosaïques, imposées, du quotidien. Au profit, du libre choix, d’idéaux propres, aux jeunes. Ce qui consiste, en une quête, d’un certain, « au-delà », non, communément, admis, par la tradition, fort conventionnelle.

 

Les aînés, « gardiens, du dogme intangible, de l’ordre établi ». Tout l’art, de l’AndroJeunoConseil®, consiste, alors, à inculquer, au junior masculin, un équilibre certain. Entre, certaines normes, de vie, « indépassables, indispensables, incontournables », car, des plus bénéfiques. Une latitude raisonnable, de souplesse, « fantaisie » libertaires juvéniles, non moins et, tout autant, profitables, comme, incontournables.

 

Une bonne relation, parents-jeune, est capitale, pour l’épanouissement juvénile, la sérénité parentale, l’harmonie familiale. Pour cela, il est possible, bénéfique, souhaitable, non, de modifier, le junior, lui-même, mais, le lien, avec sa personne. Cela passe, par un climat, de tranquillité et, de confiance et, une meilleure relation, communication. Une hygiène et, discipline, de vie, de l’assurance, une coopération multilatérale. Un lien fort, constant. Une autonomisation, responsabilisation, vers l’adultisme.

 

Ce, en éducation ferme, comme, souple, pour tout jeune. La guidance parentale autoritaire, est dirigiste, trop rigide. La parentalité laxiste est « démissionnaire » et, trop souple. L’approche familiale, équilibrée et adaptée, permet, une latitude idoine, d’options, au junior. Entre, libertés légitimes et, raisonnables et, justes contraintes restrictives. L’autoritarisme éducatif détruit, la confiance et, le respect mutuels, entre parents et, jeunes. Il brime, toute liberté, autonomie, responsabilité. Il empêche, les juniors, d’avoir, une réflexion personnelle.

 

La complaisance parentale attente, au respect, dû, au jeune, à la considération, qu’il se porte. Ce dernier pêche, alors, par arrogance, laisser-aller, a du mal, à grandir, à nouer, des liens, à autrui. Il est donc, déresponsabilisé, en difficulté, avec sa propre personne. La « démocratie familiale », (Fize, 1990)653, allie, symétriquement, les droits, devoirs juvéniles, par la déférence mutuelle et, la possibilité, de choisir, décider, comme, d’agir. Pour suivre, le Décalogue biblique, de révérence, envers, les parents, par les enfants, il convient, que les ascendants, donnent, le « bon exemple ». En respectant, leur progéniture.

 

Pour aider, le junior, à décider, la coercition, l’abus, de directivité, contraintes, de même, que l’excès, de magnanimité, l’asservissement, à ses caprices, sont néfastes. La souplesse ferme et, la fermeté souple, en la pleine confiance, réciproque, conviennent, le mieux, à cet effet. La liberté sera accordée, mais, sous conditions, de responsabilité, comme, la responsabilité, exigée, garantie, en échange, de la liberté. Pour grandir, les jeunes ont, aussi, l’impératif, de nouer, des liens, hors, de la famille. Cela, sera bénéfique, pour eux, se doit, d’être, toujours, favorisé, au mieux, au maximum, des possibles.

 

Les difficultés, ayant trait, à des questions juvéniles personnelles, sont, d’abord, surtout, du ressort, du junior, ainsi, que les solutions afférentes. Comme, en matière, de loisirs propres. Les problèmes relèvent, des parents, quand, le jeune, par exemple, notamment, a des attitudes répréhensibles, à leur encontre. Puis, le blocage peut concerner, tant, les ascendants, que les juniors, quand, il affecte, ces derniers. Or, il relève, tout autant, de l’autorité entière et, la responsabilité parentale. Comme, en matière, de déviances ou, d’addictions.

 

Le jeune peut, mal agir, pour attirer, l’attention, avoir, du poids, se venger ou, par inaptitude. Chacun, de ces buts, peut être voulu, séparément ou, plusieurs, d’entre eux, concomitamment. Par surcroît, le junior veut, être pris, en compte, activement, être autonome, considéré, être capable. C’est cela, qui doit lui être accordé et, rendu possible. Avec, le respect, tout l’humour, l’amusement, comme, l’encouragement, l’affection, sont les meilleurs ingrédients, de liens familiaux « réussis ». La gaieté met du baume, dans le quotidien moderne, agité et difficile. Le soutien appuyé, motive, le jeune, à persévérer, en l’effort soutenu, à progresser, sans relâche, jusqu’à, la « victoire ».

 

Soulignant, tous ses qualités, mérites, plutôt, que ses travers et, échecs. Les manifestations, d’amour, confortent toujours, le junior, en son unicité humaine, précieuse, digne, d’être appréciée et, valorisée, comme, telle. La jeunesse est l’âge, des idées, des valeurs, il importe, donc, que les parents continuent, à en transmettre. Qu’ils soient, bons modèles, d’exemplarité, pour leurs enfants, en actes, plus encore, qu’en paroles. Les jeunes pouvant, alors, s’abreuver, aux meilleures sources, pour mieux choisir, leur propre code moral, cognitif, émotionnel, comme, comportemental.

 

Il est indispensable, aussi, d’encourager, le junior, afin, qu’il soit, en mesure, de posséder, une bonne estime, confiance, affirmation, de lui-même. Le décourager, mène, au sentiment, d’indignité, au défaut, d’assurance. Cela, passera, par le fait, de croire, en lui, le respect, l’amour, l’acceptation, inconditionnels, de tout jeune, par ses parents, notamment. Tel, qu’il est, en ses travers et, vertus. En saluant, ses efforts, progrès, bons résultats, sans privilégier, les seuls, échecs, difficultés, défauts, mauvais procédés. Il s’agit, aussi, d’intégrer, le junior, en sa famille, pour qu’il s’y sente, bien, apprécié, aimé, de façon, inconditionnelle654.

 

Voit, comblé, ses besoins, de reconnaissance, d’appartenance. Tout, ce qui a du prix, aux yeux, du jeune, se devra, d’être pris, en compte, valorisé, par ses parents. En signe, de respect, d’intérêt, de considération. Tous les mérites et, qualités juvéniles, sont à saluer, comme, tels. Tout bon parent, démontrera, à son junior, qu’il croit, en lui, en ses aptitudes, de réussite, de prospérité, d’épanouissement. Le jeune ne peut croire, en lui et, ses compétences, que si ses aînés, ascendants, en tête, croient, en lui, ses capacités et, l’estiment. Comme, tout humain, parents, compris, le junior est imparfait.

 

L’essentiel, est de l’aider, à progresser, par ses ratés, manques ou, encore, insuffisances. Toujours, en un climat, de totale confiance réciproque, en encouragements. Le jeune apprendra, aussi, le respect, des autres, la générosité, l’ouverture, le don, de soi, la tolérance, la politesse. Des objectifs réalistes, une bonne hygiène, discipline, de vie, la patience, la persévérance. En cas, de difficulté, problème, blocage, concernant, le junior, les parents peuvent procéder, en cinq stades. Il s’agit, d’abord, de bien cerner, saisir, le problème, en tous ses aspects, implications, tenants et, aboutissants.

 

Ensuite, de glaner, le plus, de bonnes solutions juvéniles, possibles, pour dénouer, la crise. Puis, chaque hypothèse, d’avancées, sera « soupesée », minutieusement. Il sera opté, pour la meilleure, la plus adaptée, appropriée. Ensuite, la solution adéquate retenue, sera mise, en application. Avec les jeunes, les questions ouvertes, sont toujours, préférables, aux questions fermées, car, elles seules, permettent, le débat, la pleine liberté, d’expression, d’opinion. Même, quand, dialogue, parole, entente, sont difficiles ou, coupés, le respect courtois, reste toujours, de mise.

 

Il s’agit, aussi, de ne rester, focalisé, que sur la difficulté, à surmonter. D’éviter, la crise aiguë. De choisir, l’instant favorable, pour s’exprimer. Il convient, de bien formuler, formaliser, l’accord, entre juniors et, parents, de « règlement, du problème », par écrit, voire, aussi, de le cosigner. Il sera aussi, utile et, bénéfique, de souligner, toutes les convergences, de vues, de personnalités, plutôt, que les seules, dissensions. Ce qui rapproche, est plus important, que ce qui divise. Le plus grand, « dénominateur commun », positif, est toujours, bien plus important, significatif, que le plus petit, négatif. Ce qui rassemble, doit l’emporter, sur ce qui sépare655 !

 

Se mettre, à la place, de l’autre, est un bon procédé diplomatique, pour résoudre, les « guerres familiales », comme, les blocages ou, problèmes. De petits « conseils, de famille », réunissant, les protagonistes, concernés, sont alors, très utiles, pour aplanir, bien des aléas. Régulièrement, concernant, des sujets, prédéfinis, avec, des durées afférentes, imparties. Chacun, s’exprimera, à tour de rôle. Ce qui sera décidé, sera noté, par écrit. Tous, s’exprimeront, notamment, les jeunes. Les griefs, attaques, seront proscrits. Les différentes tâches domestiques, familiales, seront équitablement, distribuées. Tous les accords, seront suivis.

 

Le tout, en un climat, détendu et chaleureux, évoquant, aussi, les choses positives, prévoyant, des activités récréatives et, agréables. Cela vaut, pour tout type, de famille, comme, de configuration familiale. Classiques ou, recomposés, bi ou, monoparentaux, avec, un ou, plusieurs, juniors. En matière, d’éducation, de relation, parents-jeunes, la punition est moins productive, que la discipline. La punition est une coercition-rétorsion, ponctuelle ou, régulière, le plus souvent, toxique, pour tous. Qu’elle soit, verbale, physique, privative. Il vaut mieux, « prévenir, que guérir », en éducation juvénile, aussi.

 

L’autodiscipline est une conception éducative, de rigueur. Qui responsabilise, le junior, lui permet, d’assumer, les effets, de ses pensées, émotions, décisions, comportements. Le jeune doit toujours, pouvoir, choisir, décider et, agir, de façon, libre, autonome, responsable. Dans les limites, du raisonnable, de ce qui est bon, pour lui. Il gère, son argent, offert ou, gagné, par lui. Ses études et, son métier. Ses loisirs récréatifs. Ses relations amicales et, affectives. Ses attitudes sociales. L’autonomie, en la matière, augmente, avec l’âge. Elle est limitée, au temps, du collège. Moyenne, à l’époque, du lycée.

 

Quand, le junior, est mineur. Importante, à défaut même, d’être toujours, totale, dans les études supérieures et, dans la vie active, pour ce qui est, des majeurs. Le jeune apprendra, d’autant plus et, mieux, qu’il expérimentera, les effets, de ses options, décisions, par l’action et, l’application concrètes. Les aboutissements, ont trait, aux actes juvéniles, non, à lui-même. Le junior n’est pas condamnable, mais, seulement, ses choix, agissements, inappropriés. Le jeune n’est pas, son comportement, et, réciproquement. Les attitudes inadéquates sont, toujours, à « amender », mais, jamais, le junior, lui-même656.

 

L’amour parental pour lui, est inconditionnel, quoi, qu’il fasse. C’est l’acceptation, de ses actes, qui n’ira, qu’à ceux, qui sont légitimes et, qui sera refusée, pour ceux, qui sont trop mal ou, non, fondés. Quand, le jeune fait mal, il s’agit, de lui faire prendre, conscience, de l’effet néfaste, de ses attitudes. En cherchant, à savoir, comprendre, les ressorts, des cognitions, affects et, comportements inconsidérés. Pour que le  junior choisisse, décide et, agisse, à bon escient, il est capital, de lui permettre, d’opter, entre plusieurs possibilités, idoines. Ensuite, le choix, de ce jeune, lui appartiendra, les parents, se devront, de le respecter. Pour aider, le junior, à être responsable, de ses actes, les ascendants seront donc, fermes, calmes, maîtres, d’eux-mêmes, courtois.

 

Ils agiront plus, qu’ils ne s’exprimeront. S’il y a possibilité, d’options différentes, les parents l’indiqueront, clairement. S’il n’y a, qu’un seul parti, à prendre, ils le diront, tout aussi, nettement. Ainsi, le jeune ne sera pas leurré et, choisira ou, agira, en toute connaissance, de cause. L’on ne se contentera jamais, de stigmatiser, les « déviances » juvéniles. Or, les ascendants prendront, aussi, la peine, de souligner, les actes, résultats positifs, des juniors. Les deux parents, unis ou, séparés, prendront garde, autant, que faire, ce peut, d’être, en accord, sur l’essentiel, des principes, exigences. Qu’ils soient alors, éducatifs, cognitifs, émotionnels, comme, comportementaux, à transmettre, à leur enfant. En sérénité. (Dinkmeyer, McKay, 1997)657.


 

 


Hubert, seize ans, n’aime pas, sa mère. Tout, chez elle, l’horrifie, l’exaspère. D’autant, qu’elle a, une fâcheuse propension, à vouloir, manipuler, culpabiliser, son fils. Pourtant, il ne veut pas, la rejeter, mais, que l’harmonie règne, entre eux, tout au regret, de son enfance paisible. Devant, l’incompréhension et, l’incommunicabilité, mutuelles, Hubert multiplie, les essais, de vie, audacieux, hasardeux. Ce qui signe, son « passage initiatique », à l’âge adulte. Ainsi, vont, les nouveaux liens juvéniles, aux parents, en permanente recomposition. X. Dolan, (Réalisateur canadien contemporain), a écrit, le scénario, de ce film, J’ai tué ma mère, à seize ans.

 

Il y joue, le rôle titre, le réalise, à vingt ans ! (Film cinématographique autobiographique, Canada, 2009)658. Nouvel exemple, illustrant, une fois encore, que « la valeur juvénile, n’attend, jamais, les années » ! Il est donc, particulièrement, vain, inique, absurde, de faire, de la juvénilité, une véritable, « figure, d’épouvante ». Alors, qu’elle a, tout au contraire, le visage, même, de la générosité, l’ouverture, la créativité, les plus extrêmes. Plus encore, qu’à tous autres âges, de l’existence !


 

 


– Amplifier la « Connaissance –

Scientifique Globale de Votre AndroJeunesse »


 

 

Tous vos besoins, de jeune, de quinze – vingt-quatre ans, en terme, de relation d’aide, ne relèvent pas, que de la psychothérapie. Soins, guérisons, des perturbations psychiques. Ni même, du coaching scolaire. Soutien, orientation, méthodologie, des études et, métiers. En France, il y a encore, un déficit, fort dommageable, en matière, de conseil personnel, pour vous, junior, vos développement personnel, réalisation de soi, de jeune. Spécialisé, en votre seule tranche d’âge. Votre génération en a, fort grande nécessité, en un monde, si difficile, mutant, perturbé.


 

 


L’AndroJeunologie® s’attache, à promouvoir, l’épanouissement, la motivation, la pleine confiance, en soi, de la nouvelle génération. Il s’agit, d’apprendre, à réussir, ses études, son travail, dans la vie, mais, aussi, sa vie. Selon, les priorités existentielles, choisies, de façon, la plus lucide, éclairée. Dans le dépassement, la maîtrise, de soi-même : stress, anxiétés, émotivité. Opter, pour l’affirmation, de soi, assertivité, non, l’inhibition, la manipulation ou, encore, l’agressivité. L’objectif juvénile, est de « devenir meilleur », d’optimiser, toutes ses potentialités, en tous domaines. De toujours, donner, l’optimum, de sa personne, pour soi-même, autrui, la vie659.

 

L’approche est cognitive, émotionnelle, comportementale. Face, à toute situation, développer, un mental solide, positif, serein, constructif. En pensées, sentiments, affects, émotions. Être capable, d’actions, d’attitudes adéquates, sur le terrain, pour « avancer », atteindre, tous ses desseins. De façon, favorable, décisive, bénéfique, pour tout jeune, en quête. C’est, pour cela, que l’AndroJeunoConseil®, aura été créé. Il s’agit, d’éclairer, de guider, transmettre, au junior, les règles, du « bien vivre », du quotidien, en tous domaines, spécifiques, aux jeunes.

 

Si la thérapie, soigne, si le coaching, fait prendre conscience, l’AndroJeunologie®, conseille. Ce qui n’aurait pas, grand sens, pour des adultes, censés, être capables, en tant, que tels, de diriger, leur propre existence, en et, par, eux-mêmes. Or, cela, revêt, toute sa pertinence, pour des jeunes, en « apprentissage, de vie ». L’objectif premier, prioritaire, de l’AndroJeunoConseil®, est l’adultisme, des juniors : maturité, autonomie, comme, responsabilité, des plus accomplies.

 

Les jeunes concernés vivent, en un pays, la France, qui connaît, une situation, conjoncturelle et structurelle, « délicate », en tous domaines. Sans doute, plus encore, qu’en certaines, nations occidentales, homologues. Nous sommes aussi, le peuple, d’Occident, qui réserve, l’un des plus mauvais sorts, à sa jeunesse. Cette dernière, en souffre, cruellement. Au point, cas unique, de se sentir, si souvent, tellement, agressée, maltraitée, discriminée, qu’elle se jette, sans cesse, dans les rues. En protestations, d’envergure, à la moindre, menace réelle ou, supposée, à son encontre.

 

L’AndroJeunologie® est donc, « conseil, des quinze – vingt-quatre ans mâles ». Or, elle est, aussi, science de la jeunesse. À ce titre, elle se fixe, pour principale ambition, l’ « illustration, de la chose jeune », aussi, la « défense, de la cause, des juniors ». Contribuer, à mieux, faire connaître, comprendre, les spécificités, des jeunes : besoins, attentes, réalités, de façon, transversale, pluridisciplinaire. Inciter, la société française, les pouvoirs publics hexagonaux, à mieux traiter, accepter, intégrer, la néogénération, de ce pays. Souvent, le junior n’est pas, aussi épanoui, qu’il le devrait. À l’âge, de toutes les « passions » : envies, désirs et, plaisirs.

 

Il n’a pas confiance, en lui, en un temps, de conquêtes juvéniles, si indispensables, pour imposer, sa potentielle, marque adulte, en construction. Il n’est pas motivé, par son existence actuelle, ses occupations, études, son avenir, à une ère, de luttes, préparation, capitales, pour réussir, sa vie. Alors, ses atouts, aptitudes, ne sont pas, optimisés. Il y a, un profond fossé et, un déficit dommageables, entre, ses capacités avérées, élevées et, ses performances réelles, décevantes. Face, aux situations, plus ou, moins, complexes, difficiles, le jeune est handicapé.

 

Par ses pensées défavorables, émotions perturbatrices, actes et, comportements inadaptés, qui le desservent. Il manque, d’estime, d’acceptation, de soi, ne croit pas assez, en lui, autrui, sa vie, il ne s’affirme pas. Le junior est démobilisé, par manque, de tout projet, d’avenir ou, par la fixation, d’objectifs « inadéquats ». Il ne croit pas, en ses capacités, à les réaliser ni, que c’est possible. Il ne sait pas, s’en donner, les moyens et, les mettre, en œuvre, agir, ni, n’est capable, de persévérer, jusqu’au succès final. Avec, ténacité, effort. Négativité, pessimisme, défaitisme, effacement, mal-être, frustration, échec, détruisent, violemment, tout son allant660.

 

Le conseil androJeunologique apprend, de façon, cognitive, émotionnelle, comportementale, au jeune masculin, à liquider, tous ses préjugés. De déséquilibre, défiance, désinvestissement, envers, lui- même, les autres, son existence. En l’aidant, à inverser, tous ses mécanismes, de croyances toxiques. Il s’agit, de mieux contrôler, maîtriser, sa façon, habituelle, défavorable, de penser, en la muant, en idées constructives. En devenant, capable, de faire, la différence, entre, sa réalité objective, plus riante et, son état d’esprit subjectif, si maussade, qui interprète tout, de manière, catastrophiste.

 

Avec, une mentalité, plus sereine, confiante, forte, le junior devient, en mesure, d’agir. De cultiver, des attitudes efficaces, pertinentes, réalistes et, pragmatiques. C’est alors, que la réussite, la joie, de vivre et, le contentement, de soi, jusqu’ici, tant bloqués, deviennent possibles et, réalité. S’effacent, les sentiments pénibles, paralysants, d’insécurité, de peurs, d’inhibitions, de passivité, manque, de foi. D’introversion et, émotivité, excessives, de stress, d’anxiété… Le jeune devient capable, d’être heureux, de s’aimer, se réconcilier, avec, lui-même, est plus assuré. Il sait, s’imposer, auprès, des autres, se motiver, « aller, de l’avant ».

 

« Tenir, toute sa place », en société, s’y intégrer. Ainsi, le junior a acquis, une force mentale intérieure, solide, face, aux difficultés. Une action résolue, porteuse, déterminante, devant, les défis, à relever. Des résultats fructueux, décisifs, constants, au regard, des desseins, affichés. Par, une meilleure maîtrise, maturité, mutation, de sa personne, comme, de son quotidien usuel. Épanouissement, assurance, goût, de vivre, d’entreprendre, se substituent alors, au marasme, antérieur. Bonne hygiène et, discipline, de vie, emploi du temps, plus rationnel, méthode, de travail, rigoureuse, du jeune, sont aussi, revus, corrigés.

 

Équilibre, assurance, motivation, vont mener, à la plénitude, la positivité, l’optimisme, l’amour, de soi, la confiance, la réactivité, la proactivité, l’action et, le volontarisme. Ce qui permet, la sérénité, le contrôle, de soi, l’esprit, de sécurité, paix, dynamisme, tempérance, d’ouverture, sur le monde. Bien-être, puissance consciente, inconsciente, subconsciente, détermination, succès, sont l’aboutissement, du suivi « anti-fataliste » d’AndroJeunoConseil®. Il s’agit, de doper, les talents, les capacités, du junior. Il n’existe pas, à ce jour, en France, de Jeunologie, au sens, de sciences de la Jeunesse661.

 

C’est-à-dire, une discipline nouvelle : globale, transversale, pluridisciplinaire. Constituant, un domaine jeunologique, de recherche scientifique, à part entière. Enseigné, en plein cursus complet, d’enseignement supérieur, en « Licence, Master, comme, Doctorat, de Jeunologie ». Formant, des professionnels experts, afférents, au métier, de jeunologue. Comme, enseignant, chercheur ou, praticien, d’intervention, auprès, des juniors. Formations, sur les jeunes, sur la nouvelle génération, ès qualité, et, les professions, de la jeunesse, en tous domaines.

 

De la médecine, de la santé, à la psychologie, psychothérapie, au conseil et, au coaching. De la sociologie, au droit. De l’économie, à l’histoire et, la prospective. De la littérature, à la culture, aux arts, comme, au cinéma. De l’ethnologie, à l’anthropologie et, la géographie humaine. De la théologie, à la philosophie. Des sciences, de l’éducation, aux sciences politiques, aux études internationales, au champ, des valeurs ou, loisirs… Il n’existe pas encore, de cursus complet, enseignant, la jeunesse ni, surtout, la façon adéquate, de thérapiser, coacher et, conseiller, les juniors. Ni, de diplômes, liés. En jeunoThérapie, jeunoCoaching, jeunoConseil662.

 

Les sciences, de la jeunesse, seraient, donc, l’étude générale, des juniors, de treize – vingt-cinq ans. De façon, holistique, en toutes disciplines scientifiques, tous registres, concernant, la nouvelle génération. Santé somatique, niveau, de vie, moyens, de subsistance, jeunes, de la planète, famille, amitié, amour, sexualité, vie sociale. Socialisation, sociabilité, personnalité, psychologie, jeunesse, du passé, comme, de l’avenir, la notion de jeunesse, la recherche jeunologique. La formation, des jeunes, l’emploi, des juniors, les loisirs juvéniles, les pratiques culturelles, les valeurs, les croyances et, idéaux.

 

Le statut juridique, des mineurs et, jeunes majeurs, les politiques, de la Jeunesse… Les sciences de la jeunesse, couvriraient, ainsi, les cinq grands champs, de la personne et, de la vie humaines, selon, le Pentagramme, dit, de Ginger©. (France, 1981). Physique-matériel, le corps. Cognitif-mental, l’esprit. Psychique-affectivo-émotionnel, le cœur. Sociocomportemental-relationnel, autrui. Spirituel-des valeurs, l’âme. La sphère, physique & matérielle, concerne, le corps biophysique anatomique, comme, les conditions, niveau, de vie, matériels, socioéconomiques, financiers, du junior. Ce qui le fait « vivre ou, survivre ».

 

La sphère, cognitive & mentale, a trait, aux pensées, à l’intellect, au raisonnement cérébral, du jeune. La sphère, psychique & affectivo-émotionnelle, regroupe, la personnalité, psychologie, le caractère juvéniles. Les liens affectifs, amicaux, amoureux et, sexuels, les émotions et, sentiments, du junior. La sphère, sociocomportementale & relationnelle, se relie, aux réalités, circonstances, événements, de la vie sociale, sociétale, du jeune. Aux paroles, comportements, actes et, abstentions, qu’il peut être amené, à adopter ou, pas, aux liens, avec autrui, qu’il est susceptible, d’y développer.

 

Cela, concerne, la personne, du junior, à l’égard, des autres, pairs ou, adultes, comme, acteur, en interactions sociales, dynamiques. Puis, la sphère, spirituelle & des valeurs, relève, des idéaux, principes moraux, de vie, inculqués, à l’adojeune. Également, acquis, cultivés, par lui-même. En tant, qu’être humain, ayant, désormais, maturité, aptitudes, à concevoir, sa propre philosophie, d’existence. Une représentation, conception, personnelles originales, de sa personne, d’autrui, de son dessein, comme, destin, d’ici-bas, ante mortem663.


 

 


Tanguy, vingt-huit ans, vit, encore et, toujours, chez ses parents. Pourtant, il est déjà, diplômé, de deux Grandes écoles, enseignant, même, au sein, d’une troisième. Il prépare, un doctorat, en Sinologie et, est multilingue. Il gagne sa vie et, pourrait prendre, son indépendance. Or, il préfère, demeurer, au foyer familial, adorant, ses parents, les couvrant, de louanges, marques, d’affection. Toutefois, il y vit, comme, à l’hôtel, en client, de prestataires, de services. Ce qui fait, que ses ascendants, ne le supportent plus. Tanguy annonce, en outre, que sa thèse sera retardée. Cela, en est trop, pour ses parents, qui décident, de le faire fuir, en lui rendant, la vie, impossible. Rien, n’y fait ! Le père se résigne, donc, à louer, au fils, un studio, alors, qu’il s’y refusait, avant.

 

Or, la solitude, de Tanguy, lui cause, des « crises, d’angoisse », qui le font vite, revenir. Avec, désormais, une discipline, de vie, imposée, draconienne. Les revenus, du garçon, devenant, indécents, ses parents l’expulsent. La Justice le fait réintégrer, or, il finira, par partir, de lui-même, la cohabitation, devenant « impossible ». Il fondera, une famille, en Chine. Le lien, parents-jeunes adultes, n’est pas, de tout repos, surtout, en cas, d’ « abus, de coexistence, prolongée » !

(Tanguy, comédie, de cinéma, du réalisateur français contemporain, É. Chatiliez, France, 2001 / P. Hofman, psychologue français contemporain, L’impossible séparation – Entre les jeunes adultes et leurs parents, essai, de psychosociologie, France, 2011)664.


                

                     


– Maximiser Votre « Créativité Naturelle » –

Inhérente, de Garçon Jeune


 

 

Votre créativité de junior est corrélée, au processus psycho-intellectuel, qui vous conduit, à relier, des éléments, situations, occurrences. Ce qui génère, vos découvertes, idées, pensées, émotions, postures, comportements et, actes, uniques. Bénéfiques et, propices, en certaines conditions, réalités. Certains, évoquent, la notion, de flux ou, « état, de grâce », dû, à votre inventivité intense, ardente, productive, fructueuse. Qui vous transporte, fait avancer et, oublier, tout le reste.


 

 


Il s’agit, donc, d’user, d’aptitudes propres, pour susciter, des concepts, réalisations, novateurs, inédits, au service, de l’humain. La jeunesse est le temps, privilégié, de la créativité, qu’il convient, de favoriser, d’encourager, chez elle. Tout jeune, est capable, d’inventivité. Avec imagination, efficacité. Cela, implique, expérimentation, savoirs, connaissances, savoir-faire et, être, faire-savoir. De la disponibilité, en temps, efforts, patience, ténacité, persévérance. Enthousiasme, positivité, ouverture, d’esprit, en tolérance, pour soi-même, autrui. En liberté, indépendance, anticonformisme, audace, hardiesse, parti pris iconoclaste. La nature juvénile est le défi.

 

Sans autolimitations, peurs, du jeune. En acceptation, de l’irrationalité, d’une vision subversive. Réfutant, ce qui est habituellement, admis, reconnu, prédéfini, en la matière, concernée. En humilité, consistant, à s’ouvrir, à la « comparaison », de ses découvertes, avec d’autres, que les siennes. À la critique constructive, en saine concurrence et, compétition, pour le progrès, de tous. Ce qui permet, de dessiner, des types, d’approches différentes, pour un même postulat. Le tout, de façon, reproductible, à l’infini, dans le temps, l’espace.

 

Quels, que soient, les choses, les gens, les circonstances, situations et, événements. L’aptitude, du junior, à inventer, créer, innover, relève, de l’expérimentation, des sens, aussi, psychomentale. Le savoir, relié, à une problématique, un défi et, un objectif, conduit, à des modes inédits, de cognitions, d’affects, d’attitudes, fructueux. Cette si « magique alchimie », est le fruit, de la recomposition, de réalités, préexistantes. Qui n’ont, de valeur « originale », que reliées, les unes, aux autres. En logique, de pur volontarisme, juvénile, volonté ardente, motivation aiguë, d’optimisme salvateur665.

 

De pensée favorable, du jeune, de foi, en soi, ses capacités, compétences. En son projet, sa quête, sa recherche et, en l’avenir. La croyance positive, permet, la pleine confiance, en soi, donc, la volonté, puis, la motivation. En vérité, l’action inventive, créatrice, puis, en conclusion, le résultat. Il y faudra, de l’entraînement, une capitalisation, de potentialités, un lent processus, maturatif, évolutif. En ascèse personnelle. Ce qui impliquera, moyens et, vrai don, de soi. La créativité juvénile, est un travail, de remaniement mental, rendu possible, de trois façons. Qui consistent, à mettre, en valeur, amplifier, stimuler.

 

La valorisation implique, toujours, qu’une idée valable, sera positive, non plus, négative, que ce qu’elle représente, sera très bénéfique. Un apport, un progrès, une avancée, un plus, de l’après, par rapport, au manque, au moins, de l’avant. L’amplification part, de la pensée positive, pour aboutir, à celle, créative. L’impact, d’une idée, est grossi, pour obtenir, des recoupements, inédits et fructueux. Seul ou, en groupe. La stimulation produit, des idées, du junior, en quantité maximale. Pour obtenir, plus de chances mathématiques, par la loi, des grands nombres, de parvenir, à la meilleure qualité finale666.

 

Le principe, est de se réserver, le plus grand choix cognitif, possible, pour ensuite, ne conserver, que le meilleur. L’inventivité, des jeunes, fait donc, passer, de la masse conceptuelle ordinaire, maximum, à un substrat élu, minimal, de résultats, d’excellence. En toute liberté, sans autre, limitation, que celle, de l’intelligence. L’inconscient, le conscient, le subconscient, le rationnel, l’irrationalité, jouent, un rôle majeur, dans l’inventivité juvénile. Les connexions neuronales, du junior, se créant, s’activant, à cette fin. La nature créative, d’un processus, s’évalue, à l’aune, de ses résultats.

 

Quatre critères, ont été définis, à ce sujet. La fluidité, la flexibilité, l’originalité, la sophistication. La fluidité, reflète, la somme, d’idées, survenues, correspondant, à un champ, donné. La flexibilité, est l’aptitude, à cogiter, en ce qui concerne, des domaines, très différents. L’originalité, s’applique, à la rareté, l’exception, ce qui est spécifique, différent. La sophistication, correspond, à ce qui est évolué, abouti, complexe, d’excellence, de haute qualité technique, intellectuelle, de réalisation. Le cheminement créatif, du jeune, suit, quatre étapes majeures : préparatoire, incubatrice, de découverte, vérificative. Phases inventives idéales.

 

Il s’agit, d’un processus progressif, successif. La préparation inventive, de le junior, est une réflexion, des recherches, très actives, pour lancer, le processus créatif. L’incubation, est une imprégnation mentale, consciente / inconsciente, de type résolutif. Le problème devient, peu à peu, solution, par recomposition, construction, déconstruction, reconstruction. La découverte ou, « état, de grâce, flux », fait résoudre, le problème, comme, par enchantement, en sorte, de « miracle salvateur », surgi, de nulle part. Une recomposition subconsciente juvénile, s’opère, qui donne, tout son sens, à ce qui était, jusqu’alors, à l’état, de latence, d’indétermination.

 

La vérification, est la mise, à l’épreuve, de la réalité, l’expérimentation, du processus cognitif, ayant, conduit, à l’invention. La mentalisation, s’opère, par le fonctionnement, des deux hémisphères, du cerveau, par les communications électriques, entre eux. Le gauche, est celui, de la « pure » logique, des séquences, de l’analyse et, la rationalité. Le droit, est global, intuitif, réactif. Le cerveau, du jeune, est donc, triple. Le cerveau reptilien, celui, des pulsions primaires, œuvre, en situation, de stress, fort important, se focalise, surtout, sur les tâches, à réaliser et, l’action.

 

Le cerveau limbique juvénile, est celui, de la mémoire, de l’affectivité, des émotions et, des apprentissages. Le cerveau néocortical, est celui, de l’abstraction supérieure, de la pensée, du langage, de l’imagination. La créativité, use, des deux hémisphères, du cerveau et, de ses trois composantes. Quatre grands « profils, de créativité », peuvent être distingués. Celui, de la compréhension, de l’action, l’adoption et, aussi, de la projection. La créativité compréhensive, consiste, à vouloir, surtout, saisir, les choses, en modélisation, dite, hypothético-déductive, sur production, de preuves. L’emporte, la logique factuelle, structurée, analytique.

 

L’essentiel, ici, est la préparation. La créativité active, de le jeune, se base, sur l’organisation planifiée, les réalités, de façon, structurée, rigoureuse, sûre et, formelle. Cela, repose, sur la vérification. La créativité adoptive, est liée, à l’affectivité. Priment, l’intuition, le ressenti émotionnel, les relations, à autrui, les interactions, l’écoute, en groupe. L’incubation domine. Échanges multipolaires et, qualités, du junior, dominent. Puis, la créativité projective, est celle, du concept, synthétique et, imaginative. Intuition et, intellect, s’imposeront, de concert, en élucubrations, très fécondes667.

 

La phase inventive, de découverte, est privilégiée. Les perceptions, du jeune, sont sensorielles et, mentales, dépendent donc, des cinq sens et, des pensées, émotions et, comportements. L’attention rend sensible, aux gens et, aux choses. La perception fait ressentir, des stimuli et, données informatives primaires. Que l’on relie, à des vécus antérieurs. En les interprétant, en un sens donné, pour agir. La créativité inventive, l’inventivité créative, sont rendues possibles. En concevant, toute chose, en maximum, de perspectives inédites, diverses, complémentaires.

 

Ce qui permet, de varier, d’enrichir, l’analyse, la compréhension, la découverte juvéniles, de la façon, la plus originale, globale, complète, possible ! Percevoir, avec bien plus, d’acuité et, de finesse, implique, l’effort, de sortir, du ressenti et, de la pensée, conventionnels, convenus. Communément, admis, prédéfini. Pour s’obliger, à concevoir et, à raisonner, de façon, moins automatique, banale, plus aboutie et, audacieuse. Pour bien percevoir, il faut être attentif et, pour être attentif, il convient, d’éviter, les routines, répétitions, habitudes, réflexes automatiques préconditionnés. Par l’acuité vigilante, d’excellence. Qui permet, au junior, d’être clairvoyant.

 

En matière, de cognitions, d’affects, d’attitudes, d’actes juvéniles. Sinon, cela, fige, en « pilotage, à vue, mécanique ». Au lieu, de « naviguer, en plein océan, haute mer, le jeune se contente, de faire, du cabotage, le long, des côtes terrestres ». Au lieu, de créer, de façon, fort innovante, il reproduit, à l’identique. Il est réactif, non, actif, proactif ou, interactif. Il vivote, végète, alors, misérablement, au lieu, de vivre, à plein, en plénitude. Tel, « le petit poisson rouge, habitué, à tourner, en rond, en son petit aquarium, qui, lâché, en grand bassin, continue, à se limiter, à son ancien périmètre, réduit ». Par réflexes, d’habitude.

 

La routine rassure, or, elle prive, des bienfaits, de la nouveauté. Le changement inquiète, le junior, mais, est porteur, de ferments, fort bénéfiques. Il est donc, positif, de « quitter, ses rails », frileusement, tout tracés, pour cheminer, en liberté, hardiesse, vers l’audace créatrice. Chercher, trouver, une solution, à un problème, résulte, d’un blocage, une difficulté, une frustration, une gêne. Cela, conduit, à percevoir, cette réalité, comme, une anomalie, à résoudre, dépasser. Pour aboutir, à un résultat, une situation, meilleurs, plus satisfaisants. De nature, à faire progresser, le jeune, de façon, fort décisive668.

 

Établir, le constat, du problème, des inconvénients, afférents, subséquents, du junior, conduit, à trouver, des idées, de solutions. Des plans, d’actions, d’avancées, préventives, réparatrices ou, résolutives. Pour progresser. Pour être créatif, la première étape, consiste, à se mobiliser. Cela, signifie, réunir, un maximum, d’informations, possible. Réfléchir, seul, comme, en groupe, de brainstorming, stimulation, d’intelligences, d’émulation. Le lancement, de débats, propositions. Puis, seules, les idées, les plus fructueuses, prometteuses, adéquates, sont retenues. Cela, permet, alors, de faire émerger, de grands schémas, de pensée, fondamentaux.

 

Les objectifs prioritaires, idoines, les meilleurs, du jeune, seront dégagés. Avec, les bons critères, suivants : simplicité, caractère évaluable, accessibilité, faisabilité, comme, limitation, dans le temps. Tout, démarre, en posant, une question, nette, exacte, valable, de façon, brève, limpide, objective, car, seulement, factuelle, pragmatique. Une telle, interrogation, appelle, forcément, une réponse, solution. La qualité, de la créativité juvénile, est re/liée, à celle, de l’expression, de la question initiale, d’investigation. Partir, de bons postulats, de base, fait aboutir, à des résultats décisifs optimaux.

 

Ce questionnement, du jeune, sera fondé, sur l’action volontariste, sur la solution possible, non, sur le problème. Il sera optimiste, positif, favorable, constructif, en esprit, de vaincre et, gagner. Il sera tenu, plein compte, de toutes les hypothèses, les issues, possibles. Toutes les implications, tous les protagonistes, en cause, toutes les réalités structurelles, conjoncturelles, en jeu, seront pris, en considération. Sans exclusions ni, exclusives. En pensée et, émotions, comportements, actes. Toute quête conduira, impérativement, à une solution juvénile, basée, sur l’action tangible, possible, à logistique accessible.

 

Au lieu, de s’appesantir, de façon, stérile, négative, inopérante, car, impuissante, pessimiste, contre-productive. Car, la seule question, qui vaille, est : « Que, faire, comment, agir, pour bien, avancer » ? De façon, réactive, active, proactive, interactive, résolue, tonique et, volontaire. En s’exprimant, au présent et, pour une action, un changement, progrès, une solution, réussite, immédiats, du junior. Le conditionnel, le futur, impliquent, le doute, l’indétermination. Le passé ne sert, quant à lui, qu’à établir, des réalités factuelles, déjà, avérées, ce qui est déjà, totalement, révolu, caduc, obsolète, inerte669.

 

Les expressions négatives, interronégatives juvéniles, seront bannies. Les pensées et, formulations positives, privilégiées. Le positif prédisposera, au positif et, le négatif, au négatif, que l’on se le dise, en un pays, de France, à l’esprit, systématiquement, « chagrin ». Alors, il y a, sécrétion hormonale, euphorisante, de lulibérine, en l’hypothalamus, quand, le négatif, fait fabriquer, l’hormone, du stress, l’adrénaline. Le registre, des solutions potentielles, sera, le plus ouvert, possible, pour stimuler, l’émission, de « fructueuses trouvailles ». Les questions seront donc, ouvertes, plutôt, que fermées, au pluriel, jamais, au singulier !

 

La réflexion, de groupe, intégrant, sans exclusion, les juniors intéressés, sera favorisée. Ne dit-on pas, que « plusieurs intelligences, valent mieux, qu’une seule » ? Pour créer, il est impératif, d’assembler, entre eux, des éléments disparates, indépendants, étrangers, les uns, aux autres. Lesquels, ne signifient rien, pris, isolément, séparément, or, qui, combinés, entre eux, finissent, par prendre, tout leur sens. Comme, des « pièces, de puzzle », disposées, fort adéquatement. Tout d’abord, chaque composante, d’une réalité, sera distinguée, à part, par le jeune, en focalisation, très concentrée.

 

Cela passe, par le concassage, opération, de transformations, d’un sujet ou, d’une réalité, par dissection, fragmentation, par le junior. En envisageant, des usages ou, remaniements, inédits, par mutation, métamorphose radicales, complètes. Le champ concerné, sera aussi, séquencé, découpé, pour, en isoler, les fonctions majeures, en tant, que « symboles, de valeur ». Cela, permet, d’en déterminer, les composants capitaux, à changer, pour en décupler, le plein intérêt. L’analyse dysfonctionnelle permettra, quant à elle, de mettre, en exergue, les imperfections, les mécontentements.

 

Concernant, une chose, une fonction, une situation et, une réalité. Le jeune fera l’inventaire, de ce qui, à ses yeux, ne va pas, pour trouver, des solutions correctives et, d’amélioration. L’étude combinatoire opère, une énumération, de toutes les caractéristiques, du champ, en cause. Puis, l’ensemble, est classifié, ordonnancé, par thématiques, qui seront, autant, de grands domaines, d’action, de modifications. Avec, des ramifications hiérarchisées, comme, en généalogie. Les vecteurs, de chaque branche, seront combinés, les uns, aux autres. L’on pourra utiliser, nombre, d’assemblages juvéniles, fort différents670.

 

La bissociation se situe, entre le procédé analogique et, la pratique combinatoire. Elle tend, à lier, deux états, réalités, différents, pour mener, au processus créatif, de solutions. L’approche associative, relie, plusieurs thèmes ou, idées, par l’imagination, en relations, par « capillarité ». Un schéma mental, permet, de visualiser, des pensées. En une optique, d’associations d’idées, du jeune, venant, au prononcé, d’un terme, concept. Il s’agit, de choisir, un mot, thème principal et, focal. D’y adjoindre, en satellites, tout autour, tous les termes dérivés, qui ont un rapport, direct ou, indirect, avec lui.

 

En les reliant, par des traits. Ce qui dope, l’esprit, de façon, suggestive, induite, par des associations cognitives juvéniles. User, de schémas mentaux, mène, à établir, des passerelles causales, d’effet, de proximité, entre un thème précis et, les bases aléatoires, de la pensée. En « ramifications » successives, pertinentes, du junior, en branches et, sous-branches, de type généalogique. Une variante, consiste, à fixer, un terme, une notion, idée clé, au centre. Par écrit, sur une feuille, de papier. En divisant, la page, en quatre, à partir, du thème central. Sur un quadruple axe fondamental, haut, bas, droite, gauche, en quatre points cardinaux.

 

Nord, sud, est, ouest. Chacun, d’entre eux, symbolise, les quatre caractéristiques majeures, de la « thématique centrale » juvénile. Sur ces quatre axes : nord-est / haut-droit et, sud-est / bas-droit, nord-ouest / haut-gauche et, sud-ouest / bas-gauche, figurent, alors, les qualificatifs, définissant, chacun, de ces quatre grands axes, fondamentaux. Puis, au-delà, par axe, toutes les réalités, implications et, correspondances ou, liens, associés, aux composants-marqueurs catégoriels, des axes. Ainsi, si l’on écrit, au centre même, d’une page, le mot Jeunesse, les quatre axes seront, au nord : Âge, de la vie. À l’est : Dépendance. Au sud : Représentation. À l’ouest : Dynamisme.

 

L’âge, de la vie, est caractérisé, par l’apprentissage, l’avant-gardisme, les jeunes. La dépendance, concerne, la subordination, le conditionnement, les limitations. La représentation, inclut, le consumérisme, l’hédonisme, l’immaturité. Le dynamisme, implique, la vitalité, l’évolutivité, l’adaptabilité. L’apprentissage, rassemble, la formation, le-s diplôme-s et, l’emploi. L’avant-gardisme : la créativité, l’originalité, l’audace. Les jeunes : les apprenants / travailleurs, la famille / l’affectivité, les loisirs / valeurs. Voyons, la suite, de ce diagramme671.

 

La subordination junior, groupe, l’obéissance, la passivité, l’infériorisation. Le conditionnement : les addictions, le conformisme, la facilité. Les limitations : les efforts, astreintes, la probation. Le consumérisme, se définit, par le matérialisme, le gaspillage, la technophilie. L’hédonisme, par : le laisser-aller, la jouissance, le confort. L’immaturité, par : l’irresponsabilité, la puérilité, la faiblesse. La vitalité, concerne, santé, force, beauté. L’évolutivité : l’instabilité, le mouvement, la vitesse. L’adaptabilité : le changement, la réactivité, la plasticité, du jeune. Un seul, mot clé central, donne, quatre axes « directionnels », de réflexion.

 

Douze notions majeures. Trente-six qualificatifs, de base. Ainsi, de suite, à l’infini ou, presque, jusqu’à épuisement, du sujet. Soit, pour notre exemple présent : cinquante-trois mots-idées, pouvant, donner lieu, à encore plus, de principes, en ramifications exponentielles. Par recensement, des concepts et, associations d’idées, issus, d’une thématique générale, de base. Puis, assemblage synthétique, des notions, par familles, parentés, rapports, comme, liens. Ensuite, sont fixés, les quatre « axes cardinaux », pour répartir, fort logiquement, les quatre grandes, thématiques juvéniles, déjà, prédéfinies.

 

La technique, de brainstorming : « remue-méninges », consiste, à assembler, toutes les idées, de tous les jeunes concernés. Sous la supervision, d’un coordonnateur. Puis, le fruit, de la libre réflexion collective, est analysé, amélioré, par tous les participants, pour ne retenir, que les plus fructueuses, prometteuses, propositions. Cela peut aussi, être réalisé, en solitaire, par un seul, « chercheur-trouveur », d’idées lumineuses. Le principe repose, sur les associations, d’idées, successives, progressives. Tout s’opère, en liberté, sans rien exclure, a priori et, de façon franche, spontanée, sans limites.

 

Sans, nulle, objection juvénile ou, rejet critique négatif. Chacun, est conduit, à participer, activement. Invité, à réagir, aux suggestions, d’autrui, comme, tremplin, pour en émettre, soi-même, d’autres encore, en ramifications exponentielles. Chaque proposition nouvelle, est alors, retenue, sans jugement, aucun, en stricte neutralité. Ce premier mouvement est réflexif, ouvert, prospectif. Ensuite, seulement, en deuxième étape, analytique, sélective et, décisionnelle, toutes les idées, du junior, émises, jusqu’alors, sont classifiées. Par ordre, d’importance décroissante, débutant, par les plus fécondes, finissant, par les moins672.

 

Elles sont perfectionnées, amendées, infléchies, pour ne qualifier, que celles, qui ont trait, le plus, à l’objectif premier, de la réflexion juvénile. De façon, positive, constructive, productive, favorable. Par reformulation, structuration évaluative. L’association d’idées, renforcée, permet, de relier, deux réalités, données, étrangères, l’une, à l’autre. L’analogie génère, des idées, en trouvant, des points convergents, entre plusieurs données ou, états, de fait. Il s’agit, d’entrevoir, d’autres facettes inédites, des choses communes habituelles et, d’apprivoiser, ce qui sort, de l’ordinaire.

 

L’analogie directe, du junior, fait comparer, remplacer, tout ou, partie, des propriétés, d’une chose, avec les éléments, d’une autre, proche. Il est aussi, possible, ainsi, de partir, d’un champ familier, pour aboutir, à des données similaires, en registres, plus inconnus. Recensant, les propriétés, de ce que l’on connaît et, maîtrise bien, l’on peut trouver, des traits communs, avec la problématique, que l’on se pose. Donc, la solution, afférente et subséquente, du jeune. Un lien évocateur substituera, tout ou, partie, des propriétés, traits, d’une donnée, ce, par des symboles, représentations. Qui les dépeignent, le mieux, en stylisent, l’apparence simplifiée.

 

Cela crée, un meilleur entendement, du junior, la découverte, d’avancées. Les métaphores, sont des comparatifs imaginatifs. De façon, analytique et intuitive. Cela, sert, à éclairer, ce qui est complexe, par évocation explicative imagée, quasi visualisée. Ce qui donne, une dimension renouvelée, clarifiée, simplifiée, à la problématique envisagée. Les symboles représentent, un sujet, de façon, emblématique, pour en synthétiser, le fondement intrinsèque. Le sens profond immatériel, de ses caractéristiques tangibles. Ce qui permet, au jeune, de délimiter, le champ, du problème, d’en trouver, les ferments, de solution, de le dépasser.

 

L’analogie fantaisiste relie, de façon, irrationnelle, des données, rationnellement, étrangères, les unes, aux autres. Pendant, le sommeil, le junior rêve, son cerveau continue, à agir. Raison, pour laquelle, des solutions, n’ayant pas pu, être trouvées, de façon, consciente, pendant, son éveil, peuvent l’être, de façon, inconsciente, durant, le sommeil. Les préoccupations, de la journée, pouvant, se recombiner, la nuit, pour lui livrer, des indications utiles, au réveil. L’appréhension consciente, peut fort nuire, à l’inventivité juvénile. Les idées, les plus rationnelles, ne sont pas toujours, les meilleures673.

 

D’où, l’intérêt, des rêves, qui débarrasseront, l’imaginaire, du jeune, des limites rationnelles, sociétales. Il suffit, ensuite, de savoir, interpréter, retenir, les enseignements, de ses rêves. De même, la relaxation, le rêve éveillé, les modifications, d’état, de conscience, permettent, d’obtenir, une prédisposition intermédiaire. Entre sommeil, notamment, profond et, éveil. En une forme, de méditation, somnolence. États, dits, seconds, hypnagogiques, semi-hypnotiques ou, encore, hypnotiques. Ce qui est souvent, source, d’images, très instructives. Apaiser, son esprit, permet, de produire, des idées fécondes, inédites.

 

La créativité juvénile, est œuvre individuelle, mais, aussi, collective. L’intérêt, de la réflexion, de groupe, est d’augmenter, le potentiel analytique, donc, les probabilités, de trouver, de bonnes idées. L’adage dit, que : « Plus, l’on est, de fous, plus, l’on rit ». De même, plus, l’on est nombreux, plus, l’on est inventif, grâce, à la créativité, d’autrui, outre, la sienne. Ce qui est typique, à la jeunesse, temps, d’apprentissages, de toutes sortes et, de natures, pluriformes. En laquelle, l’importance, des pairs, est cruciale, le travail, en commun, d’études ou, autres, des plus fréquents. Entre, juniors congénères, solidaires et, complices.

 

De même, que les loisirs, les engagements. En particulier, l’intelligence juvénile multiple, fait merveille, quand, le champ, des compétences, de chacun, concerne, un registre, vaste, varié. Différent, complémentaire, de celui, des autres. L’idéal, est d’associer, des « profils humains divers ». Notamment, des juniors, à dominante cérébrale, droite intuitive, gauche rationnelle, néocorticale abstraite, limbique émotionnelle et, réflexive. Les individus, à « cerveau intégral », sont rares. Le meilleur, arrive, du fait, de la « conjonction », des forces, de tous les participants. Alors, il y a, pour une cogitation, donnée, à la fois, projection, compréhension, action, comme, adoption, concernant, un thème, de recherche, fort créative.

 

Du concept même, à l’expérience. Concernant, la préparation et, la vérification, l’incubation et, l’état de grâce, de flux. Suite, à la découverte, de la meilleure approche, solution, du problème initial. Le mieux, est d’allier, des jeunes, de différents types cérébraux, pour un résultat optimal. Chaque type, pris isolément, ayant, ses « avantages et, inconvénients », étant, par essence, toujours, limité. Le nombre, de participants, sera réduit, dix, au maximum, avec des centres d’intérêt, d’entente, communs674. Notamment, pour l’objet, du brainstorming. Regrouper, une même génération, en l’occurrence, juvénile – quinze – vingt-quatre ans – est un atout, d’homogénéité, indéniable. L’animateur, junior ou, adulte, sera toujours, neutre, encourageant et, bienveillant. (Bouillerce, Carré, 2002)675.


 

 


Camille est bouleversée, par la mort brutale, de son jeune fils, lors, d’un accident, de la route. Elle ne parvient pas, à surmonter, son deuil, s’attache, à Franck, le meilleur ami, du disparu, à l’origine, du drame. Le garçon accepte, cette affection, mais, il comprend, progressivement, que ce lien, excessif et abusif, est néfaste, pour lui. Tel est, le synopsis, du film, Après lui. (Drame cinématographique français, du réalisateur, G. Morel, France, 2007). Hélas, la mort, de jeunes, n’est pas rare, par accident, suicide, maladie, meurtre. Face, à ce scandale, absolu, du trépas juvénile, qui n’est pas, dans l’ordre, des choses, les parents s’effondrent.

 

Ils ne s’en remettent, jamais, gardent, en eux, leur vie, durant, la souffrance, de cette si indicible blessure. Un très beau, émouvant livre poignant, sur le sujet et, de témoignages, de parents touchés, anéantis, détruits, en « rend, fort bien compte ». Guilhem meurt, à vingt-et-un ans, d’accident. Denis, à treize ans et, demi, d’accident. Rémi, à douze ans, de maladie. Alexandre, à vingt-cinq ans, d’accident. Jérôme, à vingt-deux ans, d’accident. Matthieu, à treize ans, de maladie. Xavier, à quatorze ans et, demi, d’accident. Gilles, à quinze ans, de suicide.


 

 

« Pendant, des jours et, des jours, l’enfant absent, nous obsède, il est constamment, présent, en nos pensées. Une part, de notre être, sait, qu’il n’est plus là, que nous ne le reverrons, jamais, alors, qu’une autre, refuse, d’accepter, l’effroyable réalité. La vie est toujours, là, elle continue, sans lui, absurde, elle ne nous a pas quittés. Comment, allons-nous, poursuivre, sans, notre enfant, qui, malgré, son absence, est toujours, si bien présent ? […]. La première onde, de choc, passée, l’absence, s’amplifie. À chaque heure, du jour, comme, de la nuit, le manque est là, lancinant, paralysant, terrifiant. Certains parents, tentent, désespérément, de le combler, s’accrochant, à l’enfant, comme, s’ils pouvaient, encore, le faire vivre, en lui rendant la vie, qui lui a été volée » !

 

La jeunesse et, les jeunes sont, tellement, par pure essence, le symbole même, de la vie, l’espérance, la joie de vivre ! Nul, ne peut donc, imaginer, tolérer, accepter, la mort, d’êtres, de douze, vingt ou, vingt-cinq ans !

(J. Gril, psychanalyste française contemporaine, Vivre après la mort de son enfant – Des parents témoignent, récits & témoignages, de nature autobiographique, France, 2007)676.


 

 


[ VOTRE DISPOSITIF NEURO-AFFECTIVO-BÉHAVIORISTE ]

BIENVEILLANT, PRODUCTIF


 

 

Votre AndroJeunologie® est une « régénération », cognitive, émotionnelle, comportementale. Elle est, aussi, une « respiration » humaniste et, de consolidation. L’AndroJeunoConseil® s’adjoint, en outre, le secours, de la démarche-promesse, la plus positive, constructive. Pour bien vous mobiliser, jeune homme.


 

 


Victoria, Les Jeunes Années d’une reine, est une œuvre cinématographique, qui « restitue », les débuts, de parcours, de la souveraine britannique. De son arrivée, au pouvoir, dès l’âge, de dix-huit ans, en 1837, à son mariage. Son très long règne, sera exceptionnel, à la mesure, de sa remarquable personnalité. Elle saura, s’imposer, par sa grande force, de caractère, dès, son couronnement. Victoria, du Royaume-Uni (1819-1901), est couronnée, en 1838 et, devient, alors, le premier monarque, à s’installer, au palais de Buckingham.

 

Elle épouse, son cousin, le prince, A. de Saxe-Cobourg-Gotha (1819-1861), en 1840. Il sera même, son plus proche, conseiller politique. Victoria, fait alors, partir, sa mère, sans ménagement, du palais royal. Les débuts, de son règne, voient, déjà, sa popularité, grandir. L’année, de son mariage, un jeune garçon, de dix-huit ans, tente, de l’assassiner. Son premier enfant naît. Elle rencontre, le roi, des Français, Louis-Philippe Ier (1773-1850), en France, le reçoit, en Grande-Bretagne.

 

Victoria, est le tout premier souverain, de son pays, à voir, un monarque français, depuis, le camp du Drap d’Or, en 1520, plus, de trois siècles, plus tôt. Sommet, entre Henri VIII, (Souverain anglais, 1491-1547) et, François Ier. (Monarque français, 1494-1547). Louis-Philippe, sera le premier, chef d’État français, en visite officielle, au Royaume-Uni. Le règne victorien, est l’un, des plus longs, de l’Histoire mondiale. Il voit, la « consécration », de la monarchie constitutionnelle et, de la démocratie parlementaire.

 

Nombre, de souverains, d’Europe, seront issus, de la famille, de Victoria. Les premières années, du règne, sont décisives. Fort jeune, très peu expérimentée, elle devra, saura, s’imposer, auprès, de sa famille, comme, d’un personnel politique rétif. Elle parviendra, peu à peu, à gagner, le cœur, de ses peuples. Exemple, fort éclatant, d’une jeunesse, s’affirmant, par ses vertus propres ! Lesquelles, trouveront, à s’exprimer, dès, les débuts, sans avoir, à attendre, la maturité, du règne.

(Victoria, Les Jeunes Années d’une reine, drame historique britannique, de cinéma, du réalisateur canadien contemporain, J.-M. Vallée, Royaume-Uni, 2009) 677.


 

 


– Votre AndroJeunologique Régénération –

Cognitive, Émotionnelle, Comportementale


 

 

Remanier, est un verbe, de 1250. Il signifie, « modifier – un ouvrage, de l’esprit – par un nouveau travail, en utilisant, les matériaux ou, une partie, des matériaux primitifs ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)678.


 

 


L’AndroJeunologie® mobilise, toutes les qualités et, énergies ou, aptitudes, du junior masculin. Elle en use, au mieux, dans sa progression. Faisant appel, aux meilleures, d’entre elles. En suscitant, également, de nouvelles. Réorientant, optimisant, celles, qui seraient moins pertinentes. L’AndroJeunoConseil® est cognitif, émotionnel et, comportemental. Il ne méconnaît pas, pour autant, les « bons apports », d’autres pratiques supportives.

 

Systémique, intégrative, transpersonnelle, psychodynamique. Le cognitivisme, l’émotivisme, le comportementalisme, consistent à influer, positivement, sur les pensées, émotions, des adojeunes. Pour « bonifier » leurs réactions, attitudes, modes de vie, actes, mentalités, comportements. Ce qui est groupé, sous le vocable, d’éthologie ou, biopsychologie, de l’humain. En l’intérêt même, de ces juniors. Le cognitivo-émotivisme, réoriente, les autosuggestions négatives, par rééquilibrages positifs, confiants et, sereins.

 

Il fait valoir, au junior, la différence, très notable, entre, la réalité objective et, son interprétation subjective, inappropriée. Ainsi, le jeune, qui manque, de confiance, en lui, s’imagine-t-il que, si son groupe, de pairs, s’esclaffe, à son arrivée, c’est, qu’il se moque, de lui. En réalité, l’objet, de l’hilarité générale, concerne, une plaisanterie innocente, parfaitement, étrangère, de l’un, des protagonistes. Tout ceci, n’est donc, nullement, de la dérision, à l’encontre, du nouveau venu ! Le comportementalisme, éradique les habitudes et, pratiques juvéniles indésirables.

 

Il les remplace, par des stratégies, bien plus bénéfiques, pour réussir. Vision existentielle apaisée, pertinence, foi, en soi, son destin, sur un mode, plus constructif, favorable, comme, positif, pour s’épanouir, réussir. Il s’agit, de changer, sa façon mentale, de voir, les choses, pour ensuite, être en mesure, de modifier, ses affects, attitudes, actes inadéquats. Appliquer, sa nouvelle donne psychique, plus acceptable, sur le terrain. Par exemple, un jeune, utilisant, des écouteurs audio, pour s’endormir, en musique continue et, à décibels excessifs, risquera, à terme, une surdité.

 

Du fait, d’un usage nocturne, répété, dans le temps, jusqu’au réveil diurne. Il sera, mis en garde, arrêtera, sa « manie » nocive. Il en est, de même, pour son camarade qui, quant à lui, ne trouve rien, de mieux, à faire, que de garder, son téléphone mobile, allumé. Toutes les nuits, sous son oreiller, à proximité immédiate, de son crâne ! L’on sait, la dangerosité, des ondes, ainsi, émises, pour le cerveau, en développement, d’un jeune, en phase intense, de puberté et, croissance ! Lui aussi, sera invité, à changer679.

 

L’approche, du suivi androJeunologique, est cognitive et, émotionnelle, car elle part, des schémas mentaux : pensées, intellect, raisonnement, comme, aussi, des affects. Pour aider, le jeune, à maintenir et, renforcer, les cognitions, émotions positives. Améliorer, rectifier, celles, qui sont mitigées. Contenir, désamorcer, annihiler, idées et affects négatifs. L’AndroJeunologie® est comportementale, car elle agit aussi, sur les attitudes choisies et, les actions réalisées. Les paroles, mutismes, inactions, omissions, adaptations, résiliences, évitements et, abstentions. Pour « doper », les actions idoines, réussies.

 

Corriger, celles, qui laissent encore, à désirer ! Combattre, éradiquer, celles, qui sont ratées, voire, toxiques. Il s’agit, que des façons juvéniles, de penser et, ressentir, plus adaptées, bénéfiques, conduisent, à des comportements, du même ordre. En bonne logique, continuité. Des pensées constructives, mènent, à des émotions, plus équilibrées, donc, à des agissements appropriés et, des attitudes favorables. Ce qui donne, des résultats, bien plus fructueux et, en réalité, une vie, plus heureuse. Le jeune est et, a, paraît, agit, parle ou, omet, selon, ce qu’il pense, éprouve.

 

D’où, l’intérêt, de cogiter, ressentir, sainement, productivement, pour parvenir, à des actes, bien dirigés. Donc, à des effets, satisfaisants et, prometteurs, pour lui. Selon, ses objectifs. Cette optimisation maximale, des potentialités, est le dessein, cognitif, émotionnel, comme comportemental, de l’AndroJeunoConseil®. Le cognitivo-émotivo-comportementalisme est scientifique, car conçu, éprouvé, comme, tel. Il repose, sur une base philosophique, car il est axé, sur des valeurs, croyances, que le junior, lui-même, développe. Sur sa personne, autrui, l’univers. Cela, l’encourage, à acquérir, étendre, faire fructifier, idéaux, affects, actes favorables adéquats.

 

Aptes, à lui permettre, de rebondir, s’intégrer, s’autonomiser, s’épanouir, grandir, se motiver, avoir confiance, réussir, selon, ses buts existentiels… Il s’agit, de tenir compte, des autres et, du milieu, contexte, de vie. En apprenant, à influer, positivement, sur eux, si cela, est possible et, souhaitable. D’autant, que les facteurs exogènes, ont un impact, sur la personne endogène, du jeune. Surtout, en sachant, infléchir, pensées, émotions, comme, comportements, pour mieux vivre. Ce qui change, favorablement, la façon, dont le junior, se perçoit, ainsi, que les autres humains et, tout son environnement.

 

L’approche, de consulting androJeunologique, cognitive, émotionnelle et, comportementale, insiste donc, sur les attitudes mentales, affects et, l’action, pour progresser, sur la voie, de la vie, en sagesse. La pratique est volontariste, car elle s’attache, aux solutions, buts, à atteindre, plus, qu’aux difficultés et, souffrances. Au présent et, à l’avenir, plus, qu’au passé. Le but est l’accomplissement, de son dessein, via, les cognitions, les affects et, actions, sur la base, des réalités émotionnelles, d’attitudes. Pensées, croyances, émotions juvéniles, sont issues, du rapport, de cause, à effet, entre, les circonstances, occurrences, cogitations, comportements.

 

Les sentiments, le sens ou, l’interprétation subjectifs, que le junior accorde, à un événement objectif, suscitent, des réactions émotionnelles, comportementales. A priori, les occurrences positives réjouissent, quand, les négatives abattent. Or, la perception, l’évaluation, de ce qui est négatif, peuvent être excessives, exagérées, voire, faussées. Ce qui perturbe, de façon, très déraisonnable, par une appréhension, bien trop pessimiste et, noire, même. Quand, il y a, perturbation émotionnelle, il s’agit, d’isoler, les cognitions, émotions, certitudes, interprétations, induites.

 

Une analyse juvénile, un sens donné, plus distanciés, équilibrés, précis, bénéfiques, quant à, des faits négatifs… Cela, permet, des réactions émotionnelles, comportementales, plus positives, modérées, rassurantes. Plus, de lucidité, de réalisme, comme, moins, de fantasmes, de réécriture personnelle, alarmiste, catastrophiste. Élucubrations et, perceptions, créent des attitudes afférentes, subséquentes. Ainsi, tristesse, peur, stress, anxiété, émotivité excessive, peuvent fortement, conditionner, des addictions, assuétudes, autodestructrices. Des épisodes solitaires et, de déprime, du jeune. Des syndromes, d’évitement, en manque, d’assertivité680.

 

Il convient, de prendre, pleine conscience, du vecteur originel perturbateur. Des représentations mentales existentielles et, du sens, que le junior accorde, à toute réalité vécue, tant, d’un point de vue interne, qu’externe. Puis, des effets générés, en matière physique, psychique. Comme, spirituelle, comportementale, d’action, de pensées, sentiments, d’émotions et, d’intellect… En résumé, les faits, sa perception, les conséquences, pour le jeune. Penser positivement, le rend plus objectif, optimiste et, donc, plus heureux.

 

S’il est malheureux, cela, vient souvent, de sa mauvaise façon, de cogiter et, d’appréhender, la vie, autrui, lui-même, de façon, fort négative, subjective et, défaitiste. Ce qui fausse, son jugement, son vécu. Ce qui l’égare, lui livre, des enseignements abusifs, erronés et, distordus. Le tout, de façon, dramatisée. Le syndrome, de la stratégie mentale, émotionnelle, comportementale, du pire ou, catastrophisme, convainc, d’un « grand malheur ». Du simple fait, d’un fait négatif limité. Par pessimisme et, manque, de confiance, en soi, juvéniles. Il s’agit, de savoir, raison garder. Relativiser, se distancier, remettre les choses, à leur juste place. Prendre du recul, en ménageant un filtre, entre soi et, les choses.

 

D’analyser les faits, de façon, bien plus rationnelle, moins inquiète. De passer en revue, les éléments avérés, non, fantasmés, corroborant ou, non, ses raisons, d’alarme. De se focaliser, sur les solutions, les aides possibles, pour faire face, au mieux, plutôt, que sur la problématique, elle-même. « Le pire n’est jamais, sûr », tout junior est apte, à surmonter, les revers, obstacles, même, importants. Bien plus, que susceptible, de s’effondrer, au moindre aléa. Évitant, aussi, le manichéisme, qui ne fait entrevoir, que les extrêmes. Sur le mode bipolaire, déséquilibré et, euphorique ou, dépressif, du « verre débordant ou, vide, mais, jamais, à moitié plein ».

 

Parfois, « à moitié vide », ce qui n’est guère, mieux. Que le jeune soit, donc, plus indulgent et, lucide, sur les vraies réalités et, leur plus juste perception. Plus raisonnable et, nuancé. Être faillible et, perfectible, comme, valeureux, inestimable, est le lot, du genre humain. Cela, n’autorise ni, à s’accabler, pour tout et, rien ni, à se porter, aux nues, au moindre prétexte. Les prédictions négatives sont délétères, nocives, car, synonymes, de prophéties autoréalisatrices. Imaginant toujours, le mal, si convaincu, du pire, cela, perturbe profondément, le junior, le désespère681.

 

Risque souvent, de se produire, car les croyances influent fort, sur la réalisation, des choses. Positivement, quand, elles sont optimistes, mais, hélas, autant, négativement, quand, elles sont pessimistes. Le jeune dirige ainsi, son subconscient, qui s’empresse alors, d’exécuter, tous les ordres, qu’il adresse, consciemment ou, inconsciemment, à son cerveau. D’où, l’importance, de penser positivement, de croire, au meilleur, non, au pire. Le pire, n’étant jamais, assuré, il est donc, de son intérêt, d’espérer, plutôt, que de craindre.

 

Ne pas croire, en tous les possibles positifs, en juvénile espérance, prive, de bien, des réussites, joies, faute, même, de tenter, sa chance, par pur défaitisme. Renoncer, par avance et, sans même, prendre la peine, d’essayer ! Alors, pour en avoir, le cœur net, que le junior vérifie, la réalité existentielle, en agissant, selon, ses buts légitimes, l’objet fondé, de ses vrais désirs. « Sans peur et, sans reproche » ni, honte ou, culpabilité. Accepte, de prendre, des risques raisonnables, calculés, quand, cela, en vaut, la peine. Les avantages escomptés, en cas, de réussite absolue, sont généralement, plus grands, que les inconvénients, de l’échec relatif. Le pire, est de ne rien, tenter, par peur, d’échouer682.

 

Les mauvais tours passés, n’impliquent jamais, que les tentatives ultérieures juvéniles, seront, du même « acabit ». Il n’y a pas, de fatalité. « La roue tourne » ! Il faut, s’acharner, jusqu’à, la victoire finale. Effort, patience, ténacité, persévérance, « payent, à la longue ». Tout, évolue. Les conditions même, qui ont, jadis, mené, à l’ « impasse », peuvent, fort bien, en toutes autres circonstances, conduire, à la victoire. Comme, le démontre, si bien, l’histoire, de l’humanité et, des grands hommes. De l’ombre, à la lumière et, réciproquement, de la grandeur, à la servitude et, à l’inverse.

 

Ne jamais, davantage, trop, se fier, à ce que l’on croit, que les autres pensent, négativement, de soi. Ou, quant à leurs mauvais procédés potentiels, supposés. Avant, de se convaincre, hâtivement, à tort, que le jeune vérifie, ses appréhensions inquiètes. La plupart, du temps, elles s’avèrent, non fondées. D’autres causes, que ce qu’il pense, peuvent exister. Il peut se tromper. Si besoin, le junior cherchera, à se renseigner, plus précisément. Ne confondant pas, la réalité, des autres et, ses propres peurs, doutes, comme, fantasmes. Conscient, de ses pensées négatives, les éprouvant, chacune, à l’aune, des seuls, faits avérés, les plus concrets.

 

Sachant, qu’en meilleur état d’esprit, son point de vue serait, bien plus serein, objectif. Sans preuve, de ce qu’il pense, rien, n’est fondé. Souvent, son pessimisme, n’est que l’effet, de ses émotions négatives, non, des faits. Alors, que le jeune fasse, en sorte, de retrouver, sa paix intérieure et, de temporiser. Ses émotions ne sont pas, les réalités. Ces dernières doivent plus, compter, que les états d’âme. Trop souvent, son interprétation irrationnelle, subjective, fausse et alarmiste, l’emporte, sur les états objectifs. Ce qui distord, pollue, parasite : et, sa sérénité et, les réalités, telles, qu’il les conçoit, si mal, par son filtre déformant.

 

Le junior surgénéralise. Il retire, de faux enseignements globaux, factices, illusoires, à partir, d’un seul ou, de quelques éléments spécifiques, particuliers, réels et, vrais. Le plus souvent, la nuance, la relativisation, correspondent plus, aux réalités tangibles, que l’exagération, la systématisation, absolutistes. D’où, l’intérêt, de tout remettre, à sa juste place, proportion, quant au vrai contexte, conjoncturel et structurel. De ne jamais, porter, de sentences juvéniles, de valeur, arbitraires, définitives, désobligeantes, contre-productives, car, négatives. Ni juger, de façon, péremptoire, tranchante.

 

D’être objectif, juste, rigoureux, pour éviter, les anathèmes abusifs, du junior. De même, que les « encensements » excessifs, à l’égard, de soi et, d’autrui. Le fait de toujours, tout et, tous, y compris, soi-même, stigmatiser, évaluer, négativement, est un autre travers, très courant, à proscrire. Tolérance et, indulgence, sont de mise, dans la fermeté, le réalisme et, le refus, de tout abus. Voyant, les nuances et, les gradations, ainsi, que les richesses, si pluriformes, des humains et, de l’univers. Sachant, distinguer, entre les mauvais actes, si condamnables et, les personnes, dont, soi-même, qui sont toujours, « plus grandes, que leurs fautes », même, les pires.

 

Cela, évite, d’enfermer l’autre, soi, en ses travers. Or, de lui laisser, la chance, d’évoluer, positivement et, de s’amender. La pensée juvénile impérative et, d’obligation est nocive, car rigide, comminatoire. Le mieux, est la souplesse, du jeune, avec soi, autrui et, le monde, sans lois, cadres et, obligations excessifs. Le facultatif et, la préférence, l’emportent, sur le principe absolu, qui voudrait, s’imposer. Ne jamais, se préoccuper, d’avoir, une « bonne image », auprès, d’autrui ni, à chercher, à plaire, faire plaisir, se plier, inconditionnellement, à ses volontés683.

 

Il s’agit, d’admettre, que les autres aient, leur propre ligne, de conduite, différente, non, celle, du junior. Ce qui conduit, à accepter, toutes les différences mutuelles, aplanir, les divergences. Chacun, conserve et, cultive, ses critères, renonce, à prétendre, régir, ceux, des autres et, de l’univers. Cela, rend, bien plus serein. Car, sinon, si le jeune veut, tout réglementer, à sa façon et, face, aux aléas, qui différeraient, de ses points de vue, il serait alors, souvent, fort dépité, malheureux. Qu’il abandonne, ses « œillères et, filtrages mentaux », qui ne lui font entrevoir, que ce qui va, dans le sens, de ses convictions.

 

Occultant, totalement, ce qui va, à l’encontre. À ses pires dépens, car, il a alors, tendance, à ne retenir, que le négatif, réel ou, supposé, chez lui-même ou, autrui. « Oublier », délibérément, le positif juvénile. Même, de transformer, à ses yeux, du positif ou, du mitigé, en du neutre ou, du négatif. Souvent, par manque, d’estime, de lui-même, il déifie, les autres, se diabolise, lui-même. Qu’il voie, les arguments solides, qui militent, en faveur ou, en défaveur, de sa façon biaisée, de voir. Le positif, qu’il masque, existe pourtant, bien réellement ! Le junior a le choix, de privilégier, les « lunettes noires ou, roses » !

 

Le jeune minore fort, aussi, le positif, majore, le neutre ou, le négatif, en parti pris négatif et, subjectif dommageable. Qu’il sache, s’aimer, en agréant, les gratifications, reconnaissant, ses vertus. Il peut aussi, améliorer, sa résistance, au stress, aux déceptions, déboires, frustrations. Il pense, que cela, est intolérable, ce qui le blesse et, fragilise, à tort. Généralement, cela, est certes, dur, à admettre, mais, très surmontable. Alors, qu’il accepte, la déconvenue, ce qui en atténuera, l’effet pénible, le renforcera, sur-le-champ et, pour les « épreuves », à venir. Cela, évitera, atermoiements, procrastinations et, anxiétés, excessifs.

 

Pour mieux, s’accoutumer, à supporter, les frustrations, il s’agit, de mieux, s’en accommoder. Pour cela, le junior peut, se contraindre, à faire, « de suite, vite, bien », ce qui lui paraît, habituellement, relever, des pires « corvées assommantes ». Se convaincre que, même, ce qui lui semblera, le plus rebutant, détestable, peut être supportable, supporté, « sans, mort d’homme ». Pour cela, il peut alors, abaisser, le caractère inquiétant, rébarbatif et, répulsif, de ce qui l’incommode, en son esprit. Ce ne sont pas, les réalités, mais, leur appréhension, par le jeune, qui marque, ce dernier684.

 

Augmenter, en lui, sa capacité, d’adaptation, de rebond : coping, résilience. Au lieu, de faire, l’inverse, ce qui aggrave, les choses. Le junior souffre, de trop, s’autocentrer, personnalisant, à outrance. Ramenant tout, à lui, cela, fausse, son jugement, le heurte, culpabilise, excessivement, à tort. Le jeune n’est pas, responsable, de tous les maux, de la planète et, des autres. Il y a, d’autres motifs, raisons, causes, à effets, parfaitement, étrangers, à lui-même. Qu’il voie, tous les tenants, aboutissants, exogènes, qui lui échappent et, non seulement, endogènes, qui le concernent, directement.

 

Nous avons déjà, vu, que la lutte, contre les pensées, du jeune, dites, « automatiques réflexes négatives », est le but premier, de l’approche cognitive, émotionnelle, comportementale. Il s’agit, au préalable, pour cela, de noter, pour chaque mauvaise cognition, le fait, qui l’a provoquée. Les pensées, affects, certitudes, désagréables, qui s’ensuivent. Les effets, interprétations et, actes ou, attitudes pervers, générés. Il s’agit, de bien comprendre, identifier, le rapport, entre la pensée négative, entretenue et, le fort sentiment pénible, que cela, induit. Ce qui corrobore, une fois, de plus, le lien, entre pensées, affects et, actes juvéniles.

 

Pour s’inciter, à cogiter, plus positivement. Alors, le junior sera en mesure, de faire, la différence, entre élucubrations subjectives et, hypothétiques négatives. Réalités factuelles, objectives et, avérées. La négativité amène, des pensées, émotions, comportements et, actes négatifs. La positivité, l’inverse ! D’où, le haut intérêt, à être positif ! Le recensement, de ses états négatifs, effectué, il s’agit, d’établir, des contre-propositions, cette fois, positives. Pour annihiler, tout ce qui est, défavorable, contre-productif, pessimiste.

 

Analysant, vérifiant, la crédibilité, la validité, la pertinence ou, non, de chaque pensée juvénile négative. Puis, établissant, des alternatives positives, pour chaque pensée, émotion, croyance, comportement, acte négatifs. Attribuant, une notation, de zéro à cent, quant à, l’efficacité, de ses remèdes, de remplacement, sur son état d’esprit. Puis, établissant, une « stratégie, de bataille », pour progresser, « vaincre, ses démons ». En un aguerrissement permanent. Il est bon, de toujours, bien vérifier, éprouver, l’authenticité, de ses certitudes, de tester, l’intérêt constructif, de ses attitudes et, actions. Par l’entremise, des expérimentations, du jeune, qui sont toujours, des plus instructives, utiles685.

 

Le pire est, généralement, évité, le junior est capable, de faire face, aux aléas difficiles. Par, l’introspection authentique et, sans complaisance, sur lui-même, il s’assure, que ses peurs et, anxiétés, ne reposent, sur rien, de tangible. Quelle, que soit, son intervention ou, inaction. Face, à une difficulté, il s’agit, de ne pas s’en tenir, à une seule hypothèse explicative, négative. Qui l’affecte, car, elle lui est défavorable, le culpabilise, dévalorise. Il convient, d’en trouver, bien d’autres, pour ne retenir, que la plus plausible, réaliste, probable. Celle, qui correspondra, le mieux, à la réalité objective, avérée, positive.

 

Non, à ses états d’âme, pessimistes, négatifs, autodévalorisants. Les causes, des faits, auxquelles, le jeune croit, ne sont pas, forcément, les bonnes. Qu’il cherche, les preuves, de ce qu’il avance. Il verra que, souvent, il se trompe, par excès, de négativité, de négativisme, de désamour, de lui-même, ainsi, que de diabolisation, d’autrui, du monde. L’idéal, est de se décentrer, de soi et, de ses pensées et, émotions, pour ne se focaliser, que sur, ce que l’on a, à faire, sur son milieu habituel. Sur l’exogène juvénile, le plus constructif, utile et, non, l’endogène, fort défavorable et, donc, toujours, si improductif.

 

Sur l’action, non, les peurs, doutes, ce qui contribue alors, à se sentir, plus fort, assuré et, moins inquiet et, vulnérable. Que le jeune commence, par les situations, les plus rassurantes, pour finir, par les plus délicates, pour lui. Savoir, bien écouter, autrui, en se concentrant, sur lui, ce qu’il dit, non, sur lui-même, ses réactions, sensations propres, est un bon exercice. De se décentrer, de soi et, se focaliser, sur les autres. De même, quand, l’on parle, il s’agit, de se concentrer, concomitamment et, alternativement, sur ce que l’on exprime, oralement, par le verbe.

 

Soi-même et, ceux, qui écoutent, leur perception et, la sienne propre, le milieu naturel. Quand, l’on est, en environnement juvénile, quel, qu’il soit, il est important, de bien, se pénétrer, de tout, ce qui y figure. Tout, ce qui s’y passe et, de tous, les perceptions, pensées, émotions, comportements, que cela suscite, chez soi. En l’objectif, de bien, se concentrer. L’anxiété, le stress, l’émotivité, le manque, de confiance, sentiment, d’insécurité, de vulnérabilité, faiblesse. Autant, de troubles profonds, qui font, alors, se centrer négativement, le junior, sur lui-même. Autocentration, qui ne fait, que décupler, le malaise ressenti, sans apporter, nulle solution686.

 

S’appauvrir, de l’essentiel. Prive, des enrichissements, de l’extérieur. Au lieu, de se focaliser, positivement, sur les autres, l’environnement, le contexte, concernés. Il est donc, important, pour être à l’aise, avec soi, autrui, de s’intéresser, aux autres, à ce qui se passe, s’oublier, soi. La pratique, de la décentration juvénile, de soi, de concentration, sur l’action, permet, d’affronter, des situations, de plus en plus, stressantes. Tout en étant, de plus en plus, à l’aise, pour bien, les vivre, en tirer, le meilleur ! En oubliant, ses peurs, pour ne se fixer, que sur le plaisir, tout, l’intérêt, de bien vivre, tout, ce qui se présente, à soi.

 

Non plus, passivement, en subissant, or, bien activement, provoquant, le meilleur. La pleine perception, lucidité, du junior, permettent, de profiter, de l’immédiat, sans s’encombrer, d’états d’âme, d’appréciations intempestives, sur ce que l’on est, en train, de vivre. Il s’agit donc, alors, de simplement, être conscient, de la réalité présente, sans, pour autant, porter, d’appréciation, dessus. De ne jamais, s’appesantir, sur les pensées anxieuses, négatives, mais, de les laisser, s’estomper, sans, s’y arrêter. Bien relier, pensées négatives, émotions nocives et, comportements inappropriés, qui en découlent, est capital. Cela, permet, au jeune, une prise, de conscience, rapide, efficace, une neutralisation687.

 

Du fait, de les percevoir, comme, considérations, subjectives toxiques, internes, non, réalités, objectives avérées, externes. Le junior peut, alors, maîtriser, le mal. En constatant, que ce qui se passe, en réalité, dans les faits, conjoncturels et, structurels, est plus inoffensif, que ce que disent, ses cogitations négatives ! Que le jeune, prête donc, la plus extrême attention, à ce qui fait, son quotidien, y compris, au travers, des tâches, les plus modestes, anodines, humbles. Les émotions négatives sont saines ou, malsaines.

 

Selon, le contexte, les protagonistes, en cause, l’intensité, les effets, les fondements, la façon, de ressentir, de concevoir et, gérer, les difficultés… Citons, le ressentiment, la peur, la honte et, la déception, le malaise, l’envie et, la culpabilité, la jalousie, les blessures et, la tristesse… Tout l’intérêt, est d’être conscient, du fait, que telle, émotion juvénile négative, est saine ou, malsaine, selon, les circonstances. Pour bien éliminer, celles, qui sont toxiques, contenir, les autres. Lesquelles, pourraient devenir, à leur tour, nocives, si on les laissait, déborder, prendre, des proportions excessives, donc, délétères.

 

Pour un même type, de sentiments et, de ressentis négatifs, il y a, les pensées, émotions, comportements, afférents, du jeune. Si ces derniers sont, pour lui, accablants, blessants, culpabilisants, ce qu’il éprouve, sera malsain. Si son appréhension, des choses, est dure, or, relative et, surmontable, le touche, mais, sans l’abattre, le responsabilise, sans, le stigmatiser, la réactivité, du jeune, est saine. La rigidité mentale, d’exigence, d’impératif, conditionne, les émotions négatives malsaines. Quand, la souplesse psychique, de latitude et, de préférence, induit, les émotions juvéniles positives ou, négatives saines.

 

Dans le premier cas, il y aura « rage », en cas, de désappointements. Dans le second, simple contrariété. Ce qui est déjà, moins lourd, mutilant, à gérer et, vivre. L’émotion négative saine, est liée, à un comportement favorable, raisonnable. Donc, bénéfique. L’émotion malsaine, à une attitude contre-productive, excessive. Donc, mauvaise. Ni l’indifférence ni, l’accablement, ne conviennent, mais, la « juste responsabilité, de bon aloi ». Le même raisonnement, peut être tenu, quant aux émotions, du junior, positives, saines, équilibrées, bénéfiques. Outre, celles, négatives, malsaines, polluantes.

 

Par exemple, la joie juvénile simple, équilibrée, résultant, de l’annonce positive, d’une bonne nouvelle, est saine, car, fondée, normale, modérée. Or, l’euphorie maniaque, suscitée, par un état second, de type, bipolaire, est malsaine, car, artificielle, irrationnelle, hors, de proportion. Différence, entre le « pathologique » et, ce qui relève, de la bonne santé psychique. Pour s’en sortir, il s’agit, d’affronter, ce qui trouble fort, au lieu, de l’éviter. Plus, l’on combat, moins, l’on a peur. Plus, l’on évite, ce qui perturbe, plus, l’on est tourmenté.

 

Annihiler, les mauvaises émotions, du junior, consiste, à lutter, contre, les certitudes délétères, les remplacer, par des adhésions, croyances, bénéfiques. Outre, l’évitement, les addictions, dépendances, les dissimulations, la procrastination, constituent, aussi, les pires façons, de ne pas résoudre, ses difficultés. Le mal-être, ne saurait être prétexte, à isolement, inactivité. Ni à volonté abusive, de maîtrise, de tout et, de tous, y compris, soi-même. Ce qui ne fait, qu’aggraver, le malaise. L’acceptation, le renoncement, le lâcher-prise, sont plus efficaces. Il convient, d’accepter, l’idée, d’incertitude, de doute, risque. Car, cela, fait, tout autant, partie, de la vie, du jeune, que sa sécurité, même688.

 

Sous peine, d’être fort angoissé, malheureux. Car, l’on ne peut aller, à l’encontre, d’une réalité humaine, par essence, si insécure, imprévisible, aléatoire. En laquelle, tout, est provisoire et, révocable, telle, la vie, elle-même. Seule, la mort, ayant, un caractère, d’absolu éternel, assuré. Que le junior renonce donc, à être rassuré et, à tout vérifier, à l’excès, aux rituels inutiles, au refus, des risques, à influer, sur autrui. L’anxiété lui fait exagérer, l’hypothèse et, l’importance, d’un danger et, minorer, son aptitude, à y faire face. Ce qui augmente, l’angoisse.

 

Qui plus est, pour des choses qui, le plus souvent, ne se produiront, jamais ou, seront, bien moins graves, qu’escompté. Qu’il surmontera, bien mieux, qu’il le pensait. En outre, les mesures juvéniles protectrices, qu’il prend, pour se préserver, contre les causes, de ses peurs excessives, sont irrationnelles, irraisonnées. Elles se révèlent, même, fort généralement, causes, de troubles, quasi, aussi gênants, que ceux, contre lesquels, le jeune, veut, se garantir. Un remède, pire, que le mal ! La solution, est de s’exposer, progressivement, à ce qui inquiète, pour rendre, la source, de malaise, inoffensive. Par habituation, acceptation, déminage, de la peur, même, la plus extrême.

 

Au lieu, de multiplier, les esquives juvéniles, inutiles, mutilantes, qui loin, de résoudre, le problème, ne font, que le masquer, nier, donc, l’aggraver. Nul, besoin, de béquilles, prothèses illusoires, pour bien vivre. L’inquiétude ne protège pas, mais, gâche, encore plus, l’existence. Il s’agit, de bien faire, non, d’être « perfectionniste ». « Le mieux, étant, l’ennemi, du bien ». (T. d’Aquin, théologien, États italiens, 1224-1274, Somme théologique, traité moral, États italiens, 1266-1273). Que ce soit, en pensée, émotions, action. Car, le trop bien, devient, alors, le mauvais. Vouloir, trop, réussir, mène, le junior, à échouer. Vouloir, trop, éviter, une chose, conduit, souvent, à obtenir, l’inverse, de ce que l’on veut.

 

Alors, que le jeune pratique le « lâcher-prise », qui n’est pas, le laisser-aller. Plutôt, que de s’obséder, si négativement, de ses problèmes, ce qui ne fait, que les aggraver, qu’il pense, ressente, agisse, plutôt, positivement. En vue, de se focaliser, sur ce qui va bien. Sur ce qui est, en son pouvoir, pour bien et, mieux encore, vivre et, pour le meilleur. Non ou, moins, contre, ce qui va mal, de façon, réelle ou, supposée. Pour cela, qu’il commence, par se fixer, des objectifs et, les bons ! Liés, aux difficultés, à surmonter. Ces buts, du junior, seront fort précis, favorables, vérifiables, raisonnables, fixés, dans le temps. Ambitieux, volontaristes689.

 

Partant, des réalités juvéniles, en cause, des pensées, émotions, comportements, des effets générés. Trouvant, des affects alternatifs, plus bénéfiques, pour soi. Idem, pour les cognitions, attitudes, actes. Se motiver, pour agir, aide, or, souvent, c’est l’action, qui motive, sans compter, ses résultats positifs, plus, que la motivation, n’incite, à agir. Il n’y a pas, de motivation, du junior, possible, sans, croyance positive, préalable, car, le cognitif détermine plus, le comportemental, que l’inverse. Il importe, pour se dynamiser, de s’inspirer, de réalités, personnes, d’exemplarité.

 

Ainsi, que de représentations, sources, positives, de renforcement. Qui permettront, alors, de s’y référer, pour avoir, l’envie et, la force, de changer, d’agir. Que le jeune se pénètre, aussi, de tout l’intérêt, pour lui, à agir, changer, positivement. Avec, toutes les avancées, bénéfiques, que cela, implique, pour lui. Fasse, la balance, entre les avantages et, les inconvénients, pour lui, de changer. En matière, de pensées, d’émotions, de comportements, d’action, de solution. À court, moyen et, long termes. Pour lui-même et, autrui. Le plus souvent, les avantages, du mouvement résolu, l’emportent, sur les inconvénients, de l’immobilisme, le plus attentiste690.

 

Les inconvénients, de bouger, sont bien moindres, que les avantages, du statu quo, de la paralysie. Convaincu, de l’intérêt bénéfique, du changement, pour soi, le junior est, d’autant plus, motivé, à agir, en ce sens. Des inconforts provisoires, à court terme, sont fort acceptables, pour en bénéficier, à long terme, en matière, de résultats favorables, durables. Notant, au fur et, à mesure, les avancées, perçues. Précisant, les difficultés rencontrées, quantifiant, ce que cela, implique, en pensées, émotions et, comportements. Ajoutant, ce que cela, génère, pour soi, en matière, d’action, de buts juvéniles.

 

Voyant, ce qui sépare encore, de la réalisation, de son dessein. Pour lutter, contre les anxiétés, peurs, contre-productives, l’on peut se persuader, de façon, pragmatique. Se convaincre, que ce qui inquiète, en théorie, a bien peu, de chances pratiques, de se réaliser. La pensée négative, mène, à l’anxiété, donc, à la certitude, que le pire, dont, l’on est convaincu, arrivera. Ce qui n’est jamais, avéré, à l’avance. Toutefois, cru, à tort, par pessimisme, dramatisation catastrophiste. D’où, l’intérêt, de savoir, « raison garder ». Pour être, plus paisible, détaché. Ce qui permet, au jeune, d’être plus positif, d’un point de vue cognitif.

 

Plus serein, émotionnellement. Plus efficace, de façon, comportementale. Alors, qu’en étant, négativement survolté, le junior ne récolte, que l’inverse. Pensées, d’affolement. Émotions massacrantes. Actes désordonnés, d’échec. Le tout, ne faisant, qu’attiser, les angoisses, les plus démesurées. Pour surmonter, les affres, de l’anxiété, bien, y faire face, il s’agit, d’en bien identifier, accepter, les symptômes psychosomatiques. Cela, aide fort, à déjà, se sentir mieux. Affronter, ses peurs, plutôt, que les fuir, est la solution, la meilleure.

 

Cela, passe, par l’exposition, l’habituation et, la « désensibilisation », du jeune, quant à ce qui l’inquiète, de façon, cognitive, émotionnelle, comportementale. Sur le mode ni, trop élevé ni, trop bas, mais, de la manière suffisante, pour efficacité. Inutile, de se sécuriser, à outrance, en fuyant, ce qui fait peur, cela, ne fait, qu’augmenter, l’anxiété, d’autant, aggraver, le problème. Le manque, d’estime, de soi, est une dévalorisation, de soi. L’estime, de soi-même, est, au contraire, une « valorisation », de soi. Pour renforcer, l’estime juvénile, de soi, défaillante, l’on peut, s’autovaloriser, plus et, mieux. Réévaluer, positivement, ce que l’on pense, de soi. Or, cela, reste, aléatoire, fluctuant691.

 

Le mieux, est alors, de s’accepter, pleinement, de façon, inconditionnelle, tel, que l’on est. Cela, permet, d’éviter, de toujours, se juger, soi-même, s’obséder, de l’image, que l’on donne, ainsi, que de l’opinion, d’autrui, sur soi. En tant, qu’humain, unique, à part entière, sa valeur est inhérente, à son humanité, ce que le jeune est. Jamais, à ce qu’il fait, a, ou, paraît, ses résultats ou, positions, en société. Sa confiance authentique repose, donc, sur des facteurs endogènes et, non, exogènes. S’il s’accepte, ès qualité, sa confiance est consolidée, car elle ne relève plus, du bon vouloir, des autres ou, d’aléas externes.

 

Or, de sa propre souveraineté, « for interne » juvéniles. En cas, de coup dur, il continue, à s’aimer, car, il n’associe plus, l’épreuve, à son indignité, or, au fait, de sa nature humaine, imparfaite. Dont, la valeur, n’est pas altérée, pour autant. Tel aspect, de lui, peut bien, lui paraître, fort insuffisant, ne pas, lui convenir. Or, aucun autojugement ni, fixation, de valeur, par autrui, holistiques généraux, ne sont possibles, quant à sa personne. Par ses sophistication, unicité, imperfection, richesse et, évolutivité constante. Le junior représente, une telle importance, que sa valeur, est inestimable.

 

Que le jeune ne confonde pas, sa valeur endogène et, sa valeur exogène. La première, est celle, qu’il s’attribue, à lui-même. La seconde, est celle, dont, lui font crédit ou, débit, les autres humains. La tragique erreur, est de mélanger, les deux et, de ne porter attention, qu’à ce que les autres, pensent, de soi. Croire, que sa valeur juvénile interne, ne dépend, que de celle, qui est externe. Que du jugement, d’autrui. Or, seul, compte, le verdict, que l’on émet, à l’égard, de soi-même. Celui, des autres, est « nul et, non avenu », du simple fait, qu’il ne vient pas, de soi- même, mais, de l’extérieur.

 

Alors, qu’il prétend juger, en valeur, ce dont, il ignore, pourtant, tout. Un peu, comme, un étranger, nouveau venu, se permettant, de tout, remettre, en question, loin, de chez lui, en territoire inconnu. La valeur, du junior, ne dépend, exclusivement, que de lui et, son regard, sur lui-même, jamais, des autres, de leur opinion, sur lui. Un point, c’est tout. Il ne doit jamais, laisser autrui, juger, sa personne. Tout juste, ses actes, en la limite, de la légitimité, fondée. Que les autres, se jugent, eux-mêmes, comme, bon, leur semble, c’est, leur affaire !

 

Or, il s’agit de, toujours, leur dénier, le droit, de juger, le jeune, s’interdisant, lui-même, de leur infliger, indûment, la pareille. Un proverbe arabe, ne dit-il pas, en substance, que : « Quand, l’on possède, une toiture, de verre, l’on ne s’amuse pas, à caillasser, le toit, de tôle, du voisin » ? De même, les Écritures, mettent aussi, en garde, contre, tout jugement arbitraire.

 

« Ne jugez pas et, vous ne serez pas jugés, ne condamnez pas et, vous ne serez pas condamnés, remettez et, il vous sera remis ».

(Luc, évangéliste, Moyen-Orient, Ier s., Évangile, VI-37, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.).

 

L’on est « personne, valable et légitime », non, car, d’autres humains, l’ont possiblement, décrété, mais, parce que, l’on en est, convaincu. En son âme et, conscience juvéniles. Tout le reste, n’a nulle, importance, nul, fondement ni, valeur, en soi. De même, même, si autrui, a décidé, que l’on était « indigne », l’on est, malgré tout, à ses yeux, « valeureux », si on l’a décidé, ainsi ! Alors, le junior « se suffit », toujours, à lui-même, sans, nul, besoin, de l’aval ou, du rejet, des autres, pour avoir foi ou, non, en lui-même. Qu’autrui, le valorise ou, dévalorise, il se doit, de, toujours, en faire fi, s’apprécier, valoriser, en bonnes, inconditionnelles, estime, acceptation, de lui-même. Indépendamment, des autres, de leurs appréciations, des événements extérieurs, des circonstances, du temps ou, de l’espace et, des choses692.

 

Cela, permet, d’avoir, une bonne confiance juvénile, en soi, autrui, la vie, son destin. Une bonne affirmation, de soi. En plénitude, équilibre, bonheur. En outre, le jeune peut toujours, rectifier, ce qui ne va pas, améliorer, encore plus, ce qui est positif, en lui. S’accepter, tel quel, tout en progressant, pour devenir meilleur. Optimiser, ses capacités, tirer, tous les enseignements, du passé, des événements, des échecs et, succès, de lui-même et, des autres. Ses travers, spécifiques, circonscrits, ne font pas, de lui, un « complet déchu ». Pas plus, que ses qualités particulières, un « parfait génie absolu ».

 

Qu’il ne généralise pas, ses défauts, manquements, pour s’accabler, globalement. Qu’il sépare, là encore, ses actes et, sa personne. L’Homme est toujours, « plus grand, que lui-même ». Qui a fauté, un jour, n’est pas, pour autant, un fauteur invétéré, en tout et, pour tout, à vie. Le junior évolue, il peut changer, ne peut s’enfermer ou, être enfermé, en un seul aspect, de lui-même et, de son existence. Rejetant fort, alors, toute catégorisation, pour lui-même et, pour autrui. « Être, en devenir et, déjà, devenu, il est un vrai mutant ». Le jeune n’est jamais, réductible, à un seul trait personnel ou, à certains, d’entre eux.

 

Or, à tous ceux, qui le caractérisent, en un ensemble global. Bien, au-delà, en tant, qu’entité biophysique, psychocognitive et, sociomorale. Le junior est donc, non évaluable, inqualifiable. En tant, qu’ensemble, bloc, indéfinissables, non, agglomérat, de caractéristiques individuelles spécifiques. L’on mute, en permanence, ce qui rend, encore plus, absurde, le fait, d’être évalué. Car, alors, tout jugement, est rapidement, caduc, périmé, obsolète, donc, faux. Aucune valeur, n’est donc, jamais, quantifiable, de la naissance, à la mort. Même, mort, certaines, des fonctions biologiques, perdurent, un temps !

 

Le jeune est plus heureux, en acceptant, son imperfection humaine, celle, d’autrui, du monde. Tout en faisant, de son mieux, pour « mieux être, faire ». Pour soi, les autres, l’univers. N’oubliant pas, que sa valeur intrinsèque est, d’abord, liée, à son unicité originale, si particulière. Donc, à sa similitude, avec tous, puisque, chacun, est unique. Cela, relativise, ses défauts, qualités, en humilité et, fierté, mêlées. D’où, l’importance, d’être, ce que l’on est, en tant, que tel, ni plus ni, moins. Sans arrogance, prétention, fatuité juvéniles égocentriques ni, autodépréciation, autoapitoiement, ressassements, des plus mutilants693.

 

En acceptant, les gloires, les ombres, chez soi, comme, chez autrui. Sans, majorer, ni minorer, ni les hauts, ni les bas. S’accepter, épanouit, quand, se rejeter, autodétruit. En cas, de difficulté ou, de non-succès passager, du jeune, il convient, non, de s’accabler, mais, de relativiser, tirer, tous les enseignements. Pour « corriger le tir », s’améliorer, progresser et, bien réussir, à la prochaine tentative. Le plus souvent, l’échec n’est pas définitif, irrémédiable, mais, provisoire et, corrigible. Il s’agit juste, d’une étape, d’un résultat temporaire, que l’on n’attendait pas, qui ne convient pas.

 

C’est, de croire, à son caractère, si absolu, intangible, à l’infini, qui abat. De même, que d’associer, l’insuccès, à une indignité, une déchéance juvénile, de l’ensemble, de sa personne. Non seulement, au mauvais aboutissement, d’une action ou, à une simple péripétie transitoire, comme, c’est le cas. Alors, que sa propre valeur humaine, n’en est pas altérée, pour autant. Cela, est subjectivement, affreux, à ses propres yeux, bien moins, à ceux, d’autrui et, plus objectivement. Que le junior, ne confonde pas, un accroc conjoncturel, avec un malheur structurel. Généralement, il s’agit, bel et bien, du premier genre. Le plus passager, éphémère, réversible.

 

S’accepter, n’est pas, se résigner, au pire, or, faire effort, pour changer, s’améliorer, comme, progresser. Supportant, la frustration juvénile, par tolérance, de la difficulté, du labeur, présents, pour être fort récompensé, ultérieurement. Ne pas s’accepter, implique, de ne pas admettre, la frustration, en peinant, maintenant, pour atteindre l’objectif, tous ses avantages, plus tard. S’accepter, soi, n’implique pas, d’accepter, ses travers, petits et grands. Cela, indique, que l’on accepte, son caractère faillible, car, humain. Avec force, nécessité morale, auto impartie, de se corriger, bonifier, en effort, persévérance, courage, espérance, du junior.

 

Il s’agit, de reconnaître sa part, en ses dévoiements, sans s’accabler ni, s’anéantir, avilir, pour autant. Car, sinon, cela signifierait, que cela, est irrémédiable, car si consubstantiel, à sa nature profonde. Humaine et juvénile ! Alors, qu’il s’agit, de causalités extrinsèques, dont, l’on est responsable et, donc, corrigible. Le jeune peut isoler, ses comportements négatifs, inappropriés, pour les modifier, positivement, de façon, idoine. Il s’agit, de ne pas « cataloguer », soi-même ni, autrui. Or, de tout et, tous « jauger », de façon, exacte, juste, objective, sage, comme, circonstanciée694.

 

Y compris, soi-même. Pour éviter, les jugements hâtifs, non fondés, mutilants, pour soi, autrui. Que le junior soit aussi, franc, honnête, en ses appréciations, pour éviter, les faux-semblants, nocifs, délétères. Apprenne, à se réconcilier, avec sa personne, en n’évaluant, que ses actes, mais, jamais, lui-même. Sache, composer, avec ses travers. Soit indulgent, avec lui-même, relie, ses actes, à ses difficultés, réalités humaines, donc, faillibles et, perfectibles. Le jeune vaut toujours, plus et mieux, que ses attitudes et, actes. Ce qui ne le dispense, en rien, de se corriger et, de faire effort juvénile, pour évoluer, mieux faire et, progresser.

 

Sans besoins, de culpabiliser, car sa valeur est égale, à celle, des autres humains et, réciproquement. Qu’il lutte, contre, ses colères abusives. La colère saine, est un légitime agacement, de défense, fondée. La colère malsaine, est une rage nocive, détestation morbide, de pure agression excessive, disproportionnée. Tout est alors, affaire, de tolérance, respect mutuels, des différences. Car, le junior vit, légitimement, selon, ses propres normes et, jamais, celles, d’autrui. Souplesse et, préférence, aident, à la sérénité, par libération, de soi, non, l’exigence et, l’attente crispées695.

 

En considérant, que chacun, est faillible, en s’acceptant, soi-même et, autrui, mutuellement, tel, que l’on est. En individualité juvénile et, multitude. Tout en recherchant, à être et, faire, au mieux. Apprenant, à supporter, les frustrations, ce qui aide, à se contenir, être plus épanoui. Entre asservissements, aux dévoiements, d’autrui, explosions, fort rageuses, il y a, la fermeté. Laquelle, permet, de se protéger, des abus, faire face, adéquatement, à ce que l’on n’accepte pas, sans subir ni, dangereusement, inutilement, enrager. Par simple affirmation efficace, de soi, pour mieux arriver, sainement, légitimement, à ses fins.

 

Sans inhibition ni, agressivité ou, manipulation, du jeune. Même, face, aux pires remontrances, qu’elles soient fondées ou, non. Souvent, le junior vit mal, son présent, appréhende mal, l’avenir. Car, son passé, notamment, l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, aura été, pour lui, douloureux. Il développe, alors, des croyances négatives, à l’égard, de lui-même, d’autrui, de l’univers. Qui génèrent, des attitudes néfastes. Ces adhésions et, certitudes illusoires, reposent, sur des idées fausses, du junior, causent, des convictions nocives et, délétères. Qui s’égare, par ses aveuglements, se leurre !

 

Car, alors, tout est terni, à l’aune, du fort pessimisme, de la négativité. Il s’agit, de bien isoler, toutes les croyances négatives, malsaines, du jeune, liées, au passé, pour bien les annihiler. Puis, les remplacer, par des pensées alternatives et, plus positives et saines. De façon, moins extrémiste, plus exacte, pragmatique, lucide, quant à soi, autrui, l’univers, les événements, en cause. L’on peut ainsi, réinterpréter et revisiter, son passé, de façon, plus positive. À la lumière, de son évolution présente, bien plus, aboutie, réfléchie, distanciée, sereine, en relativisation.

 

Puis, le junior intégrera, ces nouveaux schémas mentaux, bien plus, constructifs, favorables, productifs, à sa nouvelle façon, de concevoir, son passé. En remplacement, total et définitif, des anciens, périmés, comme, toxiques. En tant, que réalité, dont il est, désormais, pleinement, convaincu. L’objectif est de fixer, des croyances, à consolider. Puis, de faire en sorte, de les considérer, comme, des adhésions acquises, même si, ce n’est pas encore, le cas. En pensées, émotions, comportements et, actions. En agissant, selon, les nouvelles croyances positives, même, sans y croire encore, totalement, le jeune les appuie. Il finit, par y adhérer, pleinement.

 

Il s’agit, d’éliminer, toutes les croyances négatives, malsaines. Celles, qui sont erronées, non conformes, aux données, de fait. Celles, qui sont limitatives, excessives, incohérentes, nocives. Il convient, de trouver, des « preuves », allant, à l’encontre, des croyances négatives malsaines, pour mieux, les combattre. De même, le junior réunira, toutes celles, consolidant, les certitudes alternatives positives, saines. Ces dernières sont authentiques, fidèles, à la vérité. Elles sont souples et, adaptatives, modérées, équilibrées, pertinentes et, rationnelle, bénéfique.

 

Restant vigilant, pour persévérer, à cultiver, de saines pensées juvéniles, s’entraînant, à le faire, chaque jour. En mettant, sans cesse, à l’épreuve, ses certitudes positives saines, alternatives. En les occurrences, sources, des modes, de pensée, de comportements, périmés, nocifs. En étant attentif, à ne pas s’égarer, de nouveau, en rectifiant, autant, que nécessaire, ce qui doit l’être. Si l’on venait, d’aventure, à retomber, en ses coupables errements, travers. Que le jeune se nourrisse, de tout, ce qui vient, désormais, corroborer, renforcer, ses croyances saines, en les faits vécus. Qu’il « fasse feu, de tout bois », cognitif, émotionnel, comportemental, positif696.

 

Ne laisse pas, les émotions négatives paralysantes, détruire sa personne juvénile, sa vie, son lien, aux autres, au monde, son épanouissement. Telles, la honte, culpabilité, fierté excessives. Sache, se faire aider, autant, que de besoin. Soit indulgent, avec lui-même, sans, pour autant, être complaisant. N’oublie pas, l’optimisme, l’atteinte, de ses objectifs, les plus prioritaires. En la ténacité, l’effort, l’espérance. Lutte, contre, les pensées bloquantes, qui le dissuadent, d’agir, de façon, la plus idoine, bénéfique, pour lui. Que le jeune accepte le changement, la frustration, l’action, pour avancer.

 

Reste, persévérant, vigilant, pour, sans cesse, entretenir, susciter, les bons réflexes et, mécanismes cognitifs, émotionnels, comportementaux, positifs, sains. Pour prévenir, lutter, contre ceux, qui sont négatifs, malsains. Puisque les premiers, sont bienfaisants, pour soi, quand, les seconds, sont autant, maléfiques. Que le junior remplace, sans cesse, les pensées, affects, attitudes et, actions mauvais, par de bons. Ne se laisse jamais, submerger, par les émotions, les sentiments ou, affects, qu’ils soient négatifs, neutres ou, même, positifs. Ego, image, de soi, opinion, d’autrui, sur soi, ne sont, qu’autant, de mortels poisons, à liquider.

 

Il s’agit, ni de se laisser abattre, par ce qui affecte ni, de se laisser aller, à l’euphorie, de ce qui est agréable. L’égalité d’humeur s’impose. En responsabilité, de ses pensées, émotions, actes, sans culpabilité mutilante ni, désengagement délétère. Ce qui permet, au jeune, de faire face et, dépasser, les difficultés. Il s’agit, aussi, d’être souple, adaptatif, en acceptant, ce qui est, tout en se battant, pour l’améliorer. Affirmant, son unicité et, originalité, pour s’épanouir, en respect, des autres, des différences. S’affirmant, de façon, équilibrée, sans, pour autant, prétendre, s’imposer, en force.

 

« Tolérant », l’incertitude, comme, les dysfonctionnements, qui gouvernent, le monde, car, « c’est, ainsi » ! Cela, garantira, au junior, plus, de sérénité, tout en étant, de bonne volonté, pour contribuer, au progrès personnel, général. Il est, aussi, capital, d’être indifférent, à son image, l’opinion, d’autrui, à son égard. Qu’importe, que sa réputation, soit bonne ou, mauvaise, puisque, les autres, ont le droit, d’apprécier, le jeune ou, de le rejeter, mésestimer. C’est, leur affaire, non, la sienne. Vouloir, plaire, à tous, rend, mal à l’aise, anxieux. Y être insensible, renforce, rend épanoui, libre, autonome, en toute souveraineté juvénile697.

 

Du fait, de ne pas dépendre, d’éléments extérieurs, de l’aval, d’autrui. Or, de son for interne, uniquement. La valeur, du junior, dépend, de lui, jamais, de celle, que les autres, veulent bien, lui attribuer ou, non. Cela, est gage, d’assurance, de confiance, en soi. Avoir, un partenaire affectif, n’est pas, un impératif, au bonheur. Sinon, gare, aux dépendances toxiques. N’oublions jamais, que le vrai amour oblatif, consiste, à avoir besoin, de l’autre, car, on l’aime. Quand, le faux amour captatif, consiste, à aimer, autrui, seulement, car l’on a besoin, de lui.

 

Oblare, en latin, signifie, « donner », alors, que captare, implique, seulement, de « prendre ». Que le jeune souffre, aussi, de connaître, des duretés, maintenant, pour bénéficier, de bons résultats, plus tard. La peine actuelle, est le préalable, à la récompense ultérieure. En résumé : « Sacrifice et, gain » ! Il s’agit, aussi, de ne pas être « bon », pour l’être, mais, d’être authentique, en pensant, d’abord, à soi, ses intérêts, épanouissement. Tout en traitant bien, autrui et, en donnant, aussi, aux autres. Mieux, servir autrui, que soi-même, est une erreur, qui ne peut, que nuire, à sa personne, sans pour autant, avantager, les autres. Le junior ne peut jamais, les honorer, en se niant, lui-même !

 

L’équilibre juvénile consiste, à se gratifier, d’abord, soi-même, pour s’épanouir. Pour seulement, ensuite, être en mesure, d’apporter, « le meilleur, de soi », à autrui. Sans rejet, des autres ni, à leurs dépens. N’oubliant pas, davantage, ce qui motive, intéresse, a un sens fort, pour soi, avançant, toujours, en conformité, avec ses idéaux, valeurs. Acceptant, que tout ou, presque, ici-bas, soit aléatoire, provisoire, réversible, imprévisible. Il est aussi, capital, d’avoir une bonne estime, de soi. Ce qui permet, alors, de connaître, une bonne confiance, en soi et, une bonne affirmation, de soi. En assurance, pleine et entière !

 

Pour cela, il convient fort, de s’abstenir, de stigmatiser autrui. Il s’agit, de s’apprécier, soi-même, non, de dévaluer, autrui. De se renforcer soi, non, de démolir, les autres. Tout jeune est unique, mais, jamais, à part. Qu’il accepte, d’être un « terrien ordinaire », avec sa valeur originale, comme, « tout un chacun ». Qu’il ne cherche jamais, à être apprécié, de tous ou, de quiconque. Il suffit, d’ « être soi », car chaque junior, se suffit, à lui-même. L’on peut s’aimer, même, en étant ignoré ou, détesté, « de la Terre entière ». L’essentiel, est de se bien respecter, soi-même, de se faire respecter, par tous, toujours698.

 

Refuser, toute critique négative, même, fondée, est aussi, une erreur, du jeune, puisque celles, qui sont constructives, aident, à progresser. Elles sont, en sa faveur, non, une pure agression, malveillante. Seules, les critiques malignes, hostiles, mal intentionnées et, illégitimes, car ne reposant, sur rien, d’avéré, sont à rejeter, avec calme, fermeté. Comme, tous, le junior est faillible et, imparfait, donc, fort susceptible, de blâmes. Le reconnaître, l’accepter est, alors, positif, pour lui, autrui. Affrontant, ce qui l’inquiète, lui paraît difficile, plutôt, que de fuir.

 

Cela, le renforce, alors, que l’évitement juvénile, ne fait, qu’aggraver peurs, malaises. Qu’il apprivoise, positivement, ses émotions, pour bien les vivre, au lieu, de prétendre, les annihiler, ce qui les grandit, négativement, au centuple. Inutile, de vouloir, avoir, de l’ascendant, de l’influence, de la maîtrise, sur autrui, en toute manipulation. Cela, n’est ni bénéfique, pour personne ni, légitime. Or, voué, à l’échec, car, cela, aboutit, à « nier », les autres, comme, soi-même. De fait, nuire, à la liberté, d’autrui, est détruire, la sienne propre. Contribuant, permettant, celle, des autres, le jeune consolide, la sienne, en interdépendance. Bonheur et, malheur, de soi, d’autrui, sont liés.

 

Inutile, de vouloir, trop, se faire respecter, car, cela, aboutit, à ne pas l’être, par autrui. Une bonne confiance juvénile, en soi, suffit, pour bien, se protéger, des abus extérieurs. Tonitruer, au moindre manquement, est contre-productif et, signe, de mésestime, de soi. Attention, au complexe, de supériorité, pendant naturel, du complexe, d’infériorité. Le lien humain sain, ne peut qu’être fondé, sur la parité, entre les êtres, car chacun, possède, ses failles, comme, ses vertus. Il suffit, d’être soi, s’acceptant, ainsi, qu’autrui, tels quels, en humilité, sans s’avilir et, en assurance, sans écraser autrui.

 

Ainsi, l’on ne nie, ni soi ni, autrui, l’on ne déifie personne, non plus, ni soi ni, les autres. Que le jeune ne rejette jamais, la cause, du « pire », réel ou, supposé, entièrement, sur l’extérieur, les autres, la malchance, l’éducation ou, la génétique… Pas plus, que sur lui-même, exclusivement. Cela, permet, de relativiser, n’excuser ni, n’accuser, rien ni, personne. De se battre, pour faire face, progresser, dépasser les blocages, souffrances. N’hésitant jamais, à changer, innover, varier, pour s’enrichir, fuir, la morne monotonie, de ses sclérosantes routines. Halte, aux hontes, culpabilités, non fondées, du junior, si toxiques699 !

 

Que le jeune ne se prenne jamais, excessivement, au sérieux. Sache, avoir, de l’humour, rire de tout, de lui-même. Ne se choque jamais, de rien, car il n’est « ni, victime ni, martyr », or, comptable, de sa souveraineté propre, en courage, sérénité. Qu’il ne prête attention, qu’aux abus, les plus flagrants. Le reste, ne mérite, qu’indifférence, relativisation. Profite, des justes critiques, pour s’améliorer. Apprenne, à se mouvoir, de façon, détendue, parmi, autrui.

 

Avec centration, sur les autres, non, soi-même. Naturel et, sans pures béquilles psychologiques, de réassurance et, protection illusoires, inutiles, comme, contre-productives. Que le junior se manifeste et, s’affirme, ait, le plein contrôle, de lui-même, apprécie, ce qu’il vit, seul et, avec autrui. Soit, inventif, original, iconoclaste. Oui, qu’il ose, être, ce qu’il est, veut, être ou, faire. Toujours, au bénéfice, de soi, des autres, mais, jamais, au détriment. (Branch, Willson, 2006)700.


 

 


Jonathan, jeune étudiant insouciant, optimiste, est fort heureux, de vivre. Par contraste, son grand frère, Paul, est plus sombre, tourmenté et, traverse, une période difficile. Il vient, de se séparer, de sa compagne et, retourne, alors, pour un moment, chez son père, pour surmonter, l’épreuve. Il déprime, son jeune frère, Jonathan, fait tout son possible, pour l’aider, à « retrouver, le sourire ». Toute la cellule familiale désunie, se ressoude, alors, à cette noble fin, le temps, de « redonner vie », à l’aîné, qui en a besoin. Ainsi, va le film, Dans Paris, en une sorte, d’errance salvatrice, tant morale, que géographique, en la Capitale. L’intérêt principal, de cette œuvre, réside, en ceci, que, les aînés, ne sont pas, les seuls, à soutenir, les cadets, à leur apporter, toute leur richesse humaine. Ici, c’est le jeune frère, étudiant, qui se bat, pour « sauver », son grand frère, adulte, dans la vie active.

 

Non, l’inverse, comme, très souvent ! En dépit, de ses propres incertitudes juvéniles, Jonathan « vole, au secours », de Paul. De toute la fougue, de sa jeunesse, il l’aide, à « se hisser, au-dessus, de lui-même », à comprendre, que l’homme est plus grand, que ses faiblesses. À l’instar, d’autres peuples, en l’intérêt, de leur pays et, du leur, les Français doivent promouvoir, leur néogénération. Il faut reconnaître, son « obsolescence » et, savoir, « passer la main » ! Les juniors peuvent beaucoup, pour leurs prédécesseurs ! (Dans Paris, comédie dramatique cinématographique, française, du réalisateur contemporain, C. Honoré, France, 2006)701. À cet égard, l’élection, en mai 2017, d’un chef d’État, trentenaire, en la personne, d’E. Macron, ne peut être, que fort positive, pour la France. Comme, les citoyens hexagonaux, l’ont très bien, compris et, voulu ! En dépit, des limites, des deux quinquennats concernés. (France, 2017-2027).


 

 


– Votre « Respiration » d’AndroJeunoConsulting –

 Humaniste et de Consolidation


 

 

Votre AndroJeunologie® est basée, sur l’approche humaniste, c’est-à-dire, centrée, sur votre personne même, de jeune garçon. Cela, permet, de vous comprendre, de vous appréhender, au cœur, de vos attentes, besoins, réalités, personnalité et, essence intrinsèque, unique. Il s’agit, d’une véritable « anti-démoralisation »702. La conception humaniste, de la relation d’aide, du conseil, à autrui, a été « théorisée », pratiquée, par A. Maslow. (Psychologue américain, 1908-1970). C. Rogers. (Psychologue américain, 1902-1987).


 

 


L’humanisme est thérapeutique ou, d’accompagnement, de conseil. Il repose, surtout, sur les comportements, façons d’être, du professionnel intervenant. Avant même, plus, que son bagage, théorique et pratique. Comptent, avant tout, les attitudes, qu’il adopte, non, les outils d’approche et, techniques, utilisés. L’appréhension, par l’aidé, de ce que, l’aidant est, pour lui, met en œuvre, en sa faveur, est fort capitale. En particulier, pour un junior, qui est toujours, ès qualité, très sensible, à la façon, dont, il est traité, par autrui. Notamment, par les adultes, plus encore, ceux, qui ont une responsabilité, sur lui. Respect, lui est dû !

 

Tout particulièrement, ses éducateurs, coachs, soignants, conseillers. Le tout, en un climat, de bienveillance, de compréhension, de confiance, d’empathie, de compassion, comme, de congruence. D’abord, naturellement, de la part, du praticien. Également, de celle, du jeune, en synergie, interactivité, respect, acceptation, coopération, mutuels. En mise, en condition, ambiance, positives, constructives, productives, favorables, réciproques. L’apport, d’un lien, d’aide, est d’autant, meilleur et, fructueux, que les conditions humaines, qui y président, sont chaleureuses, rassurantes, encourageantes.

 

En affectivité, considération, reconnaissance et, acceptation inconditionnelles, du junior. Sans, jamais, le juger, en valeur, ni négativement ni, positivement. Une relation d’aide est toujours, porteuse, quand, le professionnel est, lui-même, authentique, qu’il ne joue pas, un rôle. De même, quand, ce dernier, est bienveillant, favorable, attentif, perméable, à ce qu’est, l’aidé. En estime, constructive et productive, illimitée. Il s’agit, aussi, de comprendre, d’aimer, empathiquement, le jeune. En congruence, compassion, aussi. Qu’il le ressente, ainsi. Cela, l’emporte, alors, sur les compétences, purement techniques, du spécialiste.

 

Le junior apprécié et, respecté, par l’écoutant, sans conditions, finit donc, par s’apprivoiser, lui-même, positivement, progresser. D’autant, qu’il se perçoit, alors, lui-même, comme, étant digne, d’intérêt, d’attachement. Il l’accepte et, se reconnaît, à lui-même, cette vertu, ainsi, qu’aux autres. Le jeune s’estime, de plus en plus, favorablement, se conçoit, de moins en moins, comme, « enfant maudit ». En meilleurs, perception, appréciation, acceptation et, amour, de soi, et, d’autrui. Il s’est souvent, convaincu, d’être « mauvais, insuffisant, indigne, déchu ».

 

Par, lui-même et, du fait, d’autrui. Son suivi humaniste, centré, sur lui-même, lui fait, reprendre courage, espérance, motivation, confiance, comme, plénitude. En lui faisant, prendre conscience, qu’il est, naturellement, bon, sociable, comme, la plupart, des humains. Que ce sont, simplement, des circonstances, événements, réalités, lui-même ou, autrui, qui lui ont fait, adopter, une vision juvénile pessimiste. Négative, défavorable, défaitiste, contre-productive. De lui, des autres, de la vie, des choses, aléas, de son existence, son passé, présent et, avenir.

 

Il s’agit, alors, d’aider, le junior, à oser, opérer, des choix propres, devenir, autonome. De façon, positive, pour changer, progresser, « aller mieux et, devenir, meilleur ». De façon, holistique, globale. En épanouissement et, par autodétermination. Les dérives, si mauvaises, n’étant que l’aboutissement, du désespoir, du mal-être, de façon exogène. Non, d’un mal incarné, en soi, par nature, « consubstantielle », endogène. En un mot, se réconcilier, avec soi-même, oser, « être soi » ! La relation d’aide, du mentorat androJeunologique humaniste, a pour vital fondement, le fort questionnement essentiel, propre, à chaque jeune.

 

« Qui, suis-je, d’où, viens-je, où, vais-je, quel est, mon dessein et, ma mission existentiels, à quoi, à qui, consacrer, ma vie et, qu’en faire ? Comment et, pourquoi, qu’est-ce, que réussir, mon parcours terrestre, quelle, utilité, avoir, de mon vivant ? Quelle, trace, laisser, après, mon trépas, pour mes descendants, mes proches, contemporains, les générations futures ? Interrogations morales, spirituelles, axiologiques, par excellence. Qui ne laissent indifférent, aucun junior, en préoccupations, voire, en inquiétudes éthiques, comme, ontologiques. La jeunesse est encore, même, dans les années 2020, l’âge métaphysique, par définition703.

 

Il y a plus, d’un demi-siècle, des étudiants indiens, chinois, japonais, américains, canadiens, norvégiens, sont interrogés, sur leur choix prioritaire, de vie. Viennent, en tête, la responsabilité morale, de l’empire, sur soi, la « jouissance » et, la préservation, du « patrimoine commun », de l’humanité. Puis, la plénitude, à agir, pour dominer, les difficultés, en pleine confiance, dans le changement. Pour résorber, des préoccupations individuelles, comme, collectives, relever, des défis. Ensuite, l’introspection, la conscience intérieure, une ascèse, toute personnelle, une considération endogène élevée, de soi, des autres.

 

Plutôt, qu’une volonté, de pure domination, matérielle et humaine, exogène. L’ouverture, la sensibilité, l’attention, à l’Homme, comme, à la matière. Puis, l’hédonisme, sensuel et matériel, profiter, des bonnes choses, de l’existence, en plein contentement. Contre, les déplaisirs, du manque et, de la frustration. Une jeunesse, de 1960, plus morale, que matérialiste, donc. La nouvelle génération 2020, semble, aux antipodes, bien plus, hédoniste, que spiritualiste. Or, en réalité, nos juniors contemporains, sont bien plus sensibles, aspirent, bien plus encore, à l’accomplissement axiologique, de soi, qu’il n’y paraît.

 

Valeurs et, idéaux, les interpellent, leur parlent, toujours, en notre siècle. Tant, ils savent, en avoir, le plus grand besoin, pour se réaliser, être heureux, donner, un sens, à leur vie. Faire, en sorte, qu’elle n’ait pas, été vaine, mais, moralement, dépassée. Au-delà, surtout, l’essentiel capital demeure, aujourd’hui, comme, hier et, demain, pour tout jeune, d’ « être soi » ! Cela, consiste, pour lui, à oser, s’affirmer, tel, qu’il est, réellement, avec ses vertus, comme, ses failles. À s’assumer, se revendiquer, tel, quel, sans fard, positivement, comme, défavorablement, en lucidité, tranquille, apaisée.

 

Il s’agit, aussi, de se libérer, d’impératifs, plus ou, moins, légitimes, venus, de soi ou, d’autrui, artificiels, superficiels. Pour ne relever, que de sa conscience, son for interne, libre arbitre, en toute souveraineté néogénérationnelle. Se voir, être, tel, que l’on est, non, tel, que l’on aimerait, voudrait, être. Il convient, aussi, de se soustraire, complètement, définitivement, des pressions, attentes, obligations. Que prétendent, imposer, autrui, le corps social, sur l’individu, notamment, juvénile. Le junior, devenant, « adulte accompli », est celui, qui ne se conforme, exclusivement, qu’à, ce qu’il attend, de lui-même. De lui seul704 !

 

Jamais, à ce qui est attendu, de lui, par d’autres personnes. En dehors, de toutes normes, tous conformismes et, toutes conventions, imposés, de l’extérieur. Seule, compte, la totale volonté intérieure, propre, à l’individu. En plein respect, d’autrui, de la communauté. Le jeune épanoui est celui, qui se garde, de la compulsion, à plaire, aux tiers, qui sert, ses intérêts, avant, ceux, des autres. Ce qui est légitime, en toute plénitude. N’implique pas, pour autant, l’égoïsme, la négligence, d’autrui, la nuisance, aux droits, intérêts, de son prochain.

 

L’être humain, digne, de ce nom, se réfère, à lui-même, en libres dignité, autonomie et, pleine autodétermination. Chaque junior, s’impartit, les objectifs, la destinée, qu’il s’est, lui-même, fixés. Chacun, dirige, son existence, ses pensées, émotions, attitudes, décisions, choix et, ses actions. En pleine acceptation inconditionnelle, de soi, d’abord, puis, d’autrui. L’apaisement relationnel, avec ses congénères, passant, prioritairement, par la réconciliation préalable, avec soi-même. Donc, par l’estime, la confiance, comme, l’affirmation, de soi, créées ou, restaurées. Le « processus », du mieux-être juvénile, le plus profond, authentique, trouve, d’abord, sa source, en soi-même.

 

La plénitude existentielle, du junior, est un processus dynamique, évolutif, non, un état figé et, stagnant. Elle est aussi, une direction mobile, indiquée, non, une destination finale, fixe. Il s’agit donc, d’un processus, en marche, vers, un horizon donné. Décidé, par le jeune, en toute souveraineté, liberté, de mouvement, où, il le souhaite. En expérimentation positive, confiante, sereine. En pleine phase, avec le moment présent, plutôt, qu’avec le passé ou, l’avenir. Le passé est mort, définitivement, périmé et, révolu. L’on ne peut donc, plus, le modifier, mais, le dépasser et, l’intégrer, en sérénité.

 

Il est fort inutile, d’en garder, nostalgie positive ou, regrets négatifs. Le futur n’existe pas encore, il est donc, vain, de le craindre ou, d’en attendre, trop, de gratifications. Seul, son présent, permet donc, d’agir, de réussir et, d’être heureux, car il est, à sa portée immédiate, permet, de réaliser et, se réaliser. Le junior dépend plus, de lui, que de son antériorité ou, même, de sa potentielle projection, à venir. Pour tous jeunes, il n’existe nulle, prédétermination fataliste. Seuls, la liberté, le libre arbitre, l’autoconduite, gouvernent, l’Homme vivant, debout, résolu. Voilà, ce qui guide, le plus sûrement, les pas, de la jeunesse705.

 

Au-delà, de tout déterminisme, préétabli. En productivité, créativité, inventivité, adaptabilité, audace, originalité… Faisons crédit, aux jeunes, pour qu’ils aient confiance, en eux, en leurs aptitudes, en nous-mêmes, adultes, car ils méritent, la foi, en eux, notre adhésion. Un junior confiant, qui a, de l’assurance, fait confiance, est épanoui, serein et, paisible, compétent et, respectueux, de lui-même et, d’autrui. Il vit, alors, bien mieux ! La relation d’aide, d’approche humaniste, est donc, centrée, sur le jeune, qui est suivi, en entretiens. Cela, implique fort, que l’acceptation inconditionnelle, du junior, par le professionnel, induit, l’autoacceptation, du jeune, lui-même.

 

Quand, le praticien, le considère, tel, un véritable « sujet-personne », non, tel, « objet- matériau », le cadet s’identifie, lui-même, comme, tel. En suivi, il prendra conscience, de lui-même, de son unicité, originalité, de sa pleine valeur, intrinsèques et, consubstantielles, à sa seule personne, même. Cela, participe, de l’expérimentation, de l’action juvéniles, propres. L’humanisme androJeunologique, centré, sur le junior, aboutit, chez ce dernier, à des prises, de conscience et, évolutions positives. En vraie « prescience, prémonition, clairvoyance », de ce qui doit être.

 

Le jeune se perçoit, de façon, inédite, autrement, plus favorablement. Il s’accepte et, agrée plus, mieux, ses pensées, émotions, actes, comportements. Épanouissement, motivation, confiance, pro/actions et, autonomie, grandissent. Le mauvais stress, l’anxiété et, l’émotivité excessive, le sentiment, de vulnérabilité, d’insécurité, de faiblesse, d’indignité, de déchéance, l’inertie, fléchissent. Le « junior réel » et, son modèle ou, double idéal, attendu et, espéré, se rapprochent plus. Le jeune parvient, à être plus « plastique », moins intransigeant, en ses conceptions, comme, appréhensions existentielles. Plus indulgent, compréhensif, distancié, relativisant, par rapport, à lui-même, autrui et, l’existence, car, plus apaisé, serein. Il devient plus lucide, « raisonnable » et, réaliste, notamment, en ses objectifs personnels, de vie.

 

Tout en restant, légitimement, ambitieux et, à juste titre, exigeant. Il cogite, éprouve, se comporte, de façon, plus réfléchie, mature. Il renonce, à ses attitudes, actions inappropriées, inadéquates, nocives. Il accepte, bien plus, mieux, autrui, en juvéniles tolérance, ouverture, authenticité, harmonie, empathie, compassion. Il est plus perméable, aux réalités, les plus objectives et, avérées706. Même, les plus dérangeantes et, négatives, pour lui-même, relatives, à sa personne. Quant aux données endogènes, comme, exogènes. Le junior évolue, plus positivement, en ce qu’il est, viscéralement, de façon, favorable, constructive, productive, optimiste, déterminée. En un mot, le jeune suivi va mieux, il devient meilleur, optimise, ses potentiels. Il quitte, l’incertitude infanto-adolescente, pour l’adultisme juvénile, bien plus solide et, accompli… (Rogers, 1961)707.


 

 


Alex est un jeune, qui subit, les crises, de sa mère, la désaffection, de ses copains. Il se replie alors, sur son monde intérieur et, s’évade, en sa passion, du skateboard. Agrippé, par jeu, à l’extérieur, d’un train, en marche, il tue, accidentellement, un gardien, ne se dénonce pas. Alex se confesse, par écrit, mais, brûlera ensuite, ses aveux. Telle est, l’intrigue, du film, de G. van Sant, Paranoid Park. Du nom, du skatepark, de la ville américaine, lieu, d’entraînement, des adeptes, de planches à roulettes, que fréquente, Alex. À Portland, dans l’Oregon.

 

Le film s’inspire, du roman éponyme, de l’écrivain américain contemporain, B. Nelson. (États-Unis, 2006). Le jeune personnage veut occulter, ce qu’il a fait, il évolue, de façon, à se défaire, de ce qui l’obsède, si durement, l’étouffe, l’enferme. Pour enfin, grandir. Le mal lancinant est, ici, une rédemption, transcendance, vers le meilleur. En rituel initiatique et, de passage. La famille, d’Alex, est désunie, lui-même, écartelé, entre la corvée, des études et, la passion sportive.

 

Déçu, par une petite copine, qui le harcèle trop et, un meilleur ami qui, lui, le délaisse et, le fuit. Le skate est donc, un salvateur exutoire, tout trouvé. Qui deviendra, même, « l’arme, du crime », et, qui le délivrera, de l’agent, de surveillance, à ses trousses. Les skateurs constituent alors, son foyer. Alex a peur, de « sauter, le pas » de l’adultisme, veut, se rassurer. Or, son forfait l’oblige, aussi, à agir ! Il se débarrasse, de sa copine, si envahissante, de ses mauvais amis. Il se distancie, de fait, de ses parents, de son crime et, de sa culpabilité. Toutefois, la conscience ne peut, que demeurer. Ce qui est fait, est fait et, bel et bien, consommé, quoi, qu’il en soit. Au-delà, des sentiments, jugements. En réalité, Alex se sent perdu.

 

Nonobstant, il prendra conscience, que des métavaleurs, dépassent, les conjonctures. Ainsi, le jeune, devient-il, sage ! Il comprend, que « l’homme est toujours, plus noble, que ses failles » et, dépasse, sa seule, personne mortelle. (Paranoid Park, drame cinématographique, du réalisateur contemporain américain, G. van Sant, France, États-Unis, 2007)708. Quoi, qu’il en soit, tout jeune, se doit, d’être, un vrai « spectateur engagé ». Jamais, un faux acteur démobilisé, attentiste, passif. L’ « idéal », étant d’être, le plus possible, des plus réactifs, actifs, proactifs, plutôt, que défaillant.

(R. Aron, philosophe français, 1905-1983, Le Spectateur engagé, ouvrage, d’entretiens intellectuels, France, 1981).


 

 


– Votre AndroJeunologique « Promesse –

Coûte que Coûte » Positive, Constructive


 

 

Votre AndroJeunoConseil® s’axe, sur la psychologie positive. Il promeut, vos bonheur, épanouissement personnel. Force mentale et, spirituelle. Droiture morale, de junior masculin709. La psychologie positive est la pratique, qui contribue, à optimiser, votre existence. Elle use, pour cela, d’apprentissages, de schémas mentaux, d’outils, cognitifs, émotionnels, comportementaux, positifs, en vue, de votre vie meilleure710. Il s’agit, donc, non pas, d’une approche curative, pour aider, ceux, qui vont mal, mais, d’une vision préventive, dynamique.


 

 


Pour maintenir, favoriser, accroître, ce qui va, déjà bien, chez le jeune. Comme, la médecine chinoise, met l’accent, sur la prévention, chez le bien-portant, pour rester, en bonne santé. Contrairement, à la médecine occidentale, qui est plutôt, axée, sur le soin, la guérison, de la maladie, déjà, bien déclarée. La science a démontré, qu’un psychisme serein, positif, permet, d’être en bonne santé physique, de mieux, combattre, les réalités émotionnelles douloureuses. Émotions, cognitions juvéniles, influent, sur le corps, les attitudes, la durée, de vie. La maladie est d’origine physique, autant, que mentale. Beaucoup, d’affections, sont d’origine psychologique. La majorité, même !

 

L’apaisement mental, moral, permet, d’être mieux protégé, des maladies cardiovasculaires, neurodégénératives, cancéreuses. À l’inverse, l’état dépressif, colérique, du jeune, peut les favoriser, grandement. Relativiser, positiver, prendre du recul, permet, aussi, d’éviter, des troubles majeurs. Comme, les accidents, les suicides, les désordres psychiques et, les addictions, de toutes sortes. L’épanouissement permet, de nouer, de nombreux liens, très enrichissants, avec autrui.

 

Ce qui permet, au junior, d’être, en meilleure santé, physique, psychique. D’autant, que le calme, la paix intérieure, permettent, de préserver, sa santé, contrairement, au stress ou, à la colère. Alors, ce sont les bonnes hormones, qui se diffusent, plutôt, que les mauvaises. Ce qui permet, d’améliorer, sa santé, d’éviter, ses dysfonctionnements. Plus, l’on est positif, en sa jeunesse, plus, l’on a de chances, de vivre, fort vieux, en bonne santé, physique et, psychique.

 

Le bon moral juvénile, consolide, le système immunitaire, comme, le mauvais, l’affaiblit. La résilience, capacité, à surmonter, les épreuves, est un facteur, de meilleure défense, contre, les maladies, infections. De bons réflexes s’imposent, pour éviter, ce qui perturbe. La colère, la peur, la passivité, les dépendances et, tout, ce qui nuit, à la santé, physique, psychique. Il s’agit, de remplacer, ceci, par l’inverse. Améliorer, sa vie, ses liens, favorise, l’épanouissement. Surtout, si le junior a le contrôle, la maîtrise, des dimensions afférentes, à son existence.

 

La négativité mène, à la passivité, au fait, de subir, sa vie, au lieu, même, d’agir, quand, l’action, au contraire, épanouit. Les liens collectifs humains, l’insertion sociale, renforcent, encore plus, le sentiment, d’équilibre. Le pouvoir, d’agir, pour bien changer, « améliorer », les choses. En l’optimisme, la combativité, la confiance. Cela, commence, par le temps, des études, durant, lequel, il s’agit, de soutenir, d’encourager, de dynamiser. Comme, motiver, les jeunes, à donner, le meilleur, d’eux-mêmes et, à croire, en leurs aptitudes et, talents. Il en va, de même, dans le monde, du travail. Celui-ci, est capital, pour que le junior soit fier, de lui, comme, de son utilité sociale.

 

Le jeune travailleur est productif, heureux, en son entreprise, si son milieu professionnel, est agréable. S’il y est reconnu, pour, ce qu’il fait, avec considération, participation. Ce qui est, de l’intérêt, de tous : travailleurs, employeurs, entreprises. La vie est heureuse, si la perception, que l’on a, des événements, si son appréhension, des choses, si sa mémoire afférente, sont positives. Si elles sont négatives, son existence sera, moins riante. Sa vie importe moins, que la façon, dont, on l’interprète. À force, de n’en voir, n’en retenir, que le négatif, réel ou, supposé, l’on en oublie, le positif, n’en jouit donc, pas.

 

Ce qui accroît et, entretient, le pessimisme et, le mal-être juvéniles, donc, la négativité, en un cercle vicieux, sans fin. Le pessimiste ne voit, que le mal et, l’optimiste, le bien. Le « positiviste » se détache fort, de ses difficultés, alors, que le « négativiste », ne fait, que les ruminer, inutilement, de façon, stérile, sans fin. Ce n’est pas, parce que, le pire existe, qu’il ne faut jamais, voir, le meilleur, qui arrive, tout aussi, sûrement. Se focaliser, sur ce qui est favorable, rend plus heureux, que de ne s’obséder, que de ce qui n’est pas, constructif. Ce qui fait, que le junior, croit, que sa vie, ne vaut pas, la peine, d’être vécue711.

 

Ce qui ne marche pas, ne fait pas avancer, les choses, le monde. L’être juvénile n’est pas objectif, mais, subjectif, puisqu’il ne juge, toute chose, qu’en fonction, de son seul, état d’esprit, épanoui ou, en marasme. La pensée négative provient, d’analyses erronées, ce qui fausse, le raisonnement. Faux jugements, manichéisme, généralisation, exagération catastrophiste, oubli, de la positivité et, prédiction négative, de l’avenir… Tout cela, conduit, à l’échec, au mal-être. Le bonheur, du junior, rend plus objectif, optimiste. Moins envieux, jaloux et, en rivalité. Plus adaptable, en fonction, des circonstances.

 

Qui est heureux, de vivre, profite pleinement, de ce qu’il est, de ce qu’il a, de ce qu’il fait, paraît, pour s’en satisfaire. Quand, ceux, qui ont, des états d’âme, ne font, que se « chagriner », de ce qu’ils estiment, à tort ou, à raison, manquer. Sans, même, remarquer ni, apprécier, ce qui est existant, à leur disposition. Un tempérament positif, majore, les bonnes choses, minore, les autres. L’esprit négatif fait, exactement, l’inverse. Que le jeune sache donc, savourer, au mieux, les gratifications petites, moyennes, grandes, de l’existence. Le passé conditionne, le présent, lequel, influe fort, sur son avenir.

 

Le passé transmet, des connaissances, informations. Ainsi, que des expérimentations, qui nourrissent, tout un faisceau, de croyances. Les représentations, que le junior se donne, de soi, d’autrui, de l’univers. Ce qui élabore, ses pensées, émotions, comportements et, actions. En bref, tout, ce qui a abouti, à forger, son entité propre, ses liens, ses désirs. Si le passé a été, globalement, plutôt, positif, le jeune en retient, un souvenir satisfaisant. Ce qui l’aide, à bien vivre, aujourd’hui, à envisager, l’avenir, de façon, très confiante, favorable.

 

Si son passé, lui paraît, au contraire, majoritairement, mauvais, cela, l’affecte, trouble fort, son présent, lui fait craindre, le futur. Il n’est jamais, possible, d’être heureux, au présent, dans le ressentiment, le regret, la colère, la tristesse, le mal-être, concernant, le passé. À défaut, de pouvoir, oublier, il est toujours, loisible, de pardonner, sinon, les actes, bel et bien, aux personnes. Ce qui libère, le junior, l’apaise. Peut s’imposer, le pardon, à l’égard, de soi-même. La rancœur, le reproche, la culpabilité, les agressions subies, nuisent. Pour ne pas, se détruire, soi-même, il convient, de retenir, tous les enseignements bénéfiques, du passé. Les plus féconds, positifs, sains712.

 

Pour mieux rebondir, au présent, s’assurer, un avenir juvénile, bien meilleur. Cela, vaut, mieux, que de ressasser, péniblement et indéfiniment, ses épreuves antérieures, de façon, stérile et inutile. Pour pardonner, à soi-même, comme, aux autres, il s’agit, d’admettre, que la perfection humaine, n’est pas, de ce monde, pour personne ! Il est aussi, possible, de faire un pas, vers l’autre, pour exprimer, ses regrets, si l’on est, à l’origine, de dommages, à son détriment. De lui exprimer, son préjudice subi, si l’on est victime, de « mauvais procédés », de sa part.

 

Le junior peut aussi, pardonner, à des personnes disparues ou, encore, inaccessibles, par écrit. Puis, détruisant, symboliquement, le message, ce qui implique, l’anéantissement, de ses rancœurs. Les regrets, demandes, d’absolution, d’autrui, seront accueillis, favorablement. Il est important, que les épreuves passées, puissent être surmontées, donnent lieu, à enseignements positifs, renforcement moral personnel. Plutôt, qu’à amertume, abattements, aigreur. L’idéal, du jeune, est de ne pas juger ni, condamner, a priori, autrui, avec sévérité, acrimonie, stigmatisation ou, réprobation ni, définitivement.

 

Si nécessaire, il est toujours, possible, de se faire assister, des autres, professionnels ou, non. Réfléchissant bien, prudemment, avant, de jeter l’opprobre, sur le prochain, si cela, n’est pas, absolument, constructif ni, productif. Se pénétrant, du fait que, renoncer, à ses récriminations, permettrait, de s’alléger et, de mieux vivre. Ensuite, que le junior dépasse, ses querelles et, blocages, si négatifs, pour se concentrer, sur le meilleur, de son existence. Plus, que jamais, le pardon authentique demeure donc, une vertu cardinale, des plus bienfaisantes, pour tous. La reconnaissance, le remerciement, la gratitude, sont des émotions positives, très bénéfiques, pour la santé, physique et psychique.

 

Rendre grâce, rend heureux, quand, la malédiction, la vindicte, perturbent, grandement. Les émotions négatives, non toxiques, du jeune, telles, celles, suscitées, par une perte, seront distinguées, des émotions négatives nocives. Les premières, sont des réactions émotionnelles, factuelles et surmontables. Les secondes, ne sont, que des réactions pulsionnelles, comme, la colère, excessives, comparativement, à la réalité, en cause. Des plus ravageurs, pour les protagonistes, concernés. Il est très important, de remercier, les autres. Cela, peut être oral, mais, aussi, écrit. Gratitude, admiration, élèvent, l’être juvénile713.

 

Pour appuyer, plus encore, sa reconnaissance. Pour être épanoui, que le jeune sache, aussi, accorder, plus, d’importance, à ce dont, il bénéficie, déjà, en sa vie, plutôt, qu’à ce qui pourrait, lui manquer, encore. Goûter, pleinement, les gratifications simples, du quotidien, augmente, la propension, au bonheur. Tout en continuant, à se battre, pour améliorer, son ordinaire, celui, de son entourage. C’est, qu’il y a, en sa vie, généralement, plus, d’occasions et, de motifs, de gratitudes, pour les bonnes choses. Que de frustrations juvéniles, pour les mauvaises.

 

D’où, l’intérêt, de noter, chaque jour, ce qui est arrivé, de positif, de bénéfique, afin, que l’on puisse, pleinement, y goûter et, s’en réjouir. Pour être plus épanoui, encore ! Voir, le positif, en toute chose, contribue, à régénérer, l’existence. S’adapter, pour grandir, améliore la vie, à tous points de vue. Chacun, est « comptable », de tout, son propre parcours terrestre. En appliquant, les fructueux préceptes antiques, de la « connaissance, de soi, du devenir », de ce que l’on est, déjà. Le destin, du junior, est, encore et toujours, avant tout, entre ses mains. Alors, pour le bâtir, pleinement, résolument, qu’il décide, de ce qu’il souhaite, pour lui-même, comme, sa vie, à venir.

 

Adopte, les meilleurs procédés, pour façonner, sa destinée juvénile. Qu’il agisse, au mieux, pour atteindre, tous, ses objectifs ! Le secret, de la vie sereine, consiste, à ne pas dépendre, des réalités extérieures, mais, avant tout, de sa richesse et, de sa force mentale intérieure. Ce qui fait, que le junior est heureux, de vivre, quoi, qu’il arrive, quelles, que soient, les circonstances. Puisqu’il relève, avant tout, de son propre, état d’esprit interne, très indépendant, des choses exogènes. Qu’il fera, avant tout, reposer, l’essentiel, sur sa paix intérieure structurelle, non, la conjoncture. Sauvegarde, entre soi et, le monde externe, si agité.

 

Le jeune puisera, ses forces bénéfiques, en lui-même, au lieu, de s’affaiblir, s’épuiser, des flux toxiques extérieurs. Pour cela, il convient, de s’ancrer, en le temps présent, prioritairement, plus, que dans le passé, ou, l’avenir, sans, pour autant, « négliger », ces derniers. Afin, de tirer, meilleur profit, de ce qui est actuel, pour s’en pénétrer et, enrichir, au maximum. Ainsi, W. Hayes, étudiant, de vingt-trois ans, est-il emprisonné, en Turquie, pour possession, de Cannabis, en 1970. Il saura alors, trouver, sa « rédemption », en l’épreuve. Le célèbre film de cinéma, américano-britannique, Midnight Express, le démontre, avec brio.

(Drame cinématographique, du réalisateur britannique contemporain, A. Parker, États-Unis, Royaume-Uni, 1978)714.

 

Il s’agit, d’optimiser, de réorganiser, de façon, adéquate, tout, ce qui a trait, à sa personne, à sa vie. Ce qui est, à la connaissance, à la conscience, de soi-même et, des autres. Ce qui n’est ni, connu ni, à la conscience, du junior, des autres. Ce dont, il est lucide, sur lui-même, mais, dont, tous les autres, ignorent tout. Puis, ce qu’il ne sait pas, de lui, or, que les autres connaissent. Tout jeune aura, alors, la responsabilité, de passer, en revue, ces quatre types, de configuration. Afin, de les améliorer, d’en tirer, le mieux possible, parti. En son intérêt propre et, même, celui, de son entourage.

 

L’essentiel, est de toujours, faire prévaloir, sa force mentale intérieure et, sa pensée positive. Sur les événements, les choses et, les gens, en particulier, pour ce qui est, le plus négatif, pour soi. Cela, consiste, à bien, se pénétrer, de sa conscience intérieure. Notamment, par la méditation juvénile. À l’image, de l’Orient, surtout, bouddhiste, il est fort bénéfique, de bien se concentrer, sur quelque chose, un certain temps. S’imprégnant, pleinement, de tout, ce qui se passe, autour, de soi, chaque jour, chaque instant. Prêtant fort, attention, à sa respiration, inspirant, expirant, au mieux, de façon, régulière, calme, totalement.

 

Ainsi, qu’à sa façon, de marcher. Sachant, bien écouter, bien comprendre, ce qu’expriment, ses interlocuteurs. Appréciant, ce que l’on ingère. Que le jeune ait, chaque jour, sous les yeux, un objet, positivement, symbolique, pour lui. Fasse, de ses repas, un instant, de paix, privilégié. En rentrant, de cours ou, du travail, qu’il change, symboliquement, de tenue, adopte, un état d’esprit, plus détendu. Écoute, de la musique bienfaisante, pour se délasser. Retienne, à la fin, de chaque jour, l’essentiel, de ce qui a été positif, pour lui, au quotidien, qu’il s’en réjouisse.

 

Pratique, des exercices bienfaisants, de relaxation juvénile, prise de conscience, de son corps. Sachant, bien gérer, toute situation, quelle, qu’elle soit, au travers, de ses trois dimensions. Les faits objectifs concrets, l’importance précise, qu’on leur donne. L’analyse, l’appréhension, les enseignements, qui en découlent, pour soi. Puis, le souvenir, que le junior, en conservera, ultérieurement. D’où, l’importance, de relativiser, bien interpréter, les pensées, sentiments et, comportements, actes, événements, conséquences physiques, sur soi. Prenant garde, à ne pas se tromper, de compréhension, s’illusionner, sur des élucubrations, vaines et nocives715.

 

Pour positiver, tout, ce qui paraît, de façon, réelle ou, supposée, fort négatif. Pour neutraliser, les mauvaises choses, actes, comportements juvéniles, du passé, il s’agit, de détruire, les pensées, émotions négatives, afférentes et, subséquentes, qui nuisent. Pour cela, il convient, d’établir, la réalité, des faits, en cause, dans le sens, du pour et, contre. Comprendre, ce qui se passe, en ne négligeant, aucune piste explicative. Se distancier, des seules, occurrences, en évitant, de voir, le pire, partout. Pour optimiser, le présent, comme, « bonifier », l’avenir, du junior, il est préalablement, indispensable, de « désamorcer », les influences négatives, du passé.

 

Pour être psychiquement, de façon, optimale, épanoui, il s’agit, alors, d’être complètement, concentré, passionné, par, ce que l’on fait. En particulier, de façon, très créative et, inventive. Immense source, de contentement, qui ne peut venir, que de soi-même, sous sa maîtrise. Cela, arrive, en l’optique, de buts précis, observés, à la lettre. Toute l’énergie, du jeune, est mobilisée, sans faille, de façon, volontariste, pour réaliser, ce dessein. Sa perception, du temps, est différente, avec sensation, d’accélération, de suspension, ralentissement. En état modifié, de conscience.

 

Alors, le junior densifie ainsi, une forme supérieure, de « transcendance », de réalisation, d’accomplissement, de soi. Par laquelle, il vit, le meilleur, en laquelle, tout, ce qui est, de plus piètre intensité, n’existe plus, pour lui, à ses yeux. Il est plus fort, surmonte, les difficultés et, maîtrise pleinement, sa destinée. S’il craint, l’avenir et, est persuadé, que le pire, l’attend, son présent sera gâché et, son futur, raté. À l’inverse, s’il espère, de l’avenir, y croit, est convaincu, que le meilleur, lui revient, il sera alors, plus heureux. Le pire, n’est jamais, sûr, le pessimisme systématique, du jeune, ne peut, que le détruire.

 

Mieux, présumer, le meilleur, de l’existence, augmente, considérablement, ses chances, de l’obtenir. Alors, qu’être assuré, du pire, promet, là encore, de le vivre, de façon, plus certaine, que si le jeune, était optimiste. De fait, sa vie est « le reflet, de ses croyances », négatives, comme, positives. S’il doit, se méfier, de sa négativité et, préférer toujours, le positif, il convient, autant, de se défier, d’un entourage négatif. Qui le tirera, vers le bas, plutôt, que vers le haut ! Si le milieu, de vie, juvénile, n’est pas motivant ou, encourageant, qu’il soit, au minimum, neutre. S’il est hostile, il s’agit, de le fuir, au plus vite716.

 

Que le jeune préfère alors, toujours, autant, que possible, fréquenter, des gens très positifs, enthousiastes, optimistes. Qui transcenderont, favorablement, sa vie, au lieu, de lui nuire, de le desservir. Souvent, les situations sont anodines. Ce sont, ses pensées, ses émotions, ses comportements négatifs, qui les transforment, à ses yeux, en catastrophes. Si, ce qu’il ressent et, fait, est positif, alors, toute réalité, le sera ainsi, ipso facto, de même, tout autant. Ce sont les principes juvéniles négatifs, limitatifs, notamment, éducatifs, qui sont hautement, toxiques. À soi, de les détruire, sans pitié, pour vaincre et, bien vivre.

 

Ce qui permettra, d’optimiser, au maximum, ses potentiels, compétences, aptitudes, performances. De façon, très constructive, favorable, productive. La « pensée positive », est d’autant plus, efficace, pour réussir et, être heureux, qu’elle se double, de l’effort, la persévérance, la ténacité. La motivation, en courage, sans relâche, jusqu’à, la victoire finale. Il s’agit, de s’acharner encore, sans cesse et, toujours, autant, que nécessaire, jusqu’à, l’atteinte, de l’objectif, fixé, par le junior. Ne jamais, renoncer, se décourager, quelles, que soient, les difficultés. L’essentiel, est de toujours, espérer, sans limites.

 

La pensée positive juvénile est source, d’optimisme, de plénitude, d’espérance, de confiance et, de santé physique, psychique, comme, spirituelle. Cela, consiste, à ne voir, que la solution, jamais, le problème. Quand, le pessimiste absolu, sera défaitiste et, catastrophiste. Il ne fera donc, rien, pour avancer, convaincu, par avance, que tout, est perdu. Le pessimiste relatif sera, tout autant, convaincu, au préalable, de l’échec, mais, il ira, nonobstant, se battre, « pour se donner, bonne conscience ». L’optimiste béat, s’exagère, la positivité, des choses, peut, alors, se heurter fort, à ses dépens, à des difficultés.

 

Qu’il avait, sous-évaluées et, auxquelles, il ne s’était donc, pas préparé. Le junior optimiste réaliste est, tout à la fois, positif, lucide. Il croit, en l’espérance, ayant confiance, quant au meilleur, de l’existence. Prenant, les dispositions nécessaires, pour mettre, toutes les chances, de son côté, s’assurer, la plus grande réussite. L’optimiste considère, les bonnes choses, comme, durables, les mauvaises, telles, provisoires, ce qui le rend heureux, en réussite. Le jeune pessimiste, quant à lui, appréhende, les réalités positives, comme, des plus provisoires et, celles, négatives, comme, toujours, fort durables717.

 

Ce qui suscite, augmente, entretient, sa désespérance, son échec. Pour le junior optimiste, le positif est la règle et, le négatif, l’exception. Cela, est l’inverse, pour le pessimiste. Celui-ci exagère, systématise, le négatif, conteste ou, minore, le positif. L’optimiste est en une logique, exactement, contraire. Il maximalise, ce qui est favorable, relativise fort, ce qui ne va pas. Les pensées, émotions positives, conduisent, à agir, oser, tenter, créer, innover, inventer, s’ouvrir, aux richesses, de la vie. Quand, les cognitions, les sentiments négatifs, enferment, abattent, paralysent, détruisent, « à petit feu ».

 

Les idées positives, du jeune, conduisent donc, aux affects, aux comportements et, aux actes positifs. À l’inverse, les pensées négatives, mènent, aux émotions, attitudes, actes, tout autant, négatifs. Après, être passé, de la pensée négative, à la pensée positive, il s’agit, d’ « agir, positivement ». Se demandant, au préalable, comment, bien dominer, ce qui inquiétait. De quelle façon. Avec ou, sans aides extérieures et, comment. Comment faire, pour organiser et, optimiser, ce qui dépend, de sa seule, maîtrise juvénile, de soi-même. De façon, adéquate, efficace, opportune, pour totalement, triompher, des pires aléas.

 

Pour bien remplir, réussir, chaque journée, du jeune, il convient, d’aller, à l’essentiel, de s’organiser. Prévoyant, tout, ce qui est prioritaire, à réaliser, aujourd’hui. Pour agir, sans rien, oublier. Il ne s’agit pas-là, de ce qui est désiré, mais, impératif. Ce qui n’est pas important, doit passer, bien après. Ce qui est insignifiant, inutile, superflu, voire, toxique, sera alors, éliminé, sans pitié. L’essentiel, est que son existence, ait un sens, soit utile, pour le junior, comme, pour autrui. Laisse, une marque, au passé et, au présent, comme, à l’avenir. Que chacun, apporte donc, sa pierre, car elle est indispensable, à tous.

 

Chaque jeune « compte », pour lui-même, comme, pour l’humanité, entière. Le bonheur repose, sur un schéma existentiel, tourné, vers, les autres, non seulement, sur soi. Qui donne, tout sens, toute valeur, à chaque vie. Il y a, plus, de dix fois plus, d’humains, qui ont déjà, quitté, cette terre, que d’êtres, actuellement, en vie, sur la planète. Tous, ont, peu ou, prou, contribué, à la « marche, de l’humanité », en ses ombres et, lumières. C’est, cela, qui doit rendre, tout junior vivant, plus positif, que négatif ! Car, la vie, en elle-même, est plus positivité, que négativité, quoi, qu’il arrive718.

 

En dépit, des drames passés, présents, à venir. Le positif  juvénile, est seul, à retenir, car il l’emporte, sur le reste. La vision positive identifie, trois « vecteurs, de plénitude ». Le plaisir, qui consiste, à pouvoir, jouir, des émotions positives. L’engagement, qui fait user, de ses capacités et, atouts, en un sens favorable. Puis, la valeur et, le sens, impartis, à toute l’existence, soit, la certitude, d’appartenir, à un tout, cohérent. Le plaisir authentique, n’est pas lié, à l’accumulation matérielle. Au contraire, il est inversement, proportionnel, à cela. Plus, il y a, matérialismes, contentement matériel, plus, le plaisir, s’estompe.

 

De fait, le junior ne jouit plus, de ce qu’il a, mais, est frustré, de ce qu’il ne possède pas. Ce qui devient, une frustration, une obsession mauvaises, jusqu’à, la satisfaction addictive, en attendant, de s’inventer, d’autres besoins, si inutiles. Ainsi, de suite, en un « cercle vicieux », nocif, sans fin. Que le jeune sache, alors, découvrir, des sources, de plaisirs, plus véritables, authentiques. Ledit « plaisir », n’est pas, le bonheur, mais, le simple contentement, de besoins primaires, plus ou, moins, indispensables, légitimes, bénéfiques. Il s’agit, de ne point confondre, désir, envie, contentement et, plénitude.

 

Or, il n’en reste, pas moins, nécessaire, pour l’épanouissement, du genre juvénile. Dans les limites, saines et normales, du raisonnable. Le jeune occidental contemporain, est saturé, de biens, n’en jouit donc, même plus. Le bonheur est toujours, en l’être, jamais, dans l’avoir, le faire et, le paraître. Le plaisir personnel réel, consiste plus, à procurer, du plaisir, à autrui, qu’à « s’en fabriquer », soi-même, pour soi. À en obtenir, par le biais, des autres. L’idéal est donc, de, toujours, prêter attention, chaque jour, à tout, ce qui est positif, plaisant, plutôt, qu’au reste. C’est, un devoir, de salubrité, personnelle et collective, pour tous.

 

Le junior aura tendance, à se focaliser, retenir, accorder, de l’importance, à ce qui va mal, plutôt, qu’à ce qui va bien. Il s’agit, d’inverser, fort résolument, la tendance, en son intérêt et, l’optique, d’une bien meilleure, santé mentale. Qu’il soit donc, conscient et, apprécie, ce dont, il bénéficie, chaque jour, comme, des gratifications, précieuses, appréciables. Ne fasse jamais, fi, des avantages réels, dont il jouit. Il s’agit, aussi, d’utiliser, son argent, au mieux, à bon escient, pour soi-même, comme, pour les autres. Que le jeune, sache, gratifier, autrui, en la meilleure part, pas seulement, lui-même719.

 

Non seulement, de façon matérielle, mais, surtout, humainement, par toute sa présence, son attention, son temps, ses qualités, de cœur, propres. Apprécier, les bonnes choses, de la vie, est important, pour le junior. Sachant, admirer, être satisfait, remercier. Se rappelant, tous les bons souvenirs. Il s’agit, ensuite, de s’engager, par l’action, en s’appuyant, sur l’ensemble, de ses atouts et, ses capacités ou, points forts. À tort, le système scolaire, notamment, français, stigmatise toujours, prioritairement, les points faibles, oublie, le positif. Au lieu, de permettre, aux jeunes, de développer, leurs qualités, compétences.

 

Les réussites étant, systématiquement, minorées et, les échecs, retards, comme, difficultés, mis, en exergue. Exagération, du négatif, minoration, du positif, démotivent, découragent, au lieu, de faire, l’inverse. Il en va, de même, dans le monde, du travail. Il est donc, bien plus important, productif, de mieux développer et, renforcer, ses aptitudes, capacités, que de s’appesantir, sur ses insuffisances. D’où, l’intérêt, de bien déterminer, au préalable, quelles sont, ses meilleures qualités. Performances, talent, vocation, adhésion, idéaux, dynamisme… Nul, junior, ne peut, s’accomplir, sans atouts, vertus.

 

Ceci, constitue, le soubassement, de la « force, de frappe » juvénile personnelle. Il convient, aussi, de cerner, ses faiblesses. Pour les combattre, les annihiler. En particulier, toutes celles, qui empêchent, de réaliser, un but, prédéterminé, une ambition. Alors, le jeune précisera bien, le champ défaillant, concerné, les aptitudes nécessaires, pour transformer, son incompétence, en excellent, savoir-faire. Il s’agit, aussi, de bien voir, ses insuffisances, limitations, d’user, de tout moyen, de « renforcement », pour s’améliorer.

 

Optimiser, les vertus, du junior, s’impose, en matière, de noblesse, dignité, savoir : inventivité, discernement, largesse, d’esprit, comme, ouverture intellectuelle et, élévation morale. De courage : audace, ténacité, droiture, joie, de vivre, dynamisme. D’humanisme : compétences relationnelles, altruisme, aptitudes sociales. De justice : sens, du bien commun, désintéressement, charisme. Modération : magnanimité, simplicité, modestie, circonspection, maîtrise, comme, aussi, empire, sur soi. De spiritualité, d’accomplissement, de soi : sensibilité, à la beauté, la noblesse, la dignité, reconnaissance et, admiration. Positivité, distanciation, axiologie, ataraxie, équanimité, du jeune, pour s’élever720.

 

L’important, est de progresser, en tous ces domaines, traits, de personnalité. Également, en s’inspirant, des qualités, des autres, qui peuvent faire grandir, le junior, dont il peut, lui aussi, bénéficier, en exemplarité et, admiration. De fait, c’est en prenant modèle, sur ceux, qui sont encore, « meilleurs », que lui, qu’il peut progresser, le plus. S’accomplir, consiste, également, à donner, un plein sens, à son existence, en s’élevant, le plus possible. Toujours, en une optique, d’ambition, d’exigence, d’excellence. Pour atteindre, des objectifs donnés, agir, en un certain nombre, de domaines, pour certaines choses, précises. Cela, commence, pour le jeune, dès, maintenant, de façon, fort concrète, active.

 

En la dimension, de ses convictions, ses valeurs, idéaux, de façon, honnête, digne et, noble. Etre généreux, donner, non seulement, recevoir, rend le junior heureux. L’altruisme est positif, pour l’épanouissement, la santé, du fait, qu’il consolide, l’estime, de soi, l’immunité biologique. L’autogratification est moins plaisante, que le don, de soi, à autrui. Le caritatif éclaire l’existence, lui donne, toute sa densité juvénile, dope, même, le psychisme. La capacité, à bien faire face, aux stress, épreuves, adversité, est la résilience. Qui est cognitive, émotionnelle, comportementale. Avec les pensées, affects, attitudes, actes.

 

Le jeune maîtrise, de fait, bien mieux, les aléas, de la vie, par la pensée positive, favorable, constructive. Des émotions optimistes, d’espérance et, apaisantes. Puis, des comportements, agissements, résolus, pertinents et, efficaces. La pensée influe, sur l’émotion et, l’attitude. La mauvaise pensée négative sera, résolument, combattue, par l’estime, de soi, la confiance, en soi, l’affirmation, de soi, ainsi, que l’autonomie. Le fait, de croire, en ses compétences juvéniles, aide, à réussir, quand, l’inverse, fait échouer. D’où, l’importance, d’avoir, une image, de soi, très solide, rayonnante, pour relever, tous les défis, plutôt, que l’inverse.

 

Il s’agit, de croire, en soi, autrui, le monde, son destin car, sinon, toute volonté, reste paralysée. Modifier, sa façon, de penser négative, en sentiments, plus positifs. Bien cultiver, l’optimisme, en traquant, le positif, avant tout. Que le junior change, ses manières, d’entrevoir, de régler, les problèmes, par une certaine distanciation. Qu’il fasse, l’inventaire, de tous ses points forts, pour mieux, en prendre conscience et, les mettre, en œuvre. La maîtrise émotionnelle est, également, capitale721.

 

Les émotions sont bénéfiques, pour tout jeune, elles enrichissent sa vie. Or, à la condition, qu’elles ne soient ni, refoulées ni, ne le submergent. Elles sont, à accueillir, à leur juste place, ni trop ni, trop peu. Pour cela, il s’agit, de bien, se connaître. « Saisir », ses modes, de réflexion, perception, comportement, face, aux réalités vécues. L’intelligence émotionnelle consiste, à bien prendre conscience, de ses pensées, sentiments, émotions, ainsi, que de ceux, d’autrui. En en évaluant bien, tous les impacts, notamment, comportementaux. Savoir, bien jouir, de ses émotions, seul, comme, en communion, avec les autres.

 

Puis, l’intensité, du lien, avec ses semblables, importe beaucoup, ce qui exige, affectivité, respect mutuels. En logique, de réciprocité et, solidarité inconditionnelles, notamment, dans les difficultés. Il s’agit, pour mieux « avancer », dans la vie, de mieux agir, d’améliorer, ses attitudes. Ne jamais, négliger, la santé physique, psychique, sociale, spirituelle. S’assurer, de bonnes relations, d’entraide mutuelle, en cas, de nécessité. Cultiver, la bonne estime, acceptation, confiance, affirmation, de soi, ce qui garantit, de bien meilleurs épanouissement, réussite juvéniles, toute sa vie, durant722.

 

Être toujours, capable, de dépasser, ses difficultés, aussi dures, soient-elles, pour s’en sortir. S’élever, au-dessus, de soi-même, laisser, la meilleure trace possible, en l’histoire : la sienne, celle, d’autrui. Le junior peut se renforcer, en améliorant, sa façon, de penser. Cela, passe, par la foi, en soi. L’ouverture, sur d’autres façons, de considérer, les choses, sur les différences, autrui, en tolérance. L’aptitude, à mobiliser, talents, compétences, pour vaincre, les blocages. La culture, d’idéaux, d’adhésions, de certitudes, des plus positifs. La fixation, d’une signification existentielle.

 

Une perception, de la vie et, des occurrences, favorable, constructive, optimiste. Des engagements juvéniles bienfaisants, pour la communauté. Les émotions et, sentiments seront orientés, en un sens rayonnant, serein. Par des rapports, denses et riches, avec autrui. Un contrôle émotionnel, dans l’apaisement, quoi, qu’il arrive. De la patience et, de la ténacité, en acceptant, de devoir, généralement, patienter, entre l’effort et, le résultat. Apprendre, à bien, s’aimer, ni trop ni, trop peu. Tenir compte, d’autrui, de ses attentes et, besoins, de jeune, par l’empathie, en proximité, la compassion, en compréhension et, la congruence, en harmonie.

 

Toujours, agir, pour progresser, s’en sortir. Se prémunir, des excès, risques, négligences, pour préserver, sa santé juvénile. Cultiver, la confiance, de façon, raisonnable, mais, appuyée. Ne jamais, hésiter, à requérir, l’aide, de son prochain, autant, que nécessaire. Favoriser, les liens amicaux, sur la durée, quoi, qu’il en coûte ou, quoi, qu’il arrive. Bâtir, des liens professionnels, solides et fructueux. Être inventif, plutôt, que de subir, stagner et, régresser, passivement. Se donner, des buts concrets, se battre, pour les réaliser. Prendre conscience, de l’impact, des actions, du junior, les assumer, les rectifier, dans le sens, du bien.

 

L’humour, la relativisation, la distanciation, la légèreté, l’amusement, la détente, sont nécessaires, à l’épanouissement, du jeune. Compatibles, avec le sérieux, la réussite. Les émotions positives galvanisent, quand, celles, qui sont négatives, inhibent. Joie, bonheur, plaisir, sont donc, préférables, à l’angoisse, la colère ou, la peur. L’essentiel, est de trouver, en chaque jour, l’occasion, de rire, se divertir, s’épanouir. Suscitant, profitant, des occasions, de réjouissances, d’allégresse, d’ « actions, de grâce », pour le simple privilège, de vivre, du junior. Bien, mieux, exister, pour le « meilleur » !

 

L’humour authentique, qui allège, apaise, non, sarcastique, qui attaque, heurte, autrui, est excellent, pour la santé et, le lien humains ! Or, aussi, pour stigmatiser, tout ce qui n’est pas acceptable, sur cette Terre. Que le jeune sache, aussi, développer, une bonne estime, confiance, affirmation, de lui-même, de façon, lucide, mais, positive, pour bien, s’épanouir. Accepter, ses faiblesses, les corriger, admettre, tous ses atouts, qualités et, se battre, pour les développer, encore et, toujours. Une cognition, positive et constructive, favorable et productive, trouve, les solutions, à tout problème, en toute sérénité.

 

Pour cela, le junior peut voir, les choses, sous un autre aspect, inédit, optimiste. Les choses positives se provoquent, en influant, positivement, sur son subconscient, par ses pensées, sentiments, émotions, comportements, comme, actes positifs. Quand, le négatif, est ourdi, par un mental, de même acabit. D’où, l’intérêt capital, de cultiver, des idéaux, certitudes, adhésions positifs, dès, l’enfance et, au-delà. À défaut, le pire peut advenir, car son existence, est le « produit, de ses croyances ». En ce cas, il convient, de rectifier, ses juvéniles convictions mitigées, passées, en un sens positif, bien plus favorable723.

 

Pour que ses assurances, d’aujourd’hui, soient plus positives, donc, bénéfiques, pour soi, sa vie, au lieu, d’être si malfaisantes, sur tous les plans. Nous redisons, à quel point, admirer, remercier, savoir gré, pour le positif, est bon, pour l’épanouissement, comme, celui, d’autrui. De même que, pardonner, faire taire, rancunes, rancœurs, ressentiments, rejets, haines, comme, brouilles, concernant, le négatif. Souvent, le jeune ne voit pas, que le bon, l’emporte, sur le mauvais. Quand, il faut relativiser, prendre, du recul, en magnanimité.

 

Entretenant, espérance, positivité, joie de vivre, reconnaissance, ouverture, d’esprit, amour, générosité et, bonté, fierté et, respect, de soi et, d’autrui, sans arrogance. Appréciant, sa vie, soi-même, les autres. La destinée, du junior, dépend, avant tout, de lui-même, car, il n’y a nulle, prédestination, avérée, préalablement, arrêtée. En dépit, de certains déterminismes, de toutes sortes, tous domaines, réversibles. Dans le plein respect, de ses valeurs, adhésions, comme, convictions. La pensée positive aide, aussi, à être et, demeurer, en bonne santé physique, psychique, morale. Ainsi, l’on évite, la négativité, le négativisme. Le jeune se dope, se galvanise, se renforce, se meut.

 

Ce qui autorise, sérénité, adaptation, dépassement juvéniles, des difficultés. Les addictions, de toutes sortes, sont, aussi, rejetées. La bonne norme pondérale est respectée. Le sommeil et, l’activité physique et, sportive, sont suffisants, bénéfiques. Les maladies, les plus graves, sont évitées. Pour changer, positivement, son mauvais mode, de vie, pour aller mieux, quatre stades, sont à franchir. Inconscience et incapacité. Conscience et incapacité. Conscience et capacité. Capacité et réflexe. Tout d’abord, le junior est ignorant, de son problème et, quant à la nécessité, de changer, il n’est pas, en mesure, de le faire.

 

Puis, il devient lucide, sur la chose, mais, ne sait ni, ne peut, toujours pas, agir, pour appliquer, la solution idoine. Ensuite, il devient capable, de bien comprendre, cerner, la difficulté, ainsi, que d’y remédier, par des pratiques adéquates. Or, sur le mode appliqué, contraint et, aussi, réfléchi. Puis, le jeune devient, fort capable, de faire, ce qu’il faut, de façon, automatique, préprogrammée, proactive, non plus, réactive. Sans avoir, à se poser, la question, au préalable. Cela, devient, une seconde nature, habitude récurrente, de son existence. « Se mettre, en position, de bataille, pour vaincre »724.

 

Pour améliorer, sa vie, de junior, il convient, de faire, un bilan évaluatif, régulier, domaine, par domaine, de ce qui, à ses yeux, va bien, en son quotidien. De ce qui va, moyennement. De ce qui ne va pas, du tout. Il s’agit, alors, de conserver, comme, de poursuivre, ce qui est, pleinement, satisfaisant. D’améliorer, ce qui est moyen. De rectifier, ce qui est négatif, inopérant. Il s’agit, aussi, de combattre, le stress excessif, chronique, qui nuit toujours, très gravement, à la santé psychosomatique. À la guérison, du corps et, de l’esprit. Le bon stress stimule, car l’on peut, y faire face, adéquatement, avec ressort.

 

Le mauvais abat, car il submerge, par impuissance, épuisement. Le stress, du jeune, est une réaction, du corps, aux pressions, trop fortes. S’ensuit, une crispation psychique, qui sature le sang, d’hormones. L’organisme fait automatiquement, face, par un état, de lutte, de paralysie ou, de fuite. Sur la durée, le stressé s’étiole, s’effondre. Cela, induit, la dépendance, aux addictions, les excès, troubles fonctionnels, des syndromes physiques, cognitifs, émotionnels, comportementaux. Palpitations, oppressions, étouffements, nausées, fatigues, douleurs, problèmes digestifs. Troubles psychosomatiques juvéniles.

 

Également, pondéraux, digestifs, cutanés, immunitaires. Peurs, variations d’humeur, tensions, abattement, colère, culpabilité, incapacité, manque, de confiance, autodévalorisation, irréalité. Accidents, addictions, improductivité, troubles alimentaires, du sommeil, sexuels, temporels, d’expression, solitude, laisser-aller, irritabilité. Pour contrer, le stress, le jeune sera réaliste, sur son état. Se faire aider. Mieux, s’occuper, de soi-même. Bien, se détendre, se reposer, autant, que de besoin. S’activer, physiquement. Communiquer, entretenir, des liens, avec autrui. User, de ses relations, utiles et, de réconfort.

 

Renforcer, estime, confiance, affirmation, de soi. Ne pas négliger, un repos juvénile, suffisant. Être maître, de soi et, son destin, tout en gérant bien, ses liens, à autrui. Savoir, bien rebondir, quoi, qu’il arrive. Développer, une pensée, des sentiments, émotions, comportements et, des actes positifs, pour une existence fructueuse et, heureuse. Car les états négatifs, ne peuvent mener, qu’à une vie stérile, tourmentée. Il s’agit, aussi, de toujours, renoncer, aux impératifs excessifs, inaccessibles, donc, contre-productifs. Au perfectionnisme, du junior, à son encontre, qui détruit, frustre, faute, de contentement725.

 

À l’excès juvénile, de devoir, bonté, à l’égard, d’autrui, qui rend faible, rigide, jusqu’à la fixité. Aux attentes, à l’égard, des autres, ce qui aboutit, aux pires abus, de pouvoir. Aux exigences, à l’égard, de la vie, de l’univers, ce qui assure, négativité et, abattements. Rétablir, l’équilibre, fuir, les excès, permet, d’éviter, le manichéisme, la généralisation. La sélectivité abusive, qui ne fait entrevoir, que le négatif, minoritaire, non, le positif, majoritaire. La minoration, du positif, la majoration, du négatif, les jugements arbitraires, l’hyperpessimisme ou, la systématisation émotionnelle, du pire.

 

La confusion, entre sa personne ou, celle, d’autrui et, ses actes ou, les siens, ce, sur le mode négatif. L’autoaccusation, du junior, à tort, de méfaits, qui sont, pourtant, étrangers, à lui-même, ce qui vaut, culpabilisation, si abusive. Il est important, de toujours, bien prendre soin, de soi, sa santé sociale, psychosomatique, affective et, spirituelle. Il est capital, d’entretenir, de bonnes relations satisfaisantes, avec les autres. Cela passe, par la découverte mutuelle, l’attribution, à autrui, de bons sentiments, au « bénéfice, du doute ». La considération inconditionnelle, la réciprocité, l’évolutivité, la souplesse interrelationnelle, de tout jeune.

 

Le junior évitera, de prendre, son cas personnel, pour une généralité universelle, de verser, dans le perfectionnisme, généralisé et, « absolu ». La dissemblance est une richesse, non, la similitude. L’on ne peut réduire, l’autre, à soi, mais, respecter « la différence », pour que tous, y gagnent, non, les uns ou, les autres, exclusivement. Compromis n’est pas, compromission ! L’exigence, de « perfection », pour soi et / ou, autrui, est folle, car irréaliste, l’homme étant, par essence, perfectible. Cela, doit conduire, à l’indulgence, la tolérance, pour soi, autrui.

 

Il s’agit, pour le jeune, non, de se combattre, pour l’emporter, aux dépens, de soi ou, d’autrui, or, de joindre, à l’unisson, des talents réciproques. En l’intérêt, de chacun et, commun. Pour réussir, ses relations, à autrui, l’intelligence émotionnelle et, du cœur, fait appel, à certaines qualités. La sagacité intuitive, le contrôle émotionnel, la tempérance, la maîtrise, de soi. L’empathie, la compassion, la congruence, l’authenticité et, le doigté communicationnel. La connaissance, de soi, mène, à celle, des autres. Bien jauger, ses émotions juvéniles, permet, de bien évaluer et, comprendre, celles, des autres. Pour de meilleures relations universelles, de tous ordres726.

 

Amoureuses, amicales, sociales, professionnelles, familiales, du jeune. Cela, passe, aussi, par l’écoute sincère, pleine, authentique, des interlocuteurs. Bien interpréter, les indications non verbales a, aussi, toute son importance. Le tonus verbal : intonation, sonorité, débit, type, de vocabulaire… De même, les expressions corporelles, ont une signification, fort considérable : posture physique, expressions, de visage, regard, gestuelle… Rappelons, les vertus juvéniles, d’empathie, de congruence, comme, de respect. L’expression orale n’est jamais, anodine.

 

Les questions peuvent être fermées, car restrictives ou, ouvertes, donc, larges. Une très bonne relation, à soi, autrui, implique, de ne négliger ni, privilégier, ni la dimension personnelle, du soi, de l’ego ni, celle, de l’autre. Ni celle, de l’ensemble, des protagonistes. Qu’ils soient deux ou, plus. Quoi, qu’il en soit, tout lien personnel fort : affectif et, amical ou, social, se cultive et, s’entretient, de façon active, régulière et, sur la durée. Que le junior, ne les laisse pas mourir, faute, d’initiatives, de sa part, alors, qu’il agisse, en son intérêt, comme, celui, des autres, de tous. Qu’il ait, en conscience, la clairvoyance, de ses devoirs. (Leimon, McMahon, Millêtre, 2010)727.


 

 


Jacques et, Enzo sont amis, d’enfance, passionnés, de mer et d’océans. Ces champions, de plongée, en apnée, sont aussi, rivaux. Ils se retrouvent, à une compétition mondiale, en Sicile. Ils iront alors, tous les deux, au bout, de leurs limites, donnant, chacun, « le meilleur », de lui-même. Tel est, le scénario, du Grand Bleu. Ce long métrage, de 1988, connaît, un succès phénoménal, auprès, des adolescents, de l’époque, qui ne se lasseront pas, de le voir et, même, revoir. Pourquoi, un tel engouement, de masse ? Le jeune d’alors, commence, à entrevoir, les duretés, désillusions, du temps. Qui le frappent, tout particulièrement.

 

Or, ce film, si « psychédélique et, initiatique », réunit, tous les vecteurs, propres, à servir, de catharsis, d’exutoire oniriques, à une génération désemparée, qui y aspire. La nature, d’un « paradis perdu », les grands fonds océaniques, le bleu, du ciel, de la mer, les défis extrêmes. Le dépassement, la mise, en danger, la remise, en cause, de soi. L’amitié, l’amour, la quête, d’absolu, la liberté, l’infini, sans limites. En enchanteresses, envoûtantes, images, musiques planantes. Un « rêve juvénile », par excellence, donc !

(Le Grand Bleu, drame d’évasion cinématographique, du réalisateur français contemporain, L. Besson, France, 1988)728.


 

 


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Un mode opératoire dynamique, de votre AndroJeunoConseil®, vous permet, de garantir, une « forte trace », un encadrement, des échanges et, jalons efficaces. Pour vous, garçon junior, comme, pour votre conseil. Il s’agit, aussi, de pourvoir, plus et mieux, à vos nécessités, de jeune, dit « difficile ». Puis, il convient, de pousser, votre nouvelle génération, à s’/accepter, bien « métaboliser », son passé.


 

 


À l’occasion, des fêtes, de Noël, le jeune Simon, rend visite, à ses parents. C’est, alors, qu’un appel téléphonique, inopiné, bouleverse la famille, révélant, un très lourd secret, enfoui, depuis, deux décennies. Au gré, de ses rencontres, attirances ou, répulsions, Simon s’interroge. En quête, d’identité juvénile. Telle est, la thématique centrale, cruciale, du film, Le Dernier Jour : le délicat, « qui suis-je junior ».

 

La recherche, la définition, l’adaptation, la fixation, l’acceptation, de son identité, permettent, de passer, de la jeunesse, à l’adultisme. Cela, a trait, à l’identité, psychoaffective, sexuelle. La fin, des valeurs, d’enfance, puis, de juvénilité. Le détachement, de sa famille verticale. L’individuation, de soi-même. Pour grandir, le jeune a donc, besoin, de re/trouver, qui et, ce qu’il est. Qualifier, son essence propre. S’y conformer, la plier, au monde extérieur, tout comme, l’imposer, aussi, à ce dernier, en pleine assertivité.

 

Stabiliser, sa personnalité, de façon, aboutie et, pérenne. Intégrer, ce qu’il est, a, paraît, fait ou, pas, veut et, ne veut pas. En pleine et, totale adhésion, à sa personne. Avec, les satisfactions, frustrations, regrets, afférents et, subséquents. En engagements et, renonciations. De façon, cognitive, émotionnelle, comportementale. Le junior a, à « définir », qui, il aime et, n’aime pas, s’accommoder, de ses attirances et, indifférences ou, répulsions.

 

En matière, familiale, amicale, amoureuse, sexuelle et, sociale. Il doit abandonner, la pensée, comme, le syncrétisme magique, de toute-puissance, de l’enfance, puis, de sa jeunesse. Pour, un certain « relativisme », d’adulte. Devenir, jeune, puis, adulte, impliquera, de quitter, physiquement, sa sphère familiale, d’origine et, s’en distancier, affectivement. Pour parvenir, à investir, des figures, d’attachement, autonomes, choisies, par soi-même. Puis, le jeune adulte, deviendra totalement, capable, d’ « exister » par, en, pour, lui-même.

(Le Dernier Jour, drame cinématographique, du réalisateur français contemporain, R. Marconi, France, 2004)729.


 

 


– Vos « Trace, Étayage, Échanges, Jalons » Forts –

D’androJeunoConsulting 


 

 

Directif-ive, est un adjectif, datant, de 1282, issu, du latin savant, directus, direct. Cela, signifie, « qui dirige, imprime, une direction et, une orientation, mais, sans l’imposer. Qui est conduit, de façon, prédéterminée ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)730.

 

Votre AndroJeunologie® s’adapte, des plus souplement, vous respecte, junior mâle, naturellement, pleinement libre, de votre conscience, de vos choix de vie. Tout en vous éclairant, de façon, la plus dynamique, possible. En cadre, de travail personnel, rigoureux, organisé, cohérent, tonique.


 

 


A. Canova (1757-1822), sculpteur et peintre italien, des débuts, de l’ère contemporaine, livre, son Napoléon en Mars, désarmé et pacificateur, en 1806731. Il s’agit, d’un nu héroïque, en marbre blanc, à l’antique et, de taille surdimensionnée. Napoléon Ier, (Homme d’État, France, 1769-1821), apparaît donc, en dieu, de la guerre, pacifique. L’Empereur Auguste, (Rome, 63 av. J.-C.-14), a fort inspiré, l’artiste. Cette œuvre est originale, intéressante, car elle représente, une figure, habituellement, de nature belliqueuse, mais, ici, idéalisée, en ardent symbole, de paix. Napoléon refusa, pourtant, la statue, encore, bien trop martiale, à ses yeux. De fait, à la fin, de l’Empire, (France, 1804-1815), il souhaitait, cultiver, une image, d’homme d’État législateur, plutôt, que de guerrier conquérant732. Il y a, donc-là, un grand contraste antinomique, entre une symbolisation, tout à la fois, militaire et paisible.

 

Cette sculpture est faite, pour « plaire », aux jeunes hommes, de notre pays. Qui disent, apprécier, son armée, en tant, que telle, protectrice, de paix, non, ses opérations guerrières actives, de terrain. La sculpture illustre, fort bien, aussi, tous les contradictions, paradoxes, oppositions, de la jeunesse. Laquelle, aspire, à tout et, son contraire, tant, il lui est difficile, de faire des choix. De fait, choisir, implique, d’arrêter, une décision, qui engage, de, peut-être, aussi, se tromper. Surtout, de devoir donc, fort renoncer, à toutes les autres options, possibles. Or, le junior, ne veut jamais, rien, exclure, d’emblée, car, cela, signifie, se priver. Il aimerait, cumuler, tous les avantages, possibles, tout en étant, préservé, de tous, les inconvénients. La « société marchande », médiatique, hédoniste, matérialiste, consumériste et, numérique, narcissique, dupe, le jeune. Lui fait miroiter, gloire, réussite, plaisir, faciles, factices, fallacieux. À ses pires dépens.


 

Nous avons fait le choix, quant aux suivis androJeunologiques, cités, ci-dessous, de ne retenir, que des cas, de défaut, de confiance, en soi. De fait, problématique traitée, la plus récurrente, significative, aiguë, principale spécialisation, du cabinet d’AndroJeunoConseil®.


 

Avoir, « le beurre, l’argent, du beurre, le sourire, de la crémière », est un net idéal juvénile fréquent. Certes, fort illusoire, mais, très ancré, en notre nouvelle génération actuelle. Seule, la maturité, permet, de s’affranchir, de ce leurre délétère. À l’âge, d’une quête, de tous les désirs, plaisirs, envies, il est si tentant, de concentrer, le maximum, de gratifications narcissiques, de contentement. D’accepter, le minimum, de contraintes, d’obligations et, d’impératifs, de type « ascétique ». Cela, est le fantasme, syndrome, enfantins persistants, des « dix doigts, de la main. Plongés, chacun, avec délice, extase, en dix pots, de confiture, différents » !

 

C’est alors, que l’AndroJeunologie® intervient, pour concilier, raison modératrice et, passion débridée. Les entretiens androJeunologiques sont, toujours, hebdomadaires et, durent, soixante minutes. Ils occupent, en moyenne, une année ou, un peu plus, selon, les besoins. Les entrevues initiales, sont consacrées, au bilan, de la vie et, des réalités familiales, scolaires ou, professionnelles. Relationnelles, culturelles, récréatives, de valeurs, des jeunes. Un point est aussi, établi, sur l’hygiène, l’auto/discipline, de vie, l’organisation, de l’emploi du temps, la méthode, de travail scolaire.

 

Le suivi androJeunologique est écrit, interactif, directif, structuré. Selon, un plan, un programme, préétablis et, précis. Ce qui permet, au junior, d’avoir, un outil, de travail, auquel, se référer, pendant et, après, son suivi. De pouvoir, retravailler, s’entraîner, refaire, des exercices. Cela, fait, aussi, que le praticien conserve, de son côté, sa propre version écrite, des travaux suivis, avec les données verbales exprimées, par chaque jeune. Le principe est, que tout point ou, aspect, du programme traité, fait l’objet, d’un exemple illustratif, fourni, par le jeune, lui-même. Récent, comme, ancien, général ou, particulier.

 

Suivi, par sa propre analyse, pour bien comprendre, les tenants et, les aboutissants, de sa problématique. Ce qui permet, ensuite, de mener, à bien, des exercices, entraînements, cognitifs, émotionnels, comportementaux, fort concrets. À partir, de situations réelles, du junior. Pour mettre, en scène, des solutions tangibles, permettant, de résoudre, les difficultés, afférentes. D’optimiser, les atouts, les capacités, potentiels, du jeune. En début, de chaque entretien, le point est établi, sur les avancées, de la semaine écoulée. Autant, que de besoin, en fin, de rencontre, progrès, actions, à mener, sont fixés, pour la semaine suivante733.

(Tous les prénoms, de jeunes suivis, en AndroJeunologie®, dont, les cas suivent, sont fictifs et, ont été modifiés).

 

Certains travaux et, exercices sont à accomplir, chez soi, entre deux sessions. Le junior s’exprime, tout autant, le consultant, qui délivre, un véritable enseignement, méthodologique, des avis, conseils, éclairages, appropriés. Évoquons, quelques thématiques et, cas généraux, d’entretiens, réalisés, dans le passé, hors, travaux écrits, détaillés, chapitre 8. Baptiste, vingt-et-un ans, a été arrêté, pour trafic, de cannabis, va passer, en Justice. Il est issu, d’un milieu très favorisé, mais, il a interrompu, ses études, après, l’obtention, du bac.

 

Il doit se soumettre, à un travail, de soutien, dans le contexte, de son amendement et, suivi judiciaires. Ce qu’il accepte. Baptiste est rêveur, idéaliste. Il rejette, les normes, de la société, qu’il juge, coercitives. Son idéal, est de cultiver, la terre, à la campagne, de travailler, de ses mains. Il s’est toujours, senti, « différent », des autres, parfois, incompris, rejeté, maltraité. À partir, de l’âge, de seize ans, il fume beaucoup, de cannabis, en vend, même, pour se procurer, ses doses. Il veut faire, des expériences et, aller, au bout, de ses envies, désirs, plaisirs. Il a essayé, presque, toutes les drogues dures, hors, injections. Ses diverses tentatives, d’études supérieures, n’ont pas abouti.

 

Baptiste rêve, d’une société, plus juste, plus libre, il souhaite, préserver, son idéal. Tout en comprenant que, pour survivre, il se doit, de transiger, avec un minimum, de normes sociales. Faire, la part, des choses, en se servant, intelligemment, des moyens, offerts, par la société, même, corrompue, à ses yeux. Pour réussir, sa vie, à sa façon. Baptiste se plaint que son contrôle judiciaire, bouleverse, sa vie, limite, sa pleine liberté passée. Il souhaite, retrouver, du travail, car il a perdu, son précédent poste, d’employé. Il veut, va arrêter, les drogues dures et, son trafic.

 

Il souhaite, aussi, réduire, ses prises, de cannabis, pour qu’elles deviennent, plus ponctuelles, non plus, régulières. Il dit, avoir été, « très bien éduqué », par ses parents. Il en conserve, une foi spirituelle chrétienne, d’autant plus, précieuse, selon lui, qu’elle va, à l’encontre, de la dominante, de la société française contemporaine. Baptiste stigmatise, les conformismes, de la jeunesse. Lui, se veut, « hors normes, codes ». Il aime, la drogue, pour les convivialités, qu’elle lui procure. Il veut donner, un sens, à sa vie, dépasser, le matérialisme ambiant, pour atteindre, une spiritualité vraie, profonde. Même, au prix, de la marginalité et, la solitude734.

 

Baptiste apparaît, à cette séance, perturbé, abattu, triste. Il se balance, d’avant, en arrière, comme, pour se calmer, se rassurer, comme, peut le faire, sa drogue. Il est anxieux, manque, de confiance, en lui. Il s’angoisse, pour ses démêlés judiciaires. Il a retrouvé, du travail. Il craint, que la Police, ne le harcèle, pour qu’il soit condamné. Il redoute, la prison, or, reconnaît, que bénéfiquement, son affaire a, en leçon, contribué, à l’éloigner, de la drogue. Il se raccroche, à l’affection, de sa partenaire sentimentale, souffre, physiquement, psychiquement, quand, elle n’est pas, avec lui.

 

Il dort, se nourrit, peu et, bien mal. Il a mal, au dos. Il est très grand et, fort mince, il a besoin, de se muscler, s’étoffer. La drogue l’a amaigri. Il ne fait, aucun sport. Il lui est conseillé, de faire, de la natation, pour se muscler et, se détendre. Baptiste est toujours, angoissé, par sa situation judiciaire, s’en veut, de ce qui s’est passé, s’en accable. Il rejette, une société, qu’il juge, si mercantile, égoïste, emplie, d’indifférence généralisée, en laquelle, selon, ses propos, chacun, ne comprend et, n’écoute, que soi, seul. Tout cela, le révolte. Il est très pessimiste, sur son sort, celui, de sa jeunesse, comme, de l’ensemble, de sa génération.

 

Notamment, du fait, de devoir, « payer », pour ses déviances judiciaires. Il affirme s’être drogué, pour fuir, la société, ses réalités, médiocres et, mauvaises. Il lui est fait, prendre conscience, que la dépendance, en l’occurrence, par produits toxiques et, addictifs, n’est, qu’un esclavage absolu. Absolument, contraire, à son plein idéal, de liberté. Par contrainte, intégrale. Or, qu’il l’a laissé, échapper, à l’encontre, même, de sa pleine souveraineté.

 

Qu’il est toujours, possible, de s’amender, de réaliser, son dessein positif, quel, qu’il soit. Le passé étant, définitif et, clos, l’essentiel, est de bonifier, le présent, pour s’assurer, un avenir meilleur. Baptiste reconnaît, être passé, de l’insouciance extrême, aux pires tourments. L’arrestation brutale et, la claire menace, de sanction judiciaire, ont été, pour lui, un grand choc, un déclenchement, de crise profonde. Cela, se traduit, par une perte, de confiance, en lui, du stress, de la démotivation, à avancer, résolument.

 

Un grand mal-être, s’ensuit, des perturbations, qui provoquent, d’inhabituelles maladresses, des actes manqués. « Oublis », erreurs, qui ne feront, que l’assombrir, un peu plus. Baptiste prend, peu à peu, conscience, que ce qui lui arrive, ne constitue pas, motif, à désespérance735. Or, source, d’espoir et, de lutte, pour en tirer, les enseignements, positifs, instructifs, changer, s’en sortir. Les épreuves, de la vie, ne sont pas faites, « pour abattre, mais, pour se battre », renforcer, sa rage, à les surmonter.

 

En dépassement, victoire, sur soi. Ce qui sera fait et, bien fait. En réalité, Baptiste ne sera pas condamné, en Justice, car il fera la preuve, de son fort et, complet amendement. Se faisant, aider, progressant. Reprenant, des études, qui réussiront, en un domaine, lié, à ses goûts. Arrêtant, à jamais, drogue, trafic. S’insérant, en la société, des hommes. Il aura, pleinement, su, grandir, tirer, les leçons, de sa vie antérieure, passer, à l’âge adulte. Avec, tous les efforts, de responsabilité, dignité, réalisation, de soi, que cela, implique.

 

Maël, seize ans, vit, en un climat familial, exécrable et, très tendu. Il est parcouru de tics, mouvements ou, gestes, de nervosité, incessants. Il est triste et, angoissé, ne croit plus, en lui, s’isole, se replie, sur lui-même, n’a plus goût, à rien et, s’autodévalorise. Il dit, « qu’il n’est plus, le même, qu’il ne se reconnaît plus. Il se sent, perdu et, ne sait plus, où, il en est ». Il regrette fort, le passé, un certain « âge d’or », où, cela, allait mieux, pour lui. Il éprouve, le douloureux sentiment, d’être incompris, par tous, notamment, de ses parents. Il doute, de tout, de lui-même, est très incertain, de son avenir, notamment, d’études et, de métier. Rien, ne le motive plus. Il y a crainte, de « dépersonnalisation, déréalisation », le sentiment, de « ne plus avoir prise, sur rien, que son destin, lui échappe ».

 

Il ne comprend pas, ce qui lui arrive. Ses résultats scolaires, sont en « chute libre ». Maël souffre, de très lourds conflits familiaux, notamment, avec son père, sauf, concernant, son frère. Tout allait bien, tant, qu’il se conformait, à son rôle, de « petite garçon modèle, bien sage et, obéissant ». Selon, les attentes, de ses parents. En grandissant, l’adolescent se rebelle, « rien, ne va, donc, plus », avec le père. Perçu, comme, étouffant, abusif et, désirant, « ne rien ignorer, des faits et, gestes », de son fils. Aux dépens, du légitime, indispensable, « jardin secret », de tout adojeune. Maël a fort souffert, du comportement, fort inamical, de son meilleur ami, à son égard, ce qu’il perçoit, donc, comme, une haute trahison, un reniement, terribles. Il ne parvient pas, à comprendre, ce qui ne va pas, en sa vie. Il reconnaît, qu’il ne fait, que fort ressasser, ses malheurs, trop cogiter736.

 

Ce qui ne fait, que l’enfermer, encore, un peu plus, plutôt, que d’avancer, pour s’en sortir. Il analyse tout, à l’excès, réfléchit trop. Il souffre, d’un déséquilibre, entre le corps, trop négligé et, l’esprit, trop survalorisé. Malgré, la pratique, d’un sport et, d’un instrument, de musique. Sa solitude, le ronge, or, le contact, avec autrui, encore, plus. Dilemme, sans fin. Il ne sait pas, comment, se comporter, avec les autres, a le sentiment, de rater, toutes, ses relations sociales. Ses amis perçoivent, son malaise et, lui ont conseillé, de se faire aider. Maël a « perdu, le mode d’emploi, de sa propre vie ».

 

Il s’égare, au gré, des vents, se heurte, à tout obstacle et, cela, l’angoisse. Il a l’impression, de « bien, se comporter », or, que cela, ne satisfait, jamais, personne. Les autres, qui ne cessent, alors, de lui faire, griefs sur griefs, bien non fondés, selon, lui. Maël ne sait pas bien, communiquer ni, se faire comprendre, bien mener, ses relations amicales, affectives et, familiales. De façon, harmonieuse et, équilibrée. Il ne sait, comment, bien, se positionner, face, à autrui, ne trouvant, jamais, le ton juste, étant, toujours, un « niveau, trop haut ou, trop bas ». Sa conception sociale est, bien trop, « antagonique, manichéenne ».

 

Lui, d’un côté, dans la peau, de la victime maltraitée, tous les autres, de l’autre, perçus, comme, agresseurs. En « syndrome, de l’assiégé », qui doit, se défendre, contre-attaquer. Maël se sent, bien vulnérable et, inadapté, très désarmé et, impuissant, à faire face. Longtemps, il a cultivé, de bons liens, d’amitié. Puis, tout, s’est déréglé. Il a fini, par « se fâcher », avec, tout le monde et, par se retrouver seul. Il souffre, tout autant, de la solitude, que du lien social. Il se culpabilise, se reproche, sa mise à l’écart, par autrui. Pensant, que tout, se retourne, contre lui, quoi, qu’il fasse, il n’ose plus rien, tenter, notamment, à l’égard, des autres, car la peur, le paralyse.

 

Il a conscience, d’être trop compliqué, donc, confus. Il affirme, alors, avoir besoin, de se débarrasser, des « scories parasites » invasives, qui lui encombrent, inutilement et, fort nocivement, l’esprit. Il y a, donc, un travail, de « tri, de simplification ou, d’élagage ». Pour supprimer, le superflu, ne conserver, que l’indispensable, pour y voir, plus clair, mieux vivre. Une réorganisation, une « remise à plat », générales, drastiques, s’imposent, alors. Maël a, tout particulièrement, de nettes difficultés relationnelles, avec, les personnes, de son sexe737.

 

Garçons et, hommes, jeunes et, adultes. Rivalités, envies et, jalousies, incompréhensions, comme, malentendus, s’enchaînent. Le père veut trop « conformer, son fils, à son image », l’assujettir, à ses volontés et, en faire, « ce que bon, lui semble ». Il ne veut pas, que son fils soit, lui-même ni, grandisse, lui échappe. Ce qui noue, un impitoyable « conflit, de tranchées », épuisant, vain et, sans fin, qui s’enlise. Maël souffre, de vouloir trop, tout, contrôler, maîtriser. Alors, tout, se détraque, se bloque et, il s’affole. Il doit apprendre, à lâcher prise. Il se pose, bien trop, de questions stériles et, « s’empoisonne, lui-même, autant, qu’il s’emprisonne ».

 

Il s’agit, donc, de poser, des fondations, plus saines et, sereines. Maël a grandi, s’est muré, en son monde intérieur imaginaire, ses rêves et, sa propre logique. Il s’est isolé, des autres, qui n’ont pas compris ni, admis, sa démarche. Il se sent trahi, renié, par tous. En cercle vicieux. Plus, il va mal, plus, il s’isole, plus, on le rejette. Plus, son malaise s’accroît, d’autant. Le père n’accepte pas, de vieillir, laisser, son fils, s’émanciper. Le fils hurle, à la coercition, l’injustice, le père, à l’outrage, l’ingratitude. En double malentendu, absolu, rivalités mutuelles, totales.

 

Maël est découragé, démotivé, sans objectifs précis. Il « navigue, à vue ». Il ne croit pas, en lui ni, en ses atouts. Alors, il ne peut agir et, n’a pas, l’état d’esprit, propre, à se donner, les moyens, d’atteindre, un but existentiel. De fixer, maintenir, un cap cohérent, fécond, d’où, dépit permanent. Maël « flotte », entre deux extrêmes, l’espoir et, l’abattement. Des pratiques, de relaxation, devraient l’aider, à bien mieux, réguler, ses humeurs, les stabiliser et, se détendre. Pour relativiser et, se distancier, des gens, comme, des choses, en sérénité. Plutôt, que tout, « encaisser », au premier degré, en chocs successifs traumatiques, sans recul.

 

L’entourage, de Maël, pense, que ses perturbations, ne viennent, que de lui-même, ce qui brouillerait, ses communications et, relations, à autrui. Il est jugé « hautain », ce qui l’isole, le fait rejeter. Il martèle, comme, une antienne, son désir, de « revenir, au temps ou, comme, au temps où, tout, lui semblait, si bien sourire et, aller », au collège. En mélancoliques nostalgie et, regrets. Il peut fort changer, aller bien, mieux et, devenir, meilleur. Or, comme, il ne peut, encore, y parvenir, dès, maintenant, le suivi n’étant, qu’à ses débuts, Il est invité, à « faire semblant »738.

 

Comme si, c’était, déjà, possible et, acquis. Il s’agit d’entraînement et, d’autopersuasion. À force, de croire, l’on est convaincu. Un bon acteur, à force, de jouer, un rôle, ne joue plus, il est devenu, le personnage joué, lui-même, devant, lequel, l’acteur s’efface. Il s’agit, donc, de profiter, de la nouvelle rentrée scolaire et, du changement, de classe, d’enseignants, de camarades, pour donner, tout de suite, une bonne impression, aux autres. De s’affirmer, positivement, de même, qu’un professeur, se doit, de le faire, dès, les premiers cours. S’il veut être respecté, de ses élèves, tout le restant, de l’année.

 

Maël va, donc, devoir, dès, les tout premiers jours, de classe, impressionner, le plus favorablement, ses nouveaux camarades, d’études. Qui ne le connaissent pas, encore, n’ont, donc, aucun préjugé négatif ou, positif, sur lui et, sont, alors, neutres. En faisant « semblant », d’être heureux, à l’aise, avenant et, ouvert. Il va, donc, jouer, son rôle : celui, d’un « fort chic et, chouette garçon » épanoui, qui sort, de grandes vacances réussies. Qui est content, d’être là, d’aller, vers les autres. De se faire, de nouveaux amis. De s’intéresser, à autrui. En allocentrisme, ouverture, dépassement, de soi, délaissement, de l’ego.

 

Il convient, alors, résolument, de se montrer, « sous, son meilleur jour », sans trop, en faire ni, excès, d’artifice. Sans, pour autant, être arrogant ni, écraser, autrui, de sa superbe. Maël est étonné et, rassuré, cela, lui plaît et, lui paraît, fort réalisable. Il se promet, donc, d’appliquer, le principe, dès, le « jour J ». Il revient satisfait, rassuré, de sa rentrée. Tout en restant, sur ses gardes, au lycée, par réflexe, bien ancré, de grandes méfiance, prudence, d’inquiétude, anxieuse, attentiste. Des blessures relationnelles, d’enfance, ont entraîné, une « cassure, de l’estime, de soi ». D’où, une « fâcherie », avec soi-même, l’échec, des liens, à autrui.

 

Confiance, en soi, sérénité antistress, maîtrise émotionnelle antianxiété, entraîneront, de bien meilleures relations, avec, soi-même. Donc, subséquemment, ensuite, avec autrui. Maël n’a, toujours pas, « digéré » ni, admis, sa rupture, avec, sa petite copine. La fille était impatiente, bien peu sûre, d’elle et, lui-même, sans confiance, attentiste. La jeune s’est lassée et, a renoncé, il y a, deux ans. Lui, garde, un amer souvenir, de cette expérience, ressentie, comme, un échec, de plus, d’autant plus, cuisant, douloureux, que c’était, la « toute première compagne », en sa vie739.

 

Depuis, il rumine, fort douloureusement, cette énième, « perfide félonie ». Il lui est suggéré, qu’il ne pourra, retrouver, de partenaire ni, même, se faire, de simples amis, que s’il se décide, enfin, à solder, cette malheureuse histoire. Une fois, pour toutes. Au lieu, de la raviver, s’en empoisonner, sans cesse, en pensée. Le ressentiment l’étouffe, le brise, l’empêche, de nouer, de liens réussis. Seuls, le pardon, l’oubli, l’acceptation et, le passage, à « autre chose », le libéreront. « Par chance », la fille est, toujours, au même lycée, que lui. Ils s’y croisent, de loin, de temps, à autre, sans communiquer.

 

Maël a, donc, mission, d’aller, lui parler. Non, pour lui faire, des reproches ni, s’en faire, une amie ou, petite amie, sauf si, d’improbable aventure, cela, « allait, de soi ». Or, pour « liquider », définitivement, l’affaire, y mettre, un « point final, positif ». « Tourner, la page », dominer, cette réalité, ne plus, jamais, la subir. Il va, donc, se visualiser, mentalement, allant, parler, à la lycéenne, de façon, très décontractée, souriante, pour l’inviter, à prendre, un verre, se voir, accepter, son offre. Puis, il le fera, en réalité, non, pour évoquer, négativement, le passé, or, très positivement, présent et, avenir, respectifs, de chacun-e.

 

Maël est dubitatif, défaitiste, persuadé, à l’avance, du refus, de la jeune fille. Par pessimisme, manque, de foi, en lui, la vie et, peur. Or, il ne lui est guère, « laissé, le choix », il se voit, contraint, de s’exécuter, relever, le défi, en son intérêt. Il prend conscience, que tout, est possible ou, presque, dans la vie, dès lors, que l’on y croit, aveuglément et, que l’on se bat, à cet effet. Avec l’énergie, du désespoir, et / ou, la « foi, du charbonnier ou, du néoconverti ». Il comprend même, que, peut-être, aussi, son « ex » n’attend, que cela ou, sera, agréablement, favorablement, surprise…

 

Il est avisé que, dans la vie, c’est à, soi-même, de faire, le premier pas, si l’on veut, avoir une chance, d’obtenir, ce que l’on souhaite. Il ne s’agit pas, d’attendre, un hypothétique geste, d’autrui, qui, ainsi, a toutes les « latitudes », de ne, jamais, venir, faute, de le provoquer ou, l’encourager. Maël se décide, alors, car il apprécie fort, l’idée, de « défi », de bluffer, l’autre, d’oser et, pas lui, d’être, ainsi, le plus « fort ». Surtout, de remporter, une belle victoire, sur lui-même, sur tous ses démons et, peurs. Pour s’en sortir et, ne plus souffrir, au présent, d’une très vieille blessure, du passé, pourtant, d’ores et, déjà, des plus révolues740.

 

Il reconnaît, qu’il a voulu, par déni, facilité confortable, « faire porter, tout le chapeau », à son ex-copine, Marie. Alors, que cette dernière, lui a fort laissé entendre, que leur histoire, pouvait très bien marcher. Or, que c’est, bel et bien, lui, Maël, qui n’a pas voulu, pu ou, su, saisir, la main tendue. Décourageant, la jeune fille. Il ne sait, pourquoi, encore, à ce jour. Si la foi, en soi, autrui, la vie, sauve, le doute, le « mauvais esprit », le scepticisme, tuent ! Il doit, donc, s’interroger, en conscience ! Faute, de pleine sérénité, le travail, les résultats scolaires, sont mauvais, il y a manque, de motivation, d’efforts, de concentration, d’organisation.

 

Alors, que le bac, est au bout, de l’année. Il s’agit, de s’apaiser, de se mettre, au labeur, sans états d’âme. Ni pensées et, émotions réflexes négatives, intrusives et, contre-productives. Pour obtenir, de meilleurs comportements, actes et, résultats. Maël s’imagine, toujours, « le pire » et, s’auto-empoisonne, négativement. Moins, d’orgueil, plus, de lâcher-prise, d’humilité, seraient, donc, bienvenus. Il veut tout, contrôler et, prétend, tout, maîtriser, ce qui est impossible et, absurde. Plus, il le fait, moins, il a de prise, sur les gens et, les choses. Alors, « échec et, mat » ! Plus, il renoncera, à cette volonté infantile, de « toute puissance », plus, il réussira, sera épanoui, atteindra, ses buts. Comme, le disent, les Écritures :

 

« Celui, qui veut, sauver, sa vie, la perdra, mais, celui, qui perdra, sa vie […], la sauvera. Quel, avantage, un homme, aura-t-il, à gagner, le monde entier, si c’est, en se perdant, lui-même, en le payant, alors, de sa propre existence » ?

(Luc, évangéliste, Moyen-Orient, Ier s., Évangile, IX, 22-25, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.)741.

 

Le plus souvent, l’on ne sait rien, l’on ne contrôle rien et, l’essentiel, de la vie, « nous échappe ». Vouloir, le retenir, est aussi, vain, que de prétendre, capter, conserver, emprisonner, le vent, à mains nues. Il faut l’accepter, sous peine, de dépérir, d’être malheureux et, en échec. Maël s’est enfermé, en une folle logique erronée, malsaine, perverse et, sans issue, qui le « tue, à petit feu ». Alors, il est, de son fait, en impasse, blocage, complets. Ce qui l’encolère, contre, lui-même, les autres, la terre entière, contre, lesquels, il est « parti, en guerre » et, s’enferre, fort stérilement, de plus en plus. Il doit s’accepter et, « agréer », les autres, tel, qu’il est et, comme, ils existent. Non, tel, qu’il voudrait, qu’il paraisse et, comme, il aimerait, qu’ils figurent. Ainsi, s’ouvre, le tout commencement, de la sagesse et, de l’humilité, en mental fort !

 

Dépassionner, relativiser, se distancier, prendre recul, être plus tolérant, indulgent, pour lui-même et, autrui. Moins, absolutiste, jusqu’au-boutiste… Tels sont, en coaching de vie, l’enjeu fondamental et, le devoir sacré, le si vital défi ! Maël a eu le pouvoir, de « se condamner », lui-même, lui seul et, détient, donc, celui, de « se sauver, en rédemptrice transcendance ». Il « porte masque », en permanence et, n’ose pas dire, ce qu’il pense ni, être, lui-même, en toute congruence. Par peur panique, de décevoir, déplaire, d’être rejeté, de ne pas être, à la hauteur.

 

Par obsession, de son image, de l’opinion, des autres, sur sa personne, sa valeur, ses actes. Sa conception, de la vie, ne repose, que sur l’obligation, supposée et, auto impartie, de la performance et, la perfection. Des normes, de, toujours, devoir « faire, ses preuves », de la réponse, aux attentes, réelles ou, supposées, des autres. Ce qui l’emprisonne, le torture. Tel est, le redoutable fruit, du mutuel désamour, de soi, donc… d’autrui ! « Aimes-tu » ? Telle est, la seule question, qui vaille, ici-bas ! D’où, délétère inhibition. La vie n’est pas, contrôle, examen, concours, permanents. Maël dépend, bien trop, psychiquement, fort moralement, des autres, de son entourage.

 

Se détachant, de l’opinion, avérée ou, fantasmée, des autres, n’ « attendant pas trop, d’eux », cela, ira mieux. Se recentrant, sur l’essentiel, se laissant, « vivre », un peu plus, cessant, de se torturer, par des chimères, illusoires et mortelles. Alors, il trouvera, plus, de force, de paix, pour affronter, la vie. Gare, à la malsaine complaisance, en un « malheur », devenu, factice, à force, de dépit, de résignation, de facilité et, de défi, de mauvais aloi. Maël est passé, « de Charybde, en Scylla », d’un extrême, à l’autre, tous, aussi, malfaisants, pour lui-même, son entourage. Enfant, il lui était reproché, son excès, de gentillesse, de bons sentiments.

 

On lui avait fait endosser, le rôle, de « Bécassine ». (Figure naïve, de bande dessinée, créée, graphiquement, en 1905, par J. P. Pinchon, illustrateur, France, 1871-1953. Dans la publication française, pour enfants filles, La Semaine de Suzette, 1905-1960)742. Il s’y était conformé, croyant, y être tenu. Pour, toujours plus, complaire, à ses proches, si « manipulateurs », père, en tête. Avec, son corollaire « bonasse », apparent. Se rendant compte, que cela, le desservait, il optera, pour un autre registre, tout aussi, néfaste, excessif. Le jeu, de la « Grande-Duchesse de Gérolstein », avec, toute la superbe, afférente.

(Personnage, de l’opéra bouffe, éponyme, France, 1867, de J. Offenbach, compositeur français, 1819-1880)743.

 

Cela, ne plut, naturellement, pas davantage, lassa fort. Alors, Maël « prit ombrage » et, s’enferma, en son splendide isolement, drapé, en sa dignité outragée. Déprime, impatience, désespoir, à la clé. « Après moi, le déluge » ou, la politique, du pire, du plein chaos, dépité. La seule solution tenable est la position médiane, équilibrée : l’amour propre, sans suffisance et, l’humilité, sans abaissement. Être, soi-même, au naturel, authentiquement, sans artifices ni, superficialités. Aimer, s’aimer, tout en se protégeant. User, d’un « filtre », qui laisse passer, les bonnes choses, rejette, les mauvaises.

 

Non, qui « autorise, tout », comme, auparavant ou, rien, comme, désormais. « Sortir, de soi-même », la main tendue, vers autrui, en toute simplicité, tout en étant, clairvoyant, sur ses fréquentations. Regagner, estime, confiance, affection, des autres, de soi-même, s’affirmer. Présentant, un visage, plus avenant, non plus, triste figure, émettant, des ondes positives attirantes, non, négatives répulsives. Changer, son état d’esprit, permet, de gagner, la sympathie, l’empathie, même, des autres. Tour d’ivoire, altier confinement, rendent, apathique, voire, antipathique, incitent, à se détourner. Il est fort possible, d’ « être, de et, en, ce monde », tout en se gardant, des possibles abus, d’autrui.

 

S’opposer, à tout, tous, soi-même, la vie, conduit, au désastre mortifère. Au grand détraquement, de soi. Changer, s’impose, donc. Maël commence, alors, à prendre conscience, « bouger ». Lucidement, il reconnaît que, par purs orgueil et, dépit et, faute, de pouvoir, « être tout », il a décidé, de « n’être rien » ! De façon, dichotomique, manichéenne. De tout, saborder, selon, la détestable logique, du « tout ou, rien ». Il admet, la nécessité, de l’humilité, car son orgueil l’a fort éloigné et, coupé, des autres, ce dont, il souffre. Ce qui lui « gâche, la vie ». L’équilibre s’impose, pour que le meilleur soit, de nouveau, possible.

 

Les pensées seront plus positives, sereines, les émotions, plus égales, mesurées, les comportements et, actes, plus réfléchis et, appropriés. Il s’agit, donc, de vivre, pleinement, non, de « vivoter », se torturant, l’esprit, de délirants présupposés. Des progrès s’observeront, en famille et, dans les études. Maël a compris, le conflit intérieur, de type névrotique, qui le déchire, le mène, à l’échec, l’impasse. Or, il reste, de gros progrès, à accomplir, pour sortir, d’un système nihiliste, de confusion. À force, de cogiter, stérilement, à tort et, à travers, il s’imagine, des choses, des plus fausses744.

 

Qui le perturbent, parasitent. Par orgueil, pour ne pas avoir, à faire, le premier pas, Maël n’a, toujours pas, été « parler », à Marie, son ex-petite copine. Il s’agit, donc, de « frapper, un grand coup », pour vaincre, une fois, pour toutes. Il se voit, intimer, injonction, d’aller, séance tenante, lui parler, comme, convenu. Cette semaine, même ! D’aller, enfin, prendre, un verre, avec elle. Il lui est rappelé, qu’en faisant, un geste, vers Marie, c’est lui, qui « mène, le jeu », en osant, pas elle, qui ne tente rien ! Tergiversations, inertie, comme, états d’âme, sont révolus.

 

Réactions, actions, proactions, interactions immédiates et, résultats tangibles sont, désormais, requis, sans barguigner. « Demi-tour, en avant, marche » ! Il n’y a plus, faux-semblants, nulles, échappatoires, possibles. Sus, donc, aux pensées, émotions, actes, automatiques négatifs, qui le phagocytent, de façon, inutile, néfaste, confuse. Lui « embrument », le cerveau. Il s’agit, de démolir, tout un système dangereux, de résistance, d’autodéfense, pour le libérer, de sa « prison intérieure ». Il joue, de son maillage, faussement, autoprotecteur, le maîtrise, encore. Or, à force, de pure pusillanimité, il peut, en perdre, le contrôle et, tomber, en son propre piège.

 

Lequel, se refermera, à tout jamais, sur lui-même. S’enfermant, pour ne plus pouvoir, en sortir, même, avec, des aides externes. Maël est aux anges car, sur insistance, de son conseiller, il a, enfin, osé, aller, aborder, Marie. Comme, escompté, elle l’a, alors, positivement, accueilli, a volontiers, accepté, son invitation, à boire, un verre, pour le lendemain, même ! Elle a demandé, à Maël, pourquoi, il reprenait contact, avec elle. Il a répondu, qu’il trouvait, fort dommage, de se croiser, en s’ignorant, qu’il voulait, exprimer, ses regrets, pour le passé. Ils ont parlé, des études, du bac, de leurs projets, respectifs. Tout, s’est fort bien, passé. Maël a la « preuve », s’est prouvé, que l’action, l’audace, l’humilité, paient. Les deux jeunes gens, n’ont pas renoué, depuis, l’histoire, s’est arrêtée-là, sans suites.

 

Trop, de temps, ayant, déjà, passé, depuis, leur rupture. Or, tel, n’était pas, l’objet, de la rencontre. Il s’agissait, pour Maël, de ne pas rester, sur le regret, l’échec antérieur, mais, de revoir, au moins, une fois, Marie, pour, définitivement, « faire le deuil », d’un passé douloureux. Ce qui fut fait et, bien fait. Désormais, il est libéré, du poids, de cette antérieure relation, « avortée », qui aurait pu, réussir, or, qui ne l’a pas pu745. Il n’en fut plus, question, « affaire classée » ! Maël achèvera son suivi,  avec succès. Il rencontrera, une compagne, lui « convenant ». Il décrochera, son bac et, poursuivra, de très bonnes études supérieures, l’intéressant. Le conflit familial s’apaisera. Il sera, bien plus serein et, positif. Ses estime, confiance, affirmation, de lui-même, seront renforcées. Son lien, à lui-même, autrui, en sera pacifié. S’acceptant, tel, qu’il est, il vivra mieux, en et, avec, lui-même.

 

Hugo, vingt-et-un ans, est étudiant. Il est en conflit, permanent, avec, sa mère, cela, ne va guère mieux, avec son père. Ses parents se sont séparés, depuis, son enfance. Il est en révolte, contre, la société favorisée, bien-pensante et, coercitive. Lui-même, de milieu, plutôt, bourgeois, préfère, fréquenter, des jeunes, d’origine, populaire, ce qui enrage, sa mère. Il est sensible, aux injustices et, aux plus défavorisés. Ce qui pourrait, l’orienter, vers l’humanitaire. Par ses fréquentations, il a connu, des déboires, s’est beaucoup, drogué.

 

Il vit seul. Hugo a souffert, de la séparation, de ses parents, leur en veut, d’avoir démoli, leur cellule familiale. Cela, l’a très perturbé, depuis, son enfance, encore, même, aujourd’hui. Ce qui retentit, fort négativement, sur sa propre vie sentimentale, qu’il qualifie, lui-même, de « chaotique ». Son couple actuel, n’est pas satisfaisant. Il le maintient, uniquement, pour éviter, la solitude, ayant souffert, de lourdes carences affectives. Il espère trouver, la stabilité amoureuse, avec « quelqu’un, de bien ».

 

Par son passé, il manque, d’assurance, doute, de lui-même, de tout et, tous. Hugo a, toujours, connu, des difficultés scolaires. Il ne « supporte » pas, l’autorité et, se met à dos, tous les enseignants, le système scolaire. Par son « âme, de rebelle ». Il peut connaître, des accès, de violence et, de rage, dus, à son mal-être. À l’école, indiscipline et, impertinences, perturbent, toute sa scolarité. Le manque, de considération, de reconnaissance ou, d’amour, a généré, un défaut, de confiance, des troubles exacerbés, une quête éperdue, d’amour.

 

En particulier, son père, n’a cessé, de l’agresser, le rabaisser, lui faisant, « débit, de tout, crédit, de rien ». Il a fait des fugues et, est kleptomane. Hugo développe, un très fort syndrome, de paranoïa, persécution. Son obsession est de, toujours, s’épargner, humiliations, avanies. Ce qu’il croit, bien être, son « chemin, de Canossa ». Il est convaincu, que l’on ne l’aime pas, qu’on lui en veut, le maltraite et, crie, sans cesse, à l’injustice, au scandale et, à l’outrage, en victime, toute désignée. Voire, sacrificielle746.

 

À l’attentat, contre sa personne. Il en veut, à son père, de son hostilité récurrente, se sent rejeté et, incompris. Y compris, par les jeunes, de son âge, qui refusent, sa « différence ». Raison, pour laquelle, il préfère, fréquenter, des « libertaires », qu’il apprécie, car, ils ne le jugent pas et, l’acceptent, « tel, qu’il est ». En dehors, de tout « conformisme social », qu’il déteste. Les problèmes relationnels, d’agressivité, le poursuivent. Il préfère, la compagnie, des « révoltés », car il aime, à cultiver, des « valeurs, plus hors-normes », non conventionnelles, que « communément admises ».

 

Hugo est plein, de bonne volonté. Or, il se heurte, toujours, aux autres, qui ont du mal, à le comprendre et, à l’accepter, de façon, inconditionnelle, « tel, qu’il est ». En cercle vicieux, par manque, de confiance, en lui, il se radicalise, cela, contribue, à dresser, les autres, contre lui. Alors, il se raidit, encore plus, les autres, aussi, ce qui génère, une escalade, sans fin. Dont il est, nolens volens, la toute première victime, « quasi consentante », depuis, longtemps. Seule, la confiance universelle, fera, qu’il se sentira, suffisamment, fort.

 

Pour ne plus, alors, avoir besoin, de recourir, à ses « volcaniques éruptions, d’humeur ». Ses relations iront, donc, en s’améliorant. Les attitudes hostiles, dépréciatrices, des autres, ont déstabilisé Hugo, sapé, sa confiance, en lui. Il a souffert, d’être rejeté, par tous. Les jeunes « nantis » lui en voulaient, d’être : « subversif » et, de trahir, par conséquent, le « camp, des gratifiés ». Les « déshérités » lui reprochaient fort, d’ « empiéter, sur leur territoire rebelle, chasse gardée, des vrais séditieux ». En se comportant, tout comme… eux, non, comme, le « garçon, de bonne famille », qu’il était. Il s’est, alors, rapproché, de juniors, « encore plus, en marge », comme, lui, qui l’ont reconnu, comme, « des leurs ».

 

L’ont accepté, se sont montrés bienveillants, avec lui. Alors, que les jeunes, de son milieu, le « snobaient », du fait, de son fort anticonformisme, de sa « trahison, son reniement, de classe ». Hugo dit son malaise, car il est, en porte-à-faux, permanent. Avec, les juniors, des deux sexes. Avec, son milieu social, d’origine, qu’il rejette, qui le rejette, pour son côté « infréquentable ». En réalité, avec, son « milieu, d’exclus et, interlope, d’élection », qui n’est pas, le sien, qui l’a, aussi, fort maltraité, à l’occasion. Doutant, de lui-même, il se sent, toujours, incompris et, malmené, quoi, qu’il fasse. Il est, alors, sur la défensive et, le qui-vive continus747.

 

Agressif, en permanence, en vertu, de l’adage trompeur, selon, lequel, « la meilleure défense, est l’attaque ». Cela, contribue, à l’isoler, encore, un peu plus, lui causera, le plus grand tort. La meilleure gestion, de son stress, émotivité, l’accroissement, de sa confiance, en lui, vont l’aider, à se sortir, de sa réalité bloquée. En particulier, Hugo a, sans cesse, de forts ennuis, dans ses études, du fait, de son émotivité, à fleur de peau, de la susceptibilité, qui s’ensuit, du refus même, de toute autorité. Il lui est conseillé, un effort, sur soi, pour plus, de modération.

 

Les relations, avec la mère, s’améliorent. Il est bien plus serein, fume moins, de cannabis. Hugo s’en sortira, très bien. Ayant, meilleure confiance, en lui, il sera bien plus, en paix, moins stressé, émotif et, agressif. Ses liens, aux autres, seront apaisés. Il ne se sentira plus, tout le temps, « molesté ». Il prendra, du recul, relativisera. Il trouvera, la « bonne » partenaire affective, terminera, ses études et, obtiendra, son diplôme, d’enseignement supérieur. Il entamera, une bonne carrière professionnelle, selon, ses vœux. Tout étant bien, qui finit bien !

 

Damien, quinze ans et, demi, est collégien. Il souffre, d’inadaptations, de phobies scolaires. Ses résultats d’études, sont piètres. Il est anxieux, stressé, psychiquement et, physiquement, nerveux. Ses parents se sont séparés. Il vit, chez son père. Il a très peur, de l’école, depuis, la séparation, d’avec, sa mère, à l’enfance. Il manque, d’assurance, s’autodévalorise, ne croit pas, en lui ni, en ses capacités. Comme pour la plupart des « cas » évoqués, en cet ouvrage, Damien a déjà, été suivi, par plusieurs praticiens, sans effet, aucun. Faute, de réponses, à ses interrogations, d’éclairages, de conseils, lignes directrices, de conduite, programme concret, pragmatique, efficace, d’avancées réelles.

 

L’AndroJeunologie®, qui débute, est donc, la « solution, de la dernière chance ». Le jeune perçoit bien, que ni, sa personne ni, ses difficultés, n’ont réellement, été prises, en compte, jusqu’alors. Depuis, le primaire, surtout, au collège, il ne se plaît pas, à l’école, en a peur. Il ne peut rien, avaler, le matin, par terreur, de devoir, affronter, une nouvelle journée, de travail. Il se rend, alors, au collège, véritable « lieu, du supplice », la peur, le mal, au ventre. En revanche, le petit déjeuner est pris, sans nul, problème, en fins, de semaines, vacances, car l’angoisse, des temps scolaires, disparaît alors, faute, de cours748.

 

Ce qui est significatif. Damien se plaint fort, des locaux éducatifs sinistres, pourtant, ceux, d’un grand collège-lycée parisien, connu et, réputé. De la dure discipline, de l’ambiance, négative et, rébarbative, de relations exécrables, avec les enseignants, l’administration scolaire. Il est rebuté, par toutes les matières scientifiques, notamment, les mathématiques. Il aime, les cours d’histoire et, de musique. Il a une nette prédisposition, pour l’écriture et, le dessin. Il dessine beaucoup, de façon, abstraite non figurative, écrit, de courtes fictions, qui mettent en scène, son univers quotidien.

 

Il fait montre, d’une très grande richesse, de son imaginaire et, de son monde intérieur. Il apprécie, la solitude, malgré, sa bande, de copains. Il est très proche, de sa maman. Le blocage scolaire date donc, de la séparation brutale, d’avec sa mère, à l’époque, de l’école primaire. Ce qui aura été, pour lui, un traumatisme profond, joint, à un sentiment, de culpabilité. Damien n’éprouve pas, de difficultés, de lien, à son égard, mais, par rapport, aux autres et, certains, en particulier. Il s’entend bien, avec les autres jeunes. Les liens, avec son père et, son frère aîné étudiant, sont distants et, il aimerait bien, se rapprocher, de ce dernier.

 

Or, le grand frère, y est rétif, car il a jugé, son cadet, trop jeune, pour échanger plus, avec lui. Damien se plaint, du manque total, de psychologie, de pédagogie, de tact et, de respect, des enseignants, à l’égard, des jeunes. Qui manient plutôt, contre eux, force sarcasme, ironie, mépris, selon, ce que ressent, le garçon. La dureté inique, des conseillers d’éducation, est aussi, déplorée. Pourtant, tous, ont bien été avisés, des difficultés psychiques, de Damien, or, n’en tiennent, nul compte. Ils sont avertis, que les troubles psychiques, du jeune, causent, ses pires difficultés scolaires.

 

Or, ils persistent, à penser, qu’à l’inverse, ce sont, les mauvais résultats éducatifs, qui suscitent, le tourment, du jeune. Par ignorance, facilité, ils inversent, la logique, de la réalité. Nombre, d’enseignants français, n’aiment pas, les juniors, ne croient pas, en eux. En ont peur, s’en défient, les traitent, par le dédain, la morgue et, l’arrogance. Ce qui suscite, en retour, la juste colère et, la violence, des jeunes, leur rejet, de l’école, de ses personnels. Un junior traité, avec déférence, respecte, l’adulte, en réciprocité. Si les profs prétendent, être considérés, par les jeunes, qu’ils commencent, en réels adultes, par estimer, leurs élèves749.

 

Alors, et seulement, alors, ils seront « ménagés ». En outre, ces enseignants, n’ont pas été formés, à la psychopédagogie juvénile. Ils commettent donc, pires erreurs, maladresses, injustices, à l’encontre, des juniors, par « incompétence psychologique ». Nous ne cessons, à longueur de consultations, d’entendre, de la bouche, de ces jeunes maltraités, combien, leurs pédagogues, sont suffisants, caustiques, à leur égard. Tant, de témoignages, allant tous, dans le même sens, si désastreux, pitoyable, interpellent et, prennent, un accent, de vérité.

 

À force, d’être, sans cesse, répétés, depuis, des années, par autant, de juniors, si différents, du collège, aux études supérieures, incluses ! Que nombre, d’ « enseignants », cessent, leurs injustes, abusives, violences, à l’égard, des jeunes. Ils ne subiront plus, en retour, les déviances, de certains juniors ! Baser, la pédagogie, sur l’humiliation, d’un ado, à sa merci, est d’une lâcheté et, d’une « crapuleuse scélératesse », sans nom ! Cela, en dit long, sur une certaine mentalité nationale, totalitaire. Le sociologue, enseignant universitaire français, Pierre Merle, évoque, un « élève humilié » et, se demande, même, si l’école, n’est pas, un « espace, de non-droit »750 !

 

Les enseignants, de Damien, ne le connaissent, reconnaissent pas, en ignorent, tout. Alors, les maladresses psychologiques, se multiplient et, le jeune se bloque, d’autant. Il est souvent, humilié et, rabaissé, publiquement, devant, ses camarades, en souffre. Comme, nombre, de ses semblables. Le système scolaire, universitaire, français, est sclérosé, car il nie, purement et simplement, « le fait et, les réalités juvéniles ». Cela, interroge fort, aussi, sur l’équilibre psychique, de certains enseignants ! Car, un humain adulte épanoui, bien, dans sa peau, ne se laisse jamais, aller, à maltraiter, un jeune, dont, il a, la responsabilité éducative !

 

Damien va apprendre, à mieux respirer, se relaxer, se détendre, soigner, son hygiène, de vie : sommeil, alimentation, activité physique. Mieux gérer, son emploi, du temps, bien affiner, sa méthode, de travail. Positiver, réguler, ses cognitions, sentiments, comportements, pour « apprivoiser, la chose scolaire ». Afin, que la pensée rationnelle, logique ou, de raison, discipline, les affects passionnels, excessifs. Les autoconditionnements réactifs, d’attitudes primaires, irraisonnés, de peur. La crainte viscérale, du cerveau primitif reptilien, perturbe, les émotions, du cerveau limbique.

 

Lesquelles, deviennent alors, pessimistes, défaitistes, négatives. Parasitent, court-circuitent, les capacités cognitives, du néocortex préfrontal cérébral. Puis, cela influe, défavorablement, sur le comportement, les actes, de Damien, qui devient inhibé, abattu, au lieu, d’être affirmé, déterminé. Il « sait », ses leçons, à la maison, mais, les « oublie », à l’école, car il y perd, ses moyens, par un contexte scolaire, hostile, qui le paralyse, l’effraie. Il en retire, un douloureux sentiment, d’injustice et, de désolation. Car ses résultats, qui devraient être corrects, par ses grands efforts, sa bonne volonté, pour apprendre, retenir, comprendre et, travailler sont, pour autant, médiocres.

 

Il est privé, des bénéfices, de son labeur, les enseignants estiment, alors, qu’il ne travaille pas, assez, ce qui n’est pas, le cas. Damien doit apprendre, à croire, en lui, ses compétences, s’accepter, s’aimer, tel, qu’il est, pour avoir confiance, en lui, s’affirmer. Il est timide, redoute, l’inconnu, craint, le pire, le danger, la menace. Il a peur, d’être jugé, mal perçu, évalué et, considéré, a la hantise, de l’injustice et, d’être déprécié, sous-estimé, à tort, ce qu’il ressent, souvent. Il se replie alors, profondément, en lui-même, son monde intérieur.

 

Ce qui le rassure, car il s’y sent, bien protégé, inexpugnable. Il développe, un fort sentiment, d’impuissance et, d’incapacité. Alors, il renonce et, ne tente pas, pour éviter, les échecs, par panique, d’échouer. Il réfléchit beaucoup, par stress, de mal faire, de nuire, aux autres, d’être, mal jugé. Il craint, de décevoir, notamment, sa maman, qu’il aime, par-dessus tout. Il s’exprime peu, avec ses amis, par grand effroi, de blesser, d’être maladroit, que ses propos, soient mal interprétés et, compris. Il a peur, de déranger et, préfère, subir, que demander. Il a besoin, de solitude, de calme, quiétude et, silence.

 

Pour se sentir libre, ne pas gêner ni, être jugé. Cela, lui permet, de donner, libre cours, à son imaginaire. Il souhaite, passer, inaperçu, pour se sentir, en confiance et, tranquillité. Il ne souhaite pas, ressembler, aux autres, mais, s’en démarquer, pour assurer, sa spécificité, sa pleine mesure intérieure. Peu à peu, Damien commence, à moins craindre, l’école, moins somatiser, ses « terreurs ». Il est bien plus confiant, en lui, plus serein. Seuls, les cours, les plus difficiles, pour lui, le tourmentent, encore, par inquiétude, d’être interrogé, sans savoir. Il vise, résolument, une seconde générale, un baccalauréat littéraire751.

 

Il aimerait bien, écrire, des scénarios, pour le cinéma. Il est heureux, d’être accepté, en seconde générale, en lycée privé, à petits effectifs. Où, il se sentira, bien plus, à l’aise, qu’en son grand collège public. Il a mieux géré, son stress, son anxiété, à l’examen, du brevet, des collèges. Damien s’est bien adapté, à la classe, de seconde et, à son nouveau lycée. Il s’y sentira, plus apaisé, qu’au collège. Il s’est fait, de nouveaux amis. Même, en mathématiques, sa matière, la plus faible, donc, anxiogène, il n’a plus peur, va, au tableau, sans trembler. Il prend, peu à peu, confiance, en lui.

 

Il est ravi, de sa nouvelle vie lycéenne, en est, métamorphosé. Il est plus épanoui, en sa vie, a de bonnes notes, la moyenne, en toutes, les disciplines. Presque, en mathématiques, pourtant, sa matière, la plus difficile. Il se défend mieux, quand, son frère aîné, s’en prend, à lui. Il se sent mieux, dans sa peau, est plus heureux, avec les autres, lui-même, il ose plus et, mieux, défendre, sa personne, ses actes et, intérêts. Damien se plaint encore, toutefois, de la mauvaise humeur, permanente, de son père, son ironie, à son égard. De son refus, de laisser grandir son fils, de sa volonté, de toujours, persister, à le traiter, « en enfant ».

 

De le maintenir « petit », en son pouvoir, malgré, ses seize ans. Typique problématique, entre pères et, fils. Les pères percevant, les fils grandissant, en rivaux, menaçant, leur suprématie, souhaitant, les « maintenir, en tutelle », de façon, pathétique. Il espère, partir, en prochaines vacances, d’été, sans, ses parents. Après, le bac, habiter, seul, sans, son père. Damien change, mûrit, veut plus, d’autonomie. Son suivi s’achève et, constitue, un plein succès, pour lui, par ses efforts, sa persévérance, à progresser et, sa foi, en la possibilité, de « s’en sortir », en se faisant, aider.

 

Le climat familial, avec son père et, son frère aîné, s’est finalement, apaisé. Le test effectué, en début, de parcours jeunologique, pour évaluer, son niveau, de confiance, en lui, était, de douze points, en dessous, de la moyenne. Il est, désormais, de neuf, au-dessus. Il en est, légitimement, heureux, fier ! S’estimant et, s’acceptant, mieux, il a plus, confiance, en lui, autrui, l’existence, sa vie et, son devenir. Il s’affirme donc, de meilleure, façon. Tous, ses gestes, de nervosité, de stress, ont totalement, disparu. Il n’a plus besoin, d’anxiolytiques. Sa puissante phobie scolaire, les somatisations, afférentes et subséquentes, sont résorbées752.

 

Il continuera, à retravailler, son suivi androJeunologique écrit. Refaire, exercices, entraînements, simulations. Sur le modèle, de ce qui a déjà, été réalisé, en entretiens, avec d’autres exemples situationnels, concrets. Il saura « bonifier », ses pensées, émotions, comportements, actes. Il évitera, le si redoutable piège, des néfastes croyances, irréalistes. Des délétères distorsions, cognitives et émotionnelles. Des négatifs pensées, comportements et, actions automatiques. Damien a compris, que la foi positive, en soi, en le meilleur, de la vie, transcende, l’essentiel, pousse, à se dépasser, donner, le meilleur, de soi.

 

Être, en paix, avec, soi-même, autrui, son destin, pour réaliser, son plein dessein terrestre. Ainsi, le jeune homme ne va, désormais, pas seulement, « bien » et, « mieux ». Il est, surtout, devenu, bien « meilleur », s’est littéralement, « transfiguré », de l’intérieur. À son plus grand bénéfice, fort contentement et… étonnement ! Tant, en début, de suivi, il était persuadé, avec force fatalisme, résignation, d’être, « comme, il était ». En une sorte, de « seconde nature », définitive et, à vie. Que ni, lui ni, quiconque, n’y pouvaient, grand-chose ! Ayant compris, la réversibilité humaine, sa vie en sera, profondément et positivement, transformée !


 

 


Richard, jeune américain, va, en Thaïlande, pour ressentir, des émotions exotiques, loin, des sentiers battus. Il est mis, sur la piste, d’une île, des plus sauvages, aussi superbe, secrète, qu’inviolée. Il fait, la connaissance, d’un jeune couple français, lequel, fera partie, du voyage. Ils découvrent, alors, un vrai havre, de paix et, beauté terrestres, occupé, par une communauté, de jeunes, fort accueillante, qui les accepte. Or, le mauvais, naturel humain et, les vilains penchants, ne tardent pas, à déchirer, le groupe. En vraies guerres intestines, autant, qu’assassines. Alors, le rêve initial, si doux, se mue, vite, en pire, cauchemar. Cette histoire est tirée, du roman, de l’auteur britannique, A. Garland, La Plage. (Royaume-Uni, 1996).

 

Adapté, au cinéma, en 2000, sous un titre éponyme. L’on peut, y voir-là, une « métaphore » allégorique, des aspirations androJuvéniles, très profondes. Une quête, d’absolu et, de réalisation, de soi. Le bonheur, de penser, les avoir trouvés. La cruelle désillusion douloureuse, de se rendre compte, que l’on s’est trompé et, que le paradis, escompté, n’est qu’un vil mirage. Qui plus est, des plus néfastes et, malfaisants. Ainsi, va la vie, de tout jeune : entre espoir et, crainte, contentement et, déception. Éternelle tétralogie, de plénitude-néant, si juvénile et, humaine !

(The Beach, La Plage, drame cinématographique, du réalisateur britannique contemporain, D. Boyle, Royaume-Uni, États-Unis, 2000)753.


 

 


– Pourvoir, Également, à Vos Nécessités –

De Jeune Homme, Dit « Difficile »


 

 

Vous, jeune masculin, réputé « difficile », utilisez, six tactiques, pour parvenir, à vos fins. Vous ressassez, répétez, sans fin, martelez. Vous hurlez, insultez, explosez. Vous êtes, totalement, mutique. Vous manipulez, dupez, cajolez, culpabilisez. Vous êtes violent. Vous menacez, usez, de chantage. Cela, marchait, enfant, alors, vous, junior, persistez, encore. Il s’agit, donc, de ne jamais, vous céder, sinon, même, si cela, ne se produit, qu’une seule fois, vous, jeune, vous engouffrerez, dans la faille. Vous redoublerez, d’exigences indues, quand, vous vous verrez, refuser, ce qui vous aura, déjà, été accordé, en d’autres circonstances passées.


 

 


Contrairement, à ce que l’on croit, céder, entretient, aggrave, crescendo, la « guérilla » juvénile, jusqu’au pire. Alors, qu’être inflexible, finit, par littéralement, la « tuer, dans l’œuf ». Le jeune impudent, ne peut, qu’être « maté », quand, les adultes font, inexpugnablement, front uni. Tout adulte éducateur, parent, enseignant, autre, se doit, au préalable, de s’interroger, sur six aspects fondamentaux, en son lien, à un junior difficile. La satisfaction, de son rôle éducatif. La nature, l’acuité, de la difficulté. L’effet mauvais, ressenti, par le blocage.

 

L’état général, du jeune concerné. La réalité actuelle, du lien, avec lui. L’état, des rapports, qui unissent, l’adulte parent, son conjoint, tout adulte éducateur, avec ses collègues. Si l’adulte est, lui-même, en difficulté, quant à un ou, certains, aspects majeurs, de sa propre vie, il ne sera pas, en mesure, de bien gérer, les problèmes, générés, par le jeune « difficile ». Qui est aussi, ipso facto, en cela, en difficulté, car, en détresse, tourment. Ce junior manifeste, son mal-être, par ses réactions, cognitives, émotionnelles, comme, comportementales, éruptives, tournées, agressivement, contre, autrui.

 

D’autres juniors, useront plutôt, en pareil cas, de manifestations, d’affects, tournées, contre, eux-mêmes. Les garçons sont plutôt, représentatifs, du premier type, avec, par exemple, des déviances. Les filles, du second, avec, notamment, des replis, sur soi, déprimes. Pour pouvoir, bien aider, un jeune, à s’en sortir, l’adulte concerné, lui-même, en difficulté, se devra, au préalable, de régler, ses propres problèmes. Notamment, en se faisant aider, lui-même. Il s’agit, ensuite, de savoir, si la difficulté, est cruciale, pour l’avenir, du jeune754.

 

Ou, si elle n’est problématique, que pour l’adulte, lui-même. Généralement, les deux cas, ne vont pas de pair, parfois, oui, or, ce qui compte, avant tout, est ce qui est inquiétant, pour le junior, sa plénitude. Bien plus, que ce qui peut, concerner, le confort, des adultes. Les choses varient aussi, selon, l’âge, du jeune. Un même problème, n’est pas, de même nature ou, n’en est plus un, à quatorze, dix-neuf ou, encore, vingt-quatre ans. Les difficultés pourront être, peu ou, très cruciales, peu ou, très problématiques, urgentes ou, non. Il s’agit, alors, de se concentrer, surtout, sur ce qui est névralgique ou, très problématique, également, urgent.

 

Ce qui est peu crucial, peu problématique et, non urgent, est secondaire. Les bonnes ou, mauvaises pensées, créent, les émotions, donc, les comportements similaires. De même, les sentiments suscités, par les juniors, chez les adultes, ne proviennent jamais, des attitudes, des jeunes. Or, de l’interprétation, du ressenti et, de l’opinion cognitive, afférents et subséquents, extrapolés, par l’adulte. Face, à un junior, l’adulte, qui pense, perçoit, négativement, aura, tout intérêt, à annihiler, ses pensées créatrices, d’émotions négatives. À les remplacer, par des cognitions positives.

 

Il s’agit, de temporiser, relativiser, se distancier, par le raisonnement, plutôt, que se laisser, submerger, par l’irrationalité émotionnelle. Si l’état général, du jeune, en tous les domaines, aspects, de sa vie, est satisfaisant, tout, va bien. Si un ou, certains, registres, sont défaillants, il convient, de l’aider ou, le faire assister, pour résorber, le ou, les points déficients. Il s’agit, aussi, de s’assurer, de la bonne relation, entre l’entourage adulte et, le junior. Si certains aspects, sont insatisfaisants, les amender, permettra, de mieux traiter, les difficultés, spécifiques, au jeune, lui-même.

 

Il est capital, que les deux parents, soient toujours, en bonne entente, accord, quant à l’éducation, du junior, la conduite idoine, à tenir, à son égard. De même, concernant, l’équipe enseignante ou, plus généralement, les adultes, qui s’occupent, de jeunes. Il est, donc, de la plus haute importance, que ces adultes, harmonisent, coordonnent, leur approche, générale, éducative. À l’égard, des juniors, avec qui, ils sont, en lien, de responsabilité. En leurs rapports, d’adultes, avec eux, que les aînés, n’oublient pas, de mieux, distinguer, les pensées, affects, attitudes ou, actes. Chez eux-mêmes, comme, chez les jeunes. Tout, faisant, sens, valeur755.

 

Tout ceci, est très subjectif, relatif, selon, les protagonistes, les moments, les humeurs, les circonstances, lieux, actes. Nous l’avons vu, tout, est affaire, de perception, d’interprétation, de conception. Pour bien comprendre, le « fonctionnement », du junior, il s’agit, de savoir, bien l’écouter, attentivement, comme, exclusivement. Le comprendre, parfaitement, avant, de réagir et, s’exprimer, à son tour. L’autorité adulte « authentique », est toujours, saine. Les décisions sont compréhensibles, pertinentes, cohérentes et, légitimes.

 

Des exigences sont émises, ce qui est attendu, du jeune, sera, irrévocablement, maintenu, imposé. Il est bénéfique, que le junior, acquière, plus, d’autonomie, d’initiative, d’indépendance. Or, tout aussi, indispensable, que les adultes, conservent, maintiennent, un minimum, d’autorité, de contrôle, de directivité, à l’égard, de la jeunesse. Afin, que le jeune, soit, en mesure, de devenir, à son tour, un adulte accompli. Sans, pour autant, abuser, d’autoritarisme, ce qui empêcherait, tout autant, le junior, de « grandir, mûrir ». Ce dernier, a besoin, d’un cadre structurel, solide et, ferme, ni rigide ni, laxiste, pour être guidé, vers l’adultisme accompli.

 

Les adultes, responsables, de lui, se doivent donc, de le lui fournir. En famille, dans les études, l’emploi, la société et, les loisirs… Les adultes concernés, se concerteront, au préalable, pour offrir, à tout jeune, des règles éducatives, cohérentes. En matière éducationnelle, si les aînés pédagogues tirent, chacun, de leur côté, « à hue et, à dia », le désastre didactique, est certain. Quoi, qu’il arrive, les adultes exigeront, le respect, des juniors, se feront, respecter, par eux, en étant, fermes et justes. Les mêmes adultes sauront, aussi, respecter, les jeunes, pour être autant, considérés, par eux.

 

Si le junior s’est, par ses débordements, comportements, attiré, une admonestation, il s’agit, de blâmer, sa façon, de penser, ses excès émotionnels, attitudes. Or, jamais, sa personne. La façon, d’être, de faire, appropriée, lui sera, alors, inculquée. Les affects sains, ressentis, par le jeune, ne seront pas, remis en cause. Quand, il y a, conflit ouvert, crise, avec, l’un, d’eux, il est important, de savoir, adéquatement, négocier, pour en sortir, « par le haut ». Il s’agit, tout d’abord, de définir, le problème, les réalités, qui en sont, à l’origine et, en constituent, la trame. Puis, de fixer, la meilleure solution, de résorption idoine, possible756.

 

Puis, celle-ci, sera appliquée, il sera vérifié, si elle est opérante, efficace ou, non, pourquoi et, comment. S’il y a blocage, la solution sera amendée ou, il en sera trouvé, une autre. L’adulte prendra bien soin, d’analyser, sans juger ni, extrapoler. Il écoutera, attentivement. Développera, un ascendant moral, juste et légitime. Avec ordre, méthode, rigueur et, exigence équilibrés. Il tranchera, en accord, avec les autres adultes, concernés. Il sera respectueux, du junior, s’en fera respecter. Il évaluera, objectivement, le jeune, tant, d’un point de vue, défavorable, que positif. Il s’en occupera, raisonnablement, sans abandon ni, omnipotence.

 

Il n’oubliera jamais, d’encourager, de congratuler, motiver, « consoler », autant, que de besoin. Il saura toujours, bien argumenter, comme, convaincre, négocier, plutôt, que de laisser, tout faire ou, imposer, unilatéralement, brutalement. Pour convaincre, tout junior, de rectifier, bénéfiquement, un comportement inapproprié, il est important, de lui démontrer, les avantages, de changer. Pour une attitude, plus adéquate. Les inconvénients, de persister, dans les mauvaises habitudes. Il s’agit, de faire, la balance comparative, entre les gains et, les pertes, en ne changeant pas, et, les gains et, pertes, en modifiant, les choses. Généralement, muter, vaut mieux, que stagner.

 

Alors, le jeune prendra conscience, qu’il a tout intérêt, à bouger. Le bénéfice, de la mutation, l’emportant, sur les désagréments, afférents. La gêne, à ne pas modifier, ses habitudes, étant supérieure, à la « plus-value », de ne pas, les infléchir. Il convient, moins, de démontrer, tous les avantages, du changement, que les inconvénients, de l’immobilisme, pour tous juniors. Il sera prouvé, que les avantages, du « statu quo », ne font jamais, le poids, face, aux inconvénients, du changement, aux yeux, du jeune. Ce dernier, sera fortement, incité, poussé, à adopter, des bonnes habitudes, aux dépens, des mauvaises. En responsabilité, autonomie. Ce, avec, des listes écrites, d’actions impératives, à entreprendre, chaque jour, de façon, la plus complète, excellente. En cochant, chaque tâche, au fur et, à mesure, de son accomplissement.

 

Si cela, ne suffit pas, pour chaque, bon comportement ou, bonne action, observés, réalisés, le junior sera récompensé, de façon, graduée. À la mesure, de la tâche accomplie, de sa difficulté, de l’importance, l’efficacité, du jeune, à en venir, à bout. En effort, ténacité, abnégation, force757. Selon, les résultats, obtenus, le degré, de qualité et, de diligence, atteint, pour un objectif, bien donné. Chaque action, peut même, rapporter, tant, de points, lesquels, équivalent, à telle ou, telle, récompense. Le gain, des bonnes actions, sera donc, toujours, augmenté, graduellement, par gratifications, encouragements. De même, la perte, des mauvaises entreprises, sera alors, démultipliée, non moins, proportionnellement, par sanctions et, dissuasions. L’adulte doit, aux juniors, la justice : gratifier, le bien, punir, le mal. (Compernolle, van Eerden, Lootens, Moggré, 2004)758.


 

 


Colette, jeune femme, se voit demander, d’aller, récupérer, un jeune garçon, pour le compte, de la mère, de ce dernier. Or, cet « enfant », Billy, se révèle être, un adolescent. Lequel, perd, sa maman, devient orphelin, ce qui fait, que la pauvre Colette, se perd, en conjectures, ne sait plus, qu’en faire. Ce qui se révèlera, d’autant plus, difficile, compliqué, que le jeune homme, s’attache fort, à elle. Elle cherchera, à tout prix, à s’en débarrasser, y parviendra. Au grand dam, de l’infortuné garçon. Ainsi, débute, l’action, du film, Mon Ange.

 

Comme, le symbole, parfait, de la déréliction, la déshérence, dont, sont frappés et, souffrent, les jeunes, de notre temps. En apparence, ils n’ont jamais, été, autant, désirés, aimés, choyés, littéralement, noyés et, étouffés, de pléthore, affective et, matérielle. Or, en réalité, ceci, n’est qu’un sinistre, simulacre. L’abandonnisme, moral et psychique, à l’égard, de la nouvelle génération, de la part, des adultes et, de la société, entière, est abyssal. Le film précité, le démontre, plus, le jeune s’accroche, à sa « mère / compagne, de substitution », plus, celle-ci, le repousse.

 

Plus, elle le fuit, plus, il se rapproche. « Quadrature, du cercle, syndrome », typiquement, juvéniles. Par facilité, ignorance, égoïsme, autogratification narcissique, captative, non, vrai don, oblatif, les adultes se contentent, du « service minimum ». Auprès, de jeunes, qui en dépérissent. La solidarité et, le réconfort, des congénères jeunes, ne peuvent, suffire ! La société française, ne considère pas, sa jeunesse, comme, une chance. Un fort gratifiant, vecteur, de réelles valeurs, positifs idéaux et, qualités, des plus enrichissants. Or, en encombrant fardeau, dommageable, dont, l’on ne sait, que faire, qui indispose, au lieu, d’enchanter.

 

Raison, du marasme juvénile et, national français ! (Mon Ange, comédie dramatique, de cinéma, du réalisateur français contemporain, S. Frydman, France, Belgique, 2004)759. Non, les jeunes filles, ne sont pas toutes, péronnelles, pimbêches. Pas, davantage, les jeunes hommes, fats ou, forbans. À moins, que les aînés adultes, ne soient, tous, de nature, cauteleuse et pateline. Ce qui n’est, pas plus, vraisemblable. Nous l’avons dit, les juniors, ont bien moins, de préjugés, sur leurs devanciers, que l’inverse. En France, la juvénilité souffre fort, de ce discrédit sociétal, général, à lever, de façon salutaire.


 

 


 – Vous Pousser, AndroJunior, à Vous Accepter –

« Métaboliser » Votre Passé


 

 

Dès, votre naissance, vous, enfant masculin, possédiez, en vous, tous ferments nécessaires, suffisants, aptes, à vous rendre heureux. Or, le plus souvent, votre épanouissement fait défaut. Puisque, votre milieu, de vie, d’enfant, puis, de jeune, votre entourage, détruisent, ce fragile équilibre, incertain, à peine, éclôt, potentiel. Par leurs violences, excès, abus, hostilités, incompréhensions, rejets, dysfonctionnements. Ces maltraitances, des adultes, de vos parents, enseignants…, à votre encontre, proviennent, du fait que, ces adultes, à l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, ont, eux-mêmes, été « démolis », par leurs aînés. Lesquels, l’avaient, eux, aussi, été, en leur jeune temps…


 

 


Il y a donc, de fortes probabilités, que les juniors, d’aujourd’hui, ayant été atteints, par cet infernal syndrome, ne le reproduisent, à leur tour. Aux dépens, de leurs propres, descendants ! Ainsi, de suite, jusqu’à « la fin, des temps ». La psychogénéalogie démontre, à l’envi, la répétition intergénérationnelle, de ces si désastreux, « jeux théâtraux », sans fin, d’ascendants, à descendants. Qui ne peuvent, cesser, que si, à un « maillon, de la chaîne », l’on arrête, définitivement, le processus, pour qu’il ne se manifeste plus. Souvent, l’insidieux travail destructeur, de sape, du junior, vient, du parent, de même sexe.

 

Le fils souffre, des très mauvais procédés, du père, à son égard, la fille, de sa mère, à son encontre. L’AndroJeunologie® tend, alors, à aider, le jeune, à faire, le deuil, d’un lien idéal, idéalisé, avec, son parent défaillant. À surmonter, la souffrance, de la relation blessée, se restaurer, reconstruire, de l’intérieur. Se prémunir, contre les risques, de reproduction toxique, aux dépens, de ses enfants futurs, notamment, de même sexe.

 

Les traumatismes peuvent, aussi, venir, des semblables : enfants, adolescents et, juniors, qui peuvent, tout autant, que les adultes, s’en prendre, à d’autres jeunes. L’on connaît, les ravages, du harcèlement, syndrome, « tête de turc ou, bouc émissaire » juvéniles et, même, enfantins. Le drame est que, les juniors, déjà, maltraités, par les adultes, rendus, vulnérables, de ce fait, le sont alors, aussi, souvent, par leurs pairs. En terribles mécanismes, de renforcement, d’aggravation. Ce qui ne fait, que décupler, le fort et, pénible sentiment, d’injustice, d’impuissance, de fatalité et, désespoir760.

 

D’indignité, de faiblesse, déchéance, d’angoisse et, même, de culpabilité. De rejet, par autrui et, de soi-même, de solitude, d’abandon. Quand, le mal-être et, les perturbations, sont, à leur comble, dépression, voire, volonté, de mort, ou, suicide, s’ensuivent. Nous le savons, le jeune peut être, le « meilleur ami, allié, de son alter ego, comme, aussi, hélas, son pire bourreau ». Comme, tant, de tragiques, faits divers, médiatisés, le rappellent, régulièrement. De même, qu’en une basse-cour, malheur, à une poule blessée. Ses congénères, loin, de lui venir, en aide, pour la soigner, la réconforter, vont, tout au contraire, toutes, se jeter, sur elle, pour l’achever !

 

Agressions, fragilisations, ont plusieurs sources. L’expression verbale, explicite ou, implicite, peut blesser, profondément, durablement. Au point, que le junior, finit, par l’assimiler, la faire sienne, en croyances néfastes, de façon, consciente ou, inconsciente. Sous forme, de principes. De violences : humiliations, culpabilisations, menaces, peurs suscitées, ironie. De missions, à accomplir. Chantages. Communications contradictoires. Mensonges, duperies, manipulations morales, leurres, illusions, mauvais procédés, amoralités anti-jeune forcenés.

 

Peuvent, fort perturber, des scènes vues ou, entendues. Des comportements, sous formes, d’abstentions et, de privations dommageables, de signaux implicites, d’attentats physiques et, sexuels. Il y a aussi, les conjonctures socioéconomiques altérées, les perturbations familiales, les mésententes et, les anxiétés parentales. Les juniors, eux-mêmes, de plus en plus, se font maltraitants, à l’égard, même, des adultes, parents, enseignants, responsables professionnels et, autres. En un monde, notamment, français, en pleins marasmes, mal-être, perturbations généralisés.

 

Le jeune agressé est soit, inhibé, soit, agressif ou, manipulateur, or, jamais, en « amour, de lui-même », confiant, affirmé, équilibré, épanoui. Trop souvent, encore, l’autorité adulte, sur les juniors ou, de certains jeunes, sur d’autres, se confond fort, avec la violence, la coercition, l’abus, de toutes sortes. L’harmonie fabrique, de l’épanouissement et, inversement, aussi, sûrement, que le mauvais traitement, suscite, le pire, mal-être et, réciproquement. Les maltraitants, ayant été agressés, chercheraient, par la reproduction, aux dépens, d’autrui, de ce qu’ils ont subi, à entrer, en concordance, avec leur choc antérieur. Ce qui est dramatique761.

 

Le trauma initial, est tellement, insupportable, que le junior impliqué, s’en protège, alors, par le mécanisme, du déni, qui le soulage, or, le fait souffrir, tout autant. Alors, pour sortir, de cette diabolique, « quadrature, du cercle », le sujet atteint, chercherait donc, à se soulager, de façon, inconsciente. Par la répétition, de ce qu’il a subi, en cherchant, à se l’infliger, de nouveau ou, le faisant vivre, à d’autres. Une fille abusée, fréquentera, adulte, des hommes, ayant le « profil », d’abuseurs, qui la violenteront fort, de nouveau. Le garçon frappé sera, devenu parent, à son tour, violent, avec ses enfants.

 

La reproduction, des blessures passées, du jeune, pourrait, aussi, provenir, d’un système, de croyances, spécifique. Le traumatisme donne alors, par exemple, à la victime, une mauvaise image, d’elle-même. Elle entretient, cette conviction, quelles, que soient, les preuves contraires. Cherche donc, toujours, fort inconsciemment, le renouvellement, des « coups, du sort », subis ou, infligés. Pour confirmer, ses juvéniles croyances, négatives, autodévalorisantes et, ainsi, s’autorenforcer, de façon, très illusoire. Pour « s’autopunir », par culpabilité ressentie. Pour se sentir, exister, par le renouvellement, de ce qui s’est passé.

 

Si l’abus, a été nié, il est inconscient, l’inconscient peut inciter, tout junior abusé, à reproduire, l’abus. Nombre, de jeunes, blessés, de la vie, auront tendance, à vivre, de façon, autodestructrice. Ils seront hostiles, exigeants, revendicatifs. Opteront, pour des relations toxiques. Souffriront, de dépersonnalisations, comme, de stress intenses. Fuiront, attachements, intimités. Seront, solitaires, isolés, indépendants, par volonté, d’autoprotection, contre autrui, réputé, néfaste. Ils refuseront, la réussite, ne l’admettront pas. Adopteront, des états juvéniles, colériques et, explosifs.

 

Aimeront, s’occuper, d’autrui, se rendre, indispensables. Seront, trop exigeants et, étouffants, en amour, rejetés. Ils chercheront, accidents, troubles psychosomatiques, pour être victimes, à plaindre, réconforter. Connaîtront, aussi, déréalisations, dénis, d’autopréservation. Certaines formes, de masochismes, à pures visées, anti-anxieuses. Ils auront, des troubles, du comportement alimentaire. Souffriront, d’angoisses, d’anxiété, de déprimes. Ils deviendront, parfois, eux-mêmes, agresseurs, après, avoir été agressés. Le junior peut être, en fort déficit, d’identité. Il ignore, ses émotions, besoins et, attentes. Il peut être agressif762.

 

Narcissique, avec besoins excessifs, de marques, de gratifications. Il manque, de confiance. Transpose, en actes, des besoins fondamentaux, insatisfaits, des chocs déniés, à l’enfance. Le jeune peut se maltraiter, de la même façon, que ce qu’il a subi, antérieurement, en auto-châtiment. S’infliger, une émotion négative, destinée, à un tiers. Également, s’autoflageller, en accidents, inconsciemment, provoqués. Il peut avoir, une pensée magique, infantile, de toute puissance illimitée, à influer, sur tout, tous. « Mettre, sa ville, en bouteille », ne l’inquiète pas, particulièrement.

 

Il y aura parfois, aussi, de graves perturbations juvéniles, relationnelles. Entre angoisses abandonniques, attachements excessifs toxiques, phobies, de « dévoration », par autrui, solitude absolue, désirée et, entretenue. Existent, aussi, l’excès, de maîtrise, de soi, et, celui, des pires, laisser-aller, selon, l’éducation reçue. Il peut advenir, addictions, compulsions. Les distorsions cognitives, consistent, à raisonner, de façon, infantile. Puis, le junior peut être amorphe ou, dépressif. Si sa vie est fort douloureuse, il pourra aussi, se couper, des réalités exogènes. Pour se murer, en son monde endogène, rassurant, protecteur, en salvatrice bulle.

 

Pour qu’un jeune surmonte, un passé difficile, traumatique, il s’agit, qu’il soit, en mesure, de se relever, là, où, il est jadis, tombé. Afin, que ce qui a « collapsé », soit redressé, en une sorte, de correction, psycho-orthopédique. Le dysfonctionnement passé sera, consciemment, identifié, inventorié, reconnu, comme, tel, par le junior, concerné. Qui se fera, aider, par un professionnel. Avec des objectifs, précis et adéquats, à atteindre. Le jeune sera, alors, délivré, des blocages émotionnels antérieurs, structurels et conjoncturels, qui le fixent, à sa difficulté et, l’entravent.

 

En revisitant, ce qui l’a fait, souffrir et, en en faisant, son deuil, par renonciation, irréversible. Il suffit, pour cela, de s’ouvrir, à son subconscient, pour aller, aux fondements, même, des conflits intérieurs. En décoder, tous les rouages, s’en défaire, malgré, les résistances et, les craintes. Cognitions, émotions, actes, corps physique, seront purgés, de leurs « toxines psychiques ». Les litiges, non résorbés, seront, également, positivement, réglés. Le tout, sous la conduite, du propre subconscient juvénile. Puis, le jeune puisera, en ses forces actuelles, les moyens, le rendant capable de, définitivement, « solder, tous les comptes », du passé, par lui-même763.

 

Il s’agit, de se renforcer, se « reconfigurer », régénérer, pour remplacer, le mal, qui aura été expulsé, par un bien, tout nouveau. D’optimiser, de façon, positive, les facultés, qui viennent, de se faire jour. Souvent, le présent, pourtant, vierge, neutre, du junior, n’est pas serein. Car, il est encore, parasité, par des scories négatives, persistantes, du passé, non encore, éliminées. Le présent offre, des moyens, outils, pour assainir, le passé et, même, le façonner. Par des res/sources actuelles, n’existant pas encore, antérieurement. De même, pour bien apaiser, les inquiétudes, dues, aux incertitudes, de l’avenir.

 

Le passé, décontaminé, la sérénité, acquise, il devient, possible, d’avancer, de rebondir, vers un avenir, du jeune, plus prometteur, que jadis. Pour dépasser, son passé, il convient, non, de lutter, contre, ses émotions négatives, or, de les accueillir, accompagner, jusqu’à, leur optimum paroxystique. Ce qui leur permettra, de se résorber, peu à peu, à force, de familiarisation, donc, d’apaisement, subséquent. Pour annihiler, tous les affects négatifs, destructeurs, il s’agit, de les contrer, remplacer, par des sentiments, les plus positifs, régénérateurs. Nul, bonheur juvénile, n’est possible, en étant, neutre ou, négatif !

 

Notamment, en offrant, à l’enfant, que le jeune a été, tout, ce qui a pu, lui manquer, à l’époque, pour qu’il s’épanouisse, pleinement. En amour, paix, confiance, plénitude, reconnaissance, bienveillance. Bienfaits, bons traitements et, encouragements. Soutien, sécurité, empathie et, compassion… Afin, de réparer, ce qui a été abîmé, apaiser et, guérir. Repartir, sur des bases assainies, le mauvais passé infantile, du jeune, ne revenant plus, désormais, hanter, son présent. Ainsi, allégé, par « exorcisme » salvateur, des pires anciens « démons ».

 

Le junior, encombré, affecté, par un passé, très difficile, peut l’avoir, occulté, inconsciemment, pour s’en protéger. Son subconscient actuel, peut seul, l’aider, à lui restituer, ce passé, afin, que le junior devienne, enfin, capable, d’en « prendre conscience ». De mieux, lui faire face, de l’assimiler, positivement, pour le dépasser, s’épanouir, enfin, pleinement, jouir, favorablement, du présent, puis, de l’avenir. Le jeune expérimente, de nouveau, toutes les situations, occultées, les fait remonter, à sa conscience. Alors, les effets, qui en étaient issus, s’évanouissent, sur-le-champ. En « transcendante catharsis », assurant, un salutaire dépassement, de soi. (Bernardin, 1998)764.


 

 


Emmanuelle, dix-sept ans, vit, en banlieue triste, avec, un centre commercial, pour tout horizon. Elle se sent perdue, marginalisée, depuis, la mort, de son père. Sa propre mère, se fait lointaine, sa fille la fuit, le lycée lui pèse. Sa vie lui devient « insupportable ». Elle ne se remet pas, du décès, de son père, alors, que sa mère, est déjà, dans l’après, veut refaire, sa vie. Il ne reste rien, à l’adolescente, si ce n’est, un consumérisme, matérialiste et hédoniste, qui ne parvient pas, à la combler.

 

Ni davantage, à calmer, ses frustrations, souffrances, angoisses. Un univers, maudit, des dieux, sans espoir, morne, hésitant fort, entre drame et, burlesque. Or, déjà, elle pressent, de grands changements. Annonciateurs, d’incertitudes, menaçantes ou, inquiétantes. Toutefois, surtout, emplis, de potentielles, positives, espérances ! À l’aune, d’une jeunesse, tout ambivalente, en laquelle, les larmes, ne sont jamais, si proches, des rires. Les envolées, les plus allègres, des abattements, les plus tragiques.

 

Ainsi, va, la néogénération, qui doit, sans cesse, composer, avec, « ce qu’elle a ». Bien plus, qu’avec, ce dont, elle « rêve », tant ! Avec des adultes, souvent, plus encore, instables, imprévisibles, chagrins, qu’elle- même. Une société, si rétive, pourvoyeuse, d’illusions, de vaines promesses, bien plus, que de parole, tenue. Des pairs, alter ego, fréquemment, plus perfides persifleurs, que gracieux compagnons. L’héroïne, du film, vit, tout cela, avec, pour principal entourage, non, les humains, mais, les publicités, les galeries marchandes et, le béton lépreux.

 

Que les aînés, s’interrogent, en salutaires et, saines introspections. Que, veulent-ils, transmettre ? L’être, l’avoir, le faire, paraître ? Heureusement, la jeunesse, n’est pas dupe. Elle aime, certes, consommer, jouir. Nonobstant, elle aspire, surtout, à s’accomplir, par l’humain et, l’amour. Cela, est toute sa sagesse, son honneur, sa remarquable dignité ! Ne nous y trompons pas, la néogénération est capable, de grandeur, sagesse, d’abnégation, pleines et, entières !

(L’Année suivante, drame cinématographique, de la réalisatrice française contemporaine, I. Czajka, France, 2007)765.


 

 


Je sais que je ne suis pas vraiment un adulte […]

Je ne suis pas véritablement non plus un enfant […]

Je n’ai pas de problèmes d’adulte, je suis plus grand qu’un enfant !


 

 


Marceau, quinze ans-766


 

 


7


 

 

« VOUS ADAPTER » POUR RÉUSSIR


 

 

Vos AndroJeunologiques

Équilibre, Aplomb, Activation


 

 


Que serait le monde des adultes

Sans la jeunesse ?


 

 


Anonyme


 

 


L’ivresse de la jeunesse

Est plus forte que l’ivresse du vin


 

 


Proverbe persan


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vise, votre épanouissement, jeune mâle, quant à vos pensées, émotions, comportements, actes. L’assurance, de votre néogénération : vos estime, confiance, affirmation de vous. Votre motivation androJuvénile : vos objectifs, conviction, moyens, action et, ténacité, de junior.


 

 


Mathieu sort major, de l’École Polytechnique (France). Il noue, un lien sentimental, avec une jeune fille. Laquelle, se révèlera être, la propre fille, du président, de la République française. Mathieu se voit, dès lors, illico, conférer, des responsabilités professionnelles, à la présidence. Après, maintes péripéties, le jeune homme gagne, la confiance, du président, devient, ainsi, son « conseiller spécial ». De fait, le garçon a voulu, intervenir, de sa propre initiative, en certaines affaires, sensibles et éthiques.

 

Dans le plein sens, de sa conscience « progressiste », de la déontologie et, d’une morale, de justice, de vérité et, d’humanisme, qui lui était propre. Or, en réalité, la « raison d’État », l’emportera, sur la bonne volonté et, les principes idéalistes, du jeune Mathieu. Le constatant, il préférera sacrifier, sa carrière prometteuse, fuir, avec sa dulcinée. Restant, en accord, avec sa conscience, ses idéaux et, ses valeurs, jusqu’au bout, quoi, qu’il puisse, lui en coûter. Tel est, le film, de cinéma, Président, dont l’intérêt, est de démontrer, que la jeunesse, sait préférer, ses principes éthiques, à ses intérêts prosaïques.

 

Souvent, plus, que des aînés, des plus corrompus. La nouvelle génération sait, les turpitudes, du monde adulte. À ce dernier, d’être autrement, exemplaire ! Il revient, à l’adulte, de « donner l’exemple, au jeune, car il vient toujours, d’en haut », jamais, l’inverse. (Président, fiction politique cinématographique, du réalisateur français contemporain, L. Delplanque, France, 2006)767. La juvénilité masculine est toujours, en première ligne, des conflits, entre les nations, sait donner, sa vie, pour sa patrie.

 

Ce qui est réalisé, à l’aube, de l’existence, marque, à jamais. Un vieil homme, se confie, à l’auteur, avec émotion. Aux débuts, des années 1980. Des décennies, plus tôt, il combat, à la bataille de Verdun (France, 1916). Jeune militaire français, il fait face, avec ses camarades, à la Ve armée allemande, du Kronprinz, Guillaume de Prusse. (Prince héritier impérial, allemand, 1882-1951). Il saura, en tirer, tous les enseignements. Les sacrifices, de sa jeunesse, seront, ses plus sûrs guides, jusqu’à, la fin.


 

 


Les deux instants les plus importants de votre vie

Sont le jour où vous êtes né et, celui où vous avez compris pourquoi


 

 


M. Twain

Écrivain, États-Unis, 1835-1910


 

 


VOTRE ÉPANOUISSEMENT JUVÉNILE MASCULIN

[ PENSÉES, ÉMOTIONS, ACTES ]


 

 

Votre épanouissement juvénile, de garçon, consiste, à générer, vos heureuses métacognitions. Occasionner, vos olympiens sentiments, affects. Objectiver, vos opportuns agissements. Tous ces éléments d’équilibre, sont induits, par votre suivi androJeunologique même. Lequel, y pourvoit, sans faille.


 

 


Jim, dix-sept ans, déménage, intègre, un nouveau lycée. Il s’y affronte, à un caïd, Buzz. Jim se lie, à un camarade, de quinze ans, John. Il se mesure, en un défi automobile, en lequel, Buzz, meurt. Jim et, John s’allient, contre les amis, de Buzz, « ivres, de vengeance ». S’ensuivent, des violences. La Police intervient, finit, par abattre, John. Le faible père, de Jim, s’engage, alors, à mieux jouer, son rôle paternel, auprès, de son garçon. Tel est, le célèbre film, de cinéma, La Fureur de vivre.

 

Le titre américain, Rebel Without a Cause, est significatif, d’une jeunesse, de toujours : Révolté, sans objet, sans raison, pour rien. Une néogénération, « d’écorchés vifs », qui se bat, d’abord, par principe, non, pour ou, contre, une cause donnée. Cette œuvre capitale, traite, de thèmes cruciaux, récurrents, de l’essence androJuvénile. Les frictions familiales, entre jeunes et, adultes, le marasme domestique. La famille est désunie et, les adultes, en faillite, coupables, d’incurie, à l’égard, des juniors.

 

Qui en souffrent, s’en trouvent, blessés, en déroute, à leur tour. Comme, désormais, le père-homme-conjoint, est très éclipsé, par la mère-femme-épouse. Ce qui fait, des garçons perdus, immatures. Les parents, du film, sont tous, défaillants. Alors, les jeunes ont du mal, à renoncer, à l’enfance, ils y restent, en régression et, craignent, l’avenir. L’adultisme les inquiète, plus, qu’il ne les attire. Au lieu, de vouloir, grandir, rester, « petit », les rassure ! Ils veulent, compenser, en liens forts, « entre eux », ce qui leur manque, tant, de la part, des aînés.

 

Les garçons cherchent, d’autant, à affirmer, leur virilité, face, à des « pères absents ». La jeunesse mondiale, s’est fort retrouvée, en cette œuvre universelle, intemporelle, de la « cause juvénile ». Éternelle querelle, des Anciens et, des Modernes, de l’Ancien et, du Nouveau monde. J. Dean, (Acteur américain, 1931-1955), « Jim », meurt, à vingt-quatre ans, avant même, la sortie, du film, héros jeune, à tout jamais. La plupart, des jeunes acteurs, du long métrage, mourront, aussi, prématurément.

(Rebel Without a Cause, La Fureur de vivre, drame cinématographique, du réalisateur américain, N. Ray, 1911-1979, États-Unis, 1955)768.


 

 


– Générer Vos « Heureuses » –

Méta/Cognitions AndroJuvéniles


 

 

Adaptation, est un terme féminin, de 1501. Le terme est issu, du latin médiéval, adaptatio. En psychologie, la faculté, d’adaptation, sera l’ « aptitude, d’un individu, à modifier, sa structure ou, son comportement, pour répondre, harmonieusement, à des situations nouvelles ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)769.


 

 


L’AndroJeunoConseil®, cognitif, émotionnel et, comportemental, aide, tout junior mâle, à « corriger », sa façon, de penser, d’agir, inadéquate. Pour lui permettre, de mieux faire face, à ses réalités, de vie, notamment, inédites. La jeunesse est un passage à l’adultisme. Il s’agit donc, de faciliter, avec succès, cette « métamorphose », ce bouleversement délicats. L’AndroJeunologie® vise l’épanouissement, l’assurance, la motivation androJuvéniles. L’équilibre est le bonheur, l’accomplissement, la réalisation, de soi. L’utilité, de sa personne, pour soi, autrui, le partage et, l’amour. Le sens profond, donné, à sa vie. En un mot, le dépassement, de soi, évoqué, plus haut, qui fait, l’ « humain juvénile, debout, stoïque, ardent, sous la mitraille ».


 

 


J.-P. Rameau (1683-1764), compositeur français, crée, ses Indes Galantes, en 1735. (Opéra-ballet, suites, pour orchestre, France)770. L’œuvre comporte, un prologue, aussi, quatre entrées. Insouciance, légèreté, comme, plaisirs, telles sont, les thématiques principales, développées. En préambule, Hébé, déesse de la jeunesse, (Mythologie grecque antique), pousse, les jeunes, aux joies, de l’amour. Or, Bellone, déesse de la Guerre, (Mythologie romaine antique), les engage, aux honneurs, des combats. La première entrée, représente, les retrouvailles, de deux jeunes amants, réduits, en esclavage, leur libération.

 

Les trois autres ont, également, pour intrigue, le sentiment amoureux, toujours et, plus ou, moins, comblé, harmonieux et, possible. Or, aussi et, tout autant, malaisé, contrarié et, déçu771. Cette œuvre lyrique, des plus foisonnantes, riches, dépeint bien, l’ambivalence, de notre jeunesse. Toujours, prompte, aux bonheurs absolus, comme, aux tourments, les plus aigus. Les jeunes sont, souvent, dans les extrêmes, de façon, presque « cyclothymique », entre « quasi-euphorie » et, « presque déprime ». Sur le mode, « bipolaire, hyperbolique / elliptique ».


 

Ils ont alors, du mal, à trouver, leur équilibre, leur point d’ancrage mesuré, solide, stable. En amour, comme, en d’autres domaines, c’est la maturité, qui donne, la juste mesure, de toute chose. Ce sont l’expérience, les épreuves, de la vie, l’ascèse, qui permettent, la relativisation, le recul, les renoncements nécessaires. Pour dépasser, les aléas, revers, de l’existence. Le junior croit que l’adversité, est immuable, irrémédiable, en éprouve, amertume, abattement. L’adulte accompli sait, quant à lui, qu’il n’en est rien, que tout change, tout le temps. Que tout est possible, même, l’impossible apparent.

 

Que savoir, attendre, foi, espérance, limitation, des besoins, désirs et, peurs, c’est-à-dire, l’ataraxie, l’équanimité, viennent « à bout, de tout ou, presque ». Tant, alors : « Patience et, longueur, de temps, font plus, que force ni, que rage ». (J. de La Fontaine, poète français, 1621-1695, Le Lion et le Rat, Ier recueil, Livre II, fable 11, fable morale, France, 1668)772. L’AndroJeunoConseil® sait enseigner, aux jeunes, cet art délicat, de l’espérance, en toute chose. Également, du réalisme tempéré, en regard, du possible, du probable, comme, du nécessaire profitable. Du non souhaitable ni, faisable ou, nocif. Le bonheur juvénile, est un état positif, de bien-être physique, psychique, cognitif, émotionnel, comportemental, moral, social.

 

L’aptitude, à être heureux, épanoui, est innée, intemporelle, universelle. La joie est positive et, sociale. Elle est la condition, la genèse, de tout épanouissement, toute réussite, du junior. Elle transcende, toutes choses. Les peuples scandinaves, seraient, parmi, les plus heureux, du fait, d’une « philosophie, de vie », des plus tempérées. Des études entreprises, démontrent, que l’optimum, de plénitude, de pensée positive, se situerait, entre les quarante-cinq et, soixante- quinze ans. Ce qui correspond, à la pleine maturité humaine, dans l’existence.

 

Ainsi, les plus âgés, comme, les plus jeunes, connaîtraient, plus, d’émotions négatives, avant, trente ans et, après, quatre-vingts. La jeunesse n’est donc, pas, l’âge, le plus heureux, qui soit, avant, vingt-cinq ans. Peut-être, que les juniors, sont-ils, trop peu, « installés, en la vie », pour être, les plus épanouis, des Terriens. Réussites, bonnes expériences, des aînés, donnent toujours, plus, de satisfaction. Ils ont moins, d’attente, car, ayant déjà, vécu, ils sont plus réalistes, philosophes, fatalistes, raisonnables. Ils savent, bien mieux, accepter, l’existence, telle, qu’elle se présente. Vieillir, doit procurer, normalement, sagesse, bien plus, qu’amertume.

 

Par l’expérience, la connaissance, de la longévité. Il semble aussi, que l’amour partagé, la vie de couple, accroissent, le sentiment, d’être heureux. L’ouverture d’esprit, l’instruction, le savoir, la connaissance, les apprentissages, renforcent, l’épanouissement, le bonheur, du jeune. Par l’enrichissement intellectuel, moral, social et, matériel, induit. Rappelons, les cinq stades, des besoins humains successifs, élaborés, par A. Maslow. (Psychologue américain, 1908-1970, publication psychosociologique, États-Unis, 1943). Chacun, permet, d’être heureux, contribue, au bonheur.

 

En étant, en mesure, de bien pourvoir, à ses besoins biophysiques. Sa sécurité personnelle « globale ». Sa gratification affective. Son estime, de soi. Puis, l’accomplissement personnel et, la réalisation, de soi, des juniors. La pensée, les émotions, les comportements positifs, épanouissent, aussi, physiquement, psychiquement et, spirituellement. Par ouverture d’esprit, approfondissement mental. Ce qui favorise, l’inventivité, la productivité, la créativité, en tout domaine. Curiosité, passion, enthousiasme, en sont les corollaires. Alors, les processus cognitifs épanouis, les ressentis favorables, attitudes et, actes constructifs, font secréter, au cerveau, des endorphines. Qui apaisent, le stress juvénile773.

 

Lesquelles, sont des substances chimiques, capables, de lutter, contre les douleurs, physiques et psychiques. Cela, est induit, par l’activité physique, créative, méditative, de dépassement, de soi. Spirituelle, d’émulation, tous les liens affectifs, du junior, l’élévation, à la beauté, à la sublimation. L’humour, le rire, la légèreté, sont aussi, de puissants remèdes, pour résoudre, des problèmes, mieux vivre. Le bonheur permet, de faire, de l’activité physique, par confiance, en soi. L’exercice corporel autorise, en retour, d’être, plus heureux, par une meilleure santé, physique, psychique juvénile.

 

Les générations, nées, après, le milieu, du siècle dernier, vivent, plus longtemps, en meilleure santé. Car, elles sont plus actives, épanouies, que celles, des temps antérieurs. La félicité d’esprit, accroît, le capital intellectuel, facilitant, les apprentissages neuronaux. Le « jeune heureux », développe, bonifie, ses liens sociaux, car il attire, les autres, contrairement, aux juniors tourmentés. Il est favorablement, gratifié, par autrui, à la mesure, de tous les bienfaits, positifs, qu’il répand, alors, autour, de lui. Le positif, préserve, du négatif. Le bonheur, l’optimisme, la pensée positive, la joie, l’humour, la paix, la sérénité, à toute épreuve.

 

Tout ceci, préserve, du marasme, du pessimisme, de la négativité, de la tristesse, de la peur, de la colère, de la culpabilité, du ressentiment, de l’acidité… Les émotions juvéniles positives, peuvent annihiler, les pires, des ressentis négatifs. Elles sont bénéfiques, pour le psychisme, comme, pour la santé physique. Elles entraînent, une très nette diminution, de la tension, des fréquences, d’affections cardiovasculaires. Un tempérament positif combat, de fait, le stress. Il s’agit, aussi, d’être lucide, conscient, des réalités, de ce que le jeune perçoit et, ressent. Le tout, au présent, non, au passé ou, au futur.

 

Qu’il apprécie, également, tous ses bonheurs et, sache, les vivre, pleinement, tout en étant, convaincu, de leur légitimité, de son mérite, à les connaître. Huit critères fondamentaux, contribuent, au sentiment, d’être épanoui, heureux. La félicité humaine repose, sur la sécurité, la satiété, la satisfaction, la distanciation, comme, la paix intérieure, le plaisir et, la reconnaissance ou, la plénitude. La vulnérabilité, la faiblesse, provoquent, de la peur, du doute, de la défensive. Seul, l’inverse, procure, toute la sérénité, nécessaire, au bien-être, du junior. Être comblé, consiste, à se sentir, empli, de l’intérieur, de soi.

 

La meilleure façon, d’atteindre, cet objectif, est de se « contenter », de ce que l’on possède, déjà, plutôt, que d’atteindre, tous ses désirs. À défaut, cela, est, le plus sûr moyen, de toujours, être, un « éternel insatisfait ». Avec, les douloureuses frustrations, sans fin ni, solution, que cela, implique. À chaque jeune, de définir, lui-même, ses priorités, parmi, les plus essentielles. Afin, de se prémunir, contre, de redoutables déconvenues. Si le contentement, est lié, à la possession, en nombre, la satisfaction, implique, la réalisation, de soi, les joies, facilités, qui en découlent.

 

Le junior peut connaître, l’un et, l’autre, l’un ou, l’autre ou, ni l’un ni, l’autre. Les deux, ne sont pas liés. Être heureux, consiste, à relativiser, sa propre existence. À prendre, de la distance, par rapport, à elle. Une vision globale, s’impose, alors, car agir, ne suffit pas. Il convient, aussi, de bien « prendre, conscience », des conséquences, de ses actes, pour soi. Favorables, cela, rend heureux, sinon, bien moins. Il est également, évident, que la sérénité, l’équilibre intérieurs, rendent, plus heureux, que l’inverse. La méditation juvénile, y contribue. Cela, consiste, à se vider, des passions, tourments extérieurs, pour s’emplir, de paix, joies internes, sans fin774.

 

De même, qu’un environnement, empli, de calme, silence. Le plaisir existentiel est corrélé, à ce que l’on est et, l’on fait, ce que l’on a et, paraît. Si les choses conviennent, pleinement, au junior, lui donnent, du plaisir, il lui sera, bien plus facile, alors, d’être heureux. La gratitude et, l’enthousiasme, pour les bienfaits, que l’existence, s’ingénie, à lui offrir, « chaque jour, que le Ciel fait », sont une bénédiction, qui ne peut, que l’épanouir. Il ne peut, être heureux, s’il estime, que « tout, lui est dû », mais, seulement, s’il perçoit, que « tout, peut être grâce ».

 

La bonne santé physique, psychique, sociale, affective, spirituelle, rend aussi, plus facilement, heureux, que le marasme juvénile personnel. Or, le lien, « de cause, à effet », n’est pas systématique, loin, s’en faut. De fait, le bonheur est plus, un état d’esprit, intérieur, volontairement, cultivé, que le fruit, de profits, bénéfices, extérieurs. L’on peut être, malade heureux et, bien portant malheureux. L’argent n’est pas, en soi, un facteur, de bonheur, mais, juste, de confort, d’indépendance, de soutien et, subsistance. Il ne s’agit, donc-là, que d’aide, matérielle et morale. La lutte, pour le pouvoir, c’est-à-dire, pour totalement, dominer, autrui, ne rend pas, davantage, le jeune homme, heureux.

 

Pas plus, que la réussite, qui ne met jamais, à l’abri, de la dépression, des traumatismes. Ni l’excitation, qui est illusoire euphorie, or, jamais, épanouissement. L’accroissement, des biens, des revenus, n’augmente pas, le sentiment, de vrai bonheur. De fait, le junior s’habitue, à progresser et, très vite, ne l’apprécie plus, d’autant, qu’il en veut, « toujours, plus ». En outre, il a toujours, tendance, à se comparer, à ceux, qui sont, plus prospères, que lui, non, pas, moins ou, au même niveau, que lui. D’où, son insatisfaction permanente.

 

Puis, au fur et, à mesure, que les jeunes, progressent, en l’échelle sociale, ils deviennent aussi, de plus en plus, exigeants. Concernant, ce qu’ils estiment, leur être, nécessaire, pour bien vivre. Ce qui est un jeu, frustrant, sans fin, qui entraîne, envies, jalousies, rivalités, cupidités, rancœurs, c’est-à-dire, mal-être. Les émotions négatives sont toxiques, physiquement, psychiquement et, spirituellement. En revanche, les émotions positives, sont toujours, bénéfiques, tels, l’épanouissement, le bonheur. Ces derniers, sont mieux garantis, quand, le junior, est en adéquation et, harmonie, avec son milieu environnemental, habituel. En toutes cohérence, concordance775.

 

Tant, physique, géographique, matériel, que, social, professionnel. Moral, humain, culturel, intellectuel, de loisirs, affectif et, familial. Avec, ses activités et, passions juvéniles. Il s’agit, aussi, pour être heureux, d’être motivé, de se comporter, d’agir, pour des raisons adéquates, valables, constructives, favorables. Être satisfait, de ses comportements et, de l’orientation, que cela, induit, pour son existence. Le changement, en lui-même, n’est pas gage, de bienfaits et, de bonheur. Or, uniquement, si sa nature bénéfique, même, l’implique. L’optimisme aide, à être heureux.

 

À mieux, réussir, ses études, car, quand, le junior croit, au succès, il se bat, plus et, mieux. Il s’assigne, des buts, plus affinés, précis, exigeants. L’optimisme est lié, à une plus grande, confiance, en soi, en ses aptitudes, comme, à la faculté, à surmonter, les difficultés. L’optimiste est tenace et, a le sens, de l’effort et, de la motivation. Il agit, pour le bonheur, au lieu, d’attendre, qu’il arrive. À chaque échec, il remonte, en selle, au lieu, d’accepter, la fatalité, du marasme et, tente, ainsi, de corriger, son infortune. Le jeune optimiste est plutôt, extraverti, fuit, la solitude, il cherche plutôt, le contact fructueux, tous azimuts, avec, tous, ses semblables.

 

Ce qui est source, d’enrichissement. Il fait plus appel, à l’aide extérieure. Le junior optimiste, reconnaît, pleinement, sa part, de responsabilité, dans ses déboires, il ne s’en défausse pas, sur les autres. Ce qui l’amène, à se battre, pour avancer, plutôt, que d’attendre, des solutions, extérieures, à lui-même. L’optimiste est moins fataliste, que le pessimiste, il se comporte donc, de façon, plus prudente, en tout domaine. Il est aussi, moins sensible, au stress, mieux armé, pour y faire face, car il se bat fort, au lieu, de subir, d’angoisser.

 

Le jeune optimiste, a une approche préventive, concernant, sa santé, non, pas, « attentiste », car il fait, ce qu’il faut, pour rester, en forme. S’il souffre, de douleurs chroniques, il est moins handicapé, qu’un autre, car il sait, faire fi, de son mal. L’optimisme protège, de la dépression, du suicide. Car l’espoir, du mieux, l’emporte, sur la certitude, angoissante, qu’il n’y a pas, d’issues favorables. L’optimisme renforce, le système immunitaire, car le corps et, l’esprit, sont indissolublement, unis, « pour le meilleur et, le pire ». En revanche, l’optimisme excessif, conduit plus, aux addictions, que le pessimisme juvénile. Ainsi, qu’aux accidents, par nette, sous-évaluation, des risques776.

 

L’optimisme, du jeune, mène plus, au bonheur, à la réussite existentielle, harmonieuse, que le pessimisme. Globalement, donc. La certitude, de l’échec conduit, à… l’échec. Cela, ne fait, que renforcer, le pessimisme initial. Si le jeune croit, que tout va bien, cela, ira bien, s’il pense, le contraire, cela, arrivera, aussi. Cela, signifie, fort clairement, que l’optimisme permet, aux choses, d’aller mieux, que le pessimisme. Ce dernier accroît fort, le stress, donc, le risque, d’affection cardiovasculaire. Quand, au contraire, l’optimisme mène, lui, à la sérénité et, donc, à la bonne santé, notamment, du cœur.

 

L’optimisme juvénile combat, la difficulté. Il motive, à aider, autrui. Il soutient, en l’épreuve. Il supplée, la solitude. Il annihile, la tristesse, tout comme, la détresse. De même, que le manque, de considération, pour soi-même. Il procure, du courage, de l’énergie. Il rend, le junior, appréciable, aux yeux, d’autrui. Le pessimiste peut détruire, son pessimisme, par des pensées, émotions et, attitudes optimistes. Le jeune peut, favorablement, écarter, de son esprit, un passé souffrant et, un avenir inquiet, par un présent, bien plus riant, serein. À chaque avancée optimiste, il s’agira, de s’en récompenser, pour s’encourager, à persévérer.

 

Par une récompense plaisante. En un mot, positiver, fréquenter, des optimistes, se battre, pour avoir, une vision juvénile, favorable et constructive. Il est plus facile, de changer, d’abord, son comportement, puis, son état d’esprit, plutôt, que l’inverse. De fait, l’action est euphorisante, peut, donc, conduire, à avoir, un mental, plus optimiste. D’autant que, quand, l’on agit, l’on a plus, de résultats et, de résultats, très positifs, que quand, l’on ne fait rien. De même, l’activité physique et, sportive, ne peut qu’être, à ce sujet, à tous points de vue, excellente.

 

Ce que l’on peut qualifier, d’ « endurance psychique », est un puissant moteur, d’épanouissement, du jeune. Trois éléments indispensables, la caractérisent. Le contrôle, la maîtrise, de son existence, par l’action et, l’appui, sur ce qui dépend, de soi : les facteurs endogènes, comme, non exogènes. L’engagement, pour des idéaux supérieurs et, pour autrui, par pleine adhésion, convaincue, non, par défaut. L’appréhension, de « l’essentiel », tels, autant, de défis, à relever, non, comme, autant, de fatalités, négatives, à subir. Ainsi, le stress, du junior, est-il, bien plus, maîtrisé. Avec assurance, conscience, des difficultés, incertitudes, mais, foi, en soi, ses talents, pour réussir777.

 

L’endurance psychique, du jeune, est d’autant plus, « surpuissante », qu’elle sera doublée, par de l’activité physique et, sportive, suffisante et, régulière. Il arrive aussi, qu’un événement, en apparence, négatif, pour soi, soit, en réalité, formidable occasion, à saisir, à son avantage. À soi, de savoir faire, d’un problème, une possibilité, de solutions ! Intégrité, droiture morales, mènent également, tout droit, à l’équilibre, comme, à l’épanouissement. En revanche, sont très perturbantes, la colère, les tensions physiques, psychiques, les excuses excessives et, trop fréquentes.

 

Le découragement, la frustration, le mécontentement, l’évitement, des autres et, l’occultation, des réalités, vérités. Quand, elles dérangent, les secrets honteux, inavouables. À l’inverse, confiance, loyauté, noblesse, dignité et, élévation, d’âme, renforcent, le sentiment, de plénitude. Il importe, de souscrire, à des engagements, qui ont du prix, aux yeux, du junior, « font sens », en son existence. Cela, rend utile, suscite, des émotions bénéfiques, fait aimer, l’existence. Ce qui contribue, à son bonheur. Il s’agit, pour le jeune, de définir, ses priorités, métaphysiques, existentielles, en termes, d’importance et, d’objectifs.

 

Puis, de se demander, si ces desseins, sont réalistes, réalisables. L’éthique sert, également, son épanouissement. Elle définit, pour le junior, les comportements bénéfiques, pour l’existence, conformes, aux règles, fixées et, attendues, en particulier, en société. Quand, la morale, quant à elle, précise et, différencie, le bien et, le mal. Cohérence, pertinence, sûreté, en découlent et, rendent, plus heureux, en une sorte, de « paix intérieure ». Pour cela, il s’agit, pour le jeune, de se plier, à un solide « code, de l’honneur ». En adéquation, avec les principes supérieurs, admis, par sa société, d’appartenance. Se positionner, à la place, d’autrui, en vertu, du verset :

 

« Ce que vous voulez, que les hommes fassent, pour vous, faites-le, de même, pour eux ».

(Luc, évangéliste, Moyen-Orient, Ier s., Évangile, VI-31, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.).

Être toujours, en logique juvénile, de franchise, sincérité, cohérence, vérité. Avec, soi-même et, autrui, pour être, en vraie « résonance ». (Gentry, Thalmann, 2012)778.


 

 


La jeunesse, de France, vit, en pays, qui est passé, du stade, de déclin, à celui, de « faillite totale, en tous domaines ». Économique, financier, social, culturel, moral, psychique et, spirituel… La situation actuelle, est comparable, à celle, de 1940 ou, 1958. La génération 68 a failli. Seul, un sursaut drastique, s’impose, pour le salut, de tous, nos juniors ! (F. de Closets, auteur français contemporain, Maintenant ou jamais, ouvrage sociopolitique, France, 2013). D’aucuns, parlent, même, de « décadence et, de déchéance » !


 

 


– Vous Occasionner, d’ « Olympiens » –

Sentiments, Affects, de Jeune Mâle


 

 

Le meilleur, de votre existence, contribue, à vous rendre heureux. Il s’agit, de pratiques désirées, non, pas, subies. Qui occupent, exclusivement, tout votre esprit. Sont motivantes, inventives. Vous gratifient, jeune, sur-le-champ. Consistent, à entreprendre et, user, de tous vos aptitudes, vocations et, talents. Interviennent, en tout temps, tout lieu. En l’oubli, de vous-même et, de vos difficultés. Il est donc, important, de bien connaître, vos passions, pour pouvoir, les pratiquer, être épanoui. Alors, que vous, junior, sachiez, ce qui vous meut, fait votre originalité, vous comble, le plus, donne, tout son sens, à votre existence.


 

 


Le bonheur se cultive, « à bras le corps » et, tout de suite. Il se fabrique, par soi-même, à coups, d’initiatives personnelles, d’actions. Il n’est pas, la récompense ultérieure, d’efforts, mais, une gratification, un dû immédiats, que l’on s’octroie, à soi-même, maintenant. « S’enfermer, en la routine », ne permet jamais, d’être heureux. Or, la plénitude provient, de sans cesse inventorier, pratiquer, de nouvelles pistes enrichissantes, innovantes et, gratifiantes. Que le jeune ose, l’inédit, l’audace, la subversion, pour avancer, de façon déterminée et, persévérante.

 

Remette en cause, ses fausses évidences juvéniles. S’interroge, sur les choses, de sa vie. Voie et, saisisse, les possibilités, que l’existence, lui suggère. Vive pleinement, ses émotions. Ait foi, en ses pensées, sentiments, actes. Ait, l’optimisme, l’espoir, chevillés au corps et, au cœur. Aspire, aux différences et, aux diversités, pour mieux saisir, l’unicité, de chacun. Sache, cultiver, la curiosité, l’audace, les investigations nouvelles. Libère et, affirme, haut et fort, ses passions. Ose, abdiquer, ses facilités, habitudes et, conforts, au profit, de la nouveauté, de la difficulté, de l’inconnu et, de l’imprévu.

 

Pour être heureux, il s’agit, pour le jeune, de connaître l’ « état de grâce ». Ce dernier, provient, de l’usage, d’aptitudes et, de savoir-faire, en un état d’esprit, de stimulation. Ce qui permet, d’exprimer, passions, talents. Il s’agit, donc, de trouver, préciser, ses points forts. D’oser, s’y adonner pleinement, en « franchissant le Rubicon ». De dégager, du temps libre, à cet effet, cela, est possible ! Quand, le junior est « passionné », il ne mesure pas son énergie, ses efforts, sacrifices, le temps consacré779.

 

Car il ne compte plus, du fait, que la passion l’emporte, sur lui. Puis, l’objectif, du jeune, est de pratiquer, le plus souvent, possible, l’ « état de grâce » idoine, afin, d’être, le plus fréquemment, heureux. Être heureux consiste, également, à « bien vivre », les épreuves, de sa vie, afin, de mieux, les dépasser, surmonter. En un mot, être épanoui, malgré tout. Pour « faire face » et, relativiser, l’on peut se rappeler, comment, l’on a, déjà, bien su gérer, des crises comparables, passées. Se remémorer, comment, d’autres, ont réagi, face, à des réalités similaires. Évitant, de dramatiser, à l’excès, afin, de ne pas « s’enfoncer », davantage.

 

Tout junior, est capable, de faire face, à l’adversité, d’en triompher. Cela, requiert, force énergie, tant, physique, que, psychique et, spirituelle. Pour cela, il convient donc, de délaisser, le passé douloureux, au profit, du seul, avenir, vers lequel, tous les efforts, seront tendus. Il s’agit, aussi, de se focaliser, exclusivement, sur ce qui est, en son pouvoir. L’on peut être inventif, efficace, en toutes ses entreprises, par l’action, plutôt, que par la lamentation et, la résignation, stériles et vaines. En cas d’épreuve, les relations, avec les autres, peuvent compter double, triple, quadruple, en réconfort juvénile.

 

Que le junior accueille alors, favorablement, le soutien, de son entourage. Sache, également, lui rendre, la pareille. Lui explique, très clairement, sans geindre, tout ce qui lui arrive. Parte, à la découverte, la rencontre, de nouvelles têtes. Soit humain, reconnaissant, compatissant et, attentif, à tous ceux, qui lui apportent, leur concours, professionnel ou, non, en toutes épreuves, qu’il traverse. Mieux lutter, contre les travers, de l’existence, qui l’affectent, peut s’accomplir, par le biais, d’un certain processus. Cela passe, par une mentalisation juvénile, très positive, qui tend, vers l’espérance, l’optimisme, l’inventivité.

 

La fixation, de buts stratégiques personnels. La définition, de la motivation, à réaliser, ses projets. L’assurance, de vouloir, ce que l’on veut, s’y donner, pleinement. Une confiance, en soi, suffisante, pour changer. L’inventaire, de ce qu’il y a, à entreprendre, pour réussir, le but, imparti. La prise de conscience, des obstacles possibles, sur les chemins, du progrès. La capacité, à surmonter, les revers. La fixation, des meilleures solutions, pour vaincre, ces aléas. La décision, du jeune, d’agir, le passage concret, à l’acte. Ce qui implique, de faire, les bons choix, ne pas se tromper, de cibles ni, de combats adéquats780.

 

Des autorécompenses régulières, pour toutes les avancées successives, par soi, accomplies. Une vie juvénile heureuse, comporte, un minimum, de cohérence, c’est-à-dire, d’organisation, de moyens, de dynamisme. Cela, donne, de la confiance, en son existence. Percevant, ce qui la constitue, comme, pertinent, clair, maîtrisable, signifiant. Il s’agit, d’avoir, plusieurs domaines diversifiés, de cohérence, de les adapter, à chaque circonstance, de la vie. Pour ne pas être démuni, quels, que soient, les aléas, circonstances. La multiplication et, la régularité, de ces occupations existentielles, augmentent, le ressenti, de cohérence, donc, l’épanouissement.

 

La jeunesse constitue, l’ère d’élaboration, de l’identité individuelle originale, propre, exclusive. Celle, aussi, de la quête, de liberté, d’indépendance, d’autonomie. La juvénilité veut, quant à elle, se forger, un « accomplissement » social, professionnel, économique. Le tout, de façon, inédite et novatrice. Le junior va bien, quand, sa vie est intelligible, structurée, a du prix, à ses propres yeux. Quand, il en retire, plus, de satisfaction, que d’amertume. L’adulte trouve, sa cohérence, en lui-même. En ses ressources intérieures, propres, morales et ontologiques.

 

Les jeunes, plutôt, auprès de leurs congénères, du même âge. Tout cela, évolue, au cours, des différentes phases, de l’existence humaine, de la naissance, au trépas. Des études scientifiques ont démontré, que le fait, de méditer et, de croire, en une foi morale, spirituelle, religieuse, était source, de force intérieure, psychique, de meilleur épanouissement. Ainsi, que de plus fortes aptitudes, à mieux, faire face, à l’adversité, aux revers, aux aléas, de l’existence. Également, gage, de meilleure santé physique.

 

Contrairement, à l’animal, le junior est un être pensant, qui s’interroge, suppute, réfléchit, en quête, de sens, d’interprétation. Il veut, des certitudes, des réponses, or, cela, n’est pas toujours, possible. Surtout, quand, la vie est difficile. En ce cas, plutôt, que de se torturer, l’esprit, si inutilement, il vaut mieux, « oublier », ce qui semble, insoluble, pour le moment. Qui trouvera, peut-être, réponse, ultérieurement et, en d’autres circonstances. Notamment, en cas d’épreuves, il importe, de bien débuter, achever, chaque jour, de façon, similaire et régulière. Tout en se remémorant, tout ce qui est positif et, bénéfique, pour soi, en sa vie, tout ce qui emplit, de joie, gaîté, d’envie juvénile, de vivre781.

 

Pour se donner, courage, bien mieux apprécier, son existence ! Habité, par les bienfaits, du présent, bien plus, que tourmenté, par les difficultés, du passé. Au junior, de saisir, les bonnes choses, plutôt, que de se contenter, de les attendre. À soi, de trouver, ce qu’il y a, à faire, chaque jour, pour provoquer, les ferments, de son épanouissement. La cohérence, l’épanouissement existentiels, sont conditionnés, par la rigueur, le lien, aux autres, le « sens » : signification et, direction. Seul, l’ordre, structure, la vie, lui fournit, toute sa logique, épanouit, donc. Cela, donne, une indication, fort précieuse, sur le cheminement juvénile.

 

La règle, au quotidien, est alors, indispensable, à toute vie, pertinente et réussie. L’improvisation et, la « navigation à vue », la gestion, « à la petite semaine », sont très nocives et, à proscrire. La fréquentation, des autres humains, rend aussi, plus heureux, que la solitude totale. Car, cela, procure, un contentement, d’adhésion, de reconnaissance mutuelle, d’inclusion, d’inscription collective. Ce qui favorise, le bien-être, la plénitude, car, l’on se sent, ainsi, exister, et, pour soi et, autrui. Le jeune est heureux, par ses objectifs existentiels, liés, au travail, qui permet, de se réaliser, socialement.

 

À l’affectivité, au dépassement, de soi, des aléas, de la vie, au service, d’autrui. En accord, avec son « moi juvénile profond », en émulation, exemplarité, à l’image, des meilleurs, d’entre eux… L’on est également, plus heureux, de penser, à ses acquis positifs, plutôt, que de tant, se tourmenter, pour ce qui « manque », à ses yeux, par défaut. Le contentement, est bien plus agréable, que la frustration et, la gratitude, que le ressentiment ! L’optimisme rend heureux, il passe, par le positif, de chaque jour, en pensées, émotions, comportements, actes. Jamais, par les choses négatives. Des idées positives, génèrent, des actions positives.

 

En retenant, chaque soir, le positif, de la journée, le jeune se sent, bien mieux, que s’il n’a entrevu, que le négatif. La bonne nouvelle, pour chacun, est que « son verre, est toujours, au minimum, à moitié plein, non, à moitié vide » ! Que c’est, grande chance, d’avoir, un verre et, qu’il y ait, quelque chose, dedans. Il pourrait, être complètement, vide ou, totalement, inexistant. L’on peut, certes, rêver, d’un « verre, intégralement, même, continûment, empli ». Or, cela, n’est pas possible ni, souhaitable, en une vie. Être, trop gratifié, par l’existence, ne rend pas, le junior, heureux782.

 

Or, au contraire, insatisfait permanent, par la folle loi, du « toujours, plus ». Les pensées et, émotions ou, actions positives, quotidiennes, régulières, rendent, également, le jeune heureux. Car, elles sont, le ferment, le catalyseur, de la pleine joie, de vivre. Ce sont elles, qui portent, l’enthousiasme, la motivation, l’encouragement, l’euphorie, la consolation, de chacun. En un mot, ce qui panse, les plaies, cicatrise, les blessures, donne envie, de vivre et, d’espérer. De s’épanouir, en élévation d’âme et, gratitude. Agir et, bien agir, positivement, rend le junior heureux.

 

Cela, permet, par et, en l’action, d’oublier, ses préoccupations négatives. D’obtenir, des résultats et, d’atteindre, ses objectifs. D’être utile, à soi et, autrui. De faire favorablement, avancer, les choses. D’avoir, l’heureux sentiment, du « plein devoir, accompli ». D’avoir, bonne conscience et, la conscience, en paix… Coucher, sur le papier, exprimer, oralement, toute sa satisfaction, sa gratitude, tout, ce qui va bien, peut, aussi, s’aider, à être heureux. Il s’agit, de ne pas se focaliser, uniquement, sur le reste, moins positif. Il est aussi, important, de manifester, sa joie, sa surprise et, son enthousiasme juvéniles, par le sourire et, le rire, les plus francs.

 

Ce qui doit, l’emporter, sur l’expression, de la colère, du dégoût, de la peur, de la tristesse. D’autant, que les manifestations, de bonheur, du junior, sont contagieuses, retentissent, des uns, aux autres et, réciproquement. Il en va, de même, des signaux négatifs. Alors, autant, s’en abstenir et, les éviter. Seul, compte, s’impose, le sourire vrai et, charismatique. Plus visible, dans les yeux, que sur les lèvres. Que le jeune évite, ignore, le sourire mensonger, colérique, dissimulateur ou, méprisant. Des pensées saines et, positives, donc, bénéfiques, donneront, des sourires, de même nature, de bon aloi.

 

L’inverse, tout autant. Le sourire rend heureux : soi-même, comme, les autres. Il attire, quand, le renfrognement, fait fuir, dispense, mal-être, à tous : soi et, autrui. Pour être authentiquement, heureux, il s’agit, de bien connaître, les raisons profondes, de son bonheur propre. Cela, aide, à encore mieux, ancrer, en soi, les fondements, de sa félicité. De s’en convaincre, pour progresser, encore plus, sur cette voie, si positive et, bénéfique, pour soi. Pour être heureux, que chaque junior, ait, des pensées positives, qui mèneront, à des émotions, actes, de même nature. « Qui, sème, la joie, récolte, la béatitude »783.

 

De même, agir positivement, génère, des émotions, des pensées juvéniles heureuses. De même, que les difficultés importantes, perturbent, il en va ainsi, pour l’accumulation, des petits aléas négatifs, de son quotidien. À la longue, les deux types, de revers et, d’adversités, sont aussi toxiques, pour la santé physique, psychique, spirituelle et, pour le bonheur. Surtout, si ces petites contrariétés, sont régulières et, répétées. S’il n’est pas possible, de supprimer, ce qui cause, le stress, par contrariété, l’on peut, au minimum, en neutraliser, les effets physiques, psychiques néfastes, à ses dépens.

 

Là encore, il s’agit, pour cela, de se concentrer, sur ce qui va bien et, satisfait, pleinement. Pour bien détendre, le corps, du junior, il existe, d’excellentes méthodes, de relaxation. L’apaisement, des tensions musculaires, permet, aussi, de se détendre, psychiquement. L’on prend conscience, de sa respiration, pour la calmer, l’amener, au niveau, du ventre. Par respiration profonde ou, abdominale, puis, par expiration complète. À plusieurs reprises. Il s’agit, de relativiser, ce qui chagrine, pour dédramatiser, par l’optimisme, du jeune, le fait, de positiver. Ce qui signifie donc, « voir la partie pleine, du verre ».

 

Chaque journée, chaque semaine, chaque mois, chaque année, chaque décennie, toute vie, comporte, pour chacun, tout à la fois, des ennuis et, des satisfactions. Le bonheur, du junior, réside, en l’équilibre positif, entre les deux situations. Au profit, le plus possible, des réalités heureuses. Puisque, nul, ne peut s’affranchir, de tous les revers, l’essentiel, est de vivre, le plus, d’événements heureux, possibles, pour être épanoui. Cela, consiste, à s’octroyer, soi-même, de petites joies quotidiennes, qui agréent, le jeune. De façon, fort active et, volontariste. Sans jamais, être passif ni, attentiste.

 

Car, cela, ne dépend, que de soi seul, nullement, d’autrui. L’on a plus, de chances, d’être heureux, si l’on sait, quel est, le sens, de son existence. Qui, l’on est, où, l’on va et, quels sont, les objectifs, fondamentaux et prioritaires, de sa vie, son rôle, utilité, pour soi-même et, autrui… De fait, le junior ne peut être « serein », s’il ignore, quelle est, sa destination. Ni, d’où, il vient, ni quel chemin, sera parcouru, par quel moyen, ni en combien, de temps, en quelles conditions. À la fin, des études académiques, il s’agit, de se lancer, en de toutes nouvelles activités. Ce qui peut, fort inquiéter, le jeune ou, à l’inverse, l’exalter, autant784.

 

D’acquérir, son autonomie juvénile, de se suffire, à soi-même, en tout et, pour tout. En un esprit, de responsabilité, se fixant, des échéances, précises, raisonnables, dans le temps. Avec, des objectifs concrets, dynamisants. Le bonheur se nourrit, à la fois, de libertés et, d’organisation rigoureuse. D’où, l’importance, de toujours, bien structurer, systématiquement, chaque journée. Avec, des activités, rituels, récurrents, systématiques. Pour autant, il est tout aussi, important, outre, la planification, de savoir laisser, une part, à l’imprévu. De fait, les bonnes surprises, ce qui est spontané, fortuit, contribuent aussi, puissamment, au bonheur, du jeune.

 

Se ménager, des plages, d’inactivité, de détente est, aussi, un facteur positif, de bien-être. Il s’agit, aussi, d’être capable, de bien faire, la différence, entre, ce qui est important et, ce qui est secondaire. Les activités quotidiennes incontournables, sont essentielles, pour bien gérer, sa vie et, bien s’en sortir. Or, cela, ne suffit pas, les pratiques, non indispensables, contribuent, quant à elles, à se rendre, plus heureux. Car, le junior, les accomplit, non, pas, par obligation, or, par goût et, cela, agrémente et, embellit, sa vie, la liberté l’emportant, de loin, sur l’impératif785.

 

Une, des règles d’or, du bonheur, consiste, à observer, durant, toute sa vie, un bon équilibre, entre le travail et, le loisir. Si le jeune privilégie trop, l’un, au détriment, de l’autre, son existence sera déséquilibrée et, son épanouissement, d’autant, altéré. En particulier, l’excès, de travail, d’ambition sociale, professionnelle, matérielle, nuit, à la qualité, de la vie juvénile. Avec, tous les dangers, que cela, implique, pour la santé physique, psychique. À l’inverse, pour nombre, de juniors, trop favoriser, l’amusement, se fait, au détriment, de l’effort, de la réussite, présente et future, d’un avenir favorable, serein.

 

En psychologie, l’on distingue, trois types principaux. Le type A, extraverti, a tendance, au stress explosif, contre, les autres et, à la suractivité, au surmenage et, au volontarisme forcené. Le type C, introverti, connaît, quant à lui, un stress implosif, plutôt, dirigé, contre, lui-même, sera plus, spectateur passif, qu’acteur véritable, de sa propre vie. Entre les deux, le type B est plus équilibré, détendu, donc, bien plus heureux, efficace, à tous points de vue, en son existence. L’idéal juvénile, est le type B. Le type A est perfectionniste, rigide, quant à ses exigences, d’excellence, trop excessives et, absolutistes.

 

Il est sur-occupé, débordé, veut tout, contrôler, maîtriser et, faire, à la fois. Il croit plus, à son travail acharné, qu’à sa compétence. Il privilégie, la compétition, la rivalité, au détriment, de la coopération. Il ne veut rien, déléguer et, tout, faire, par lui-même, seul. Il apprécie fort, ses semblables, de même type, pour se battre, toujours et, encore, en vitesse, urgence. Le junior, de type B, est bien plus indulgent et, compréhensif, avec lui-même et, les autres, tout en étant productif, en son travail. Il privilégie le bien, plutôt, que le mieux. Il ne fait, qu’une seule chose, à la fois, sait hiérarchiser, ce qu’il y a, à faire, en fonction, de l’importance ou, non, de chaque chose.

 

Il est convaincu, que la réussite dépend, tout autant, de son effort, que de son aptitude juvénile. Il a le sens, du collectif, sait collaborer, en émulation. Il sait très bien, répartir les tâches, en partages équitables. Il apprécie, ses congénères, de type similaire, en bon équilibre, entre la quantité et, qualité, de travail, à accomplir. L’idéal, est d’observer, une bonne balance, entre le travail satisfaisant, d’une part, le loisir, les sorties, le sport, la détente, la culture, l’art, de l’autre. Outre, la sphère familiale, amicale, affective, sociale, soit, humaine, relationnelle, du jeune.

 

L’objectif est, également, la curiosité, comme, l’ouverture d’esprit, pour une largesse d’horizon, maximale. Ne jamais, se contenter, de se limiter, à son domaine, d’activité habituelle ni, à ses centres d’intérêt, usuels. Or, volontiers, découvrir, tout ce qui est susceptible, d’enrichissement juvénile. Il y a-là, une dimension sociale. Il s’agit, aussi, de cesser, de vouloir, tout évaluer et, quantifier, en permanence. De ne jamais, être obsédé, par le temps, qui passe. De se nourrir lentement, avec calme, tranquillité, sans nulles, autres activités, en même temps. Il convient, aussi, de fuir, le narcissisme, l’autocentration, sur sa seule personne.

 

La marche quotidienne est également, une bonne chose, pour flâner ou, aller, à ses activités. Car, cela, détend. Que le jeune évite, également, de s’encombrer, de données, quantifiées, chiffrées. Il est nécessaire, d’équilibrer, sa vie, entre le travail, d’une part, les loisirs, de l’autre. Également, de répartir, les trois types, de loisirs : solitaires, partagés, coopératifs. Le loisir solitaire, consiste, à se détendre, seul, notamment, par le biais, de ses « passe-temps » favoris. Par exemple, la lecture. Le loisir partagé, du junior, consiste, à « prendre, du bon temps », de façon, conviviale, interactive786.

 

En des activités, qui conviennent, de concert, avec autrui. Il y a-là, une dimension sociale. Citons, par exemple, un cours, de danse. Puis, le loisir coopératif, consiste, à interagir, avec les autres, en une pratique plaisante, à but collectif. Comme, lors, d’un sport d’équipe. Le jeune est un être, social et sociable, qui s’épanouit, au contact, avec ses semblables. Quand, le lien juvénile, est harmonieux, solide, fort, réciproque et, indispensable. D’où, l’importance, de cultiver, les meilleures relations sociales, satisfaisantes. Il s’agit, aussi, de se créer, d’entretenir, de développer, un bon réseau social.

 

C’est-à-dire, des rapports juvéniles, en nombre suffisant, susceptibles, de pouvoir, apporter, des choses, fort positives. Or, malgré, la multiplication, des moyens, de communication, modernes, les liens, réseaux sociaux, ne cessent, de se réduire, en Occident. Il est donc, important de, toujours, être réceptif, aux contacts, avec les autres, de leur rendre, la pareille. Le soutien humain peut-être, émotionnel, communicationnel, concret ou, personnel. Il s’agit, de réconfort, affectif et moral. D’éclairages, notamment, professionnels, pour avancer. Tout ce qui peut contribuer, à soutenir, motiver, encourager, un junior, est capital et, décisif.

 

D’aides matérielles, en tous genres. Puis, de réconfort juvénile, d’avis désintéressé, sincère et, authentique, en rapport, avec sa personne. À son grand bénéfice propre. Fréquenter, ses semblables terrestres, est bon, pour la santé psychosomatique, facilite l’existence et, la rend plus gaie. De fait, il est important, de pouvoir, se confier, à autrui, pour se sentir bien et, mieux. Il convient, donc, de « fréquenter, du monde », pour tisser, des liens sociaux. Un bon équilibre existentiel, repose, sur trois pôles, de vie, principaux : d’études / professionnel, affectif et, des loisirs.

 

Trois registres capitaux, du junior, nécessitant, la présence humaine, des autres, pour leur plein accomplissement satisfaisant, réussite. Si le lien humain réussi, est si bienfaisant, pour tous, il en va, de même, de la solitude modérée, non totale et, excessive. Être seul, n’est pas un problème, en soi, car, cela, ne consiste, qu’à être, sans présence humaine, immédiate, à proximité. Se sentir seul, est en revanche, maléfique, car, cela, implique, d’être démuni, de tout rapport interpersonnel affectif, avec un entourage. La solitude, du jeune, consistant, à se donner, du temps, pour soi-même, est positive, car, elle est alors, constructive, favorable, bénéfique787.

 

Dès lors, qu’il existe, également, un lien, avec l’altérité proche. La solitude individuelle relie, le corps physique et, l’esprit moral, en unité, cohérence et, plénitude. Ce que ne permet pas, le maelström déchaîné, des passions collectives, du junior. La solitude est aussi, gage, de repos, tranquillité, pour le cerveau, car, elle seule, met, à l’abri, des excès, de stimuli permanents, que l’on supporte, chaque jour. Elle implique, calme, détente physiques, psychiques. Elle protège, du harassement, de la perte, d’énergie, dus, au travail. La solitude développe l’inventivité, par une possibilité, capacité, de concentration, accrues. Elle permet, de se révéler, à soi-même : identité, unicité, objectif existentiel, plénitude.

 

Elle conduit même, à trouver, des réponses, aux questionnements fondamentaux, du jeune et, sur soi-même. Puis, la solitude garantit, une certaine « distanciation », donc, une approche plus générale, de son existence Elle est alors, vectrice, d’équanimité, d’ataraxie, ce qui fait partie, de son bonheur. Pour être heureux, il est possible, de concilier, la « préoccupation, de soi » et, l’intérêt porté, aux autres. Les Écritures, ne commandent-elles pas, d’ « aimer, son prochain, comme soi-même », non, pas, mieux, que soi ou, moins ? (Matthieu, apôtre, Moyen-Orient, Ier s., Évangile, XXII-39, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.)788. Tout est question, d’équilibre, d’équité, de justice juvéniles, entre soi et, autrui.

 

Prendre soin, de soi, est un droit, du jeune, or, aussi, un devoir, pour subsister. Car, qui tombe malade ou, trépasse, par négligence, de soi, ne peut alors, être altruiste. Il s’agit, donc, ni de trop servir, sa propre personne ni, de se sacrifier, excessivement, au profit, d’autrui. Pas plus, que de se négliger ni, d’ignorer totalement, les besoins, intérêts et, droits, des autres. L’idéal, consiste, à tenir compte, de ses propres nécessités juvéniles, tout en étant, capable, de souscrire, à celles, d’autrui.

 

Il convient, aussi, de ne pas oublier, de consacrer, chaque jour, « du temps, à soi-même », non, seulement, aux autres ! À autrui et, non, seulement, à soi ! Ce qui revient bien, à dire, que l’estime, de soi, ne saurait être, ni insuffisante ni, excessive. De même, pour la considération, que l’on prête, aux autres. Que ce soit, à l’égard, de soi ou, d’autrui, la générosité authentique, ne peut être, que juste, c’est-à-dire, ni pléthorique ni, indigente.

 

Il est dommageable, de laisser, trop, de place, à soi ou, autrui ou, pas assez. Que le jeune équilibre ! Le bonheur est de donner, aux autres, par altruisme, des plus oblatifs. Il n’y a, de vrai don, que désintéressé ! Non, pas, par devoir ou, pour servir, ses propres intérêts. Par seule préoccupation, de réciprocité ou, par espoir, d’un « retour, sur investissement », c’est-à-dire, par purs intérêt, calcul. La vraie générosité juvénile n’existe, que par sincère désir, de rendre l’autre, heureux, ce qui contribue, à ses propres bonheurs. De façon, totalement gratuite, désintéressée. Sinon, cela serait, de l’abus, de pouvoir, de la manipulation. L’altruisme authentique, consiste, en une « libéralité », totalement, consentie, voulue. Sans nulle, volonté, de contrôle, du junior, ni même, d’influence, sur l’ « heureux bénéficiaire ». « Servir, l’autre, sans se servir, soi » ! (Gentry, Thalmann, 2012)789.


 

 


Christine et, Léa, sont deux jeunes sœurs, dont la vie, a été chaotique, perturbée. Elles sont toutes deux, domestiques, en une maison, fort bourgeoise. Leur patronne, Madame Lancelin, est exigeante, mais, Christine voit, en elle, une « mère, de substitution », parfaite. La mère, des deux jeunes filles, est de mauvaise influence, le climat ambiant se détériore. Elles finissent alors, par assassiner, leur employeuse et, sa fille, effroyablement. Telle est, la sinistre histoire, du film, de cinéma, Les Blessures assassines, tirée, d’un événement authentique, l’abominable crime, des sœurs Papin. Christine (1905-1937) et, Léa (1911-2001) ont vingt-huit et, vingt-deux ans, au moment, des faits, le 2 février 1933, au Mans (France). J. Genet, (Écrivain français, 1910-1986), s’inspirera, de l’affaire, en 1947, avec, une pièce de théâtre, intitulée, Les Bonnes (France). Les sœurs avouent, leur meurtre, sans motifs ni, préméditation.

 

Reconnaissant même, avoir été, fort bien traitées, nourries, comme, logées. Enfants et, adolescentes, leur mère les avait délaissées et, placées. Quatre ans, avant, leur crime, elles rompent, avec celle-ci, sans aucune raison, précise. Elles sont déclarées, saines d’esprit, responsables, de leurs actes. L’aînée est donc, condamnée, à mort, puis, aux travaux forcés, à perpétuité. Elle mourra jeune, à l’asile, d’aliénés. La cadette écopera, de dix ans, de travaux forcés. Haines, de classe, paranoïa, folie… Les hypothèses « explicatives » continuent, à ce jour. Par nature, la jeunesse est passionnée, emportée, éruptive et, ambivalente. Les jeunes filles, du Mans, semblaient heureuses, de vivre, satisfaites, de leur sort, au cours, de leurs six ans, de service, chez leurs futures victimes. Il aura suffi, d’une « anodine altercation », pour déclencher, le pire ! La juvénilité est « à fleur, de peau, écorchée vive », fragilisée, par sa construction, en cours.

(Les Blessures assassines, drame cinématographique, du réalisateur français contemporain, J.-P. Denis, France, 2000)790.


 

 


– Vous Objectiver d’ « Opportuns » Agissements –


 

 

Vos réussite, épanouissement androJuvéniles, en études ou, emploi, sont très largement liés, à la forte tonalité positive, de votre cadre scolaire ou, professionnel. De la même façon, que vos échec, malaise, en un tel contexte, sont la conséquence, d’une ambiance, de travail, négative. Si vos émotions positives l’emportent, sur vos émotions négatives, vous, jeune scolarisé ou, travailleur, serez heureux, en votre activité, d’apprentissage ou, de métier. Si, cela est l’inverse, il y aura alors, marasme, souffrance, blocages.


 

 


Il en va aussi, de même, en matière, d’échanges, positifs et, négatifs, avec l’entourage académique ou, dans l’emploi. Cela va, beaucoup mieux, quand, la bonne communication l’emporte, sur la mauvaise et, bien moins, bien, si, c’est le cas, inverse. Il convient, que les émotions, les verbalisations positives, soient, au minimum, trois fois, plus nombreuses, que les équivalents négatifs. Pour un effet optimal et, bénéfique ou, bien plus. Si c’est l’inverse, le résultat subséquent, sera défavorable. L’objectif, du junior, est de développer, au maximum, le nombre, de ressentis, d’interactions, les plus positifs.

 

Tout autant, que de limiter, le plus possible, les sentiments, locutions négatifs. Avoir vraiment, choisi, ses études et, son métier, par goût, amour et, vocation, permet, au jeune, de s’y sentir heureux. À l’inverse, s’il ne s’agit, que d’une option obligée, subie, par défaut, le collégien, le lycéen, l’étudiant ou, le jeune actif, ne pourra pas, s’épanouir. En ses études ou, son emploi. Si le junior n’aime pas, son travail scolaire, professionnel, des possibilités, de positiver, sa vision, des choses, existent. Il peut, non, pas, envisager, sa tâche, comme, un tout indissociable, or, en distinguer, les divers vecteurs.

 

Il ne lui reste, alors, qu’à se focaliser, sur ce qui convient, intéresse, pour y réserver, le maximum, de temps, d’énergie. Il s’agit aussi, de considérer, les avantages, des études, de l’emploi, concernés, en soi et, comparativement, à d’autres modes existentiels. Les inconvénients afférents, subséquents, si l’activité, d’études, professionnelle, en cours, n’existait pas. Si l’on se demande, quelle occupation juvénile alternative, pourrait être choisie, existe-t-elle, est-elle possible, ne serait-elle pas, d’aventure, « pire », encore791 ?

 

S’il est trouvé, au travail, un objectif supérieur motivant, comme, valorisant, cela, aide, le junior. Commencer, par ce qui est, le plus rebutant, répulsif, permet, ensuite, de mieux apprécier, le reste, de ce qu’il y a, à accomplir. Qui est, le plus attractif. Nous avons vu, tout l’avantage, à développer, la positivité, du cadre, de l’ambiance, du travail scolaire ou, professionnel. L’on peut aussi, faire mine, d’apprécier, ce qui est entrepris, par la bonne humeur, l’entrain, la joie de vivre. En outre, la positivité, le contentement et, l’état d’esprit constructif et, favorable, de condisciples ou, de collègues, peuvent inciter, à plus, de motivation juvénile.

 

D’enthousiasme et, à un meilleur, état d’esprit. Au pire, il n’est pas impossible, de changer, de voie, d’études, d’emploi, voire, de métier, en certains cas. Pour être heureux, en ses études, son travail, le jeune se doit, d’atteindre, un compromis. Entre les limites, contraintes, obligations, inhérentes, à sa tâche et, l’autonomie, l’indépendance, les libertés, initiatives, la créativité, auxquelles, il aspire. Il s’agit, tout à la fois, en équité, de se ménager, suffisamment, de latitudes légitimes, raisonnables, bénéfiques. Autant, pour sa propre jeune personne, que pour autrui.

 

Tout en veillant, toujours, à ne jamais, abuser, d’autrui ni, dépasser, les limites irréfragables. Il est nécessaire, de fuir, les camarades, d’études, les partenaires, de travail, abusifs, négatifs, malfaisants. Il s’agit, de celles, ceux, qui suscitent, du stress juvénile, au lieu, de l’apaisement. Ce qui est perturbant, communicatif. Il convient donc, de rechercher, plutôt, la compagnie, la fréquentation, comme, la collaboration, de partenaires calmes, agréables. Qui favorisent, une ambiance, un travail, harmonieux, fructueux. Si cette cohabitation nocive, est incontournable, le jeune peut s’en protéger.

 

En prenant conscience, de façon, volontaire, qu’elle ne l’affectera pas, puisqu’il refuse et, par avance, sa charge toxique. Un autre type, de condisciples ou, de collègues, malveillants et malfaisants, est l’opposant systématique. Celui, qui n’est jamais, pour rien et, toujours, contre tout ! À éviter, de toute urgence ou, sinon, à bien neutraliser, par des arguments positifs et, constructifs. Le monde, des études, de l’entreprise, implique, forcément, des tensions, conflits. Lesquels, peuvent se régler, par la compétition dynamique et, le juste compromis. Ou, la franche coopération et, l’accommodation, du junior, la plus raisonnable792.

 

L’idéal, du jeune, étant de, toujours, faire appel, à ces quatre types, de stratégies, tout à la fois. La lutte compétitionnelle, pour le pouvoir, implique, un perdant, comme, un gagnant, puisque, le plus fort, l’emporte, sur le plus faible. L’accord compromissionnel exige, que tout protagoniste, gagne, certaines avancées, en sa faveur. Perde, certaines renonciations, à ses dépens. De façon, fort librement, consentie. Personne, n’est totalement, contenté ou, pleinement, frustré, car personne, n’a tout gagné ni, tout perdu. Le mode coopératif, consiste, à mettre, en commun, à l’unisson, en un même élan, pour un objectif commun, toutes les forces, en présence.

 

Pour réussir, en l’intérêt général. Cela, favorise, l’inventivité, du junior, la prise, en compte, de tous et, de l’apport, de chacun, la contribution maximale et, universelle. Pour annihiler, la difficulté, trouver, la solution. Il s’agit, d’œuvrer, avec et, pour autrui, non, sans, ni contre, en l’intérêt, de la tâche commune, de tous. Ce qui suscite plus, l’envie, d’avancer, que de bloquer. La tactique accommodatrice, peut sembler, être la pire, des « capitulations, pures et simples », alors, qu’elle peut contribuer, à apaiser, les désaccords. Mettre de l’huile, dans les rouages juvéniles, grippés.

 

Elle peut mener, à la pleine concorde, par refus, de l’affrontement, même si, cela, passe, par la renonciation, à l’emporter, à tout prix. À ne rechercher, que la sauvegarde, de ses intérêts ! La colère violente, destructrice, du junior, est à proscrire. La colère contenue et, constructive, peut être admissible, en certaines formes, cas. La première, est contre-productive, quand, la seconde, peut être « opérante ». La « bonne colère », est celle, dont, l’on est certain, que l’on se sentira mieux, après, qu’avant. En cas, de doute, mieux vaut, s’abstenir.

 

La colère ravageuse, perverse, malsaine, obéit, à trois objectifs juvéniles. Dominer, l’autre ou, renforcer, son propre prestige. Se venger et, porter préjudice. Exploser, de rancœur, de ressentiment, du fait, d’une saturation, de frustration, mécontentement. La bonne colère, serait l’expression simple, d’une juste réprobation réparatrice, quand, la mauvaise, serait celle, d’une illégitime rétorsion punitive. Il s’agit, d’être colérique, à l’égard, d’un dysfonctionnement, jamais, de la personne, qui en est l’auteur. Les agressions personnelles, sont destructrices, la stigmatisation, du seul problème, est constructive. La Loi, du jeune, est de ne jamais, s’en prendre, aux gens, mais, aux faits793.

 

Il est important, de bien comprendre, ce qui sous-tend, la colère juvénile. C’est-à-dire, ce qui la déclenche, en soi-même, qui était si important, pour soi, pour la susciter. L’empathie est la capacité, à se mettre, à la place, d’autrui, mentalement et, émotionnellement. Elle permet, de limiter, la colère et, de la rendre, plus productive. Le dialogue, l’échange, l’ouverture d’esprit, limitent, également, la mauvaise colère. Il convient de, toujours, se maîtriser, cognitivement, émotionnellement, verbalement, d’un point de vue, physique, corporel, comportemental.

 

Pour que le jeune soit heureux, en son travail scolaire ou, professionnel, il est fort important, d’y consacrer, tout le temps, nécessaire, imparti. Il s’agit, alors, d’arriver, de repartir, à l’heure. De ne pas perdre, de temps, traîner, si inutilement. De réaliser, toutes les tâches, nécessaires, pleinement, de façon, qualitative, jusqu’à, complet achèvement. Quoi, qu’il en coûte et, quels, que soient, les efforts, le temps, nécessaires, à cette fin. Chaque junior, veillera, à gratifier, ses compagnons d’études ou, de travail, ses enseignants ou, supérieurs, de vraies marques, de respect. De bonne éducation et, de qualités, de cœur. S’il prétend, lui aussi, au même sort.

 

Ce qui aura, pour avantage, très notable, de bien faciliter, les relations, de tous. De s’attirer, généralement, pour le jeune, la réciprocité, en bons procédés partagés. Outre, que de faciliter, une bonne ambiance, de travail, donc, une efficacité scolaire ou, professionnelle accrue. Dans l’intérêt général et, de soi-même. Le « sens, du collectif », est capital. L’effort, de chacun, n’est optimal, que s’il est aussi, celui, de tous. La performance individuelle, du junior, et, collective, passe donc, par la collaboration, de chacun, et, de tous. La complémentarité, des aptitudes, compétences.

 

Par des buts personnels : cohérents et, compatibles, avec ceux, des autres et, réciproquement. Une vision partagée, concernant, la meilleure façon, d’agir, pour réaliser, les objectifs communs. L’acceptation, de ses responsabilités, celles, des autres, pour une efficacité optimale, de tous. Dans le contexte, de ses études, de l’emploi. L’idéal juvénile consiste, à se refuser, la facilité, de la critique gratuite, non constructive, si improductive. À l’encontre, des condisciples, collègues, de travail, enseignants, supérieurs et, de son école ou, entreprise. Si l’on ne peut, ne doit ou, veut, en dire, du positif, le mieux, est alors, de totalement, se taire794.

 

Ou, d’être neutre, or, jamais, négatif. Refuser, de contribuer, à répandre, les rumeurs, ragots, médisances est, aussi, une règle d’or, à toujours, bien observer. Si les propos, du junior, ne sont, ni authentiques, ni nécessaires, ni favorables, autant, s’en abstenir ! Nous avons, donc, entrevu, les ferments, du bonheur scolaire ou, professionnel, d’un jeune. Voyons, maintenant, ce qui concerne, les facteurs, de son épanouissement, en cadre familial. La famille heureuse, est celle, qui dépasse, collectivement, l’individualité, de chacun, de ses membres. Celle, aussi, dont, le bonheur commun, n’est pas altéré, par celui, de chacun, de ses ressortissants juvéniles et, réciproquement.

 

La famille, en « bon état, de marche », se donnera, des objectifs prioritaires. Des valeurs intangibles. Une appartenance, d’identité spécifique. Des principes fondamentaux hiérarchisés. Une structuration planifiée, à court, moyen, long termes. Une permanence, qui reposera, sur la pérennité, de l’essentiel. Nous avons déjà, évoqué, dans le premier tome, de cet ouvrage, les différents, modes éducatifs parentaux, qui conditionnent, le devenir, de chaque jeune. Nous pouvons, pour mémoire et, rappel informatif, en distinguer, quatre principaux.

 

L’autoritarisme insiste, surtout, sur le plein respect, des principes, leur sanction, en cas, de manquement juvénile. L’essentiel, de la vie, du jeune, est régi, par ses seuls, parents. Le mode, de gouvernance, est vertical et, vient, d’en haut. Cela, ne prédispose pas, à l’épanouissement, des juniors, qui développent, alors, force ressentiment et, craintes. Les parents ne sont donc, pas appréciés, or, appréhendés, comme, répulsifs. La participation consiste, pour les parents, à être, très engagés, au quotidien, auprès, du jeune, avec, un contrôle modéré, sur l’essentiel.

 

Un accompagnement compréhensif, mais, fort exigeant, ce qui favorise, la responsabilité, la liberté. Il est « tenu compte », des attentes, du jeune, tout en sachant, limiter, les abus, punir, les déviances. De façon, juste, équilibrée. Les parents sont appréciés, tels, bienveillants, y compris, quand, ils exercent, leur pouvoir, d’ascendance. Ce type, de direction parentale, est le meilleur compromis, entre l’objectif normatif, de toute éducation et, sa variable affective, non, moins, nécessaire. La permissivité, peut sembler, des plus populaires, chez le junior, car il est alors, laissé, totalement, libre, de tous ses mouvements. En libertarisme, qui est une licence795.

 

Les parents se focalisent, surtout, sur l’aspect affectif, de leurs tâches éducatives. Exigences et, limites, sont rares. Les libertés, maximales. La volonté, des jeunes, l’emporte, sur celle, des parents. Ces derniers, sont alors, fort appréciés, de leur progéniture. En revanche, ces juniors auront du mal, à se structurer, ce qui en fera, des adultes, souvent, incomplets, immatures, voire, caractériels. Même si, du fait, de leur précoce indépendance, leur personnalité a pu, s’épanouir, sans entraves. Puis, le désengagement parental, impliquera, un investissement éducatif, fort minimal.

 

Pour ce qui est, de l’essentiel, « indispensable », pour le jeune. Besoins matériels, sécurité personnelle, études, consumérisme. Alors, le junior, ainsi gouverné, aura tendance, à s’isoler, se désocialiser, aura du mal, à faire face, aux difficultés, exigences, de la vie. Il vivra souvent, « sous le joug », de la colère, pour rejeter, autrui, perçu, avant tout, comme, un danger, pour lui. Il ne sera jamais, heureux, n’éprouvera rien, à l’égard, de ses parents. Puisque, ces derniers, auront toujours, été invisibles, transparents, pour lui. Le parent autoritariste exige, de sa descendance juvénile, qu’elle le consulte toujours, « en tout et, pour tout », sans contredit.

 

C’est lui, en tant, qu’adulte tutélaire, qui prendra, la plupart, des décisions, quant à la vie, du junior. Le parent participatif, prendra l’avis, de ses enfants, or, décidera, lui-même, la plupart, du temps, de l’essentiel. Le parent permissif, se verra, demander, son avis, par le jeune et, le laissera, le plus souvent, décider, de tout, ce qui concerne sa vie, de junior. Puis, le parent désengagé, écoutera, l’avis, du jeune, qui décidera ensuite, lui-même, de ce qui lui convient ou, pas. En agissant, alors, selon, son « seul et, bon vouloir ».

 

La punition coercitive, de sanction négative, pour corriger, les travers juvéniles, est souvent, inopérante, car, le renforcement positif, est bien plus efficace. De fait, ce dernier concernera, ce que le junior, doit faire. Alors, que la punition affirme, uniquement, ce qu’il ne doit pas, faire. Le renforcement positif est donc, préférable, pour mener, le jeune, à accomplir, ce que l’adulte, envisage. Encourager, motiver, féliciter, est bien plus efficace, pour inciter, à se réformer, par l’estime vraie, de soi. Plutôt, que le châtiment, qui ne fait souvent, qu’aboutir, à l’effet, contre-productif, inverse. Si la punition, est indispensable, elle se doit, de bien répondre, à certains critères précis, pour être didactique796.

 

Pour pleinement, porter ses fruits juvéniles. Intervenir, en un climat, de paix, de sérénité, pour être crédible. Vite, advenir, suite, aux réalités, en cause. Respecter, une proportionnalité, avec le comportement répréhensible. De manière, juste, sans nulles, violences, ni verbales ni, physiques. De façon, manifeste, compréhensible, déterminée et, irrévocable. Il s’agit, d’un « acte, de justice », pour aider, le jeune, à bien, s’amender, non, d’une vengeance explosive, de rétorsion. La jeunesse a besoin d’apprendre, à réguler, sa vie, en équilibre, entre l’autonomie nécessaire et, l’interdépendance, qui s’impose.

 

Il s’agit, pour les parents, de ménager, à leurs enfants, des marges, d’autonomie, de liberté, progressives, en fonction, de leur âge croissant. La famille épanouie, est celle, où, chacun, a sa part, en responsabilités personnelles, à exercer. Chacun, de ses membres, participera, donc, à la vie familiale, à sa bonne marche, cela, en fonction, de l’âge, du junior, de ses possibilités. Les conflits familiaux, ne sont pas nocifs, en eux-mêmes, s’ils sont constructifs, non, destructeurs. En ce cas, les membres, de la famille, se battent toujours, en faveur positive, de quelque chose, or, jamais, négative, à l’encontre797.

 

Les parents font observer, au jeune, l’ordre, la rigueur, sans, pour autant, user, de coercition, comme, de violences. Les querelles sont régulées, sans rivalités ni, jalousies, envies ni, luttes intestines délétères. L’on préférera, le compromis, l’accommodation, la coopération, comme, entrevu, plus haut. Il s’agira, de proscrire, et, la guerre et, l’évitement, des désaccords, ce qui ne ferait, qu’exaspérer, tous les ressortissants, de la famille. Le mépris sera banni. Le respect, la courtoisie, des uns, des autres, prévaudra, pour ne heurter personne, en un cadre familial, avant tout, basé, sur l’entente, l’affectivité, des juniors.

 

Chacun, fera en sorte, de se maîtriser, pleinement, d’un point de vue, cognitif, émotionnel, comportemental. Afin, de se ménager, les uns, les autres, ainsi, que l’harmonie, de toute la famille. Les dissensions, les confrontations familiales, sont normales. Or, l’essentiel, est que les liens positifs, l’emportent, très nettement, sur les rapports négatifs, toxiques. Pour l’épanouissement, de tous. Puis, le repas, en famille, est capital. Un minimum, de fois, au cours, de chaque semaine. Il s’agit, d’un temps juvénile privilégié, qui a tout, le bienfait, de bien « cimenter », la relation sociale familiale, fondamentale et décisive.

 

Il contribue, au bonheur, du junior, en sa famille, car il est l’occasion, par excellence, pour chacun, de ses participants, de comprendre. D’aider, de donner, de la cohésion, aux autres et, réciproquement. Manifester, ainsi, que l’institution familiale, est « bien plus », que chacun, de ses membres, pris, séparément, que la somme, de ces derniers. En matière amoureuse, comme, amicale, des partenaires épanouis préservent, chacun, leur propre identité, tout en bâtissant, ensemble, en cultivant, des buts, en commun. Il s’agit, tout autant, de faire évoluer, les intérêts, besoins, façons, de vivre juvéniles, des protagonistes.

 

De façon, équilibrée et, au profit, de tous, comme, de chacun, au détriment, de personne, justement, sans léser, quiconque ni, privilégier, aucun. Il convient, donc, de bien faire, la balance, entre, les activités, qui concernent, le couple, d’amants, ou, le groupe, d’amis. Et, celles, qui ont trait, à chaque individu, en particulier, au sein, de ces entités. Seul, le très juste équilibre, entre le collectif et, l’individuel, est « gage », d’épanouissement, du jeune, amoureux et, amical. Une relation, d’amitié ou, affective réussie, implique, un minimum, d’attachement commun, d’adhésions mutuelles fortes.

 

D’implication, de tous, en fonction, des vrais, centres d’intérêt juvéniles, partagés. De proximité interpersonnelle forte. S’il y a, passions et, proximités, mais, pas, d’engagements ni, de centres d’intérêt, l’on parlera, de romantisme. S’il y a, proximités et, centres d’intérêt communs, mais, pas, de passion, ce sera alors, un lien, de compagnonnage. Si la relation mêle, passion et, aussi, centres d’intérêt commun, mais, pas, de proximité, l’attachement sera superficiel. En matière amoureuse, comme, amicale, il est, des attitudes, comportements nocifs.

 

Les dénigrements dédaigneux, l’arrogance hautaine, la défiance suspicieuse et, le désengagement égoïste. À l’inverse, les forts facteurs, d’épanouissement, affectif, amical, du jeune, sont la bienveillance indulgente. L’empathie compréhensive, la confiance inconditionnelle, l’implication généreuse. L’acceptation, de l’autre, tel, qu’il est, sera gage, d’harmonie amoureuse, amicale. C’est-à-dire, être capable, de comprendre, son point de vue, sa situation propre. Ses pensées, émotions, comportements, essence profonde. Ce qui incite, à la concorde, la tolérance, l’absolution, des offenses, la magnanimité. Quand, le junior, a été capable, de se mettre, à la place, de l’autre798.

 

De bien, le connaître, d’être fort proche, de lui. L’entraide et, le soutien mutuels renforcent, également, les liens, du jeune. Redisons, à ce sujet, toute l’importance, de la compassion, de l’empathie et, de la congruence. De la proximité, psychologique et, physique. De la sollicitude. De l’optimisme, de l’espérance. De l’attention portée, aux besoins, des autres. Les relations amicales, amoureuses, ne sont pas, un but, en soi, mais, un parcours commun. Il s’agit, donc, de les nourrir et, entretenir, au fur et, à mesure, sans relâche, avec grand soin.

 

Puis, que le junior n’oublie jamais, d’être responsable, de ses attitudes, en amitié, comme, en amour. Ainsi, qu’il fasse bien ou, mal, qu’il l’assume, sans autoglorification ni, défaussement. Un jeune heureux, devient, un adulte heureux. De même, un junior malheureux, aura toutes les chances, de le rester, ultérieurement. Le jeune heureux, a appris, à l’être. Le junior malheureux s’est, quant à lui, vu inculquer, son malheur. Il s’agit d’écouter le jeune, de se faire comprendre, de lui, en se mettant bien, « à sa portée ». La compréhension est, de fait, toujours, vectrice, d’apprentissage. L’enrichissement, la sauvegarde émotionnels juvéniles, sont capitaux.

 

Il s’agit, donc, de contribuer, à l’épanouissement, du junior, ce qui passe, avant, même, l’idée, l’objectif, de réussite, en l’existence. De fait, être heureux, permet, de réussir, or, la réussite, en elle-même, n’est jamais, gage, de bonheur. Le tout, en une configuration, très dynamique, volontariste et, réaliste. En pleine logique, d’initiative, auprès, des jeunes, pour les stimuler, leur donner, envie, de sortir, d’eux-mêmes. En s’enrichissant, humainement, de façon, optimale. Les besoins juvéniles sont, fort limités, alors, que leurs désirs, sont, sans bornes.

 

Il convient, d’apprendre, à la jeunesse, comment, assouvir, ses « vrais, besoins essentiels », au mieux, de façon, légitime. De bien, lui faire prendre, pleine conscience, que la volonté, de satisfaction systématique, de tous les désirs, ne mène pas, au bonheur. Or, à l’aliénation, la frustration. Il s’agit, donc, de savoir faire, « le tri », entre les désirs, les plus gratifiants et, ceux, qui ne sont, qu’illusions superflues. Seuls, les premiers, pourront, alors, être retenus, au détriment, de tous les autres. Le jeune se verra, aussi, inciter, à la générosité, à l’égard, d’autrui, des « nobles causes ». Il pourra ainsi, quelque peu, donner, de son argent, de son temps, son énergie799.

 

De sa disponibilité, de ses talents et, de son « cœur ». Les adultes montreront, au préalable, l’exemple, seront, eux-mêmes, généreux, à l’égard, de la jeunesse. Cette dernière, se verra, féliciter, par ses aînés, pour son altruisme. Le jeune verra, ainsi, que le vrai don, de soi, et, la générosité, conduisent, aussi, au bonheur. Les juniors ont besoin, d’apprendre, à faire fructifier, leurs aptitudes, compétences et, savoir-faire. C’est, cela, qui les rendra, encore plus, heureux. Cela, passe, par de fort bonnes et, saines lectures. La mise, par écrit, de ses idées, pensées, émotions, actes, en sorte, de catharsis libératrice, enrichissante.

 

La coopération, avec autrui : du même âge ou, non, dans le respect mutuel, des différences et, les similitudes. La prise en compte, des réalités, attentes, besoins, préférences, des pairs générationnels. L’apprentissage, d’activités culturelles, artistiques, de toutes sortes, pour parfaire, toute sa créativité, son plein épanouissement et, sa réalisation, de soi. Une bonne méthode, de travail scolaire, pour réussir, être heureux, en ses études. Révéler, son optimum académique, y être encouragé, quel, que soit, le niveau juvénile atteint. La considération, de tous, de soi, des limites, de la bienséance.

 

Cela, passe, d’abord, par l’exemplarité adulte, le respect, du junior, par ses aînés : parents, enseignants, supérieurs et, autres. Une bonne activité physique, comme, sportive, suffisante, régulière. L’inculcation, du total sens, des responsabilités, du charisme et, de la libre initiative personnelle. La saine émulation, dans le contexte, des compétitions, de la vie, quelles, qu’elles soient, mais, de façon, fort raisonnable, respectueuse, d’autrui. En réalité, il s’agit, d’aider, le jeune, à discerner, ce qu’il aime, ce qu’il sait, bien faire, puis, de lui permettre, d’accroître, ses atouts. S’enrichir, par de nouvelles approches, découvertes.

 

Améliorer, tous ses points forts, comme, résorber, ses retards. Le junior sera, ainsi, heureux, de pratiquer, ce qui lui plaît, le motive véritablement, en l’existence. L’objectif, de toute bonne éducation, n’est pas, d’apprendre, aux jeunes, qu’il faut, toujours, gagner, à tout prix, quoi, qu’il arrive, par n’importe quel, moyen. Cela, mène, aux pires catastrophes. Il s’agit, tout au contraire, que le junior sache, qu’il peut, aussi, lui arriver, de perdre, qu’il faut alors, savoir, le faire, avec « panache » et, acceptation. D’autant, que toute défaite, n’est jamais, que relative, provisoire, réversible et, instructive800.

 

Comme, toute victoire aussi, en vérité. L’estime, de soi, est indépendante, du gain, ou, de la perte. Elle est inhérente, au jeune, lui-même, jamais, à ses acquis ou, réalisations ni, à leur absence. Le jeu contribue fort, au bonheur, des jeunes, car il est, aussi, le fondement, de leur évolution sociale. Il peut être solitaire, partagé, coopératif ou, de compétition. Avec ou, sans règles. Tout cela, est donc, à encourager. Le junior sera, également, averti, que le culte absolu, de la perfection, est illusoire, en ce bas monde. Qu’il s’agit, donc, d’accepter, ses failles, sous peine, d’être malheureux, à vie.

 

Cela, n’empêche, naturellement, nullement, de se battre, pour s’améliorer, sans cesse. Or, en les limites, du raisonnable, du réalisme, le plus pragmatique. Là encore, l’adulte commencera, par donner, lui-même, l’exemple, cessant, de se faire passer, pour un « génie infaillible ». Le culte systématique, de la performance, toujours, accrue, mène, à l’échec, au malheur, de bien, des jeunes. L’amour parental, ne sera jamais, lié, aux résultats juvéniles. Ni au fait, qu’ils se soient toujours, conformés, « en tout et, pour tout », aux attentes parentales, souvent, si déraisonnables. La bonne éducation est, toujours, des plus exigeantes et, fermes.

 

Elle se doit, de demander, le meilleur, or, pas, l’impossible. Ni trop ni, trop peu, pour ne pas décourager ni, endormir, les bonnes volontés, dispositions, du jeune. En outre, l’engagement, l’implication, l’effort, la persévérance, la ténacité juvéniles, sont à encourager, encore et, toujours. Pour agir, non, subir. En un esprit, de curiosité, découverte et, quête permanentes. Sans découragement, renonciation ni, abandon. Avec la plénitude, la fierté, le sentiment, du « devoir accompli », d’avoir été capable, d’aller, jusqu’au bout, de la réalisation, de soi, et, des objectifs fixés. Sous les encouragements, des adultes.

 

Lesquels, adultes, se devront, également, d’être heureux et, de montrer, à tous, leur bonheur et, leur enthousiasme, afin, que les juniors soient, tout autant, en félicité. Bien trop, de Français, sont maussades, renfrognés, font, triste figure. Ce qui fait, que les jeunes, de France, sont, alors, parmi, les juniors, d’Occident, les plus chagrins ! Sourions et, sourions, aux jeunes, pour qu’ils sourient. Ils « sont, ce que sont, » les adultes, en bonheur, comme, en malheur. La jeunesse prend toujours, modèle, en mimétisme, sur ses aînés. D’où, l’influence capitale, permanente, déterminante, des adultes, sur elle801.

 

La nécessité immense, de l’exemplarité, de ces derniers. Les fruits, du malheur, de ceux, qui empêchent, tout bonheur, sont fort nombreux. Cela, commence, par une représentation, de soi, juvénile, imaginaire, erronée. L’on ne peut pas, être heureux, si l’on se surévalue ou, sous-évalue. L’excès, de confiance, en soi, mène, à l’insatisfaction, du fait, d’exigences, sans cesse, plus élevées, donc, inaccessibles. Le manque, de foi, en soi, enferme, en la tristesse, par un sentiment, d’infériorité, d’indignité, de déchéance personnelles. Que le jeune cesse, aussi, de s’obséder, de ses droits, réels ou, supposés, tout en « oubliant », toujours, ses si authentiques devoirs.

 

Trop attendre et, exiger, rend malheureux, contrairement, aux désirs raisonnables, au fait, de « rendre grâce ». Il s’agit, donc, de bien mériter, non, d’exiger, de se battre, non, d’attendre. Toute retombée positive, est une gratification et, non, un dû. L’abus colérique, est aussi, nocif. Le junior peut alors, apprendre, à se manifester, avec mesure. Dominer, son stress. Renoncer, aux rancœurs, du passé. Exorciser, ses rages, par un acte, de volonté, symbolique. S’affirmer, sans excès, mais, puissamment, éviter, également, d’être effacé, « transparent », inhibé.

 

Le ressentiment, est une colère ancienne, non, encore, résolue, qui contribue, à rendre, fort malheureux, actuellement. Il s’agit, donc, d’y renoncer, une fois, pour toutes, car, tout ceci, est caduc, obsolète, périmé et, n’a donc, plus lieu, d’être, n’étant plus, « d’actualité ». La rancune consiste, à vouloir, nuire, par vengeance, rétorsion, à ceux, qui ont offensé, le jeune, de façon, réelle ou, supposée. Cela, est illusoire, toxique, ne résout rien, car, l’on s’enferme, ainsi, dans le mal-être, alors, que seul, le pardon authentique, libère et, apaise. L’agressivité, de réussite, peut rendre heureux, mais, non, l’agressivité, de combat.

 

De fait, la première, est positive, par la plénitude, qu’elle engendre, par sentiment, de contentement, dépassement, réalisation, de soi, des juniors. Suite, à la tâche, accomplie, avec succès. La seconde, est négative, car, elle vise, à réduire, l’autre, considéré, tel, un adversaire, à abattre. La lutte se fait, alors, contre, autrui, au lieu, d’intervenir, pour, quelque chose, comme, dans le premier cas. L’avidité ne rend pas, heureux, car, elle suscite, l’envie, la jalousie, la rivalité, en une incessante guerre, insatiable. Aux dépens, des autres, à son seul, profit juvénile, ce qui nuit, fortement, à soi-même802.

 

Seule, la coopération, du junior, avec les autres, non, contre eux, contribue, au bonheur. L’avidité est un abus et, un excès nocifs, à combattre. La solitude est mauvaise, pour le jeune, quand, elle est trop, absolue, correspond, ainsi, à un manque, de liens émotionnels, avec les autres, l’univers. Quand, l’on se sent seul, en toutes circonstances, au lieu, d’être simplement, seul. Le bonheur est une certitude, d’inclusion sociale, mais, jamais, une prospérité matérielle, de plaisirs et, de pouvoirs ou, de réussite. Il s’agit, d’avoir, une vie sociale, des relations, aux autres, satisfaisantes, régulières.

 

La dépression juvénile, est une affection psychique grave, qui consiste, à ne plus être, en mesure, d’affronter, les difficultés, de la vie, ni, d’en apprécier, les avantages. Il s’agit, de se faire « aider », par des traitements, spécialistes, idoines. Nulle, addiction ne peut, véritablement, rendre heureux. Il ne s’agit, que d’un leurre, fort tragique, qui n’existe, que pour fuir, les réalités, de la vie, de façon, temporaire, incomplète, insatisfaisante. Le jeune ne peut, être heureux, en s’enfermant, en la déréalisation. Il s’agit, tout au contraire, d’affronter, ce qui est et, d’être, ainsi, plus épanoui, en livrant bataille, de façon implacable et, déterminée.

 

Il est important, aussi, de débuter, toute nouvelle journée, de façon, très favorable, positive. Cela, conditionne, le bon déroulement, de l’ensemble, du jour. Passe, par certains petits rituels juvéniles, symboliques, rassurants, encourageants, donc, bénéfiques. Des idées optimistes, sereines, pour tout, le quotidien, en cours. Rappelons, l’impératif, d’une alimentation saine et, équilibrée, si indispensable, pour la santé, physique et psychique. À base, de fruits, légumes, de céréales complètes, de laitages, de poissons, d’évitement, d’excès, de viandes rouges. De nutriments caloriques, trop sucrés, salés, gras.

 

Bien « soigner », le petit déjeuner, du jeune, premier repas, du jour, le plus important. Il doit être, consistant et, suivi, également, d’un vrai repas, du midi et, du soir. Les quantités ingérées, seront limitées, en fonction, de la faim réelle, de façon, raisonnable. Les « grignotages », entre les repas, seront proscrits. La caféine, les excitants, alcools, restreints. Les calories quotidiennes iront, de 1200, au minimum, à 2000, au maximum. Il s’agit, de boire, assez d’eau, pour bien, s’hydrater. Inutile, de redire, à quel point, l’exercice physique, quotidien et, sportif hebdomadaire, constant, est vital, pour tout junior803.

 

Pour la bonne santé, du corps, de l’esprit, du cœur, de l’âme. Cela, assoit, l’épanouissement, du jeune, car bouger, est euphorisant. Pour se motiver, pour un bénéfice optimal, sera choisi, un sport, qui fait « envie, plaisir ». Le minimum idéal est, d’au moins, une demi-heure », à une heure, par jour, d’activité physique, telle, la marche rapide. De deux séances hebdomadaires, distinctes, de sport, par semaine, d’une heure, chacune. De même, un sommeil, suffisamment, long et, de qualité, par jour, est indispensable, à la bonne santé, physique et psychique, à la plénitude.

 

Les jeunes ont besoin, de huit, à neuf heures, de sommeil, nocturne quotidien. Il s’agit, d’observer, régularité, sérénité, literie, de qualité, calme, boycott, de produits excitants. Des stimulations, physiques et, intellectuelles, avant, le sommeil. La méditation peut, aussi, contribuer, au bonheur. Il s’agit, d’une authentique, détente spirituelle, qui apaise. Cela, accroît, la paix, éprouvée. Le taux, de dopamine, dans le cerveau, un neurotransmetteur fondamental, du plaisir. Cela, consiste, à être, confortablement, assis, au calme, les yeux fermés, concentré, en inspirant, expirant, pleinement. En état intérieur, provoqué, de paix juvénile, ataraxique.

 

Ce qui doit générer, un ressenti, très positif, automatique, non, provoqué. L’entretien, d’une spiritualité, peut aussi, aider, le junior, à s’épanouir. Il a été démontré, scientifiquement, que cela, peut limiter, le danger, des affections cardiovasculaires. Se sentir, protégé, aidé, encouragé, compris, par une entité morale, supérieure, qui transcende, peut rassurer, pousser, de l’avant. Conduire, à se dépasser, s’élever, de façon, métaphysique. Nous l’avons vu, reconnaissance, gratitude rendent, également, heureux. Par contentement juvénile, de tout, ce qui est positif, dans la vie et, pour soi-même.

 

Des bonnes choses, de l’existence et, non, des pires ! Ce qui incite, à « remercier, le sort », plutôt, qu’à le maudire, solliciter, des bienfaits, se plaindre ou, regretter. Nous avons, également, dit, à quel point, la compassion humaine, à l’égard, de ses semblables, était, la certitude, d’un bonheur terrestre, sans limites, sans failles. De même, que le don, de soi, l’aide, aux autres, sont le devoir, de tous, la garantie, de la félicité universelle. Offrir, gratuitement, à son prochain, rend, le jeune, plus « heureux » encore, que de recevoir. En un monde, qui encourage fort, à s’autonantir et, autant, à déposséder, l’autre, au maximum804.

 

N’oublions pas, aussi, que le rire, l’humour, la légèreté, sont des conditions, de détente juvénile, indispensables, pour « voir la vie, du bon côté ». Refusant, de s’appesantir, sur le passé, se réjouissant fort, de l’avenir, au lieu, de s’en inquiéter. Le passé est mort, alors, que l’avenir, est susceptible, de réserver, « le meilleur », en l’espérance. Ainsi, le junior profitera, bien mieux, du présent, le fera mieux, « fructifier », pour son futur. N’hésitant pas, non plus, à manifester, ses regrets, à ceux, qu’il a maltraités, pour les mauvais procédés, qu’il a eus.

 

Cela, libère, le jeune, lui permet, de mieux avancer, sur le chemin, qui vient. Il est, également, important, de savoir, s’autolimiter, quand, l’on estime, que l’on a atteint, les limites raisonnables, à ne pas dépasser, pour éviter, les abus. Il n’est pas toujours, possible, de bien surmonter, toutes ses « épreuves ». L’essentiel, est alors, de composer avec, de façon, à ne pas se rendre, inutilement, malheureux, quelles, que soient, les difficultés. Il faut aussi, accepter, que tout, en l’existence, ne puisse pas, toujours, être juste, car les injustices font, aussi, partie, de sa vie juvénile, c’est ainsi ! La vie est « faite, pour être difficile, comme, inique, car, la nature profonde, du junior, est ainsi » !

 

Alors, que ce jeune se batte, pour « améliorer », ce qui peut l’être. Choisisse, ce qui marche, plutôt, que ce qui ne marche pas, pour être heureux. Dans les difficultés ou, l’incertitude, qu’il agisse, plutôt, que d’attendre, que le pire, se produise, en le provoquant, par sa passivité, son manque, de foi, en l’avenir. Qu’il ne complique pas, les choses, plus, qu’elles ne le sont, déjà. La vie est souvent, plus simple, qu’il ne le croit, le salut est toujours, en la simplicité. Non, en les élucubrations, présupposés, interprétations, erronés, contre-productifs. Que le junior sache, aussi, « se contenter », de l’essentiel.

 

Ses besoins sont limités, ce sont, ses désirs, qui sont innombrables, comme, excessifs, donc, si souvent, frustrants. Le bonheur réside, en la seule, tempérance, la frugalité. Non, en l’excès ni, la pléthore, très inutile. Tout jeune, mérite, d’être heureux, au long, de sa vie. Cela, n’est pas, un « dû », mais, il revient, à chacun, de susciter, en lui-même, son propre bonheur. Plutôt, que d’attendre, en vain, toute son existence, durant, qu’il arrive, enfin, comme, par enchantement. Or, cette « recette, de la béatitude juvénile », s’est perdue, dès, le premier junior. Alors, aux suivants, à la réinventer ! (Gentry, Thalmann, 2012)805.


 

 


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