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VOS CHAMPS D’INTERVENTION

ANDROJEUNOLOGIQUES 2


 

 


VIII


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

DE SOCIABILITÉ


 

[ ACCROÎTRE VOTRE SOCIALISATION MASCULINE NÉOGÉNÉRATIONNELLE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, une sociabilité et, une intégration, des plus satisfaisantes. En votre milieu, de vie, votre société. De façon efficace, durable et, profonde. Une bonne socialisation et, insertion sociale, peuvent nécessiter, pour vous, une triple solution androJeunologique, optimum et, décisive. De nature cognitive, émotionnelle et, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à atteindre, pleinement

Une satisfaisante « habituation normative ». – 22


 

 


> Vous permettre une complète consolidation

Psychosociale d’individualité androJuvénile. – 23


 

 


> Vous mener, junior masculin, à :

Votre bonne acculturation sociologique. – 24


 

 


22 – Vous Assurer, Jeune Homme

D’une Bonne « Habituation Normative » –


 

 

Vos socialisation, sociabilité et, intégration psychosociale ne vont pas, de soi et, peuvent être malaisées. Il convient, donc, de dépasser vos inhibitions, en la matière. Il s’agit, alors, d’identifier et, de combattre, votre manque, d’estime, de confiance, d’affirmation, de vous, en société. Ce qui relève, de votre déficit de foi,  jeune, en votre valeur, vos capacités.

 

Votre inaptitude, à être vous-même et, « tenir, votre plein rang », parmi, les autres. Le tout, souvent, relié, à de la timidité, voire, de l’introversion et, un doute, lancinant et permanent, sur votre « légitimité ». En négativité, pessimisme et, défaitisme, cognitifs, émotionnels et, comportementaux. Ce qui est, pour vous, contre-productif, non constructif, inopérant, d’un point de vue relationnel.


 

 


> Il convient, donc, au préalable, de positiver, ses pensées, affects et, conduites, de façon rationnelle, optimiste, enthousiaste. En effort, ténacité et, résolution durables. Le jeune cessera, de se dévaluer et, dévaloriser, sans cesse, pour pouvoir, être plus sociable, épanoui et, inséré, en sa société. Il s’apaisera, aura foi, en lui. Les pensées défavorables seront, particulièrement, conscientisées, identifiées, limitées, voire, annihilées.

 

Puis, remplacées, par des cognitions, du junior, plus enthousiastes, allègres et, motivantes, en volontarisme et, assurance, toniques et, dynamiques. Alors, les doutes négatifs, de marasme, seront mués, en objectifs, projets et, desseins positifs, d’espérance. La joie, de vivre, permet, toujours, d’être plus sociable, entouré et, fort apprécié. La personne juvénile notera, par écrit, ses qualités, vertus, aptitudes, savoir-faire, points forts et, réussites.

 

L’objectif, du junior, n’est pas, seulement, de progresser et, se dépasser. Or, aussi, d’intérioriser, ses succès, bonnes compositions et, ses compétences, déjà, acquis et, effectifs. Comme, de cesser, de se comparer, à autrui, car, « comparaison n’est pas raison ». Il est vain et, toxique, de toujours, mesurer, ses failles, de jeune, réelles ou, supposées, aux atouts, avérés ou, potentiels, des autres.

 

Oubliant fort, que tout humain, sans exception, connaît, des alternances existentielles « de haut et, de bas ». Personne, n’est « parfait ou, nul, en tout, pour tout, tout le temps ». Chacun, est différent, unique, incomparable. Tout humain a, donc, à « composer, avec ce qu’il est, a et, fait ». S’acceptant et, s’appréciant, ès qualité, en un tout juvénile, global, positif et, négatif, sans, se soucier, des spécificités, favorables ou, néfastes, des autres.

 

La jeunesse a, avant tout, à se préoccuper, d’elle-même, non, d’autrui, pour mieux, s’apprécier, ainsi, que son existence. Prenant conscience, que l’essentiel, n’est pas, la réalité, de sa vie, aussi « ordinaire », soit-elle, mais, la vision positive, qu’elle en a, pour être heureuse. Le jeune qui doute, de lui, pense, toujours, que l’Univers, entier, passe son temps, à « scruter, ses insuffisances » ou, ce qu’il croit, telles.

 

Il s’en accable, alors, bien convaincu, de son indignité, sa déchéance, que la Terre entière, s’en persuade, tout autant, le stigmatise, durement. Le junior en retire, un douloureux sentiment, de honte et, culpabilité. Qu’il se rassure, les autres ont mieux, à faire, avec eux-mêmes, que de se préoccuper, de sa personne. « Tout va, donc, pour le mieux, dans le meilleur, des mondes juvéniles, possibles ». Alors, il sera plus, à l’aise, en société, chacun, ayant à cœur, de « prendre, du bon temps », avec autrui, plutôt, que de le juger, défavorablement et, condamner.

 

Le junior, bien socialisé, a, à se débarrasser, à jamais, de sa crainte, d’être exclu. Être accepté, est bien plus fréquent, que d’être rejeté. Même, en cas, d’ « éviction », cela, n’est, généralement, pas, un jugement, de valeur, défavorable, le signe, qu’il a démérité, qu’il est, de moindre qualité, qu’autrui.

 

La peur, des autres et, de leur appréhension, de soi-même, isole le jeune et, nuit, à sa bonne socialisation et, sociabilité. D’où, l’importance, de ne, jamais, « se préoccuper », de soi, en société, ni de son « capital d’attraction », bon ou, moins bon, réel ou, supposé. Il convient, de se décentrer, de soi-même. Se focaliser, sur autrui et, les bienfaits et, bénéfices, pour tous, des échanges juvéniles, les plus fructueux et, enrichissants.

 

Ce qui permet, au jeune, d’optimiser, les chances, de rencontres plaisantes et, réussies, pour soi et, les autres. D’être plus à l’aise, en collectivité. Si la socialisation et, sociabilité permettent, de s’épanouir, être épanoui, autorise, tout autant, une bonne socialisation et, sociabilité. Pour être, en plénitude, la jeunesse a besoin, de bonnes interactions, avec autrui.

 

Cela, passe, par un visage avenant et, une authentique félicité intérieure. Ce qui permet, d’être plus heureux et, d’attirer les autres, en sociabilité accrue. De même, les signaux corporels seront ouverts et, engageants. Cela, aide, à être rayonnant, charismatique, en aura positive, pour attirer autrui et, faciliter les contacts, au lieu, d’être répulsif. Si la personne juvénile est fermée et, renfrognée. Il s’agit, de se montrer intéressé, par son interlocuteur et, par ce qu’il exprime.

 

Cela, démontre fort, disponibilité, écoute et, ouverture d’esprit, du junior, en empathie, compassion et, congruence. Cela, renforce, aussi, la qualité, la profondeur, comme, l’intensité, du lien noué, en pleine authenticité et, chaleur humaine, du cœur. Sans artifices, faux-semblants, duperies, pour plaire, à tout prix.

 

Il convient, pour la personne juvénile, d’être ni, trop mutique ni, trop bavarde, de ne pas accaparer, monopoliser, l’attention et, la conversation, ni de se faire oublier. Il s’agit, de s’intéresser, à l’autre et, d’éviter, de ne parler, que de soi, tout en se dévoilant, un minimum. Sans être « imbu, de soi ni, se dévaluer ». Il sera judicieux, pour le jeune, de questionner autrui, au sujet, de sa personne et, de sa vie. Pour ne pas paraître indifférent, sans être, pour autant, « inquisitorial » ni, indiscret ou, inconvenant.

 

Cela, permet, à la jeunesse, d’amorcer, les meilleurs échanges. Car, tous les humains apprécient, que l’on « s’intéresse », à eux et, aiment, évoquer, leur propre vécu. Cela, les valorise et, « flatte leur ego ». Si le jeune est peu assuré, cela, lui permettra, aussi, ainsi, de rester en retrait, en prêtant une oreille complaisante, à son vis-à-vis et, en lui « laissant la vedette ». Pour la plus grande satisfaction, de tous !

 

Être sociable et, bien socialisé, exige, aussi, du junior, d’éviter, les préjugés, idées préconçues et, jugements de valeur, à l’égard, des autres. Une largesse d’esprit permet, d’aller, à la rencontre, d’un maximum, de gens, différents et, dissemblables, de soi. De profiter, ainsi, au maximum, de la richesse infinie, de ces différences. Au lieu, de les redouter et, de rester seul ou, seulement, avec des homologues, ce qui appauvrit, la personne juvénile.

 

Des similitudes et, points communs favorisent, de fort bons rapprochements, mais, des dissemblances, aussi. En outre, même, avec des personnes, « aux antipodes », de soi-même, maints éléments, de convergence, stimulants, sont, toujours, possibles et, assurés ! Il convient, donc, pour le junior, de ne pas s’arrêter, aux apparences et, de, toujours, chercher, à approfondir, un échange, pour bien mieux, appréhender, l’autre, en son entière authenticité.

 

Cela, peut, alors, déboucher, pour le jeune, sur un lien profond et, durable. Tout, milieu social, a pour vocation, à être enrichi et, agrandi. La pire, des sociabilités, est de demeurer fort solitaire, passif et, attentiste. Il s’agit, à l’opposé, pour la jeunesse, de, toujours, prendre, l’initiative, d’aller, vers autrui, même, inconnu. Comme, de prendre, soi-même, d’office, contact, avec ceux, déjà, connus.

 

Proposant, des activités, festivités, rencontres, réjouissances, agapes. En commun, avec ceux, que l’on apprécie et, qui apprécient, le jeune. Sans attendre, que les autres, se manifestent. Cela, permet, de renforcer les liens, en bonne sociabilité, comme, socialisation, interactives mutuelles permanentes. De même, il répondra, favorablement, à un maximum, d’invitations, pour accroître, son intégration et, sa vie sociales.

 

Le junior considérera cela, comme, des occasions, très positives et, favorables, de bons moments et, rencontres. Non, comme, autant, de pièges et, dangers, pour lui, de désagréments et, mises à l’épreuve sociaux. Il ne refusera, d’être convié, que s’il est indisponible ou, si cela, ne lui convient, vraiment, pas. Donc, pour de bonnes raisons, de possibilité et, convenance, non, pour de mauvaises, de préventions, peurs et, timidité ou, manque, d’assurance, juvéniles.

 

Une fort bonne socialisation, du junior, passe, aussi, par des activités, en commun. Au sein, d’une communauté ou, collectivité, autour, des mêmes préoccupations et, centres d’intérêt, passions, loisirs, engagements, valeurs, idéaux, causes. Ce qui rapproche, considérablement. En sus, des fréquentations habituelles. Cela, permet, de nouer, de nouvelles et, fort fructueuses relations juvéniles différentes et, d’un autre genre, que celles, usuelles.

 

Une pratique, de groupe, est, particulièrement, propice, à une sociabilité optimale, bénéfique, réussie et, dense. Les connaissances et, relations actuelles acquises, peuvent, aussi, permettre, de mettre, en lien, avec d’autres personnes. En vertu, de l’adage : « Les amis, de mes amis, sont mes amis » ! Ce qui est, en commun, rapproche, toujours. La sociabilité et, socialisation satisfaisantes, du jeune, sont complètes.

 

Elles concernent, tous les domaines, de la vie. Celui, scolaire / professionnel, familial, amical / sentimental, de la récréativité ou, social… Sans exclusive ni, limitation. Une bonne intelligence, interaction, avec ses semblables humains, exige, toujours, pour la jeunesse, une socialisation et, sociabilité optimales. Cela, implique, des rencontres, échanges et, interactions réguliers. La solitude absolue, permanente, n’est bonne, pour personne.

 

Des liens suivis, de qualité, avec ses semblables, sont, toujours, préférables, à l’évitement social total. La sociabilité et, la socialisation, du jeune, ont, toujours, plus, d’avantages, pour lui, que d’inconvénients et, que le repli et, l’enfermement, sur soi. Heureux, donc, qui peut, se targuer, d’être bien entouré, malheur, à qui, se morfond, de solitude et, délaissement. Surtout, à l’ère juvénile, temps, par excellence, d’une sociabilité, à son zénith, quand, la nouvelle génération « va bien » !


 

 


23 – Appuyer la Consolidation

De Votre Individualité AndroJuvénile –


 

 

Par votre socialisation, vous acquérez, une très solide construction, de votre identité psychosociale. Or, la prolongation, de vos études, les difficultés, de votre intégration professionnelle, freinent l’autonomisation et, l’adultisation. Votre accès, à un habitat autonome, majeur, de moins, de vingt-cinq ans, ne concerne, guère plus, de 40 pour cent, d’entre vous, actuellement.

 

Or, seulement, environ, 15 pour cent, d’entre vous, le financez, vous-même, intégralement. 60 pour cent, d’entre vous, résidez, chez vos parents. Trois quarts, d’entre vous, chômeur ou, inactif, vivez, au domicile parental, contre, 57 pour cent, de ceux, d’entre vous, en emploi. Vos études courtes professionnalisées, vous assurent plus, une bonne insertion professionnelle, que celles, longues généralistes. Vos études juridiques, économiques, de gestion, de santé et, sociales, permettent, un métier stable, pour votre nouvelle génération.


 

 


> Contrairement, aux formations littéraires et, de sciences humaines. Les discriminations, inégalités sociales, perdurent, progressent, même. Depuis, une décennie, les dissemblances, de réussite juvénile, ne régressent plus, parmi, les étudiants, du supérieur. Les origines sociales, des étudiants, demeurent identiques, ces dernières années. Les « milieux sociaux supérieurs » dominent, toujours.

 

En 2016, en France, parmi, la jeunesse, des dix-huit – vingt-trois ans, 29 pour cent, sont des enfants, d’ouvriers, 18 pour cent, de cadres supérieurs. Or, 30 pour cent, de nos étudiants, ont des ascendants, cadres supérieurs ou, professionnels libéraux, 11 pour cent, ont des parents ouvriers. Le diplôme protège moins, les jeunes, du chômage. En moyenne, 68 pour cent, de ceux, ayant achevé, leurs études, ont un emploi, quatre ans, après. 82 pour cent, des plus diplômés, mais, 31 pour cent, seulement, des juniors non-diplômés. (Insee, France, 2016).

 

Par l’insertion sociale, le jeune s’engage, en de fructueux interactions, reproductions et, changements socioculturels. Insertion et, intégration, sociales et professionnelles, sont des mécanismes, d’inclusion. Au sein, du système social, culturel, économique. Par l’intériorisation, des normes, valeurs et, usages, en vigueur, en ce système.

 

L’insertion a trait, à tous les liens, que la jeunesse entretient, avec son milieu social. Elle est intégrée, insérée, quand, elle occupe, une place donnée, en sa société. Quand, elle a obtenu, une position sociale spécifique et, admise, par et, en, sa communauté sociétale, par un rôle, un statut, une utilité sociaux. Son insertion-intégration découle, de sa socialisation, est conditionnée, par elle. L’inclusion sociale juvénile impose, implique, au préalable, une authentique assimilation.

 

Celle, d’un ensemble, de règles, valeurs et, normes, préétablies, conventionnellement, admises et, reconnues. Cette socialisation donne, au jeune, sa place, en société, en intégration sociale, sociétale et, sociologique. Ainsi, il sort, de son individualité, pour nouer, des liens interactifs réussis, avec son milieu, de vie. Ces échanges multipolaires et, multilatéraux permettent, s’ils sont, pleinement, réussis, une « socialisation optimale », du junior.

 

Bien inséré et, intégré, socialement, il se considère, comme, en lien, avec les autres membres, de la communauté sociale. Par des idéaux, valeurs et, buts partagés. La certitude, de faire partie, d’un groupe social, uni, par des liens solides et, mutuels. L’insertion sociale juvénile, est multimodale. Familiale, scolaire, professionnelle, résidentielle, culturelle. Comme, sanitaire, économique, politique, récréative, amicale, affective…

 

La socialisation, comme, l’intégration sociale, consistent, pour le junior, en intériorisation et, intégration satisfaisantes, de normes et, valeurs sociales, sociétales et, sociologiques. Se socialiser implique, un apprentissage, de la vie, en société. Ce qui lui permet, d’assimiler, des principes, idéaux et, valeurs, pour élaborer, sa personnalité, son identité, son unicité personnelle juvéniles. Psychologique, morale et, sociale. En matière, de pensées, d’émotions, de comportements, de liens, à lui-même et, autrui. Par rapport, aux personnes, aux choses, aux événements et, situations, dans le temps et, l’espace. La socialisation, de la jeunesse, impose, des obligations, individuelles et collectives.

 

Elle suscite, des conduites sociales et, des échanges mutuels, entre le jeune et, son milieu, physique, social, culturel, économique… Elle est capitale et, déterminante, pour « grandir ». La socialisation est dite primaire. Elle détermine, son identité et, sa future trajectoire adulte, par l’action, du milieu et, de l’entourage, de vie, du junior.

 

La famille : parents et, fratrie…, l’école : enseignants et, administration, les pairs : condisciples, amis, camarades et, partenaires affectifs. L’environnement professionnel : hiérarchie et, collègues, le monde, des loisirs, sportif, culturel, associatif, les médias… L’outil premier, de la socialisation juvénile, est l’éducation, parentale et, scolaire, en tant, qu’inculcation, de normes, comme de valeurs.

 

Outre, une supervision sociale permanente. D’autant plus, « draconienne », qu’elle émane, d’adultes dominants, « parvenus-détenteurs », sur des juniors, dominés, « prétendants-demandeurs ». Avec évaluations, de conventions et, sanctions, favorables et, défavorables. De façon consciente et, inconsciente, pour les adultes socialisateurs, comme, pour leurs descendants socialisés.

 

La socialisation est, tout autant, cognitive, qu’émotionnelle et, comportementale. La jeunesse est, aussi, fort tributaire, de son milieu social, économique, culturel, d’appartenance et, d’origine. Ainsi, que de son genre, masculin et, féminin, qui influe, très fortement, sur son type, de socialisation, de façon discriminante, inégalitaire, pour la nouvelle génération.

 

De même, en fonction, des origines géographiques, nationales. Globalement, en moyenne, la socialisation conforte plus, les caractéristiques sociales innées, des jeunes, qu’elle ne les « bouleverse », de façon acquise. Ainsi, la plupart, resteront, à vie, plus proches, de leur milieu social, d’origine, que, véritablement, aux antipodes.

 

Il y a, donc, toujours plus, reproduction sociale, que mutation sociale, des êtres juvéniles, dans le temps et, l’espace, en toute période historique, toute contrée. De fait, en France, aujourd’hui, près, des trois quarts, des enfants, de cadres, ont des fonctions, d’encadrement. Près, des trois quarts, des juniors, enfants, d’ouvriers, ont des tâches, d’exécution. (Insee, France, 2018).


 

 


24 – Renforcer Votre Acculturation

Sociologique, de Junior Masculin –


 

 

Votre androJuvénilité est l’âge, de la sociabilité maximale, notamment, entre congénères. Le temps, de vie, en lequel, vous recherchez, le plus, à vous intégrer, au groupe, de vos semblables. Ce qui ne va pas, toujours, de soi, pour vous, or, est capital, pour votre construction adulte et, votre épanouissement personnel.

 

Il s’agit, au préalable, de bien connaître, déterminer, le milieu, en lequel, vous ambitionnez, de vous insérer. Votre jeunesse populaire et, intégrée, est, certainement, la plus attractive, appréciée, car, appréciable, aux yeux, de la majorité. Qualifier, les membres concernés, permet, d’anticiper, votre propre intégration, comme de l’envisager, au mieux.


 

 


> Comme, de prévoir, les modalités idoines, nécessaires, à une bonne insertion, parmi eux. Le jeune saura appréhender et, intérioriser, les règles sociales, inhérentes, à son milieu, d’études et, de loisirs. Ses pairs, les plus appréciés et, recherchés, par la jeunesse, le sont, car, ils maîtrisent, parfaitement, des pratiques, centres d’intérêt, savoir-faire, qualités prisés, recherchés, admirés. Car, valorisés, par la majorité, des membres, du groupe ou, du milieu, concernés. Le junior ne peut, bien s’intégrer, à un environnement donné, que s’il est, en pleins accord, adhésion et, partage, avec les codes, normes, lois et, principes, goûts et, pratiques, de celui-ci.

 

Sinon, le jeune n’y sera pas accepté ou, ne s’y plaira pas, y restera, en marge et, finira, par en partir ou, en sera exclu. Il s’agit, donc, de bien analyser, le groupe, pour évaluer, avec sûreté, ses priorités, valeurs et, caractéristiques. Ce, sur quoi, il se focalise, le plus. Le junior aura, à démontrer, aux autres, par sa façon d’être et, de faire, qu’il adhère, aux mêmes idéaux et, « codes », qu’eux. Ce qui rapproche, est fondamental, à la jeunesse. Cela, passe, par un certain « mimétisme néogénérationnel », tout en sachant, rester, soi-même. S’abstenant, d’intégrer, toutes les normes, du groupe, notamment, celles, qui ne lui conviennent pas.

 

Le junior « sollicitera, son admission », en se manifestant, avec aplomb. Attirant l’attention, avec brio, aisance, sans arrogance ni, suffisance, pour autant. En humilité et, avec charisme, tout autant. Il est judicieux, d’intégrer, une association, un club, une équipe ou, formation, en lesquels, les membres, du groupe, convoité, se retrouvent. Il s’agit, pour le jeune, de consacrer, du temps, à soi et, aux autres, en un contexte ludique et, détendu. En pratiques collectives, sportives, de loisirs ou, culturelles. Cela, permet, de nouer et, d’entretenir, des liens fructueux, renforcés, par le partage, d’objectifs communs, en solidarité et, coopération ou, entraide mutuelles juvéniles.

 

L’essentiel, pour le junior, est de cultiver, une sociabilité optimale. Humour, détente et, visage avenant, s’imposent. Cela, crée, du liant, de la complicité et, de la convivialité, de bon aloi. En un bon climat, de partages constructifs. En évitant, pour autant, l’ironie méchante, mordante, les sarcasmes juvéniles blessants, insultants, vexatoires, aux dépens ravageurs, des autres.

 

Féliciter, encourager, congratuler, autrui, à bon escient, de façon raisonnable, permet, de « souder », un groupe et, d’être apprécié, des autres. À condition, d’être sincère. Il s’agit, de trouver, un équilibre équitable, entre, sa propre prise de parole et, l’écoute, des jeunes, du groupe, toujours, à, prioritairement, privilégier. En empathie, compassion, congruence et, authentique intérêt, porté, à autrui.

 

L’important, pour le junior, est de, toujours, témoigner, à autrui, les marques, de la compréhension profonde, de la vraie considération et, du plus grand intérêt. Par le regard, le verbe et, la posture physique. Tout désaccord est légitime et, exprimable, par le jeune, avec tact et, sans désavouer autrui. De même, que l’opinion divergente, de l’interlocuteur, est fort respectable et, à respecter, l’on donnera, aussi, la sienne, avec mesure et, discernement.

 

Une fois agréée, par ses semblables, la jeunesse peut marquer, son originalité et, sa spécificité, tout en demeurant, en phase, avec, son entourage et, ses valeurs ou, caractéristiques. Il est, tout aussi important, d’être soi-même, ès qualité, comme individu juvénile unique, que de s’intégrer, en une collectivité, communauté ou, groupe !


 

 


IX


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

DE DÉPASSEMENT DE SOI


 

[ AFFERMIR L’OPTIMISATION DE VOS POTENTIELS DE JEUNESSE MÂLE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, de façon efficace, durable et, profonde, vos meilleurs capacités, atouts, talents. L’optimisation, de vos potentiels personnels, peut nécessiter, pour vous, un triple moyen androJeunologique optimum, décisif. De nature cognitive, émotionnelle, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à :

Mobiliser, efficacement, vos meilleurs savoir-faire. – 25


 

 


> Vous permettre une totale

Efficience androJuvénile, de travail. – 26


 

 


> Vous mener, junior masculin, à : une perpétuation

Sans faille, de bons résultats, à effet optimum. – 27


 

 


25 – Vous Assurer, Jeune Homme

De l’Activation de Vos Meilleurs Savoir-Faire –


 

 

L’optimisation, de vos potentiels, est une approche, d’amélioration, de développement, de rationalisation, de vos capacités, atouts, performances personnels. Par la mobilisation, de vos ressources, cognitivo-émotivo-comportementales. Le développement, des compétences, connaissances, passions, dons, talents et, inventivité, propres, à chacun d’entre vous.

 

Quelles, que soient, vos aptitudes initiales. Lesquelles, ne sont, jamais, en elles-mêmes, figées, maximalisées, or, perfectibles. En plénitude, accomplissement, de soi. Il s’agit, pour vous, de vous concentrer, engager, croire, en vous, votre valeur, vos qualités et, possibilités. Vous affirmer, positiver, lâcher prise, progresser, sans relâche. La concentration est capitale, pour vous, afin, que vous soyez, pleinement, continûment, au présent, à ce que vous faites.


 

 


> Quelle, que soit, la tâche, en cours, d’exécution. Quel, que soit, le domaine juvénile, de vie, concerné. Cela, permet, d’être plus efficient, performant, pour apprendre, comprendre, savoir, connaître, découvrir et, innover… En un maximum, de plénitude et, d’épanouissement. Méditation, relaxation, comme, sophrologie, notamment, favorisent, grandement, la concentration.

 

Cette dernière limite, aussi, les distractions néfastes, du jeune, qu’elles soient exogènes ou, endogènes. Personnes, circonstances, événements, milieu ou, doutes, craintes, négativité, projections. La concentration limite le stress et, augmente la productivité, l’optimisme, l’inventivité, la détente… La concentration, de performance, se centre, sur l’essentiel, le présent, les buts prioritaires, le positif, les possibilités accessibles, à la jeunesse.

 

L’engagement motivationnel, du junior, consiste, à s’impartir, des buts adéquats, bien délimités, définis, bénéfiques, à court, moyen et, long termes. De façon active, dynamique, en foi positive, volonté, effort, ténacité, persévérance, détermination, résolution juvéniles. Au quotidien, par écrit, de manière accessible, en objectifs ni, trop modestes ni, trop élevés. Pour ne pas se démobiliser ni, décourager. En croyance positive, optimiste, constructive et, productive. Pour des résultats fructueux et, maximalisés, de la jeunesse. Visant, l’efficacité et, non, l’effet terminal.

 

En « visualisation mentale, d’encouragement », envisageant, but, moyens et, évolutions successives. L’optimisation, des atouts, du jeune, implique, aussi, estime, confiance et, affirmation, de soi. En pleine assurance. Foi, en sa valeur, ses aptitudes, assumant, sa pleine place sociale. La foi, en soi, renforce, l’efficacité personnelle, la motivation, le dynamisme, la concentration, du junior. Elle optimise, les pensées, émotions, comportements, donc, les résultats personnels, l’épanouissement. Cela, exige, de la force mentale, de la conviction, en ses aspirations, leur faisabilité, par son action, comme, par son mérite juvéniles, propres.

 

Autoencouragements, mobilisation, comme activation permanents. Remémoration, de tous ses succès, consignés, par écrit. Visualisation mentale, de tout, ce qui a été mené, à bien, par le junior. Ce dernier peut, aussi, user, de maints moyens, de positivation. Une bonne relation, de confiance bienveillante, bienfaisante, bénéfique, avec lui-même, en monologues juvéniles intérieurs, positifs et constants. Visualisation mentale optimiste et, concernant, ses possibilités, d’avancées et, de réussite. De bonnes interactions, avec autrui. Une foi confiante et, sereine, de la jeunesse, en l’avenir, un lien apaisé, avec le passé et, un vécu tonique, au présent.

 

Le lâcher-prise, du jeune, améliore, ses performances, par la relativisation, la distanciation, la capacité, à « faire la part, des choses et, la décentration, de soi-même ». En plein apaisement, de soi. Sophrologie, méditation, relaxation, peuvent y aider. Le junior peut progresser et, se perfectionner, en permanence. En apprentissages renouvelés, tirant les leçons, de ses échecs, succès et, vécus, en analyses, sur lui-même, ses résultats et, conduites. Pensées, sur ce qui peut être optimisé et, comment, positives et, salutaires, remises en question juvéniles.


 

 


26 – Appuyer l’Efficience

De Votre Quotidien AndroJuvénile –


 

 

Vous êtes guidé, en votre gestion optimale, de votre charge, de travail, face, aux urgences et, pressions, aléas et, impératifs, pesant fort, sur vous. Vous devez, vous remémorer, en permanence, vos atouts, uniques et, inestimables. Vos aptitudes, à vous dépasser, faire face, à l’adversité, vaincre les obstacles, progresser, grandir et, acquérir, de la sagesse, en continu.

 

Susciter et, user, du meilleur, en vous-même. Puisque, votre jeunesse possède, tous les moyens, de sa plénitude, il vous incombe, de prévoir et, d’organiser, chaque jour suivant, la veille, avant, votre coucher. Ainsi, votre conscient adressera, à votre inconscient, comme, subconscient, le détail, de ce que vous voulez accomplir, le lendemain.


 

 


> Ce qui sera intégré, par le cerveau juvénile, au cours, du sommeil nocturne, indiquant, alors, au dormeur, les « meilleurs moyens », de réaliser, ses objectifs. L’aidant, ainsi, à les accomplir. Ayant, toutes les ressources, conscientes, comme inconscientes, de réalisation de soi, le jeune peut, bien plus, pour lui-même, qu’il ne le croit. Mettant, à jour et, en œuvre, ses richesses enfouies, pleinement, opérationnelles, le junior dépassera, les personnes et, choses, circonstances, événements et, lui-même. Pour user, au mieux, de toutes les réalités, de son quotidien, positives, neutres ou, négatives.

 

Il s’agit, également, pour le jeune, d’avoir, une vision dynamique, de soi, des autres, de la vie, de se considérer, en gagneur et, gagnant, non, en victime et, perdant. En gratitude et, contentement, non, en ressentiment et, frustrations. Tout en se battant, activement, pour vaincre, sans subir, passivement. Ainsi, révolte et, résignation laissent place, pour le junior, à la détermination, la plus résolue et, au refus, de toute fatalité défaitiste. Considérant, autrui et, la vie, plus positivement, ces derniers « le lui rendront », alors, bien plus bénéfiquement. La jeunesse sera, ce qu’elle est convaincue, d’être, les autres, la considéreront, donc, ainsi.

 

D’où, l’intérêt fondamental, d’un autojugement positif et, favorable, plutôt, que négatif et, malveillant, malfaisant, sur soi-même. Le jeune se gardera, aussi, de juger, négativement, autrui, les réalités et, situations, comme lui-même. Il n’aimerait pas subir, le même sort, de la part, des autres. Condamner, en outre, ne résout rien, quand, émettre des évaluations et, solutions constructives, ouvre, au junior, les meilleures perspectives productives.

 

Il est, aussi, capital, de, toujours, entretenir, quoi, qu’il arrive, des pensées, émotions, comportements positifs, ces trois vecteurs étant, étroitement, liés. Cogiter, de façon favorable, permet, de ressentir, des affects sereins, donc, d’agir, de manière bénéfique, appropriée, fructueuse. En maximalisation idéale, de toutes ses ressources juvéniles personnelles !

 

Le junior apprend, à réaliser, une atteinte et, un maintien continu, d’une performance maximale, quels, que soient, les objectifs impartis et, les défis, à relever. Pour optimiser ses potentiels, il se doit, au préalable, d’établir, précisément, clairement, quels sont, ses aptitudes, talents et, dons. Les capacités, potentiels et, compétences, du jeune, sont de natures diverses.

 

Ils peuvent être personnels, comme la créativité, des artistes. Ils peuvent être universels, utiles, en toutes circonstances et, études ou, métiers, comme le sens, de la rigueur. Ils sont techniques, quand, ils nécessitent, un savoir-faire donné, constituant, une expertise spécifique. Il s’agit, de comptabiliser, tous ses aptitudes, atouts, richesses juvéniles utiles.

 

Pour qu’ils servent, de nouveau, « au mieux » et, pour les développer, encore plus. Le jeune recherchera, aussi, ce qui l’épanouit, en ses capacités et, occupations, pour optimiser, surtout, ce qui lui convient, le plus et, le mieux. Il ne peut, bien faire, optimalement, que ce qu’il aime, véritablement. Il convient, aussi, de s’impartir, des objectifs. Cela, aide, à être fort serein et, efficace.

 

En motivation et, enrichissement juvéniles, de savoir-faire. Le but optimisé est Smart : Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et, Temporellement, défini. Pour être compétent, en toute carrière, une solide formation académique s’impose. Nul, ne peut, à notre époque, s’en passer. En tout domaine, un bon réseau relationnel et, social est, également, des plus utiles, à la jeunesse, pour progresser, en sa vie, personnelle et professionnelle.

 

Pour user, de ses compétences, il s’agit, pour le junior, de faire appel, à ses potentiels, ressources et, atouts. Faire l’inventaire, de ses capacités et, les mettre en valeur. Savoirs, savoir-faire, faire-savoir, se conjuguent, optimalement, ainsi. Le bénévolat, la défense, d’une cause, permettent, aussi, d’optimiser, ses potentiels. En outre, cela, épanouit, donne confiance, en soi et, « fait sens », à son existence juvénile.

 

De même, l’engagement, auprès, d’une collectivité donnée. Faire, de sa passion, son métier, est, aussi, un excellent moyen, de développer, ses compétences favorites, d’en faire, son « gagne-pain » et, de s’épanouir, encore plus. Tout potentiel personnel, tout savoir-faire, sont perfectibles et, peuvent être maximalisés, par tout jeune. Pour cela, ce dernier peut y parvenir, en prenant, des responsabilités afférentes.

 

Ce qui valorise, renforce, ses compétences. La jeunesse peut, aussi, guider, former, aider, autrui, en son domaine, de capacités et, de centres d’intérêt personnel. Ce qui lui assurera, de bien progresser, en motivation, pour être, en mesure, de bien accompagner ceux, qu’elle a, à éclairer. En outre, compétition et, émulation, aident, à s’améliorer, pour être, à la hauteur, des saines et, naturelles confrontations, à autrui.

 

Il s’agit, pour le jeune, de tirer plein profit, des compliments, encouragements, comme, des critiques négatives. Pour avancer, corriger, améliorer, ce qui peut et, doit, l’être. Sans, se formaliser ni, pavoiser, outre mesure. Le mouvement associatif est, aussi, une excellente façon, de se rendre utile, de faire valoir, tous ses potentiels et, s’enrichir. Quoi, qu’il arrive, en réussite et, adversité, la personne juvénile continuera, à cultiver, tous ses talents. En effort, ténacité et, persévérance, résolution et, détermination, sans relâche, découragement ni, suffisance. Pour le meilleur !


 

 


27 – Renforcer Votre Perpétuation

D‘Effets Optimums, de Junior Masculin –


 

 

Pour « optimiser », vos potentiels, atouts et, talents, dons, passions, savoir-faire et, être, votre personne se focalisera, tout d’abord, sur vous-même. Cela, implique, d’opter, pour certaines valeurs et, idéaux personnels essentiels et, de vous y conformer. Ce qui vous permet, de structurer, votre identité et, d’asseoir, la représentation, que vous vous donnez, de l’Univers. Cela, fait sens, à votre « mission de vie ».

 

Selon, vos objectifs et, priorités existentiels, votre jeunesse saura, clairement, quels dessein, destin, paradigme existentiels, elle souhaite, pour son passage terrestre. Si elle perçoit, qu’elle sous-utilise, ses potentialités et, qu’elle ne les réalise pas, de façon maximale, cela, peut résulter, d’une divergence, comme, d’une incompatibilité. Entre certains aspects, de votre existence personnelle et, vos valeurs, les plus fondamentales.


 

 


> Il s’agit, alors, de modifier, certaines façons, de vivre ou, ses idéaux, pour établir, la concordance, l’harmonie nécessaires, entre eux. Pour avancer, de façon optimale, en cohérence, efficience et, plénitude. Le jeune doit, ensuite, avoir, une claire vision, de la meilleure façon, dont, il veut faire fructifier, ses aptitudes, talents, dons, passions, atouts.

 

Puis, il se battra, pour les mettre en œuvre, conformément, à sa vision, de vie. Le junior visualisera et, imaginera, la personne, qu’il veut être. Prenant conscience, de ce qu’implique, pour lui, le fait, de se réaliser, pleinement. Selon, ses exigences, choix, préférences. En accord, avec ses valeurs. Fixant, ce qu’il souhaite, le plus, de lui-même et, de son existence, à venir. Pour cela, la jeunesse détaillera, très précisément, les modalités, réalités, de ses projets futurs.

 

Le junior passera, en revue, tous les moyens, aptitudes et, atouts nécessaires, pour y parvenir et, les réaliser. Potentiels, déjà, effectifs et, ceux, à développer. Concernant, ces derniers, le préadulte s’interrogera, sur les moyens, les meilleurs et, les plus adéquats, pour les parfaire et, mettre, en application.

 

Tout ce processus sera revu, amendé, amélioré et, modifié, le cas échéant, au fur et, à mesure, des avancées observées, autant, que nécessaire. En fonction, des évolutions, en cours. Le jeune sera stoïque, indulgent et, endurant, quant à lui-même, car, accomplir son potentiel est difficile, long, exigeant. Il aura conscience, de ses atouts, savoir-faire, efforts, tout comme, ses failles et, dimensions perfectibles, à parfaire.

 

La personne juvénile aura, à contrer, ses travers cognitifs, émotionnels et, comportementaux. Faisant obstacle, à la maximalisation, de ses potentialités. La jeunesse luttera fort, contre, sa tendance, à la généralisation négative, défaitiste et, pessimiste. Laquelle, décourage, dissuade et, démobilise, au lieu, d’encourager, de motiver, de persuader, du meilleur et, du succès possible.

 

Il s’agit, donc, de relativiser, positiver, persévérer, en effort et, ténacité, détermination, car, tout junior est faillible. Ne pas tout réussir, tout de suite, à la première tentative, n’implique pas, un échec personnel définitif, mais, un aléa provisoire. La réussite étant, toujours, possible, ultérieurement, en une ou, d’autres tentatives, de « parvenir, à ses fins ». Le jeune se défiera, aussi, des préjugés, partis pris et, discriminations psychiques.

 

Lesquels, consistent, à ne retenir, systématiquement, que le négatif, de toute chose, réel ou, supposé, écartant, délibérément, le positif, que le junior ne veut voir. Il s’agit, donc, d’être plus objectif, bienveillant, à son propre égard. L’ennemi est, aussi, la vision dichotomique, en « noir ou, blanc », tout ou, rien, bon ou, mauvais, effet, du perfectionnisme, du manque, d’estime, de confiance et, d’affirmation, de soi.

 

Le jeune sera moins impitoyable, à l’égard, de lui-même, pour mieux réussir, être plus heureux, apprécier, ses progrès et, résultats. Tout en se battant, pour avancer. En humilité et, fierté, de lui-même et, de ses réalisations, conscient, d’être faillible et, perfectible, comme humain. Non pas, mauvais, indigne et, déchu, pour autant, mais, valeureux et, légitime, car, de bonne volonté juvénile, unique et, appréciable, ès qualité.

 

La jeunesse se gardera, aussi, de toute dramatisation et, exagération, tout alarmisme, comme catastrophisme. Cela, est contre-productif, paralysant et, vecteur, d’échec, par la conviction, du pire, non, du meilleur, ce qui inquiète et, empêche, d’agir. Parvenir, implique, d’accepter, sa fragilité, non, pour renoncer, au but, mais, pour s’y préparer, en modestie, comme détermination.

 

En amour et, foi, en soi. Le jeune arrêtera, aussi, de s’accabler, sans cesse, pour tout et, rien. Sous le primat tyrannique, de commandements normatifs externes, d’autrui. Plutôt, que du fait, de sa conscience, son for interne et, ses propres valeurs personnelles. En toute souveraineté, il importe, de ne tenir compte, que, de ses propres principes, moraux et existentiels, pour ce qui concerne, sa personne juvénile. Jamais, de ceux, des autres, lesquels, ne doivent, s’appliquer, qu’à eux.

 

Le junior, pour bonifier, ses atouts, le fera, en s’impartissant, des objectifs, de vie. Il commencera, par les déterminer, très précisément. Devenir, celui, que l’on souhaite, passe, par s’en donner les moyens et, établir, comment, y parvenir, au mieux. Cela, implique, des actions successives, progressives et, d’ampleur limitée, accessible.

 

Faisant sens, pour soi-même. En foi, volonté, motivation, du jeune. Parvenant, par l’effort, l’abnégation, la persévérance, comme la résolution et, l’assurance. Les buts, à atteindre, seront établis, par ordre, d’importance décroissante. Commençant, par les plus fondamentaux, finissant, par les plus modestes et, plus secondaires. Si cela, convient mieux, l’ordre juvénile peut, aussi, être, d’importance croissante.

 

Le jeune débutera, par ce qui est, le moins capital, le plus simple et, facile. La jeunesse finira, par le reste, plus essentiel, mais, plus « ardu ». Pour se préparer, d’abord, au plus complexe, en commençant, par ce qui est, le plus simple. Tout ceci, en fonction, des choix personnels, priorités et, urgences, circonstances, situations, des choses, de soi, des autres, des besoins, moyens, possibilités…

 

Cela, permet, au junior, de fractionner, les tâches, à faire, pour avancer, sans être débordé et, découragé, tout en restant mobilisé et, performant. Tous les buts seront accessibles, raisonnables et, « faisables », non moins « ambitieux », pour autant. À chaque objectif, correspondront, des actions, à entreprendre, pour l’atteindre, chaque jour. Le nombre, de buts juvéniles, sera raisonnable. Trop, découragerait, paralyserait, trop peu, démobiliserait, ne serait pas productif.

 

Le junior veillera, à accomplir, chaque tâche, de chaque objectif imparti. Laquelle, sera notée, par écrit, rayée, de la liste, sitôt, réalisée. Celle-ci épuisée, tous les buts, étant atteints, d’autres, seront inscrits, avec les actions afférentes, à mener, au fur et, à mesure, des besoins requis. Il optimisera, tous ses processus mentaux.

 

La jeunesse optera, pour un état d’esprit, un mode de pensée, souples, adaptatifs, progressifs. L’effort sera valorisé, en tirant, tous les enseignements, de ses succès, surtout, de ses erreurs, échecs et, déboires, comme, des fort justes observations, d’autrui. En tenant, toujours, compte, des évolutions, modifications, changements. Les revers seront considérés, telles, des étapes, naturelles et nécessaires, du succès, du jeune.

 

Non, comme, une indignité, une faillite personnelle rédhibitoire. Une instructive leçon, de vie, pour progresser, s’améliorer et, se corriger, non, un coup d’arrêt et, de semonce, pour renoncer. Ainsi, la jeunesse sera poussée, à « aller, de l’avant », non, stoppée net et, mortifiée. Il s’agit, d’être patient, tenace, réaliste et, pragmatique, soit, raisonnable.

 

Tout objectif terminal, global, général, d’importance, implique, toujours, au préalable, pour le jeune, des tâches, buts, plus modestes, faciles, limités, comme, circonscrits. Ce qui rend, les desseins supérieurs, « réalisables », ultérieurement. La pensée positive, optimiste, constructive et, favorable, est la plus productive et, aide, à persévérer et, réussir. Ainsi, le cerveau juvénile est, bénéfiquement, stimulé et, cela aide, à mieux progresser.

 

Il convient, aussi, de s’inspirer, de personnes, qui sont, pour le junior, un idéal moral, un modèle, de réussite, qui le touchent. Cela, l’aidera, à « parvenir », par mimétisme et, d’un point de vue cognitifs, émotionnels, comportementaux. Sans, pour autant, idéalisme ni, idéalisation excessifs. Qu’il réussisse ou, échoue, le préadulte est comptable, de ses résultats. En cas, de difficulté, il veillera, à trouver, les meilleures solutions, pour les dépasser. Sans, s’accabler, injustement, lui-même ni, se dédouaner, à bon compte, se défaussant, sur autrui. Le jeune sera tenace, dans l’adversité. Quels, que soient, les embûches, déboires ou, déconvenues, l’opiniâtreté permet, de vaincre, les obstacles.

 

De ne pas renoncer, donc, de réussir. Loin d’abattre la jeunesse, les « coups durs » renforcent, alors, sa détermination, la plus résolue, à se battre, encore plus. Il est possible, de tenir bon, en se souvenant, sans cesse, du sens, des motivations et, fondements profonds, qui ont légitimé, l’objectif initial fixé. Que le jeune se remémore, aussi, tous les bénéfices attendus, de la réalisation, du potentiel et, de son optimisation, la meilleure. Patience, autoencouragement, s’imposent, aussi, en autoefficacité maximale. Efforts, travail, entraînements juvéniles intensifs, quotidiens, sont incontournables.

 

Le but terminal, du jeune, compte moins, que les avancées, de chaque jour. Les plus « grands personnages » historiques, ont commencé, par échouer, avant, que de réussir, telle est, la condition, du succès. Atteinte, d’objectif et, réalisation, de potentiel, sont œuvre, de long cours. Il s’agit, pour le junior, de se réserver, des temps de pause, répit, repos, pour tenir bon : « Qui veut aller loin, ménage sa monture ». (J. Racine, dramaturge, France, 1639-1699, Les Plaideurs, pièce théâtrale, de comédie, France, 1668). La peur, de l’échec, n’est pas « bonne conseillère ». La réussite, du jeune, est, rarement, initiale, mais, provient, souvent, d’une longue suite, d’essais infructueux, préalables. L’adage ne dit-il pas :

 

« Hâtez-vous, lentement, et sans perdre courage, Vingt fois, sur le métier, remettez, votre ouvrage. Polissez-le, sans cesse, et le repolissez, Ajoutez, quelquefois, et souvent, effacez » ?

(N. Boileau, homme de lettres, France, 1636-1711, Œuvres poétiques / L’Art poétique / Chant I, poème, France, 1674).

 

Le diamant, le plus dur, peut résister, aux mille premiers coups, pour le fendre, mais, cédera, au mille-et-unième. La légitime fierté, des efforts, progrès et, résultats, obtenus, par la jeunesse, comme, de tout, ce qui a été accompli, est, aussi, capitale. Sans fausse modestie, ni forfanterie. Cela, est une force, pour le jeune, pour poursuivre, jusqu’à, la victoire et, une juste récompense, du succès, une fois, atteint. Se faire aider, conseiller, encourager, par un entourage bienveillant, de confiance, est, aussi, précieux. Pour optimiser, les potentiels, objectifs et, réussites juvéniles !


 

 


X


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

DE PROGRÈS SCOLAIRES


 

[ STIMULER VOS ÉTUDES & VOTRE RÉUSSITE ANDROJUVÉNILES ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, les meilleurs moyens, de choisir et, réussir, toute votre scolarité. Secondaire et supérieure. De façon efficace, durable et, profonde. Vos études d’élève et, d’étudiant sont capitales, pour vous-même, comme pour votre avenir. Cela, peut nécessiter, alors, pour vous, trois remèdes androJeunologiques, optimums et, décisifs. De nature cognitive, émotionnelle, comme comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à : opter

Pour une orientation idoine, de formation d’excellence. – 28


 

 


> Permettre, un « rendement académique »

Maximal, fructueux, de votre androJuvénilité. – 29


 

 


> Vous mener, junior masculin, à : un succès terminal

Des plus confirmés et, aboutis, de vos études. – 30


 

 


28 – Vous Assurer, Jeune Homme

D’un Aiguillage Approprié de Votre Cursus –


 

 

Vous avez à faire des choix adéquats, pour votre orientation, de formation initiale, afin, de préparer, votre avenir professionnel, de la meilleure façon. Vous devez, à cet effet, tenir compte, de trois paramètres fondamentaux. Vos goûts et, centres d’intérêt intellectuels, vos aptitudes académiques, vos débouchés professionnels afférents. Vous ferez, donc, le recensement méthodique, des champs et, disciplines d’études, qui sont susceptibles, de vous intéresser.

 

Votre jeunesse envisagera, alors, les cursus afférents, les plus appropriés et, motivants, pour elle. Pour cela, vous vous mettrez, en quête, des vecteurs, d’information, les plus appropriés. Vous pourrez, notamment, utiliser Internet, pour sélectionner, les meilleures filières. En lien, avec les métiers, l’emploi, les professions, carrières, domaines, de travail, concernés. Vous prendrez contact et, rencontrerez, des professionnels, des secteurs d’activité, qui vous intéressent. Pour bien connaître et, comprendre, de l’intérieur et, de façon concrète, ce dont, il s’agit.


 

 


> La personne juvénile peut, aussi, interroger, des pairs, qui fréquentent, les cursus, qu’elle ambitionne, de suivre, pour en savoir plus. Sans oublier, les centres, d’information et, d’orientation, les conseillers d’orientation, les professionnels et, publications spécialisés. Également, le Cidj, le Centre d’Information et, de Documentation Jeunesse et, le Réseau Information Jeunesse. La nouvelle génération étudiera, à fond, les détails et, implications, de chaque cursus.

 

Disciplines, méthodes pédagogiques et, filières, types d’apprentissage et, d’évaluation… Elle choisira, aussi, très soigneusement, l’établissement d’études, le plus approprié et, de qualité, pour elle. Elle visitera les locaux, assistera, à certains cours, interrogera, des enseignants, scolarisés et, l’administration, pour choisir, à bon escient. Elle saisira, l’ambiance, des lieux. Le jeune vérifiera, la réputation, notoriété et, les débouchés, d’études, comme professionnels, de l’établissement d’enseignement, secondaire ou, supérieur, concerné.

 

Le junior s’assurera, de très bien connaître, la durée totale, des études, en cause et, l’ensemble, des implications afférentes. Les obligations académiques devront, être compatibles, avec, l’emploi du temps, les capacités et, les disponibilités concernés. Notamment, s’il occupe, en outre, un emploi professionnel. En fonction, de tous ses critères propres, le jeune optera, pour des études, courtes ou, longues, générales, technologiques ou, professionnelles, sélectives ou, non.

 

Classiques ou, en alternance. Littéraires ou, scientifiques, économiques, juridiques ou, de sciences humaines, artistiques, sociales, de santé ou, techniques… Son choix fait, la personne juvénile présentera, alors, sa candidature ou, passera les épreuves, de sélection ou, les concours, des écoles sélectives. Elle prévoira, des débouchés scolaires, plus accessibles, si ceux, les plus sélectifs, visés, ne lui sont, en définitive, pas accessibles.

 

En cas, d’échec, aux procédures d’entrée. La jeunesse prendra, aussi, en considération, le coût total, des études envisagées, direct et, indirect. Sans, se laisser décourager, par les obstacles, matériels et financiers. Elle prendra en compte, les aides financières possibles, bourses d’études, prêts étudiants, petits emplois, soutien familial…

 

La « règle d’or », pour tout junior, en matière, d’orientation d’études, secondaires, comme supérieures, est de, toujours, choisir sa formation, quelle, qu’elle soit. En fonction, de l’emploi professionnel lié, envisagé. Quoi, qu’il en soit, le jeune se devra, de se sentir « à l’aise », en ses études. Lesquelles, devront, donc, pleinement, correspondre, à ses affinités et, sa personnalité, ses valeurs et, idéaux, projets et, objectifs existentiels. Sa formation sera un choix personnel et, non induit, par autrui, car, elle l’engage, durablement, voire, à vie.


 

 


29 – Appuyer Votre « Rendement

Académique » AndroJuvénile Maximal –


 

 

Toutes les études, menées, à bien, impliquent, de votre part, une exigeante méthodologie et, optimisation, de votre travail, scolaire et universitaire. Cela, commence, par votre solide préparation appropriée. Avec, pour commencer, une rigoureuse gestion, de votre emploi du temps scolaire. Cela, consiste, pour vous, en une stricte programmation, planification, un agenda, bien tenu et, respecté, à l’échelle hebdomadaire.

 

Permettant, de réserver, suffisamment, de temps, pour bien travailler, chaque jour. Réviser, vos cours et, accomplir, vos travaux et, devoirs, à rendre, bien faits et, à temps. L’objectif, de votre jeunesse, étant, d’obtenir, vos meilleures notes possibles et, votre réussite, aux contrôles, examens, concours. Votre temps de travail quotidien, va croissant, du collège, au lycée et, du lycée, à vos études supérieures.


 

 


> Comme, au sein, de ces dernières, selon, le niveau et, l’exigence, des cursus, du jeune. Aussi, selon, le type, de formation suivie. Le planning, de travail, sera, toujours, suivi, « à la lettre », sans procrastinations, retards, abandons, oublis, négligences. Il inclura, aussi, les activités, non scolaires, extrascolaires et, parascolaires. Afin, que toute occupation journalière se suive et, s’articule, au mieux.

 

Un bon équilibre sera observé, par le junior, entre les temps, de cours, à l’école, ceux, des travaux scolaires, chez soi, comme ceux, récréatifs. Les études sont prioritaires, les temps, de loisirs, seront, donc, raisonnables, compatibles et, viendront, toujours, après, le travail, en récompense et, détente. Le temps de travail juvénile dépendra, de l’exigence, de chaque discipline, comme des coefficients, de notation et, de la durée hebdomadaire, des cours, concernés.

 

Le junior choisira, le meilleur rythme horaire, de travail, pour progresser et, s’organisera, à cet effet. Selon, qu’il est plus lent ou, rapide et, en fonction, de la difficulté, des matières et, tâches, en cause. La jeunesse commencera, par les travaux, les plus simples ou, les plus difficiles, pour elle, selon, ce qui lui convient, le mieux.

 

Un bon élève ou, étudiant a, toujours, une bonne hygiène et, autodiscipline, de vie. Il soigne, son sommeil, son alimentation et, son activité physique et, sportive et, évite, les dépendances et, les addictions juvéniles, de toutes sortes. Aux personnes, par exemple, affectives, aux produits, comme les stupéfiants et, aux conduites, comme les jeux vidéo. Le jeune sera, régulièrement, hydraté, en abondance maximale.

 

Cela, est capital et, pour réussir, ses études et, pour demeurer, en fort bonne santé. La mémoire, la concentration et, la motivation, de la jeunesse, en sont renforcées. Le travail nocturne est inutile et, contre-productif. Il suffit, de travailler, régulièrement, en répartissant, très bien, les tâches, à l’échelle journalière, hebdomadaire et, mensuelle.

 

Le jeune se concentrera, sur son travail, chez lui et, en cours et, sur rien d’autre. Il veillera, à cet effet, auparavant, à se libérer, d’un point de vue cognitif, émotionnel et, comportemental. Pour une qualité, de travail, optimale. Pendant, qu’il travaille, le junior écartera, tout risque et, vecteur, de distraction. Notamment, les écrans, les sources audiovisuelles et, tous les appareils, de communication. Télévision, radio, ordinateur, tablette, téléphone mobile, lecteur…, seront bannis.

 

Un bon travailleur juvénile possède, un bon espace et, de bons outils, de travail. Au calme et, de préférence, assis, à sa table, de travail, pour se ménager, des conditions studieuses et, de labeur, optimales. En contexte silencieux et, solitaire, avec un siège, comme des vêtements confortables. Si nécessaire, des bouchons auditifs, antibruit, sont fort bénéfiques, au junior.

 

Une légère musique, d’ « ambiance », instrumentale et, non vocale, à niveau sonore bas, peut accompagner, certains travaux compatibles. À condition, que cette musique aide, à la concentration et, ne distraie pas. Les nécessités, de mémorisation et, les tâches imposant, un certain effort, de réflexion, se feront, en silence complet. Le programme musical sera préenregistré et, non radiodiffusé, pour ne pas déranger, le jeune, par des voix et, publicités intempestives.

 

La concentration, du junior, peut, aussi, être favorisée, par des sons, de la nature. Toute tâche scolaire, tous travaux, révisions, seront performants, optimisés. Pour comprendre et, apprendre, il fera appel, à la lecture active. Il commencera, par un « survol » global, isolant, le plan, les grandes subdivisions, les principales données et, mots clés, d’un chapitre.

 

Il se questionnera, quant à tout sous-titre. Le jeune devra trouver, la réponse, au sein, de chaque chapitre. Chaque élément, de réponse et, donnée capitale, seront mémorisés et, récités, de vive voix ou, mentalement. Puis, le chapitre sera appris, en son ensemble, point, par point, s’assurant, que tous les « principes cardinaux », sont, parfaitement, assimilés. La jeunesse saura, en outre, pourquoi, chaque aspect déterminant, du cours, l’est.

 

Saisir, mémoriser, toute information, d’un chapitre, est primordial. Le junior commencera, par analyser, le titre principal et, toutes les implications, qu’il évoque. Il fera, de même, avec l’introduction. Puis, il passera, aux titres, sous-titres, qu’il questionnera, en leur signification profonde. Le début, de chaque paragraphe, lui en apprendra, sur la suite. Il étudiera, les illustrations, tableaux, graphiques, encadrés, les principaux termes, utilisés.

 

La jeunesse isolera, les gras, italiques, soulignements, majuscules, les couleurs et, numérotations. Elle se demandera, toujours, ce qu’elle a compris et, retenu, de chaque paragraphe et, chapitre. Elle écrira, le plan et, un résumé, de chaque chapitre, qu’elle mémorisera, avant, de bien retenir, l’ensemble, de ce dernier. Le jeune mettra, en exergue et, valeur, tout, ce qui importe, le plus et, doit être retenu, en priorité.

 

La jeunesse soulignera, surlignera, encadrera, avec, des couleurs différentes, tout, ce qui doit être isolé, du reste, du texte, par son importance majeure. À retenir, en priorité. Les « grands traits », d’un cours, seront distingués et, résumés, à sa façon, pour l’aider, à bien mémoriser, l’essentiel. Si cela, l’aide, elle peut retenir, en récitant, à haute voix. La mémoire est visuelle, scripturale, auditive, mentale, orale, kinesthésique.

 

Le jeune se souvient mieux, en lisant, écrivant, écoutant, réfléchissant, parlant ou, bougeant. Il choisira, le procédé, de mémorisation, qui lui convient, le mieux et, lui est le plus profitable et, efficace. Les principales subdivisions seront hiérarchisées, par ordre, d’importance, décroissante, avec des codes, de couleur, différents, afférents. Ce qui permet, au cerveau juvénile, de mieux mémoriser, efficacement et, durablement.

 

Pour s’aider, le junior pourra, aussi, rédiger, des fiches, de résumés, pour mémorisation. Lesquelles, seront colorisées et, classées. Il y aura, une notation introductive, au recto et, le développement lié, au verso. Il peut opter, aussi, pour un support électronique, consultable, sur son mobile. Le tout, sera bien vérifié, relu et, mémorisé, à maintes reprises et, autant, que nécessaire, jusqu’à maîtrise et, restitution mentales parfaites.

 

Le jeune peut commencer, par retenir, des mots clés essentiels. Puis, quelques notions afférentes, à chacun et, pour finir, l’essentiel, de chaque paragraphe, lié. Il saura, alors, parfaitement, son texte. Les meilleurs moyens mnémotechniques passent, par des « associations, d’idées ». Cela, consiste, pour la jeunesse, à lier, chaque « notion majeure », d’un cours, à un ensemble, de données, afférentes et subséquentes.

 

De façon logique et, automatique. En ayant mémorisé, les premières puis, les secondes, chaque terme clé appelle, à la mémoire, tous les savoirs, qui s’y rattachent. De façon systématique et, très sûre. Tout moyen mnémotechnique, susceptible, de favoriser, la mémorisation, du jeune, est à utiliser, selon, ce qui est, le plus efficace et, parlant, pour lui.

 

En outre, chaque partie importante, d’un cours, sera subdivisée, en composants plus réduits, pour faciliter, la mémorisation. Par étapes, successives et, progressives. Le travail performant exige, du junior, des pratiques incontournables, indépassables. Ainsi, chaque heure ou, demi-heure, de labeur, sera entrecoupée, de quelques minutes, de micropauses, de détente. Cela, permet, de bouger, conserver mémoire, concentration, en reposant, le corps et, l’esprit juvéniles.

 

Le junior peut renforcer, sa concentration, en usant, d’un mot-clé majeur, lié, à l’objet, de son travail, en cours. Il saura, avoir, une prise de notes performante, pendant, les cours. Soit, ni trop écrire ni, trop peu, mais, en étant capable, de discerner, dans la parole professorale, l’essentiel. Ce qui est, à retenir, en le notant et, ce qui peut être éludé, en ne l’écrivant pas.

 

L’important, n’est pas, de faire, de belles phrases entières, mais, de retenir, ce qui s’impose, en usant, d’abréviations, de simplifications idoines. Le jeune restera actif, concentré et, attentif, en classe ou, en amphithéâtre et, sera participatif, il posera les questions appropriées et, répondra, à celles posées. Les notes, de cours, pourront être recopiées, complétées, développées, au propre, à la maison. Ce qui en facilitera, la mémorisation, la compréhension, l’étude et, l’analyse. La motivation, de la jeunesse, à étudier, ne vient pas, de données rationnelles.

 

Or, de la passion, d’apprendre, et / ou, de certains sujets, cours, matières ou, disciplines. En créativité, inventivité et, imagination. Pour bien apprendre, le jeune peut, aussi, travailler, en groupe, avec des condisciples. Chacun, mettra, en commun, avec les autres, ses textes, de révision et, éprouvera, ses savoirs, de façon réciproque, avec ses camarades. En entraide mutuelle. Chacun, se verra attribuer, une part, du programme, de révisions, qu’il sera chargé, de présenter et, de réexpliquer, à ses pairs.

 

Chaque semaine, une nouvelle thématique, d’étude, pourra être travaillée, par le groupe, de juniors. Ce qui lui permettra, de répartir, les révisions, sur l’année scolaire ou, universitaire, tout entière. L’avantage, d’une communauté, de travail, est de maintenir, la cohésion, des élèves et, la motivation, l’effort, la mobilisation, de tous ses membres, toute l’année. En ténacité, détermination, émulation et, excellence juvéniles, individuelles et collectives.


 

 


30 – Renforcer Votre Succès Terminal

De Junior Masculin Nouvellement Diplômé –


 

 

Maximalisation, de vos compétences, résultats et, réussites d’études, telles sont, les conditions, de votre formation, secondaire et supérieure, des plus accomplies. Tout bon travailleur a de bons outils. Un bon élève ou, étudiant a, alors, à s’équiper, au mieux, pour bien travailler. Vos fournitures seront, donc, toujours, à votre portée, « sous la main, en bon ordre, de bataille » et, parfait état, de marche.

 

Cela, vous permet, de ne, jamais, manquer, de l’essentiel et, de demeurer performant, quoi, qu’il arrive. Car, vos meilleures capacités sont fort freinées, s’il y manque, les moyens matériels, afférents. En outre, une organisation rigoureuse, « de type militaire », s’impose, à vous, pour être, le plus et, le mieux, productif, possible. Autant, en cours, que pendant, vos travaux scolaires, chez vous. Votre sac de cours, avec ses matériels, du lendemain, sera prêt, chaque veille, au soir.


 

 


> La table, de travail, sera, toujours, rangée. Livres, cahiers, classeurs, fournitures, seront disposés, à proximité, par ordre logique, pratique, disponibles, à portée et, en bon état. Le même ordre draconien, sera observé, dans l’ordinateur, du jeune, qui est, aussi et, d’abord, un outil, de travail et, non, seulement, un instrument, de loisir. Tout, doit être opérationnel et, sur-le-champ. Repérable, rapidement, grâce, à des codes couleur, étiquetages, surlignages spécifiques, pour chaque discipline, matière, cours.

 

Il possédera, un bon agenda, de travail, pratique, qu’il aura, toujours, avec lui. Le junior y fera, soigneusement, figurer, toutes les tâches scolaires, à accomplir, les contrôles, à venir, ses rendez-vous officiels. Ainsi, que la planification, de ses révisions. Tous les changements, de planning, y seront, scrupuleusement, reportés, au fur et, à mesure. Cette programmation sera gage, de travail juvénile réussi.

 

Le junior a, aussi, à s’impartir, des buts académiques, à court, moyen et, long termes. Impliquant, des tâches petites, moyennes et, grandes. Cela, concerne, les résultats trimestriels ou, semestriels et, le passage, dans l’année supérieure, l’intégration ou, la fin, des études supérieures. Le jeune sera ponctuel et, assidu, à tous ses cours, sans exception, pour rester performant.

 

Les cours, devoirs manqués, seront, toujours, rattrapés, pour ne pas être, « à la traîne ». Il optimisera, ses apprentissages, enseignements académiques. Rappelons, l’importance, pour la jeunesse, d’une bonne prise, de notes, pour avoir, une parfaite base, de révisions, utiles et efficaces. Ainsi, que le fait, de ne pas négliger, les données capitales, inscrites, par l’enseignant, au tableau.

 

Pour compléter, ses connaissances, il s’agit, pour le jeune, de faire préciser ou, expliquer, par les professeurs, certains aspects, mal compris. Cela, permet, de mieux apprendre et, progresser. Concentration, attention et, écoute fort active, en cours, sont, aussi, capitales, à cet égard. Après, les enseignements, il convient, pour le junior, d’accomplir, ses tâches scolaires, chez lui.

 

De façon performante, approfondie et, régulière, au fur et, à mesure, des délais impartis. Tous les travaux seront planifiés, programmés, pour être, parfaitement, exécutés, en temps et, en heure et, à fond, avec régularité. Sans précipitation ni, atermoiements. Avec détente suffisante, ainsi, qu’ « autorécompenses », pour s’encourager et, se motiver, une fois, la tâche juvénile accomplie.

 

Il convient, pour le junior, de, toujours, prendre, de l’avance et, anticiper, sans procrastiner ni, travailler, trop tardivement. En ne négligeant, aucune, des parties, du programme, à travailler, car, tout, doit être maîtrisé et, parfaitement. Le temps est un facteur clé, de réussite, des études, car, lui seul, permet, un travail, de qualité.

 

S’il vient, à manquer, le labeur sera insuffisant et, médiocre et, le résultat, du jeune, donc, fort insatisfaisant. Tout, passe, par des entraînements, exercices et, travaux préparatoires, en simulations idoines, pour être, totalement, prêt et, performant, le jour, de l’épreuve réelle. En des conditions similaires, au contrôle, à l’examen ou, au concours et, sur la même durée, de temps. Pour optimiser, les capacités et,  résultats juvéniles, au moment, des épreuves.

 

Toutes les vacances scolaires seront, non seulement, réservées, au repos et, à la détente, mais, aussi, aux travaux, d’études, du jeune. Pour bien préparer, les rentrées, réussir, les contrôles, devoirs, tâches afférents. Les vacances permettent, aussi, à la jeunesse, d’approfondir, tous les savoirs accumulés, pendant, les temps, de cours. Tout, ce qui est obscur, incomplet, incompris et, insuffisant, doit être « repris, en main », éclairé, complété, approfondi, retravaillé, par le junior.

 

Pour devenir limpide et, complet, maîtrisé et, excellent. À cet effet, tous les compléments, d’information, seront demandés, aux enseignants concernés. L’on ne peut, davantage, se contenter, de ses seuls enseignements. Qu’ils soient complets et, compris ou, non, ils seront, toujours, de façon profitable, complétés. Par les manuels, de cours, d’autres ouvrages, de la documentation, Internet, les meilleures sources intellectuelles, d’information juvénile.

 

Le junior tirera, tous les enseignements utiles, de ses erreurs, fautes et, échecs passés. Ainsi, il se corrigera, s’améliorera, progressera, sera meilleur élève ou, étudiant et, réussira, de plus en plus et, de mieux en mieux, en ses études. Il comprendra et, appliquera bien, les appréciations et, corrections, de ses enseignants. Il saisira, le pourquoi et, le comment, de ses fautes, pour ne plus récidiver et, ainsi, se bonifier, lui et, ses travaux.

 

La jeunesse interrogera, à ce sujet, ses enseignants et, se fera aider, par eux, de la façon, la plus appropriée. Un soutien scolaire peut, aussi, être nécessaire, avec ses parents ou, des répétiteurs particuliers, la fratrie aînée ou, des camarades, plus avancés, que soi. La réussite, de ses études, interdit, tous découragement, renonciation, défaitisme. S’imposent, tous efforts, sans relâche, persévérance et, détermination, sans faille, du jeune.

 

Quels, que soient, les exigences et, difficultés ou, échecs. Jusqu’au succès final ! Le travail régulier, acharné et, à l’avance, du junior, « paye », toujours. Avec repos et, détente suffisants, en parfaites hygiène et, autodiscipline, de vie, très bon équilibre, cognitif, émotionnel, comportemental. Redisons, à cet égard, l’importance capitale, qualitative et quantitative, du sommeil, de l’alimentation, de l’activité physique, de l’hydratation, du jeune.

 

Comme, du bannissement, des addictions toxiques et, autres dépendances. L’équilibre passe, aussi, par de bonnes activités récréatives, culturelles, sociales enrichissantes. En tout et, pour tout, la jeunesse veillera, toujours, à se dépasser, donner le meilleur, d’elle-même, jusqu’à atteinte, de son « seuil maximal, d’incompétence ». La réussite juvénile implique de, toujours, repousser, ses limites, au maximum possible, de façon ambitieuse, raisonnable et, réaliste.


 

 


XI


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

D’OPTIMISATION PROFESSIONNELLE


 

[ ACCROÎTRE VOTRE EMPLOYABILITÉ MASCULINE NÉOGÉNÉRATIONNELLE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, vos meilleurs moyens, d’insertion, en l’emploi. Ceux, de choisir et, réussir, votre orientation, vos débuts et, votre activité professionnels. De façon efficace, durable et, profonde. Une vie active réussie peut nécessiter, pour vous, une triple solution androJeunologique, optimum et, décisive. De nature cognitive, émotionnelle, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à : trouver

Votre vocation professionnelle, en réalisme et, ambition. – 31


 

 


> Permettre, à votre androJuvénilité, d’intégrer

Au mieux, le monde du travail, de l’emploi, des métiers. – 32


 

 


> Vous mener, junior masculin actif, en votre vocation, à :

Être, un travailleur, des plus épanouis. – 33


 

 


31 – Vous Assurer, Jeune Homme

De Trouver Votre Vocation Postscolaire –


 

 

Parallèlement, à votre choix, d’études initiales, vous avez, à opter, pour l’orientation idoine, d’un métier, d’un emploi et, d’une carrière professionnelle. En foi, en vous, volonté et, motivation, vous avez, à recenser, ce qui vous intéresse, le plus, personnellement, dans votre vie. Ce qui vous éclairera, quant au travail, que vous souhaitez exercer, après, la formation appropriée, afférente.

 

En fonction, de vos affinités, goûts, aptitudes et, des débouchés professionnels, disponibles. De façon ambitieuse et, réaliste. Vous pouvez, aussi, questionner, vos occupations habituelles favorites. Les pratiques récréatives, fort prisées, par votre jeunesse, peuvent, aussi, donner matière, à emploi. Les disciplines académiques appréciées, lors, de vos études, secondaires, et / ou, supérieures, peuvent, aussi, vous fournir, des idées de métier.


 

 


> Il suffira, alors, ensuite, d’approfondir, la ou, les matières concernées et, de s’y spécialiser, pour être qualifié, en la matière. Le jeune a, aussi, à délimiter, son champ, d’aptitudes et, de savoir-faire. Il s’interrogera, sur sa personnalité, son identité, sur ses atouts, points forts, réussites, au cours, de ses études. Une profession issue, de compétences avérées, permet, d’y réussir et, de renforcer, son avenir.

 

Le junior établira, les aptitudes, les plus abouties, qui sont les siennes, cela, l’éclairera, quant à une éventuelle carrière, afférente, à venir. Les talents et, les métiers, correspondants, pourront être manuels ou, intellectuels. Si elle « ne sait pas », la personne juvénile pourra faire appel, aux avis, de son entourage. De ses enseignants, comme, des conseillers d’orientation, de son école ou, encore, d’officines spécialisées. Comme, consulter, de la documentation idoine et, Internet.

 

Le junior fera le point, sur son évolution, la plus récente. Il doit être, au fait, de lui-même, pour savoir, de façon indubitable, comment, il va occuper, son temps, au cours, des prochaines décennies. Cela, façonnera ses projets, objectifs, desseins, adhésions et, engagements. En fonction, de ses valeurs et, idéaux et, du sens, qu’il entend donner, à son existence.

 

Pour s’accomplir, en plénitude et, avoir, une pleine utilité sociale. Le jeune doit, donc, savoir, ce qu’il veut, aime, ce qui le passionne et, motive, ce qui a du prix, à ses yeux, au plus haut point. Cela, mérite, grande réflexion, car, une profession est plus, qu’un simple gagne-pain. Cela, engage, la vie juvénile entière et, il est, donc, capital, de s’y épanouir, de choisir un métier, par adhésion et, choix, non, par défaut et, hasard.

 

Si la carrière envisagée implique, des études onéreuses, cela, ne doit pas, faire renoncer, la jeunesse, pour autant. Des aides ou, prêts financiers, de toutes sortes, existent. Quoi, qu’il en soit, la formation initiale conditionne fort, la carrière professionnelle, correspondante. Les études seront, donc, toujours, choisies, en fonction, du métier voulu et, réciproquement, sauf, exceptions, rares et fondées.

 

Selon, l’emploi visé, la formation, du junior, sera, donc, plus ou, moins, « poussée » et, sélective ou, non. Si le cursus initial est insuffisant, il est, toujours, possible, de le compléter, en établissements, d’enseignements classiques ou, en formation continue. Quoi, qu’il en soit, le jeune a, à se préoccuper, de son avenir professionnel et, donc, à bien considérer, les carrières, qui lui sont accessibles.

 

La sécurité financière est, aussi, un critère, à prendre en compte, par le junior, pour choisir, un type, de carrière professionnelle. Afin, d’assurer, ses propres besoins, comme, ceux, de sa future famille. Il n’est pas là, question, de faire fortune. Or, de simplement, s’assurer, ainsi, que pour ses proches, des conditions, de vie, décentes et, suffisantes, pour subsister, correctement. De même, la perspective, d’une carrière stable, n’est pas, à négliger. En un temps, d’instabilité professionnelle, généralisée et croissante, pour des travailleurs, notamment, juvéniles, de plus en plus, nombreux.

 

De nombreux métiers disparaissent et, d’autres, se créent. Il y a, donc, à s’assurer, que la formation et, l’emploi visés, correspondent bien, aux normes, les plus actuelles. Comme, à des besoins, débouchés et, demandes effectifs, de la société. Pour, que ses qualifications et, son métier, ne soient pas, très vite ou, à l’avenir, obsolètes et, donc, sans objet ni, utilité. Certains secteurs sont plus prometteurs, porteurs, pour la jeunesse et, recrutent, plus, que d’autres. Ils sont, donc, à choisir, en toute priorité, par le jeune.

 

Sauf exceptions, la création d’entreprise et, les métiers indépendants, ne sont pas, « à la portée », de la plupart, des jeunes diplômés débutants. Ils devront, d’abord, « faire leurs preuves » et, s’aguerrir, avec, de l’expérience, peu à peu, acquise, comme salariés. Ils ne pourront, travailler, pour eux-mêmes, que plus tard, donc et, encore, avec prudence, certaines garanties et, conditions. Car, cela, est des plus aléatoires et, très incertain, surtout, en période économique actuelle, difficile.

 

L’indépendance, du junior, exige, de lui-même, un travail personnel acharné, une grande rigueur, du courage, de la ténacité. De la résolution, le goût et, l’acceptation, du risque, de l’initiative, de la créativité… Comme, une organisation « implacable et, sans faille ». Une fort grande abnégation juvénile, aussi, car, même, en « se tuant, à la tâche », rien, n’est, jamais, garanti, tout, est, toujours, à recommencer, rien, n’est acquis. Il y faut, le sens, du sacrifice, avec, en échange, la passion, de faire, ce que l’on aime, pour soi, en indépendance et, de s’accomplir, ainsi.


 

 


32 – Appuyer Votre Intégration

AndroJuvénile, en la Vie Professionnelle –


 

 

Une fois, diplômé, vos études achevées et, ayant choisi, un métier, vous avez, alors, à déterminer, la meilleure méthodologie et, optimisation, de recherche d’emploi. Puis, vous intégrerez, la vie active. Une recherche, de travail, se prépare, très soigneusement. Cela, commence, par la rédaction, d’un fort bon curriculum vitæ. Afin, de démontrer, preuves, à l’appui, ce que vous, candidat, pouvez apporter, à l’employeur visé.

 

Il sera, de grande qualité et, digne, d’intérêt, sans erreurs, original et, authentique. Pour retenir l’attention, il devra « sortir, du lot, des sentiers battus et, apporter, une forte valeur ajoutée ». Le but premier, de votre CV, est de fournir, tout ce que les autres concurrents, compétiteurs, ne peuvent offrir. Rareté, brio s’imposent, donc, à vous, en l’espèce.


 

 


> Chaque CV sera personnalisé, en fonction, de chaque candidature présentée. Le jeune y fera figurer, ses trois principaux atouts, spécifiques. Le CV sera circonstancié et, illustré, d’exemples très précis, concrets et, probants, de réussites, au sein, de postes antérieurs. Détaillant, ce que le postulant a fait, pour progresser et, répondre, au mieux, aux tâches et, besoins, de ses employeurs antérieurs.

 

L’ensemble, pour donner, une idée, la plus claire, du genre, de professionnel, qu’est, exactement, véritablement, le junior impétrant potentiel. Ainsi, que de ses qualités, compétences et, savoir-faire, avérés, les plus éminents et, démontrés, de la façon, la plus parlante, irréfragable, convaincante. Pour être crédible et, pertinent. Le CV juvénile peut être thématique.

 

Pour un junior débutant, il sera, plutôt, chronologique et, commençant, par les expériences, les plus récentes, finissant, par les plus anciennes. Exposant, au mieux, l’importance, comme, la qualité, des tâches menées, avec, succès et, profit, pour tous. Il est, aussi, possible, de faire figurer, les emplois, les plus caractéristiques, signifiants et, en rapport, plus direct, avec le travail recherché, en premier. Les autres postes chronologiques juvéniles figureront, alors, plus bas.

 

Cela, permet, de mettre, en exergue, les potentialités, atouts et, compétences, de façon manifeste. Une solide lettre, de motivation, consistera, à démontrer, en un excellent style littéraire, en quoi, l’employeur, a tout intérêt, à retenir, la candidature afférente, plutôt, qu’une autre. Le jeune y justifiera, son « apport original ». Il expliquera, pourquoi, l’entreprise, qu’il souhaite, intégrer, est celle, qui lui paraît, la plus indiquée, pour lui, plutôt, qu’une autre. Il ne s’agit pas, d’une répétition, du CV, démontrant, au passé, ses expériences professionnelles, de jeunesse.

 

Or, d’un « plaidoyer, pour sa propre cause ». Clamant, justifiant, pour l’avenir, les ambitions, projets, objectifs, que le jeune est, en capacité, de mettre, en œuvre. Pour s’accomplir et, faire bénéficier, son futur employeur potentiel, de sa dextérité unique, de travailleur, certes, peu aguerri, mais, dynamique. Pleinement, décidé, motivé, apte, à participer, œuvrer, sans réserve, à la prospérité, de son entreprise, à venir.

 

En lien, avec ses valeurs, idéaux, adhésions et, engagements, de junior, les plus chers et, plus ardents. La lettre, de motivation, illustre, très vivement, en quoi, l’emploi concerné, fait sens, personnellement, moralement, pour le possible « impétrant ». Au-delà, du simple besoin, de gagner, sa vie, faire carrière et, d’occuper, un poste ou, de faire progresser, une entreprise. Il s’agit-là, bel et bien, de se réaliser, d’apporter, une contribution humaine juvénile. Non, seulement, à un employeur particulier, mais, à la société, tout entière !

 

Tout entretien, d’embauche, est à préparer, très soigneusement, par la jeunesse. Toutes les questions potentielles, d’usage, liées, seront envisagées et, anticipées et, les meilleures réponses appropriées, prévues et, dites. La prise, au dépourvu, n’est, en l’espèce, jamais, de mise. Le junior sera interrogé, sur ses atouts et, failles – à dépeindre, comme surmontables. Sur ses expériences antérieures.

 

En quoi, elles sont, en rapport, avec l’emploi sollicité. Sur sa meilleure réussite, réalisation professionnelles juvéniles. Il lui sera demandé, en quoi, il estime, que sa candidature est bien meilleure, pour l’entreprise, que celle, des autres et, son apport supérieur. Toutes les réponses, du jeune, seront claires, précises, convaincantes, succinctes, de façon aisée et, fluide. Avec exemples et, illustrations concis, à la clé et, conclusions fort explicatives.

 

La personne juvénile fera l’impossible, pour obtenir, coûte que coûte, le poste, en jeu, donnant, à cet effet, le meilleur, d’elle-même, avec audace, brio et, assurance, sans arrogance. Au préalable, elle devra, donc, bien se documenter et, au maximum, sur l’entreprise, qui recrute. Que sa candidature soit spontanée ou, qu’elle réponde, à une offre précise, d’emploi. Le junior devra connaître, par cœur, tout l’historique et, l’activité, de la société concernée.

 

Ses valeurs, offres, produits et, services, ses objectifs, résultats, réussites. Ses parts et, position, de marché, son public, ses clients, son chiffre d’affaires, ses projets, progressions effectives et, possibles, à venir… Le jeune s’informera, au préalable, sur tous ceux, qui le recevront et, sur les attentes, qu’ils ont, concernant, tous les postulants. Cela, lui permettra, de répondre, au mieux, aux critères exigés.

 

Le junior préparera, au mieux, des questions, idoines et, pertinentes, concernant, le poste offert et, l’entreprise, qui recrute. Afin, de démontrer, son intérêt, sa motivation et, sa pleine implication active, dans le processus, d’embauche. Ainsi, que pour l’entité, pour laquelle, il prétend, vouloir travailler et, pour le poste, en jeu et, les tâches afférentes.

 

La jeunesse questionnera, quant à tous les aspects et, tenants et aboutissants, de l’emploi « visé », de l’entreprise. D’une carrière possible, en son sein, de sa place potentielle, à venir, de sa contribution personnelle, la meilleure, pour la bonne marche, de la société… Sur les valeurs privilégiées, par cette dernière. Le jeune candidat sera habillé, de façon discrète, classique, professionnelle, de bon goût, sans prétention, signes ostentatoires.

 

Selon, le type, d’activité et, d’entreprise, concernées, les codes vestimentaires, qui y prévalent, le niveau et, genre, de poste, en cause. La vêture, du jeune, sera, en excellent état, de présentation, de conservation et, propreté. Il en ira, naturellement, de même, des soins corporels. Généralement, une recherche, d’emploi, est fort longue, éprouvante, aléatoire.

 

Notamment, pour la jeunesse débutante. Dont, la maturité, l’expérience, la dextérité, sont, par définition, moindres, que chez les adultes aînés aguerris. Effort, persévérance, détermination, patience, humilité, endurance et, abnégation, du junior, sont, donc, de rigueur, quoi, qu’il arrive. Il faudra supporter, des rejets, déceptions et, déboires juvéniles successifs.

 

Cela, n’entamera ni, l’assurance ni, la résolution ni, la volonté, de parvenir, du  junior, car, il acceptera et, intériorisera, cela, de prime abord. Comprenant bien, que cela, ne remet pas, en cause, ses qualités propres. Or, que le recruteur a pu juger, qu’il ne correspondait pas, aux « critères », d’embauche, de l’entreprise, et / ou, qu’un autre candidat, ferait mieux, l’affaire.

 

Rares, sont les premières tentatives, aboutissant, sans coup férir, au premier essai ! Le jeune ne se découragera pas et, restera motivé. Il tirera, tous les enseignements, utiles et profitables, de sa quête, d’emploi, en ses échecs, comme bénéfices juvéniles. Il apprendra, s’améliorera et, progressera, sans cesse, en ses expériences successives, qui le fortifieront, jusqu’au succès final, de l’embauche, à venir.

 

Laquelle, sera, quoi, qu’il arrive, toujours, tenue, pour certaine, en assurance et, modestie, réalisme et, pragmatisme. Une recherche d’emploi est… un travail, à plein temps et, à part entière, de la façon, la plus active et, dynamique, sans relâche, du matin, au soir. Le jeune ne « se contentera » pas, seulement, des offres, d’emploi et, d’Internet.

 

Il multipliera, les candidatures spontanées, notamment, auprès, de personnes, qu’il connaît, déjà et, qui le connaissent. Notamment, au sein, des entreprises, pouvant recruter. Le junior fera appel, à son entourage, ses relations, comme, son réseau social personnel… Un appui, par des professionnels, en fonction, est, positivement, déterminant. Les réseaux, des anciens élèves ou, étudiants, sont, aussi, fort précieux, en la matière, pour la jeunesse.

 

Naturellement, le junior fera appel, aux agences spécialisées, comme Pôle Emploi ou, l’Association, Pour l’Emploi, des Cadres. Il consultera, toutes les annonces, offres, d’emploi, sur Internet et, ailleurs. Il multipliera, les candidatures spontanées, auprès, des entreprises, susceptibles, de l’intéresser et, de le recruter.

 

Le jeune fera savoir, qu’il propose, ses services, en diffusant, son profil, partout, notamment, sur Internet, sur les sites spécialisés. Notamment, en son domaine, de compétences. Il fera appel, aux annuaires spécialisés, d’entreprises, de son secteur, de formation, pour leur proposer, sa candidature… La jeunesse consultera, aussi, la presse locale et, les journaux spécialisés et, elle sélectionnera, très soigneusement, tout, ce qui peut, l’intéresser.

 

Ainsi, que toutes les entreprises, qu’elle est susceptible, d’intéresser. Tout site Internet, spécialisé, est à retenir. Comme « Cadremploi », ainsi, que les réseaux sociaux professionnels, comme Viadeo, Linkedin et, les Facebook, d’entreprises… Le jeune s’assurera, au préalable, de la crédibilité, du sérieux et, de l’honnêteté, de tous sites concernés et, de chaque offre d’emploi, proposée.

 

Il joindra, des professionnels, de son champ, de compétences, car, tous conseils et, appuis, sont profitables. Le junior veillera, à ce que sa présence, en tant, que professionnel et, candidat, à l’emploi, sur Internet, soit maximale, adéquate, d’excellence, bien visible. Il supprimera, au préalable, tout, ce qui peut lui causer préjudice, car, médiocre, compromettant ou, nuisible, pour son image juvénile. Car, les employeurs potentiels vérifient tout, sur le Web.

 

Pour un junior débutant et, manquant, d’expérience professionnelle, lui permettre, d’en acquérir, peut passer, par l’intérim, le stage, l’emploi, à mi-temps. Comme, à temps partiel ou, saisonnier, le travail, en alternance, les petits emplois. Cela, peut constituer, un préalable, pertinent et efficace, pour intégrer, l’entreprise et, le domaine professionnel visé. Cela, permet, au jeune, d’être, déjà, re/connu, de ses employeurs potentiels et, d’augmenter, ainsi, ses chances, d’être recruté, par eux, ayant, déjà, « fait ses preuves », chez eux.

 

Ces types, d’emplois, limités, mais, utiles, permettent, aussi, de se constituer, des solides et, précieux réseaux professionnels. La néogénération consultera, aussi, les offres, d’emploi, affichées, dans les universités, écoles ou, les Centres Régionaux, des Œuvres Universitaires et, Scolaires, les Crous. Il existe, aussi, des Clous, Centres Locaux, des Œuvres Universitaires et, Scolaires. Cela, dépend, de l’importance, des villes universitaires, d’implantation. Le junior prendra, le plus grand soin, à cultiver, son réseau professionnel, de façon très sérieuse.

 

La jeunesse saura profiter, de toutes les occasions, à cet effet. Premier et, plus puissant moyen, de chercher et, trouver, du travail. Ce qui permet, de communiquer, de façon maximale, idoine et, efficace, car, les recruteurs embauchent, prioritairement, les candidats, qui leur sont, déjà, parfaitement, connus. Le jeune participera, à un maximum, d’événements, de rencontres, salons, conférences, séminaires, symposiums, réunions professionnels.

 

Il suivra, chaque jour, la presse spécialisée, comme, l’actualité, de son domaine, de compétences, pour, toujours, être au fait et, « à la pointe », de ce qui se passe. La personne juvénile participera, activement, à des « forums Internet » spécialisés, en son secteur, d’activité. Pour se faire connaître, répondre, en expert, à toutes interrogations, préoccupations et, questions, des internautes, à ce sujet.

 

Le junior créera, son propre site Internet, pour présenter, ses réalisations, parcours, compétences et, objectifs, comme sa candidature, à l’emploi. Il peut, même, participer, à certaines émissions, de médias audiovisuels locaux, écrire, dans la presse locale spécialisée, créer, son propre média, sur Internet… Tous les moyens, sont bons, pour faire savoir, son existence, en réseaux, de communication et, de relations, élargis, au maximum.

 

Le jeune investira, aussi, le milieu associatif, pourra faire, du bénévolat, dans le domaine, de ses compétences. Donner, permet, aussi, de recevoir, tout autant et, plus, encore. Cela, autorise, à « se faire valoir », avant, emploi éventuel. Même, en un contexte, purement, récréatif, sportif, social, culturel, religieux, idéologique, politique, comme syndical… En connaissance, relation, personnelles et privées, il peut y avoir, maintes « occasions professionnelles » juvéniles.

 

En outre, toutes sortes, d’organismes, liés, au domaine d’activité, concerné, existent. La jeunesse peut, toujours, tenter, de participer, aux rencontres, événements, qu’ils organisent, régulièrement. Elle pourra, aussi, consulter, leurs publications et, sites Internet, pour se tenir informée. De façon générale, le jeune échangera, avec un maximum, de personnes, en toute occasion, de la vie courante.

 

Posant, toutes « questions utiles » et, présentant, succinctement, son projet et, sa recherche, d’emploi. Cela, lui permet, de rencontrer, des gens, de profils, les plus variés, ce qui est, toujours, des plus enrichissants. La personne juvénile prendra, donc, toujours, l’initiative, d’aborder, autrui et, de proposer, un échange. En se présentant, au mieux et, en faisant, habilement, s’exprimer, son interlocuteur.

 

Le junior a, donc, à bâtir, une véritable stratégie, de « réseautage », fort performante. L’objectif est de provoquer, un maximum, de contacts, de qualité et, efficaces. Ces personnes seront, soigneusement, sélectionnées, par lui et, il sera, très parfaitement, informé, sur elles, au préalable. Le jeune saura, toujours, comment, les aborder, de la meilleure façon et, se présenter, le plus pertinemment, possible. Il aura, toujours, sa carte de visite, sous la main, la communiquera, avec mesure, de façon appropriée. Pour être convaincant, attractif, il pourra, toujours, habilement, fort à propos, placer, dans la conversation, ses trois grands principaux atouts professionnels, de jeunesse.

 

Comme, en entretien, d’embauche. Avec illustrations afférentes, parlantes, précises, pour appuyer, adéquatement, le trait. Dans la mesure, de ses possibilités, le jeune sera, aussi, toujours, disposé, disponible, pour aider autrui. Car, un « bon réseau » efficace est, toujours, réciproque et, profitable, pour toutes les parties concernées et, sans exception.

 

Qui aide, sera aidé, qui est aidé, aidera. Pour, très bien « disposer », son interlocuteur, le junior interrogera et, écoutera, bien plus, qu’il ne s’exprimera, lui-même. Il s’intéressera, à son vis-à-vis et, lui posera, des questions personnalisées. Il veillera, toujours, à entretenir, régulièrement, son réseau juvénile, l’actualisant, le développant, sans cesse, de façon ciblée et, qualitative. Se rappelant, résolument, au bon souvenir, de ses « correspondants », les plus importants.

 

Le junior prendra garde à, toujours, respecter, le meilleur processus, de quête active, de travail. À cet égard, le moment annuel, le plus propice et, approprié, pour chercher et, obtenir, un emploi, est la rentrée, de septembre / octobre. Plus largement, le dernier trimestre, de l’année civile, en cours. Le préadulte sera très attentif, aux emplois saisonniers hivernaux, de fin, d’année et, estivaux, de milieu, d’année.

 

Préalables, à bien, des embauches durables, ultérieures. Chaque type, d’emploi, a ses moments, de recrutements privilégiés. Au jeune, de choisir, la bonne chronologie, selon, sa profession. Préalablement, à toute embauche, il doit prouver et, démontrer, sa singularité, la plus remarquable. En exposant, tous les atouts, qui le caractérisent et, qui correspondent, exactement, aux spécificités et, impératifs, du poste visé.

 

CV, lettres, de motivation, entretiens, de recrutement, seront, toujours, personnalisés, en fonction, des entreprises, qui embauchent et, des postes proposés. La jeunesse a, toujours, à relier, étroitement, sa personne, l’emploi, l’entreprise concernés. De façon claire, nette, précise, convaincante.

 

En tous ses documents et, rencontres, elle mettra, toujours, en valeur et, avant, ses trois principaux points forts. Toujours, illustrés, par des exemples probants, irréfutables. Le jeune se fera valoir, auprès, de l’entreprise et, de tous ses interlocuteurs, en son sein, par tous moyens, idoines et audacieux. Y compris, au cours, de ses études, avant, même, d’être diplômé. Anticiper, partir tôt, est un atout juvénile majeur.

 

Tant, qu’il n’est pas, en fonction, le junior poursuivra ses recherches, en efforts constants, ténacité, dynamisme, détermination. De façon positive, optimiste, confiante. Sans découragement, défaitisme ni, renonciation. Sans davantage, de harcèlements contre-productifs, il se tiendra, activement, informé, de toutes les étapes, de recrutement. Il relancera, très habilement, ses interlocuteurs, s’il reste, sans nouvelles, de façon mesurée, appropriée, pour que son dossier avance. Sans indisposer ni, être pesant et, inconvenant.

 

Le jeune remerciera fort, les personnes concernées, systématiquement, après, chaque étape, du processus, d’embauche. Notamment, après, tout entretien, de recrutement. Par voie postale ou, électronique. Cela, prédisposera, en sa faveur, comparativement, aux candidats, qui s’en abstiendront. Si sa candidature n’est pas retenue, il fera, en sorte, que cela, lui soit, clairement, explicitement, notifié, en des délais décents. Car, la jeunesse a le droit, de savoir, directement, le sort, qui lui est réservé.


 

 


33 – Vous Renforcer, Junior Masculin

À Être un Travailleur Épanoui –


 

 

Ayant trouvé, un emploi, vous aurez, à cœur, de vous y épanouir et, d’y être performant. Pour cela, vous veillerez, à la maximalisation, de vos capacités, résultats, réussites, de vie active. Dès, les débuts, de cette dernière, vous avez, à faire vos preuves, de façon marquante. vous devez bien intégrer, vos fonctions, pour, parfaitement, assimiler, l’ensemble, des paramètres, des tâches, qui sont attendues, de vous et, de vos compétences.

 

Cela, vous aidera, à mettre en œuvre, une stratégie, de travail, des plus efficaces. Outre, votre seul propre poste, vous appréhenderez, ce dernier, de façon plus large, à l’échelle, de l’entreprise. En ce qu’il apporte, à l’ensemble, des services et, aux autres collaborateurs. Pour être productif, il convient, pour vous, de bien comprendre et, connaître, les activités, de votre société. Cela, vous mène, à bien saisir, votre rôle spécifique, dans la hiérarchie entrepreneuriale, qui vous encadre, en votre emploi.


 

 


> Outre, son travail, le junior a tout intérêt, à entretenir, des contacts, tous azimuts, avec ses collègues et, les « meilleures relations, du monde », avec eux. Cela, permet, d’améliorer, les liens professionnels et, humains, dans l’emploi. Donc, tout autant, l’ambiance relationnelle, au travail et, alors, la qualité, de ce dernier. Il aura, aussi, de bons contacts, avec ses supérieurs hiérarchiques, les plus importants.

 

Cela, est très enrichissant et, accroît, les compétences professionnelles, de la jeunesse, ainsi, que sa parfaite connaissance, des rouages et, arcanes, de l’entreprise. Elle a à, constamment, s’assurer, de bien percevoir, ce que ses responsables attendent, d’elle et, de sa façon, d’accomplir, ses missions. Pour sa carrière, la personne juvénile a, aussi, tout intérêt, à coopérer, au maximum, avec, ses supérieurs, pour parvenir, aux buts, que ceux-ci, souhaitent.

 

Le junior sera, toujours, des plus alertes et, dynamiques, pour optimiser, ses performances. Il fera, en sorte, de, toujours, atteindre, les desseins fixés et, nouer, de très fructueux et, efficaces contacts, pour « avancer, au mieux et, au plus vite ». Il donnera une bonne image et, se tiendra au fait, de l’essentiel, pour être un professionnel, de pointe.

 

Pour « rester, dans la course », la jeunesse établira, un solide « tableau, de bord », consistant, en une efficiente stratégie, de travail. Elle échangera, à ce sujet, avec tous ses supérieurs. En conformité, avec leur cap entrepreneurial et, la place, qu’ils entendent assigner, au jeune, au sein, de leur dispositif managérial. Son travail sera favorisé, maximisé, en étant, en harmonie, concordance et, synergie, avec l’orientation fixée.

 

La jeunesse « programmera » son action, à l’échelle trimestrielle, pour anticiper, les avancées majeures, prévues, attendues et, nécessaires, à la bonne marche, de l’entreprise. Comme, pour la progression, des affaires, l’atteinte, de ses objectifs et, sa réussite. Elle vérifiera, soigneusement, les évolutions et, effets, de son labeur, tous les mois.

 

Le jeune fixera, précisément, tous les points, à réaliser, tous les trois mois. En synergie, avec les autres salariés. Ce qui favorisera, le succès, des menées communes, une bonne cohésion, de groupe. Comme, la parfaite intégration et, acceptation, en son sein. Ce qui est excellent, pour la motivation, de tous. La personne juvénile veillera, à retenir, avec ses responsables, des buts précis, de carrière personnelle, pragmatiques, pertinents et, appropriés, la concernant.

 

La jeunesse fera valider, ses objectifs, par ses responsables, pour qu’il y ait, aval, entente et, bonne intelligence, partagés. Toutes inflexions, pourront être apportées, d’un commun accord. Ses ambitions professionnelles, d’avenir, ne seront ni, trop limitées ni, trop excessives, pour être fort réalistes et, couronnées, de plein succès. Le rôle, d’un « bon professionnel », est, aussi, de, toujours, savoir, bien communiquer, en toutes circonstances.

 

Le junior cultivera, soigneusement, son réseau professionnel, y compris, quant à ses collègues. Il n’exclura personne, a priori, à cet égard. Il prendra langue, avec tous les personnels, pouvant l’informer et, l’éclairer, de façon utile et, appropriée. En communiquant, au mieux, avec tous, il aura, une meilleure et, plus claire perception, de chacun. Le jeune sera, ainsi, plus épanoui, efficace, en son travail. Il sera ouvert, attentif, coopératif, avec tous.

 

Collaborant, avec tous, le préadulte sera apprécié, respecté, valorisé, accepté, par tous ou, presque. Il fera, toujours, « plus, mieux et, plus vite », que ce qui est attendu, de lui et, saura, toujours, aider, épauler, conseiller, comme, encourager, autrui. Même, au prix, de plus, d’efforts juvéniles, de travail et, contraintes, il sera, toujours, disponible et, avenant, pour ses collègues et, supérieurs. Comme, pour ses subordonnés, s’il en a.

 

Toute personne, l’ayant aidé, lui-même, sera, toujours, remerciée, par lui, de la façon, la plus et, la mieux, appropriée, avec considération, gratitude. Le junior avisera, ses supérieurs, de ses atteintes, d’objectifs et, fins, de missions spécifiques. Il prendra soin de, toujours, rester, en excellents termes et, accord, avec eux, en étroite communication. En son intérêt et, celui, de la qualité, de son travail. Ainsi, le jeune bénéficiera, de l’appui et, des conseils avisés, de ses chefs, pour progresser et, toujours, bien faire. Il fera valoir, à leurs yeux, ses actions, résultats et, succès.

 

Le junior se gardera, au maximum, des erreurs, fautes et, échecs. Tout en étant assuré, il cultivera, humilité et, modestie. Reconnaissant, ses failles, limites, imperfections et, il se battra, toujours, pour s’améliorer, se corriger et, progresser. Tirant, toutes leçons et, enseignements utiles, de ses déboires et, ses insuffisances passés. Comme tous, il est faillible et, perfectible.

 

Prétention, vanité et, fatuité, ne sont, jamais, de mise. Un jeune actif débutant a, encore, beaucoup, à apprendre, ne peut, donc, prétendre, à la « science universelle », ni à s’ériger, en procureur ou, donneur, de leçons. Le temps, de la parfaite maîtrise professionnelle sera, donc, pour plus tard, l’expérience venue. Il sera, donc, plus, en posture, d’écoute, de formation, que d’expression, d’impulsion. La jeunesse ne sera ni, sous-occupée ni, débordée, de travail.

 

Un équilibre s’impose, en la matière, pour n’être ni, oisive, improductive ni, en état, d’épuisement et, de paralysie. Le temps, la tâche seront, donc, fort optimisés, ni sous-évalués ni, surdimensionnés. Le jeune évitera, comme la peste, les médisances, attaques personnelles. S’il a, justes motifs, à récriminations, il s’exprimera, « sans détour », aux intéressés et, à qui, de droit. Quoi, qu’il arrive, même, en cas, de désaccord et, ressentiment, la jeunesse restera positive et, productive.

 

 Constructive, comme motivée, active, efficace et, professionnelle. Elle ne médira ni, ne dénigrera personne, collègues ou, supérieurs, ni son entreprise. Elle demeurera loyale et, tentera, de faire évoluer les choses, favorablement et, pacifiquement. Si cela, ne lui semble pas possible ou, souhaitable, le mieux, sera, alors, de quitter sa société, dans les règles, sans fracas. Pour tenter sa chance juvénile, en une autre entreprise, qui lui conviendra mieux.


 

 


XII


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

D’AUTO-EFFICACITÉ


 

[ AFFERMIR VOTRE AUTODISCIPLINE DE VIE DE JEUNESSE MÂLE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, une saine et, stricte « gestion, de vie, personnelle ». De façon efficace, durable et, profonde. Une bonne autodiscipline existentielle peut nécessiter, pour vous, un triple moyen androJeunologique, optimum et, décisif.  De nature cognitive, émotionnelle, comme comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à : être méticuleux

savoir, fort parfaitement, « diriger votre existence ». – 34


 

 


> Permettre, à votre androJuvénilité, de s’organiser

Savoir, strictement, « tenir votre agenda ». – 35


 

 


> Vous mener, junior masculin, à :

Toujours, observer, une excellente, saine hygiène, de vie. – 36


 

 


34 – Vous Assurer, Jeune Homme

De Bien Diriger Votre Existence –


 

 

Être « acteur, de votre vie », consiste, à être, constamment, proactif. Ce qui implique, une parfaite structuration et, « optimisation », du quotidien. Comme au tennis, vous avez, donc, à vous trouver, en position, d’anticipation et, d’action. En pleine « programmation », de votre avenir, entrevoyant, ce que vous aimeriez, y connaître. Cela, concerne, vos difficultés et, mutations, prévisibles et, intériorisées.

 

Ce qui vous permet, de prédéfinir, une « stratégie, de bataille », pour « vous battre », de votre façon, la plus et, la mieux appropriée, contourner les obstacles et, réussir. Il s’agit, d’un travail permanent et, acharné, sur vous, pour vous accomplir et, parvenir. D’un point de vue cognitif, émotionnel et, comportemental. Vous bannirez, la passivité, l’inertie, l’apathie, l’attentisme, la procrastination. Chaque fois, que possible, vous agirez, donc, sur-le-champ, « au mieux » et, sans reports, non fondés, ultérieurs.


 

 


> L’objectif, de la jeunesse, est, donc, de progresser, peu à peu, chaque jour, en petites étapes successives, pas à pas. Cela, permet, d’atteindre ses buts, de façon régulière et, de réussir, paisiblement et, sans coup férir. Ce qui protège, des gros déboires potentiels, liés, à l’inaction, la plus amorphe. En vertu, de l’excellent adage : « Mieux vaut prévenir, que guérir ».

 

Ce qui est prioritaire, urgent et, fondamental, sera accompli, par le jeune, en premier. Quand, cela, sera fait et, bien fait, le reste pourra, alors, être réalisé, au fur et, à mesure, des limites, de temps, imparties, à chaque tâche. Chaque entreprise sera analysée, ainsi, que ses effets et, résultats, en ses réussites et, échecs, pour maintenir le cap, s’améliorer ou, se corriger. En cas, d’insuccès, un nouveau procédé, plus performant, sera conçu, mis en œuvre, par la personne juvénile.

 

Le junior sera, toujours, maître, de son destin, en étant mature, responsable et, autonome, sur la voie, de l’adultisme accompli. Il appréhendera, pleinement, ses difficultés, déboires, insuffisances, en lucidité, réalisme et, pragmatisme. Sans déni ni, accablement. De façon persévérante et, déterminée.

 

Seul, le jeune, est en capacité, de régler, ses problèmes et, réaliser, ses desseins. Sa félicité et, sa prospérité ne dépendent et, ne relèvent, que de lui-même et, de nuls autres. Il lui appartient, d’agir, de surmonter l’adversité. Il assumera, ses responsabilités et, se focalisera, toujours, sur les solutions et, non, sur les blocages. De façon, des plus positives : constructive, productive et, efficace. Le jeune ne prétendra influer, que sur lui-même.

 

Non, sur autrui et, sur ce qui est modifiable, par lui, non, ce qui est hors, de sa portée. Il est vain, de vouloir changer, ce qui ne peut l’être. Il est beaucoup plus pertinent et, performant, pour la jeunesse, de se battre, pour ce qui est, en son pouvoir, que pour ce qui lui échappe. Ce qui aboutirait, à « lutter, contre, des moulins, à vent ». Ainsi, elle sera plus sereine, en réussite et, prospère.

 

Pour réussir, il faut agir, pour agir, il convient, pour le jeune, de se fixer, des buts et, les atteindre. Ces objectifs, projets et, desseins, doivent être pragmatiques, réalistes et, accessibles. Tout en étant exigeants et, ambitieux. Pour ne pas se décourager, démobiliser, conserver, foi, volonté et, motivation, jusqu’au succès final. En ténacité, détermination, effort, régularité, par petites étapes juvéniles successives.

 

Le junior sera entreprenant, non pas, spectateur passif. Il s’activera, encore et, toujours, pour parvenir et, se réaliser. Il s’agit, de s’exprimer, librement et, de, toujours, « tenir, son plein rang », en société. De façon pertinente, appropriée et, fructueuse. En bonne intelligence, avec les autres, en décidant, choisissant, agissant, au mieux. En donnant, « le meilleur » juvénile, de soi, en conscience et, respect, de ses insuffisances, progressant, peu à peu, vers les buts impartis.

 

Il sera, toujours, responsable, de lui-même, de ses actes, il s’assumera et, les assumera. Il respectera, ses engagements et, les délais fixés. Pour être dynamique et, performant, le jeune fréquentera, des personnes, du même type, qui l’encourageront, le soutiendront et, l’accompagneront, en tout et, pour tout. La proactivité consiste à, demeurer maître, de soi-même, en toute circonstance.

 

D’un point de vue cognitif, émotionnel, comme comportemental. L’obsession sera, toujours, la solution, jamais, la difficulté. La jeunesse ne se laissera pas impressionner, par les aléas, de la vie, mais, « tracera sa route, sans peur ni, reproche », fort résolument. Quoi, qu’il arrive et, quoi, qu’il en coûte. Plutôt, que de s’épuiser, en tourments inutiles, il convient, de consacrer, ses efforts, à faire face, aux déconvenues, du jeune et, les surmonter.

 

Sans pessimisme, défaitisme, catastrophisme, mais, en confiance, optimisme, volontarisme. Ce qui autorise, de « mieux, s’en sortir ». En cas, de difficulté, d’épreuve, de déboire, ressentiment, il s’agit, de rester indifférent, « stoïque », serein et, maître, de sa personne juvénile. Respiration profonde abdominale, relaxation, méditation, sophrologie, yoga…, y aident. Cela, permet, aussi, de mieux réagir, face, aux autres.

 

Le junior ne fera pas d’interprétations hâtives pessimistes. Il ne se prononcera pas, « à tort et, à travers, sur tout et, son contraire ». Il convient, d’être sûr, de soi, de ses connaissances, informations et, opinions, avant, de les exprimer, d’émettre, un jugement, tirer, des conclusions. De façon positive, confiante et, optimiste. En empathie, compassion, congruence juvéniles, il est important, de se positionner, du point de vue, d’autrui, pour mieux, le comprendre.

 

En tolérance et, ouverture d’esprit, acceptation et, richesse, des différences. Il est important, que le jeune sache et, accepte, d’évoluer et, de faire muter, positivement, ses pensées, émotions, comportements. Pour être plus confiant, serein, mieux « dominer sa vie ». Il tirera, tous les enseignements idoines, de ses erreurs, fautes, échecs. Cela, lui permettra, de comprendre, d’apprendre, de progresser.

 

Trouvant, les meilleures solutions, pour « mieux faire », à l’avenir. Ainsi, les mécomptes deviendront, des « leçons, de vie », pour « rebondir ». Quoi, qu’il en soit et, qu’il puisse advenir, en tout et, pour tout, la jeunesse restera positive, en ses cognitions, affects et, conduites. Pour connaître, plénitude, santé, réussite et, demeurer volontaire et, dynamique.

 

Alors, les avanies, de l’existence, seront perçues, par le jeune, plus favorablement, non, comme sources, d’affliction, mais, de « reconquête profitable, de soi ». Pour se dépasser et, s’accomplir, en transcendance. Au lieu, de s’accabler, en pensées mortifiantes, émotions dévalorisantes et, comportements, de capitulation, la personne juvénile inversera, sa « mauvaise donne ». Elle pensera, de façon allègre, ressentira, très paisiblement et, agira, avec assurance. Pour son plus grand profit.


 

 


35 – Appuyer Votre Personne AndroJuvénile

À Savoir Tenir Votre Agenda –


 

 

Bien organiser et, optimiser, votre chronologie quotidienne, exige, de strictes gestion et, rationalisation, de votre emploi du temps. Pour cela, vous jaugerez, votre rapport, au temps et, votre façon habituelle, de le maîtriser. Vous analyserez, vos occupations quotidiennes. Vous établirez, la liste, de vos actions familières et, verrez comment, vous usez, de votre temps, heure, par heure.

 

Outre, le temps utile approprié, vous constaterez, qu’il y en a, beaucoup trop, de gaspillé, inutilement, en activités, non pertinentes ni, indispensables. Vos occupations incontournables, purement, domestiques, d’hygiène, utilitaires et, matérielles, seront, aussi, décomptées. Toutes ces tâches seront, alors, recensées, par écrit, avec le temps afférent, que chacune occupe, en un tableau comparatif complet.


 

 


> Du matin, au soir : matinées, après-midi, soirées, nuits. Du lundi, au dimanche. Du début, à la fin, de chaque mois. De janvier, à décembre. En toutes saisons : hiver, printemps, été et, automne. Les activités pourront être subdivisées, en catégories, correspondant, aux principaux domaines, de la vie, du jeune. Scolaires / professionnels, sociaux, familiaux, récréatifs, amicaux, affectifs…

 

Sans oublier, les temps réservés, au repos, aux soins, aux occupations domestiques, aux repas… Tout ce temps sera analysé. L’objectif, du junior, est de l’optimiser, en densifiant, ce qui est indispensable et, en supprimant, les moments perdus, « pour rien ». Il s’agit, de bien occuper, chaque journée, du lever, au coucher. Sans activisme forcené ni, gaspillages horaires, car, le temps juvénile écoulé est précieux, ne se rattrape jamais.

 

Tout, ce qui est enrichissant, significatif, sera conservé, le reste, impitoyablement, éliminé. Le junior masculin doit dominer son temps et, non, être dominé, par lui, en parfaite maîtrise, de lui-même, aussi. Sans procrastination ni, sur-occupation. La subdivision et, répartition, des tâches, doivent être rationnelles et, efficaces.

 

Elles s’accompliront, par étapes et, parts réduites, bien circonscrites, par le jeune. De façon concentrée, successive, progressive, régulière et, assidue. Sans renoncer, « bâcler ou, traîner », en allant, au bout, de chaque activité, de façon qualitative. En effort, persévérance, détermination, sans découragement. Une fois étudié, l’agenda juvénile peut être réévalué, corrigé, rectifié, pour évoluer, vers plus, de rationalité et, performance.

 

Il s’agit, pour le junior, de gagner, du temps, non, d’en perdre. Ce qui est incompressible, sera maintenu, ce qui est trop « distendu », sera resserré. Les plages horaires, ainsi libérées, pourront être, avec profit, consacrées, à des occupations, plus intéressantes ou, à plus, de repos, de loisirs et, détente, à bon escient. Le jeune décèlera, en son emploi du temps, tout, ce qui est défaillant.

 

Il fera la chasse, à tout, ce qui est incohérent, sans rigueur, dommageable, pour élaguer, rectifier, rationaliser, toute sa chronologie juvénile quotidienne. Traquant, débusquant et, supprimant, sans pitié, tous les parasites, « mangeurs, de temps », les plus chronophages, inutiles, non justifiés. Les mauvaises pratiques sont, à éradiquer. Pour « faire fructifier, son temps et, non, le tuer », la jeunesse trouvera, les meilleures solutions. Chaque mauvaise occupation sera, donc, remplacée, par une meilleure.

 

Les distractions juvéniles perturbatrices et, invasives, seront bannies. Inutilement, chronophages, aux dépens, des activités utiles, elles seront recensées et, éliminées. La distraction récurrente est le pire ennemi, de l’organisation et, l’optimisation temporelles, du junior. Tout, ce qui génère, une déperdition, inutile et dommageable, de temps, doit, donc, être supprimé. Activités, comme personnes.

 

Seules, les tâches et, occupations productives, constructives, enrichissantes, seront conservées, par le jeune. Le temps consacré, aux jeux vidéo, téléphone, applications, de téléphonie mobile, à Internet, aux réseaux sociaux, écrans et, médias audiovisuels, sera limité. Ces usages sont, souvent, excessifs, non indispensables, des plus chronophages. Il est, toujours, impératif, pour la jeunesse, de ne pas être, abusivement, dérangée, en son travail, ses occupations, de façon intempestive, par ses proches.

 

Pour ne pas perdre, inutilement, un temps rare et, donc, fort précieux et, voir, son labeur, très perturbé. Il convient, alors, si le jeune tient, à rester tranquille et, concentré, sur sa tâche, d’apposer, à sa porte, d’espace personnel, un panneau : Ne Pas Déranger ! Ainsi, l’entourage saura, qu’il est occupé, ne souhaite voir personne, il s’abstiendra, donc, de venir, le voir. Ce qui permettra, à l’intéressé, de poursuivre, de façon optimale, ses activités, en cours, sans parasites extérieurs évitables et, non capitaux.

 

S’il vit, en famille ou, avec quelqu’un, le junior veillera, à avoir, son propre espace, de travail, isolé, du reste, du domicile, pour travailler, au calme et, seul. Ainsi, s’il est, en études, cela, le prémunira, des distractions et, dérangements, contre-productifs. Les « dissipations » juvéniles, indispensables et, incontournables, seront anticipées et, organisées, afin, de se limiter, au seul minimum nécessaire.

 

L’usage, du temps, par le junior, sera, toujours, rationalisé, optimisé et, densifié, pour être, des plus performants. La mémoire humaine étant, par essence, incertaine, aléatoire et, infidèle, il convient, de, toujours, noter, l’essentiel, par écrit, par nature, plus sûr et, fiable. Tout, ce qui est, à faire, est, donc, à mentionner, au préalable et, régulièrement, en un emploi du temps, un agenda et, un planning juvéniles, très rigoureusement, tenus.

 

Ce vade-mecum sera, toujours, à sa portée, régulièrement, consulté, suivi et, appliqué, par lui. Avec rectifications éventuelles, au fur et, à mesure, des évolutions possibles. Pour réaliser et, réussir, au mieux, ses buts, desseins, projets et, entreprises. Le jeune peut, aussi, utiliser, un grand calendrier mural, bien lisible et, visible, faisant apparaître, toutes ses activités. Journalières, hebdomadaires et, mensuelles.

 

Cela, a l’avantage, d’avoir, sur un seul visuel, un aperçu global, d’un seul coup d’œil, de l’ensemble, de ses obligations, à venir. Cela, favorise, en outre, la mémoire visuelle. Ce planning sera étudié, par le junior, matin et, soir. Un bon emploi, du temps, n’est ni, sous-occupé ni, surchargé. Une journée productive, fructueuse et, constructive, n’étant pas gage, d’ennui oisif ni, de surmenage, d’épuisement.

 

Or, de bonne occupation soutenue, entrecoupée, de pauses raisonnables, de détente. Chaque tâche programmée le sera, donc, à la condition, que la jeunesse dispose, du temps nécessaire, pour l’accomplir, « au mieux », dans les « meilleurs délais ». De même, les moments, insuffisamment, occupés, se verront allouer, des activités intéressantes, à réaliser. L’objectif juvénile est de, toujours, faire, de chaque jour, une réussite !

 

Les retards et, abandons, renonciations et, distractions excessives, seront évités, dans la mesure, du possible. L’objectif, du junior, est de se concentrer, sur la tâche, en cours, rien, qu’elle et, tout entière. La récompense, de la détente, ne venant, qu’après, le devoir accompli. Chaque activité sera prédéfinie, structurée et, organisée, par le jeune, de façon rigoureuse, pour être menée, à bonne fin, de la meilleure façon.

 

Ce qui est le plus prioritaire, urgent et, important, sera réalisé, en premier. Le reste suivra, ensuite, par ordre, d’importance décroissante. Cet ordre, de priorités, sera matérialisé, par la jeunesse, dans son planning, d’emploi du temps, par des codes couleur différents. Par exemple, rouge, pour les urgences, noir, pour les priorités, bleu, pour ce qui est principal.

 

Vert, pour ce qui est important, orange, pour ce qui est secondaire et, jaune, pour les loisirs. Pour chaque tâche juvénile, le type d’importance peut varier, en fonction, de nouveaux paramètres et, de façon rare et, limitée. Cela, sera, donc, rectifié, sur l’agenda, avec le nouveau code couleur, correspondant. Chaque activité ou, tâche, se verra allouer, une date limite, d’exécution adéquate et, un temps, de réalisation, approprié.

 

Le jeune s’organisera, pour disposer, de suffisamment, de temps, pour bien faire, ce qu’il a, à faire. Or, pas de trop, pour ne pas gaspiller, inutilement, ce temps. Il s’agit, de ne pas être débordé, en retard ou, à l’inverse, sous-occupé, oisif. S’il termine, plus vite, que prévu, le préadulte usera, du temps, ainsi, gagné, pour avancer, l’activité suivante et, augmenter, ainsi, drastiquement, sa productivité.

 

Le temps, des activités matérielles, domestiques, d’hygiène, de repas et, sommeil…, du junior, sera, aussi, prévu, sur l’emploi du temps. Si besoin, des dispositifs, de rappels, d’alertes, seront activés, pour ne pas oublier, les dates essentielles, à ne, surtout pas, manquer. Il s’agit, pour la jeunesse, de ne compter, que sur elle-même, pour se remémorer et, respecter, tous ses engagements, en temps et, en heure et, non, sur les autres. Lesquels, ont déjà, assez, à faire, avec leurs propres occupations et, impératifs. Si le jeune ne peut, faire face, seul, à tout et, toujours, il peut, parfois, de façon limitée, raisonnable et, fondée, se faire aider, conseiller et, soutenir, par autrui.

 

La jeunesse peut, aussi, déléguer, à d’autres personnes, sûres et, adéquates, ce qui peut l’être. Régulièrement, elle jaugera, son efficacité, ses réalisations et, résultats, l’excellence ou, pas, de ses travaux, le temps occupé, à cet effet. En fonction, de cela, de ses réussites et, contre-performances, le jeune pourra corriger, son emploi du temps et, ses pratiques, pour s’améliorer et, progresser. Pour demeurer productive, sur la durée, la personne juvénile fera des pauses régulières, de détente et, repos. Pour s’encourager, elle célébrera, son succès et, ses tâches accomplies et, s’en récompensera, par des autogratifications, plaisantes, pour elle.


 

 


36 – Renforcer Votre Bonne

Hygiène de Vie, de Junior Masculin –


 

 

Votre bonne hygiène et, autodiscipline de vie est impérative. Pour vous assurer, prophylaxie et, bonne santé psychosomatique, ordre méthodique et, limitation, des addictions et, des dépendances, de toutes sortes. Cela, commence, par votre diététique alimentaire, des plus saines, limitée, en mauvaises graisses, sel et, sucres.

 

Pour vous prémunir, du mauvais cholestérol, des maladies cardiovasculaires ou, certains cancers. La restauration rapide, les pâtisseries, sucreries, pizzas, aliments transformés, fromages, viandes rouges, charcuteries, les produits laitiers entiers… seront réduits ou, évités, par vous.


 

 


> En revanche, les bonnes graisses pourront, être consommées, de façon raisonnable. Elles limitent, le mauvais cholestérol, les risques cardiovasculaires et, favorisent, le bon cholestérol. Notamment, les oméga-3. Ainsi, les huiles d’olive, de tournesol, de maïs, de colza, de soja, sont bonnes, pour la santé, de la jeunesse. Les bons poissons sont, le saumon, le thon, la truite, le maquereau, les sardines et, le hareng. Les végétaux, riches, en oméga-3, pour la jeunesse, sont les graines, de lin, les fruits, à coque et, graines.

 

Sodas, boissons sucrées, pain blanc, seront bannis. Fruits pressés et, pain complet, seront privilégiés. Les aliments complets seront, toujours, préférés, par le junior, aux « aliments transformés ». Car, ils incluent, des glucides, protéines, nutriments et, graisses sains. Fruits et, légumes, de préférence, frais et, riches, en vitamines et, minéraux, seront consommés, à volonté. Les viandes blanches et, maigres, comme les volailles et, poissons, seront préférées, aux viandes rouges. Les haricots secs, les lentilles, riches, en protéines et, fer, seront prisés, par le jeune.

 

De même, que les céréales complètes : pain, pâtes, riz complets ou, quinoa. Pour le calcium, les produits laitiers seront allégés et, écrémés, pour limiter, les graisses. Pour restreindre, les pesticides et, les additifs chimiques, cancérigènes, les aliments bio seront ajoutés, le plus possible. Notamment, ceux, les plus traités, comme les pommes, le raisin, les salades, pommes de terre… Vitamines, minéraux naturels, ne sont, jamais, à négliger. La meilleure alimentation juvénile, n’est pas industrielle, toute préparée, mais, cuisinée, par soi, avec les meilleurs produits frais.

 

L’activité physique et, sportive adéquate, régulière, est, aussi, capitale, pour la santé psychosomatique, de la nouvelle génération. Un bon sport, commence et finit, par des étirements. En douceur, tous les muscles, du corps, seront ainsi, échauffés, les uns, après, les autres, avant, l’activité physique et, détendus, après. Le junior peut, aussi, pratiquer, des exercices, de musculation, cardiovasculaires. L’activité physique quotidienne sera, d’au moins, une demi-heure, à une heure.

 

L’activité sportive hebdomadaire juvénile sera, au moins, de deux, à trois heures, sur deux jours espacés, au minimum. Marche rapide, course à pied, natation, sports collectifs, notamment, de ballon, sont de fort bons exemples, d’activité sportive, pour les jeunes. L’activité physique quotidienne est, aussi, constituée, des tâches domestiques, des montées d’escalier, des déplacements à pied, à bicyclette, des stations debout… Les mauvaises pratiques, de la jeunesse, seront bannies. Ainsi, les régimes alimentaires « sauvages » et, excessifs.

 

Le plus souvent, diététique constante et, activité physique quotidienne, du jeune, suffisent, à conserver, bon poids et, ligne idoine. Les compléments alimentaires sont inutiles et, à éviter, sauf, indications médicales. La bonne activité physique et, sportive, est régulière et, adaptée, à chacun, mais, modérée. Celle, trop intensive, trop fréquente, trop longue, est contre-productive, nocive et, dangereuse, car, elle nuit, à l’organisme, au lieu, de lui bénéficier.

 

Seule, l’activité physique et, sportive idoine, protège, la jeunesse, des maladies physiques cardiovasculaires, des cancers et, des affections neurodégénératives. De même, qu’elle favorise, la bonne santé, psychique, mentale, intellectuelle et, morale, comme sociale. Libérant, des endorphines, euphorisantes et, bienfaisantes et, oxygénant, le cerveau. Cela, est bon, aussi, physiquement, pour le système circulatoire sanguin, osseux, digestif, musculaire. Cela, renforce, le système immunitaire, respiratoire, limite, le diabète, l’obésité juvéniles…

 

Le poids, du junior, doit être approprié, pour sa bonne santé, ni excessif ni, insuffisant. En particulier, l’accumulation graisseuse, notamment, abdominale, est très néfaste. Le bon poids dépend, de chaque individu, âge, sexe, morphologie… Tabac, drogues, alcool, seront évités, au maximum, comme toutes addictions toxiques, à dépendance et, effets nocifs.

 

Les psychotropes sont des poisons, pour le corps et, l’esprit, du jeune. Ainsi, ils sont, potentiellement, cancérigènes, neurodégénérescents et, détruisent, le foie, le système cardiovasculaire. L’alcool s’attaque, notamment, au système digestif. Le tabac détruit, les capacités pulmonaires et, respiratoires, les drogues ruinent le cerveau. Ils sont, aussi, causes, de troubles psychiques et, maladies psychiatriques juvéniles.

 

La jeunesse ne peut, être libre, si elle est esclave, de ces fléaux artificiels. Lesquels, détruisent, le corps, l’esprit, l’âme, la vie sociale, affective, les capacités scolaires et, professionnelles… La personne juvénile a, donc, tout intérêt, à les fuir et, opter, plutôt, pour de saines pratiques et, activités, qui l’élèvent, au lieu, de l’avilir. Le sommeil est, aussi, capital, pour sa bonne santé psychosomatique.

 

Il est vital, pour la régénération quotidienne, du corps, autant, que du cerveau, des capacités mentales, du junior. Le manque, de sommeil, altère, le système cardiovasculaire, le cerveau, nuit, à l’équilibre psychique, aux liens, à autrui, aux aptitudes et, performances scolaires. L’excès, de sommeil, peut, à terme et, sur la durée, être, potentiellement, cancérigène. En moyenne, les jeunes, de treize – vingt-quatre ans, ont besoin, de huit, à dix heures, de sommeil, par nuit.

 

Cela, est, d’autant plus, important, pour le junior, en phase, de puberté, croissance et, développement psychosomatique. Tout particulièrement, en période, de construction cérébrale maximale, jusqu’à l’âge, de vingt-cinq ans. Toutes les conditions, d’un bon sommeil optimal, doivent être réunies. Repas léger, le soir, suffisamment, éloigné, du moment, de l’endormissement.

 

Pas, d’activité physique juvénile, de sources, d’anxiété, d’excitation, de boissons excitantes, énergisantes. D’activités audiovisuelles, intellectuelles et, scolaires, d’écrans, de jeux vidéo, de discussions… Ce, juste, avant, de dormir. Or, plutôt, calme, détente, relaxation et, solitude, dans l’heure, qui précède, le coucher. Pour préparer et, favoriser, un sommeil paisible, réparateur, de qualité, pour la jeunesse.

 

Pour éviter, les affections cutanées, comme le cancer, le jeune ne s’exposera pas trop, au soleil, usera, de crèmes solaires idoines, de type écran total. Notamment, en période estivale et, quand, le soleil, est maximal et, le plus nocif, entre onze et, seize heures. Sinon, lumière, soleil modéré, sont bons, pour la santé physique, du junior, favorisant, notamment, l’apport bénéfique, de vitamine D.

 

Comme psychique, aidant, à la production, d’endorphines euphorisantes et, au maintien, d’un état d’esprit, fort positif et, épanoui. Une bonne hygiène corporelle juvénile est, aussi, nécessaire. Pour limiter, les mauvaises odeurs, les affections cutanées et, certaines maladies, notamment, parasitaires. Ainsi, que pour se sentir bien, en sa peau, son corps, son esprit.

 

De même, l’hygiène, des vêtements, des espaces, de vie, de loisirs et, de travail, des literies et, textiles, de maison, sera, toujours, irréprochable. Pour des raisons sanitaires évidentes, pour tout junior. De même, une excellente hygiène bucco-dentaire, comme, des gencives, s’impose. Les mains transmettent, microbes, germes et, bactéries.

 

Il est, donc, capital, pour la jeunesse, de les laver, à l’eau tiède et, au savon, au moins, trente secondes, chaque jour, régulièrement et, le plus souvent, possible. Notamment, après, chaque sortie, en contexte alimentaire, après, blessures, salissures, passage, aux sanitaires, affections, des voies aériennes respiratoires… Le jeune veillera, à s’hydrater, régulièrement, chaque jour, en moyenne, l’idéal, étant, de deux litres, d’eau, quotidiens, par individu. Cela, favorise, la bonne digestion, limite, la fatigue, dilue, les graisses, sucres, le sel.

 

Ceci, régule, la température corporelle, quand, il fait chaud et, froid. Elle oxygène, le corps, régénère, tout l’organisme juvénile, élimine, les toxines, régule, le taux, de sucre, dans le sang, elle fait maigrir, plus vite, régule, positivement, l’humeur. Elle concourt, à la bonne santé, du cerveau, favorise, la concentration et, la mémoire, elle lutte, contre les migraines, l’acné et, lubrifie, les muscles.

 

Elle est, un fort bon énergisant, pour le jeune, favorise, la bonne haleine, lutte, contre l’arthrose, hydrate, la peau, favorise, la bonne santé, des cheveux et, ongles et, limite, les cernes… L’eau minérale est superflue, l’eau, de source et, surtout, celle, potable et, contrôlée, du robinet, suffisent. La meilleure eau se boit non tiède, or, bien fraîche, mais, non glacée. Pour sa santé, la jeunesse verra, régulièrement, médecin traitant et, dentiste. Elle tiendra ses vaccins, à jour.

 

Le junior fera bien attention, à, toujours, se prémunir, contre les infections et, maladies sexuellement transmissibles, dont, le Sida. Il ne prendra aucun risque, en la matière et, se protégera, toujours. Le préservatif s’impose, donc, sauf, pour relations fidèles, stables, durables, après, test Ist / Sida négatif, pour chacun, des partenaires. Le jeune se fera dépister, en la matière. Les filles n’oublieront pas, les moyens contraceptifs, les mieux adaptés, à leur cas. Les téléphones mobiles seront éteints, le plus souvent, possible.

 

En particulier, la nuit, pour se prémunir, contre leurs ondes électromagnétiques. Lesquelles, n’ont pas, les meilleurs effets, pour la santé. En particulier, pour le cerveau juvénile, d’autant plus, vulnérable, qu’il est, en plein développement, jusqu’à vingt-cinq ans. De même, pour protéger son cœur. Comme, pour éviter toute dépendance, dérangement, distractions, déconcentrations, notamment, pendant, les tâches d’études. Pour épargner, aussi, aux autres, toute nuisance sonore intempestive, en public et, en privé.

 

Le jeune veillera, aussi, à protéger, ses oreilles, des excès sonores, pour éviter, les pertes auditives, les surdités précoces et, acouphènes irréversibles. À cet égard, la musique numérique compressée, comme, les écouteurs intra auriculaires, sont néfastes, pour la santé auditive. Le junior s’assurera, donc, d’écouter sa musique, au casque, de façon modérée, raisonnable.

 

Ni trop fort, ni trop longtemps, ni trop souvent, notamment, en milieu extérieur bruyant, incitant, à augmenter, le son. Même, avec un casque antibruit ambiant, correcteur. Il prendra garde, aussi, à l’ambiance sonore excessive, des lieux, de concerts ou, des boîtes, de nuit. La jeunesse se tiendra, alors, la plus éloignée, possible, des enceintes, de diffusion musicale, pourra, se protéger, par des bouchons d’oreilles, antibruit.

 

Le junior veillera, à un bon équilibre, entre sa vie scolaire ou, professionnelle, sa vie récréative, sa vie sociale, sa vie affective, amicale, familiale… Entre sa dimension physique, psychique, cognitive, relationnelle, spirituelle. Entre le labeur, les obligations, contraintes, d’une part, les loisirs, le repos, la détente, les gratifications et, plaisirs, de l’autre. Pour être épanoui, au maximum, du possible. La jeunesse se réservera, des temps réguliers, à elle seule, pour se faire plaisir, se récompenser, se ressourcer et, méditer…

 

Cela, l’encouragera et, la motivera, à poursuivre, tous ses efforts, de vie, en ascèse et, élévation, de soi, pour s’accomplir. Ne négligeant, jamais, sa part morale, spirituelle et, métaphysique, pour grandir. Après, un corps sain, elle cultivera, un esprit sain, comme, le préconisaient fort, les Anciens, de notre Antiquité classique gréco-romaine. Le jeune entretiendra, un mental très solide. Pour cela, il fera travailler, son cerveau, par des activités cognitives et, intellectuelles, des plus plaisantes et, riches, en plus, des activités scolaires ou, professionnelles habituelles.

 

Par exemple, tous exercices ou, jeux, basés, sur les savoirs, la culture générale, les connaissances, les plus variés. La jeunesse prendra garde à, toujours, évacuer, ses tensions, stress, anxiétés, au fur et, à mesure, par la détente, la relaxation, comme le repos, suffisants et réguliers. Elle recherchera, ce qui la perturbe et, l’éliminera, dans la mesure, du possible. Yoga, sophrologie, comme méditation…, sont, aussi, précieux, à cet effet. L’épanouissement passe, aussi, par l’entretien, de liens humains, de toutes sortes et, des plus enrichissants.

 

Pour se sentir bien, la personne juvénile a besoin, d’interagir, en permanence, avec ses semblables, notamment, de même génération. Tant, elle a besoin, de se sentir, appartenir, à sa communauté. S’accomplir, consiste, aussi, à détruire, toutes ses « routines abrutissantes », pour, sans cesse, découvrir, plus, de nouveautés, passionnantes et, enthousiasmantes. De même, le jeune se livrera, sans mesure ni, retenue, à ses passions, bénéfiques et constructives, les plus folles. « Au lieu, de rêver, sa vie, il vivra, ses rêves » !

 

L’ordre est capital, pour tout junior. Il ne peut être ordonné, en son esprit, que s’il l’est, tout autant, en son espace physique, de vie, de travail, de loisirs… Il rangera, donc, au fur et, à mesure, toute chose, chez lui. Qu’il s’agisse, d’un logement personnel indépendant ou, d’une chambre, chez ses parents. Le jeune maintiendra, cuisine, salle de bain et, sanitaires, en état, de parfaite hygiène et, propreté.

 

Il nettoiera, ce qu’il salit et, participera, aux tâches domestiques, qui s’imposent. Sauf, si un personnel spécialisé, de maison, y veille, à demeure et, en permanence, concernant, une minorité juvénile. Tout, sera rangé, par catégories et, rien, ne traînera, n’importe comment, n’importe où. Les ordures, encombrants, choses inutiles, seront éliminés et, évacués, au fur et, à mesure.

 

Il s’agit, aussi, pour la jeunesse, de faire, de la place. Tout, ce qui ne sert plus et, est inutile, sera jeté, donné ou, vendu. Tous les placards, armoires, débarras, espaces, de rangements, seront vérifiés, pour y mettre, bon ordre et, n’y garder, que le strict nécessaire, utile. Seuls, les vêtements, en bon état et, qui servent, régulièrement, seront conservés. Ils seront bien rangés et, disposés, par catégories.

 

Le jeune mettra, aussi, de l’ordre, dans ses papiers, fournitures, de travail, matériels, de cours et, livres… Tout désordre, sera banni. Chaque chose sera, à sa place et, il y aura, une place, pour chaque chose. Tout, sera réorganisé, de façon logique et, rationnelle, pour gagner, de la place, trouver, facilement et, rapidement, chaque objet et, ne rien perdre. Tous matériels, de rangement, adéquats, seront utilisés, par le junior.

 

L’idéal, est de ne pas laisser, le désordre, s’installer et, de, toujours, tout, ranger, à sa place, au fur et, à mesure. Si le jeune vit, en famille, avec des colocataires, des amis, un-e partenaire affectif-ve, les tâches domestiques et, de maintien, en ordre, seront, équitablement, réparties, à tour de rôle. S’il vit seul, il lui appartiendra, de veiller, lui-même, à l’ensemble, des tâches, de maintenance, qui s’imposent.

 

Ainsi, chaque soir ou, chaque matin, le minimum vital fondamental, d’ordre, de propreté, de rangement juvéniles, sera assuré. En l’intérêt, de la jeunesse et, de tous. Si l’aide régulière, de professionnels ménagers, s’impose et, est possible, cela, peut être, une solution. Cela, ne dispense pas, pour autant, le junior, d’un minimum, d’hygiène et, d’ordre, en dehors, de leur présence et, temps, de travail. Car, ils ne peuvent, tout faire et, ne sont, le plus souvent, pas disponibles, sur place, en permanence. Sept jours, sur sept et, vingt-quatre heures, sur vingt-quatre, toute l’année.


 

 


XIII


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

PROJECTIVE


 

[ STIMULER, VOS FIXATION & ATTEINTE D’OBJECTIFS ANDROJUVÉNILES ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à vous impartir, développer et, maintenir, les meilleurs buts, desseins, projets existentiels personnels, possibles. De façon efficace, durable et, profonde.  Préparation, à l’adultisme, votre jeunesse consiste, à vous fixer et, atteindre, des objectifs appropriés. Vous pouvez, pour cela, nécessiter, un triple remède androJeunologique optimum, décisif. De nature cognitive, émotionnelle, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à :

« Lancer », vos meilleurs projets de vie, idoines. – 37


 

 


> Vous permettre la mise en application

De vos actions androJuvéniles adéquates, à cet effet. – 38


 

 


> Vous mener, junior masculin, à : finaliser

Ce qu’il convient de faire, pour parvenir, réaliser vos buts. – 39


 

 

Tout, bon objectif, est dit, Smart. (Acronyme, signifiant, intelligent, malin, en anglais). Il est Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporellement, défini. Cela, signifie, qu’il doit, avant tout, être, pour tout jeune, des plus précis, bien délimité, défini et, strict, compréhensible et, simple.


 

 


37 – Vous Assurer, Jeune Homme

Du Lancement d’Entreprises Appropriées –


 

 

Vous opterez, pour l’opération active, de judicieux choix et, prises de décisions. Pour cela, vous aurez, tout d’abord, à définir, ce qui vous intéresse, dans l’existence. À cet effet, vous tiendrez, un journal écrit, vecteur, de changement, d’évolution, de votre vie et, de votre état d’esprit. Objectifs, pensées, passions, y seront spécifiés. Vous allez préciser, vos options de vie, en détaillant, vos goûts, envies et, désirs.

 

Votre jeunesse dira, ce qu’est, son existence actuelle, ses actes, conduites. Elle énumérera, les mutations, à effectuer, pour mettre, en concordance, sa vie réelle et, ce qu’elle ambitionne, au plus haut point, pour son « destin propre ». Elle recensera, tout, ce qui la passionne, en tout domaine, de sa vie, en bonheur et, plaisirs, mêlés. Cela, vous gratifie et, votre existence, vous donne, tout son sens.


 

 


> Le junior doit, donc, en faire, ses priorités, privilégiant fort, « ce qui lui importe, le plus et, le mieux, au monde ». Il a, à déterminer, ce qui le rend, fondamentalement et, authentiquement, heureux. Pour le cultiver et, en faire, son « mode habituel, de vie ». Il peut s’imaginer, en fin, de vie, âgé, faisant le bilan, de son existence, heureux, de la « mission accomplie.

 

Alors, il envisagera, comment, faire, par étapes successives, de sa jeunesse, à son trépas, pour réaliser, toutes les belles et, bonnes choses, entrevues. Ce, par anticipation rétrospective. La personne juvénile apprendra, à se dépasser, elle-même. Elle pensera, au sens, ontologique et, axiologique, de la vie humaine. Ce qui lui permettra, d’appliquer, le fruit, de sa réflexion, philosophique, morale, à sa propre individualité et, existence ontogénique.

 

Il s’agit, ensuite, de déterminer, quels sont, les êtres, qui « la touchent », le plus. Ce qui, chez eux, lui paraît, le plus appréciable, ce dont, elle aimerait, s’inspirer. Tout en sachant, pourquoi. Le junior « sortira, de lui-même et, de son habituelle zone, de confort », pour élargir, son horizon, de vie. En meilleure interaction, avec autrui et, soi-même, travaillant, sur soi, pour se bonifier. Déterminant, ses atouts, qualités, talents, avec une aide extérieure objective, sur soi, si besoin. Le jeune peut avoir, plusieurs objectifs, de vie ou, un seul principal, mais, comportant, plusieurs aspects, comme domaines différents.

 

Cela, permet, à la jeunesse, de ne pas être démunie, si l’un, d’entre eux, devenait défaillant. Il s’agit, ni, de trop, « se disperser », par excès, de desseins, ni de trop, se limiter, par insuffisance. Alors, en toute connaissance, de cause, il sera possible, de fixer, son ou, ses objectifs, à bon escient. Il sera noté, par écrit, affiché, pour se motiver, à le réaliser. S’assurant, chaque jour, que le nécessaire est fait, progressivement, par étapes et, peu à peu, pour se rapprocher, du but et, finir, par l’atteindre. La personne juvénile œuvrera, pour rendre, son objectif, effectif.

 

Le junior peut fixer, par écrit, toutes les modalités successives impliquées, dans la réalisation, de son projet. En une sorte, de « lettre, de mission », auto impartie. Méditation, yoga, relaxation, visualisation mentale, aident, à renforcer, la détermination juvénile, à réaliser, son but, coûte que coûte. En l’imaginant, pour appuyer, la foi, la volonté, la motivation, à le concrétiser. Pour cela, il s’agit, non, de complaire, à autrui, mais, de suivre, sa propre conscience, pour servir, au mieux, son dessein personnel. Ce dernier est celui, du jeune et, non pas, celui, des autres. Il énumérera, par écrit, tout, ce qu’il y a, à entreprendre, pour progresser, vers l’avenir.

 

Étape, par étape, pas, à pas, en jalons courts, moyens et, longs. Il ne reste plus, alors, à la jeunesse, qu’à agir, pour mettre, en œuvre, ce qui a été décidé. Commençant, par les seuils, les plus rapprochés, finissant, par les plus lointains. Le « journal de bord », d’atteinte, d’objectifs, sera, régulièrement, relu, amendé, adapté, par le jeune, en fonction, des évolutions, de terrain et, infléchissements correctifs, à apporter. En ajouts, retraits, comme rectifications. Pour, résolument, « maintenir, le cap » juvénile, imparti. Pour cela, l’essentiel, de ce qui « détourne, de son chemin », sera, en la mesure, du possible, évité, contourné et, limité.


 

 


38 – Appuyer la Mise en Application

De Votre Dessein AndroJuvénile –


 

 

Vous entamerez l’élaboration, de pertinents plans et, stratégies, de vie et, d’action. Vous avez, à préciser, vos objectifs. Vous seul, pouvez choisir et, décider, de ce que vous souhaitez, pour vous-même et, votre vie. Cela, doit, donc, faire sens, pour vous et, vous seul, en vertu, de vos priorités, urgences, préférences, affinités, goûts, passions, vocation, dons, talents, aptitudes.

 

Y entre, aussi, une part, de rêve, de désir, d’envie et, de plaisir, tempérée, par la raison, le réalisme, le pragmatisme. Votre priorité, l’essentiel, iront, à ce à quoi, vous aspirez, le plus ardemment, en votre existence. Cela, pourra, être réparti, en trois seuils, d’importance : grande, moyenne et, petite. Il s’agira, donc, de viser, d’abord, le premier niveau, le plus capital, puis, le deuxième et, en dernier, le troisième.


 

 


> Le but sera bien délimité, détaillé et, raisonnable, soit, accessible. Il sera réparti, en plusieurs étapes, progressives et, successives. Puis, la jeunesse envisagera, toutes les actions afférentes, nécessaires, les aides indispensables, les dates limites, de chaque jalon, balisant, la voie, à parcourir. Tous les moyens idoines, pour parvenir, à ses fins, seront envisagés.

 

L’objectif sera à portée, de niveau approprié, pour être réalisable, par le jeune. Trop ambitieux, il ne sera pas atteint et, découragera. Trop modeste, il pourra l’être, mais, ne satisfera pas et, frustrera, par son excès, de facilité, d’insignifiance. Il s’agit, de s’assurer, que tout, ce qu’implique, la réussite, du but, est à la mesure, des moyens, capacités juvéniles. Des sacrifices, que l’on est prêt, à consentir, pour cela. Pas, à pas.

 

Le tout, sera précisé, par le junior, par écrit, de la façon, la plus positive, optimiste, encourageante, productive, constructive, comme favorable, possible. Tout objectif sera mesurable, ce qui permet, de progresser, peu, à peu, de façon concrète et, satisfaisante. Les moyens permettant, d’atteindre, le but, de façon optimale, seront privilégiés, par la jeunesse, pour une réussite maximale.

 

L’objectif réalisable ne doit dépendre, que de l’intéressé et, de son action, non, de tierces personnes et, de leur bon vouloir. Sinon, il risque, de rester inaccessible. Pour parvenir, le jeune ne doit privilégier, que ce qui est, en son pouvoir. Ce qui relève, de ses efforts, son travail, son talent, sa ténacité et, ses mérites. L’essentiel, est de faire, « de son mieux ». Tout objectif, doit correspondre, à une échéance temporelle fixe, raisonnable et, susceptible, d’être tenue.

 

Même, si elle n’est pas pointilleuse, elle sera, tout du moins, circonscrite et, délimitée. Cette date sera liée, aux visées, de la jeunesse et, à ses capacités et, possibilités réelles, de façon réaliste, pragmatique. S’impartir, ainsi, une date butoir, permet, de se motiver, à avancer, pour être prêt, la tâche achevée et, le terme venu, pour le jeune. Sans procrastination, atermoiements ni, tergiversations.

 

Les délais tiendront compte, de la complexité et, de l’importance, des buts, à atteindre, selon, ce qu’ils requièrent, en temps et, énergie, nécessaires. Ils intégreront, aussi, les aléas, les délais et, servitudes externes, étrangers, à la personne juvénile. Pour se motiver, s’encourager, persévérer et, réussir, ses objectifs, elle s’octroiera, une gratification, pour se récompenser, à chaque étape, victorieusement, franchie.

 

Sans, pour autant, se sanctionner, en cas, de stagnation, pour ne pas se décourager et, échouer, en culpabilité, honte néfastes, contre-productives, toxiques. Pour se prémunir, contre tout effondrement, le junior envisagera, tous aléas, embûches et, déboires éventuels et, les parades afférentes.

 

Pour se préparer, adéquatement, à ces éventualités, anticiper, par visualisation mentale juvénile, de combat et, ainsi, vaincre. Ces difficultés peuvent venir, de lui-même ou, d’autrui et, de vecteurs externes. Pour tout blocage potentiel, il s’agit, de trouver, la solution, la mieux adaptée et, la plus efficace. Pour réussir, le jeune prendra conscience, de ses empêchements, imperfections et, failles.

 

Pour se dépasser, passer outre, s’améliorer et, « rebondir ». Faire part, de ses buts, à autrui, est important et, bénéfique, pour la jeunesse. Pour être, matériellement, et / ou, moralement, soutenue, encouragée et, accompagnée, en son projet. Pour mieux réussir. Même, en cas, de rejet ou, d’indifférence, des autres, exprimer, ce qui tient à cœur, importe, au jeune, pour s’affirmer et, tenir bon, même, en l’adversité. Se rapprocher, de personnes ou, groupes, ayant, les mêmes orientations et, desseins, est positif, pour s’encourager, mutuellement et, aller, de l’avant. Regroupant, unissant, forces et, moyens, en émulation et, entraide juvéniles, réciproques.

 

Un objectif se travaille et, se lance ! Débuter, est le plus difficile, ce qui coûte, le plus, raison, de plus, pour s’activer, sur-le-champ. Pour avancer, petit à petit, s’encourageant, de chaque résultat successif. « Les petits ruisseaux, faisant, les grandes rivières » ! Pour parvenir, à bon port, le junior a besoin, d’une solide « stratégie, de bataille et, d’un schéma directeur » cohérent.

 

La visualisation mentale, de l’atteinte, du but fixé, aide, aussi, à se mobiliser et, optimiser, ses aptitudes juvéniles, progresser et, réussir. De même, que le fait, d’entrevoir, au préalable, toutes les étapes, de progression, permettant, de réaliser, l’objectif terminal. Dans le premier type, le jeune se voit, ayant, déjà, réussi. Dans le second, il envisage, tout, ce qu’il convient, de faire, pour « atteindre, le Graal », pas, à pas, s’imaginant, franchir, chaque jalon, avec succès.

 

La visualisation, d’un objectif, amène, le cerveau, à l’ « enregistrer », l’intégrer et, l’anticiper. Ce qui aide, la jeunesse, à le réaliser. Ainsi, cette dernière, raisonnant, comme si, la victoire était, déjà, acquise et, effective, se projette, en avant. Elle est « mieux armée » et, se donne plus, de moyens mentaux, pour parvenir. En foi, volonté, motivation. Ainsi, font, les champions sportifs, avant, chaque compétition, d’importance, se voyant, déjà, en tête et, au sommet, des podiums !

 

Ayant fait, une liste écrite, de ses buts majeurs, le jeune la relira, matin et, soir, chaque jour. Il se remémorera, les actions et, progrès quotidiens, pour persévérer. Chaque but atteint sera rayé, de la liste et, noté, sur une seconde, celle, des succès, pour se motiver. Les deux listes seront, toujours, avec la personne juvénile, pour la maintenir mobilisée. Un mentor ou, conseiller sera, toujours, précieux, pour être avisé, éclairé, accompagné, à bon escient, sur la voie, du succès.

 

Quoi, qu’il advienne, le junior « maintiendra, le cap », jusqu’au succès final. Il évitera, le piège, des mauvais départs et, des illusions perdues. Cela, arrive, s’il opte, pour un but irréaliste et, inapproprié ou, simplement, exigeant. Il sera, alors, fort rebuté, par les sacrifices, qu’il exige et, son inaccessibilité. Alors, il abandonnera.

 

Surtout, si le jeune escompte, des effets rapides, voire, sur-le-champ, ce qui n’est pas raisonnable. S’impartir, des étapes et, délais réalistes, peut aider, à persévérer. L’entrain, des débuts, peut, aussi, très rapidement, s’évanouir, devant, les premières difficultés. Franchir, de modestes buts successifs et, se gratifier, pour chaque étape réussie, permet, de « garder, un moral juvénile, de vainqueur » et, sa ténacité.

 

Au lieu, de démoraliser, chaque entrave, doit stimuler et, être considérée, comme, une occasion unique. Celle, de tirer, des enseignements, progresser et, se dépasser, encore plus et, mieux. Cela, rend le jeune, positif et, optimiste, constructif et, tendu, vers l’avenir, en fierté et, confiance, intégrant, le succès. Au lieu, d’être pessimiste, négatif, défaitiste, rivé, au passé, ressassant, honte et, culpabilité, convaincu, de l’échec.

 

Perfectionnisme et, rêves, de grandeur démesurée, seront bannis, par le junior, pour ne pas s’effondrer, en chemin. En humilité, conscient, de ses limites, il sera compréhensif, bienveillant et, indulgent, avec lui-même, tout en étant, raisonnablement, exigeant. Car, faillible et, perfectible, comme tous. Centrée, sur ses atouts et, positive, la jeunesse réussira, « plus, mieux, plus vite », que si elle ne s’obsède, que de ses travers et, failles, réels ou, supposés.

 

En toute négativité, voire, négativisme. Un faux pas, du junior, n’est pas, un échec, mais, une occasion, de « rebondir » ! Chaque réussite sera appréciée, « ès qualité », à sa juste et, pleine valeur, pour être, pleinement, goûtée et, faire sens. Elle sera, donc, célébrée, comme telle, haut et, fort. Comme autant, de marqueurs significatifs, symboliques, heureux, sur la voie, du succès.

 

En fierté, reconnaissance, de ses efforts, mérites et, résultats juvéniles, il est important, de se gratifier, soi-même, sans attendre, les signaux favorables, des autres. Sans complaisance, vanité, suffisance, or, pour affermir, ses propres « vertus cardinales ». Enthousiasme, ambition, passion, guideront, ses pas. L’aboutissement final, du jeune, sera la balise réconfortante, en les pires tempêtes.

 

Si besoin, en fonction, des aléas rencontrés, l’objectif, de la jeunesse, sera infléchi, de la façon, la meilleure, la plus idoine, pour mieux progresser, parvenir. Il pourra, même, être délaissé et, remplacé, par d’autres, plus appropriés, si l’intérêt, de chacun et, la conjoncture, l’imposent, la donne initiale, ayant changé. En réalisme, pragmatisme, de bon aloi.

 

Cela, peut même, constituer, une chance, d’obtenir, « plus, mieux et, plus vite », encore, qu’avec le projet antérieur ! « Petit à petit, l’oiseau fait son nid » ! Que le jeune soit tenace, tienne bon. Qu’il se nourrisse, de ses avancées, les plus modestes, comme, de ses déconvenues, les plus cuisantes, pour progresser et, vaincre, sur la durée. Les impasses ne sont, que des blocages et, contretemps, le plus souvent, temporaires, pour la juvénilité.


 

 


39 – Vous Renforcer, Junior Masculin

En la Finalisation de Vos Démarches –


 

 

Vous aurez l’ambition, de la préparation, la construction, l’atteinte, de projets porteurs. Vous avez, à opter, pour des objectifs appropriés. En foi, volonté, motivation et, pour cela, en des buts, qui « font sens ». Selon, ce que vous souhaitez changer, en votre existence. En fonction, de vos valeurs, votre conception, de la vie, votre représentation, du monde, vos priorités.

 

Vous trouverez, en vous-même, l’optimum, de vos ressources, atouts et, qualités. Ayant, la meilleure connaissance, de vous-même, pour opter, au mieux, pour ce qui vous correspond, le plus. Pour cela, vous définirez, des buts d’optimisation, d’avenir et, les moyens afférents, pour les atteindre. Anticipant, votre destin, ce que vous ambitionnez, de devenir, selon, vos aspirations, les plus élevées, ardentes. Le sens, que votre jeunesse veut impartir, à sa vie.


 

 


> Avec les moyens, les aptitudes et, vertus liés et, requis, acquis ou, à acquérir. Le jeune a, à déterminer, ses urgences et, ses priorités. Hiérarchiser, ses objectifs, par ordre, d’importance décroissante, permet, de « parer, d’abord, au plus pressé », car, tout, ne peut être réalisé, concomitamment. Les buts seront répartis, en trois catégories. La première regroupera ceux, globaux et majeurs, les plus urgents, pour le junior.

 

La deuxième concernera, des objectifs plus précis, de priorité moyenne. La troisième aura trait, à ceux, les plus étroitement, circonscrits, d’importance limitée. Après, avoir fixé, des domaines, d’intervention et, le type, de mutation, à effectuer, la personne juvénile arrêtera, précisément, ce qu’elle veut faire. Pour réaliser ses buts. Plus, ces derniers seront finalisés et, précis, plus et, mieux, ils aboutiront. Elle s’interrogera, alors, sur les individus, les choses, le moment, le lieu, les moyens et, les causes. Qui, quoi, quand, où, comment, pourquoi.

 

Il s’agit, de préciser, l’auteur, acteur, de chaque étape et, élément, du but fixé. Souvent, le junior, lui-même. Sera établie, la nature exacte, du projet, ce, en quoi, il consiste et, ce, à quoi, il correspond, très exactement. Ce qui permet, de préciser, la conduite, à tenir, pour honorer, l’objectif choisi. Une échéance, de temps, pour atteindre le dessein, aide, à le fractionner, en étapes successives.

 

Le respect, du calendrier chronologique, permet, au jeune, de « maintenir, le cap », d’évaluer, les avancées effectuées. De façon réaliste, accessible, pragmatique. Généralement, il sera nécessaire, de déterminer, l’espace, le lieu, où, seront préparés, les buts envisagés. Il y aura, aussi, à prévoir, les moyens nécessaires, à l’accomplissement, des étapes, du dispositif, de réalisation, de l’objectif ambitionné. À chaque jalon, correspondra, une action prédéfinie, à accomplir, par la jeunesse.

 

Pour pouvoir, ensuite, parvenir, au suivant et, ainsi, de suite, jusqu’au but ultime. Nul objectif, ne peut être atteint, si le jeune ne sait, ce qui le pousse, à le faire. Pour cela, il lui faut, du sens, de la motivation, un intérêt suffisant, qui lui permettent, de tenir bon, consentir, à tous les efforts, sacrifices, quoi, qu’il arrive, pour toucher, au but. En plaisir, désir, envie. Ténacité et, persévérance, détermination et, résolution, foi et, volonté, ascèse et, dépassement, de soi.

 

Le dessein, du junior, réalisable est positif, par adhésion, non négatif, par défaut, pour être motivant et, accessible. Il s’agit, d’obtenir, un avantage bénéfique, non, d’éviter, un inconvénient néfaste. Le projet sera fondé, sur l’efficacité, le résultat et, l’excellence, mais, aussi, la faisabilité, raisonnable et à portée. La personne juvénile ne maîtrisant, que ses actes, non, leurs effets ni, les conduites, d’autrui.

 

L’objectif est, d’abord et, surtout, d’agir, « au mieux », donnant, le meilleur, de soi, non, de réussir ou, d’obtenir, un résultat. Car, faire, dépend, de soi, de conditions internes, le succès, de maints facteurs, paramètres, aléas, personnes, donc, de vecteurs extérieurs. Le junior contrôle, ce qui dépend, de lui, non, ce qui relève, d’autrui et, d’éléments étrangers, à sa personne.

 

En ces conditions, ne pas réussir, à parvenir, au but, rater, le succès, n’est pas, un échec, mais, un aléa juvénile, en outre, provisoire, réversible. Ultérieurement et, en d’autres conditions. Un processus, d’action, sera élaboré, avec des projets précis. Un objectif est un protocole, d’action, et / ou, méthodologique, pour obtenir, ce que le jeune souhaite, pour lui-même.

 

Cela, consiste, en interventions successives, pour progresser, de façon régulière et, assurée. Avec des étapes, échéances, dates limites, à court, moyen ou, long termes. Tout but, de la jeunesse, doit correspondre, à plusieurs actions, à accomplir, chaque tâche, acte, consiste, en certains travaux, déterminés. Avec, pour chacun, une stricte limite temporelle, à, impérativement et, toujours, respecter, par le jeune.

 

Sa préoccupation, sera, toujours, de « faire, au mieux, comme, au plus vite ». La précision, du labeur, à effectuer, garantit, son excellence. Chaque conduite, à tenir, sera prédéfinie, avec exactitude, rigueur, méthode, pour, ensuite, une exécution résolue. Tout projet juvénile exige, un minimum, d’aptitudes, de compétences, savoir-faire. D’où, l’importance, de bien, se former, au préalable, dans le domaine concerné.

 

Il s’agit, pour le junior, de bien s’organiser, pour agir, en l’immédiat, sans reports successifs, contre-productifs ni, ajournement. Tout, ce qui peut être fait, en l’instant, permet, de gagner, du temps et, n’est, alors, plus, à faire, à l’avenir. Cela, peut faciliter, préparer, améliorer, d’autres tâches juvéniles ultérieures. Les entraves possibles et, solutions idoines, afférentes, seront envisagées et, anticipées, pour bien, « faire face » et, les surmonter, efficacement, si ces aléas se produisent. Que ces embûches, soient internes ou, externes, liées, au jeune lui-même ou, à autrui, à des réalités, qui lui sont étrangères, mais, qui ont un impact défavorable, sur lui.

 

En matière, de projet, d’objectif, d’avenir, le pire ennemi, de la jeunesse, est la peur, d’échouer, de ne pas être, « à la hauteur » et, de ne pas parvenir. Ce qui fait renoncer ou, mal faire et, finalement, « rater, sa cible », en « prophétie négative autoréalisatrice ». Foi, volonté et, motivation, garantissent, le succès, du jeune, quand, le doute, la pusillanimité, la tergiversation, font capituler et, perdre. La conviction, de la victoire, l’assure, la certitude, de la défaite, la provoque. Nous l’avons dit, la visualisation mentale, du résultat, à atteindre et, des tâches, à accomplir, « dopent », les capacités, l’efficacité et, les chances, de réussite, de l’objectif juvénile souhaité.

 

Le junior imaginera, donc, très précisément, les détails, de son succès final, la réalisation victorieuse, de toutes les étapes, menant, vers le but prévu. Le tout, en un mental fort, positif, optimiste, conquérant, pour progresser, s’améliorer, muter, vaincre. Ce qui impacte, très favorablement, le cerveau juvénile, accroît les chances, de gagner. L’échec éventuel, n’est pas rédhibitoire. L’essentiel, est de garder espoir, en l’avenir, en tirant, tous les enseignements bénéfiques, des revers passés. Au lieu, de s’accabler et, de ruminer, le passé, le jeune pourra, alors, comprendre, pourquoi, il a échoué et, ce qui a dysfonctionné. La jeunesse fera, donc, le nécessaire, en tenant compte, des disruptions.

 

Pour corriger et, améliorer, ce qui doit l’être et, réussir, plus tard et, pour que, ce qui a « bloqué », ne se reproduise plus, pour le jeune. Sans perfectionnisme, qui ne peut mener, qu’à la frustration, l’échec, le découragement, l’angoisse, l’inaction. Par exigences et, objectifs inaccessibles, car, trop ambitieux. Qualité et, excellence suffisent, pour bien faire, réussir, brillamment, en fierté, humilité mêlées. Gratitude, admiration, contentement juvéniles, se conjuguent, pour faciliter, la réussite et, l’atteinte, d’objectifs. Ils seront notés, chaque semaine, par écrit, pour en augmenter, les bons effets.


 

 


XIV


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

D’AXIOLOGIE


 

[ ACCROÎTRE VOS VALEURS PROPRES MASCULINES NÉOGÉNÉRATIONNELLES ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, un corpus axiologique individuel, propre, à transcender, votre existence. De façon efficace, durable et, profonde. Toute vie humaine n’atteint, sa « pleine signification », que par la culture, de valeurs personnelles, tout particulièrement, pour votre jeunesse. En sa projection, vers son avenir. Cela, peut nécessiter, pour vous, trois solutions androJeunologiques, optimums et, décisives. De nature cognitive, émotionnelle et, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à vous engager, de façon propre

En « exigence, des plus maximales ». – 40


 

 


> Vous permettre une orientation androJuvénile

Existentielle, qui « fait sens », en plénitude. – 41


 

 


> Vous mener, junior masculin, à :

Une application, résolue et maximale, de tous vos idéaux. – 42


 

 


40 – Vous Assurer, Jeune Homme

De Souscrire à des Engagements Fructueux –


 

 

Prise de conscience, définition, fixation, d’idéaux ambitieux, tels sont, les enjeux, de votre jeunesse, de qualité, qui veut « faire sens, à son existence ». Elle a, à définir, ses valeurs fondamentales, celles, qui sont de nature, à guider, tout une vie. Cela, requiert, du temps, pour trouver, en son for interne et, sa conscience, ses idéaux, les plus ardents. Au calme, isolée, du reste, du monde et, détendue, en pleine acuité mentale.

 

Il s’agit, pour vous, de vous remémorer, tout votre parcours, de vie, en ses phases positives, comme défavorables, avec vos pensées, émotions et, comportements, afférents. Ne retenant, que vos réalités, qui ont eu, le plus grand prix et, celles, qui ont assuré, le plus, de votre plénitude. Non, celles, qui vous ont assuré, le plus, de gratifications, de congratulations, de lauriers, d’encouragements, d’autrui.


 

 


> Les valeurs personnelles, de chaque junior, lui sont propres, mais, reflètent, aussi, celles, universelles et, intemporelles, de l’humanité, tout entière. Il s’agit, de traits culturels, liés, aux besoins humains. Tels, que définis, par le psychologue américain, A. Maslow (1908-1970). Il s’agit, pour la jeunesse, des nécessités physiologiques, de sécurité, d’appartenance, d’estime, d’accomplissement, de soi.

 

L’ensemble, est à relier, à des impératifs, pour l’homme, de plénitude physique, de souveraineté, d’ataraxie, d’axiologie, d’interactions, avec autrui et, d’allant. Le jeune établira, ses valeurs fondamentales, les plus indispensables, qui ont le sens, le plus élevé, à ses yeux. En fonction, de ses « principes essentiels ». Les idéaux, nécessaires et suffisants, pour la néogénération, pour baliser, une existence humaine, à l’échelle, d’un siècle, se comptent, sur les doigts, d’une seule main.

 

Un journal écrit mentionnera, comment, le junior cultive et, applique, ses propres valeurs. Au quotidien, de la façon, la plus effective et, concrète et, sa vie, durant. Celles, dont il est, le plus fier, satisfait, qui le comblent, le plus et, le mieux, pour se sentir utile et, être heureux, en eudémonisme et, équanimité. Ces valeurs sont fondées et, authentiques, quand, elles résistent, au temps, aux aléas et, qu’elles sont cohérentes, avec les vrais idéaux juvéniles cultivés.

 

En lien, avec ce qui le touche, le préoccupe, le transcende, le plus. L’émeut, particulièrement, si ses principes, les plus chers, sont remis, en cause, contestés et, bafoués. La solidité, d’une valeur personnelle, se juge, jauge, quand, elle est, en parfaite concordance, avec les choix, décisions, actes, du jeune. Les adhésions changent fort, au fur et, à mesure, du temps néogénérationnel. Il les réactualisera, donc, suivant, ses évolutions propres.

 

La jeunesse inscrira, les valeurs, qui lui sont, les plus personnelles, en fonction, de ses expériences, de vie. Selon, aussi, la façon, dont, ses idéaux précédents, ont « soutenu le choc », de la confrontation, avec son existence réelle. Ces croyances, les plus fondamentales, seront définies, évaluées, notées. Il est possible, que certaines valeurs, auxquelles, le jeune tient, soient, en contradiction majeure, avec ses priorités, de vie.

 

Il peut, malgré tout, parvenir, à concilier, les deux réalités. Au prix, de beaucoup, de concessions et, de compromis. Le plus souvent, cela, ne sera, ni possible ni, souhaitable. La personne juvénile aura, alors, à opter, pour l’idéal concerné ou, le choix, de vie, incompatible. En fonction, de ses intérêts et, de ce qui « compte », le plus, pour elle et, de ce qui comporte, le plus, d’avantages, comme le moins, d’inconvénients. Elle optera, alors, pour ses principes ou, son but visé.

 

Le junior tendra, à la mise, en application, sérieuse, de ses adhésions, au quotidien. Pour, pleinement, faire vivre, ses valeurs, il cherchera, à être, le « meilleur humain, possible » et, à exprimer, ses idéaux. En accord, avec ses principes, il verra, ce qu’il ambitionne, le plus, de faire. Ce qu’il peut, parfaire, en lui. Ce qu’il aimerait, modifier, en son existence.

 

La jeunesse se décidera, alors, à entrer, en action, avec un très sérieux travail préparatoire, de quelques semaines ou, mois, au préalable, selon, la nature, de l’objectif poursuivi. Avec possibilités, d’évolutions et, d’inflexions, « en cheminement », selon, les circonstances. En s’inspirant, toujours, des idéaux, qui ont motivé l’action et, qui seront, toujours, guides et, soutiens, les plus précieux, pour « avancer, au mieux ». Le jeune agira, alors, peu à peu, par étapes, progressives, successives.

 

Les débuts seront limités et, modestes. Puis, au fur et, à mesure, que la jeunesse sera, plus entraînée, aguerrie et, performante, elle augmentera, d’autant, la somme, de ses efforts. Comme le niveau, de résultat, à atteindre. Tout échec, sera considéré, comme une étape normale, sur la voie, du succès et, non, un insuccès, rédhibitoire et, définitif. Loin, de s’accabler, elle s’encouragera et, se congratulera, elle-même, à chaque progrès accompli, aussi modeste, soit-il.

 

Pour gagner, en assurance et, contentement, le jeune consignera, par écrit, le moindre acquis, fruit, de son labeur et, de ses efforts. Douleur, adversité et, aléas, déboires et, déceptions, seront acceptés, intégrés et, considérés, comme occurrences, de vie, normales et, transitoires. Non, comme signes, d’indignité personnelle, de déchéance, d’injustice ou, de désastre, absolu et, terminal, pour la personne juvénile.

 

Ces tourments et, contretemps sont faits, pour être surmontés, non, pour abattre, le junior. Épreuves et, échecs, ne sont pas, des « catastrophes » indépassables, mais, des balises, alertes et, signaux. Éclairant, le jeune, sur ses aptitudes, la marche, à suivre, la conduite, à tenir, les idoines rectifications et, très salutaires remises, en cause juvéniles, à accomplir. Pour s’améliorer, se corriger et, réussir. Tentatives infructueuses, erreurs et, échec, le renforcent et, accroissent, ses efforts, sa détermination, résolution, sa ténacité et, persévérance, à vaincre et, parvenir. La néogénération saura, alors, trouver, en son « tréfonds », toute l’assurance nécessaire.

 

Tout en sachant, toujours, garder, toute la saine humilité impérative, quel, que soit, le succès. En légitime fierté, mesurée. La jeunesse saura, toujours, se faire aider et, soutenir, ce, autant, que nécessaire, par un proche, de confiance et, de bon conseil. Elle suivra, ses intuitions, les plus profondes, pour être, le plus sûrement, guidée, à bon port. Tout, en se donnant, pour le jeune, le temps, de la réflexion, la plus approfondie, pour les décisions, les plus importantes et, décisives, à long terme. En conclusion, les valeurs valent, d’autant plus et, mieux, qu’elles sont appliquées, concrétisées. Mises, au service, de réalisations, d’engagements, de projets, d’objectifs, concrets personnels, de la personne juvénile.


 

                              

41 – Appuyer Votre « Orientation

Existentielle » AndroJuvénile –


 

 

La mise en cohérence, de vos convictions, de votre projet de vie personnels, est gage, d’harmonie existentielle. Vous avez, à réfléchir, sur vos choix et, priorités moraux. Vous vous pencherez, sur vos idéaux, valeurs personnels, souvent, en lien, avec tous ceux, de votre famille. Vos « normes axiologiques » sont issues, essentiellement, de principes éducatifs, inculqués, par vos parents, votre milieu familial, à l’enfance. Bien plus, que de postulats originaux propres, choisis, par vous-même, dès, votre adolescence.

 

Vous aurez, donc, à penser, à ce qui vous aura été, moralement, transmis, par votre entourage, depuis, votre naissance. Il s’agit, des « paradigmes familiaux essentiels » et, de leur impact, sur vous et, votre éducation. Vous pourrez, toujours, questionner, vos parents, à ce sujet et, échanger, avec eux, à cet égard. Vous vous remémorerez, toutes les options essentielles, que vous aurez opérées, en votre existence et, si vous leur êtes resté fidèle.


 

 


> Les principaux choix, décisions, actions. Ont-ils été stables ou, mouvants ? Ces interrogations permettront, au jeune, de bien identifier, cerner, comprendre, ses valeurs, de vie. Il pourra, ainsi, choisir un métier, une vocation et, carrière, en fonction, de ses idéaux, en cohérence, pertinence et, correspondance. Il identifiera, aussi, ses valeurs et, ses « principes supérieurs existentiels », selon, la façon, dont, il fait, prioritairement, usage, de son argent.

 

Plutôt, pour ses plaisirs personnels ou, pour des engagements altruistes. Le junior fera le recensement, de toutes les valeurs, qui lui sont chères et, lui paraissent essentielles, pour bien conduire, sa vie, la réussir et, s’accomplir. Il pourra demander, à ses proches, de faire, de même, pour établir et, confronter, les idéaux communs. Ces principes seront répartis, en divers types, domaine, par domaine. La personne juvénile détectera, ainsi, plus facilement, où, se situent, ses priorités.

 

Ayant défini, ses valeurs essentielles, le junior aura, à cœur, de s’en souvenir, chaque jour. Il veillera, à les mettre, en pleine application concrète, au quotidien. Ainsi, chaque soir, il vérifiera, en introspection et, son for interne, que son vécu, de la journée, a bien été, en conformité, avec ses principes, idéaux, les plus éminents. En pensées, émotions, comportements. Concernant, lui-même, autrui, les choses, situations et, événements.

 

Cela, aura, certainement, été, le cas, quant à certaines valeurs, conduites, s’y rapportant. Le jeune persistera, donc, et fera, encore mieux, à l’avenir. Concernant, d’autres principes et, attitudes, il pourra y avoir eu, non pas, harmonie, or, discordance. En conscience, il s’appliquera, alors, à établir ou, rétablir, une cohérence, entre idéaux et, actes, en faisant tous efforts, en ce sens, les temps suivants. Ainsi, il sera, en plein accord, paix et, plénitude, avec lui-même, étant, en symbiose, avec ses propres normes juvéniles personnelles, axiologiques et ontologiques.

 

Le jeune prendra, toujours, bien garde, à opter, pour les orientations, les plus nobles, dignes, constructives, pour lui-même, comme autrui. Ses valeurs influent, grandement, sur tous ses choix, décisions, actes, des plus insignifiants, aux plus capitaux. En abstentions, comme actions, paroles ou, mutismes. Chaque règle morale, personnelle ou, familiale, sera remémorée, questionnée, avant, d’agir. Le junior pourra, toujours, en parler, à son entourage, en cas, de doute et, ce dernier saura, alors, toujours, l’éclairer, l’aider et, le soutenir.

 

Seul, lui-même, peut être, le meilleur héraut, défenseur et, acteur, de ses propres valeurs et, de celles, de sa famille, auxquelles, il adhère. La seule Loi est de, toujours, vérifier, que chaque décision, conduite et, parole, sont en plein accord, avec ses valeurs et, sa bonne éducation et, réciproquement. Chaque idéal, de la jeunesse, correspondra, à des objectifs, tout aussi « vertueux ». Elle influe, de fait, sur le type, de conduite, choisi, pour réaliser et, atteindre, le but.


 

 


42 – Vous Renforcer, Junior Masculin

À « Faire Vivre Vos Idéaux » –


 

 

Cultiver, un idéal moral, d’ « élévation, de soi », implique, pour vous, un certain « détachement », des « choses matérielles », pour privilégier, les « choses, de l’Esprit ». Ce qui implique, la réalisation, d’un dépassement, de soi, spirituel. En une forme supérieure, de transcendance personnelle. Cela, consiste, à trouver un sens, un ordonnancement, aux désordres, en quête, des signes majeurs, pour vous, de ce système immanent, immuable et, suréminent.

 

En une « guidance et, une communion morales, providentielles et, supérieures », une ascèse et, une méditation. En lien fort, avec vos convictions axiologiques, des plus profondes et, ancrées. L’être spirituel dominant, l’avoir, le faire, le paraître matériels. Vous serez, en authentique quête, de plénitude, d’eudémonisme et, de sérénité.


 

 


> En détachement, d’équanimité et, d’ataraxie. Loin, des entropies : dysharmonies, dissensions, tourments et, désorganisations. L’idéalisme, du jeune, est un lien puissant, avec ses engagements, adhésions et, croyances. Il s’agit, de se focaliser, sur l’essentiel et, sur le temps présent. Il y aura, une distanciation, par rapport, au monde extérieur, aux modes, de communication, quels, qu’ils soient.

 

Indifférence, aux tensions, surmenages, sur-occupations. Une seule tâche, à la fois, étant accomplie, par le junior, avec centration, sur chaque instant vécu. Il s’agit, de se consacrer, pleinement, à chaque moment en cours et, action entreprise. En un « dépouillement existentiel, de bonification, de soi ». La jeunesse se reliera, à son univers intérieur spirituel, en questionnements métaphysiques, permanents et profonds.

 

Le junior y répondra, lui-même, puisant, à cet effet, en sa conscience, son for interne, son intuition, les plus fulgurants. En quête, soif, d’absolu, perpétuelle passion, de découvrir, comprendre, d’apprendre, de savoir, connaître, progresser. En totales estime, confiance, affirmation, de soi. Idéal et, spiritualité, se bâtissent, au quotidien, à partir, de solides fondements et, fondamentaux.

 

En particulier, la jeunesse adossera, ses valeurs et, idéaux, sur des connaissances établies, en la matière, puisant, aux meilleures sources écrites. Elle peut, aussi, pratiquer, la méditation, la contemplation, la prière… L’idéaliste place son idéal, « au centre, de son existence ». En un véritable et, total engagement permanent, du jeune, qui mène, à un certain « retrait, du monde » et, de ses prosaïques passions.

 

Cette « mystique rédemption » exige fort, de la jeunesse, une distanciation maximale, de ses difficultés et, préoccupations matérielles, du quotidien. En plein détachement moral, limitant, au maximum, désirs et, besoins, peurs et, appétences, pour les « réalités, de ce monde, terrestre et matériel. En quête, pour le jeune, de Vérité et, d’Absolu, d’Amour et, de Justice, comme, de Paix.

 

Cela, passe, par une véritable « descente, au fond, de soi ». En foi inconditionnelle et, union spirituelle, comme élévation continue, avec une certaine « mystique salvatrice, providentielle ». Entre méditation, lectures, étude, liées, au « sacré », occupations « profanes ». La méditation juvénile est un excellent vecteur, d’élévation, de sa conscience. En eudémonisme, sérénité, négentropie morale, absolus.

 

Dans le calme, la solitude, le flottement, mental et spirituel, la concentration, la respiration profonde, le « regard perdu, en l’infini ». En véritables félicité, béatitude cognitives, émotionnelles, comportementales, physiques, psychiques, morales. Le junior se concentrera, sur ses idéaux essentiels, sans, s’encombrer, du reste, pour mieux « saisir, l’Univers ».

 

Pour cultiver, au mieux, un idéal spirituel fort, il sera, en lien, avec des personnes, partageant, la même quête. Ce qui lui permettra, de l’approfondir, en union et, communion, avec des « partenaires, du même Graal ». En fructueux apprentissages et, confrontations « exégétiques ». Le jeune peut, aussi, bénéficier, des enseignements formateurs, d’un « maître spirituel ou, directeur, de conscience » compétent, certifié, reconnu et, de confiance. Pour progresser, en ses idéaux juvéniles.


 

 


XV


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

D’ORIENTATION DE SOI


 

[ AFFERMIR VOTRE « SENS DE VIE », DE JEUNESSE MÂLE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à trouver, développer et, maintenir, une signification, une pertinence, une utilité, à votre « réalité humaine ». De façon efficace, durable et, profonde. Pour votre  jeunesse, en début, d’existence terrestre, par essence, donner un « sens, à votre vie », est fort essentiel. Ce qui peut nécessiter, pour vous, trois moyens androJeunologiques optimums, décisifs. De nature cognitive, émotionnelle, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à asseoir

Un authentique fondement ontologique. – 43


 

 


> Permettre, à votre androJuvénilité, un enracinement

Axiologique, authentique et significatif. – 44


 

 


> Vous mener, junior masculin, à : notablement et

Positivement, « marquer votre passage d’ici-bas ». – 45


 

 


43 – Vous Assurer, Jeune Homme

D’une Assise Ontologique Solide –


 

 

Vous donnerez un « sens, à votre vie », par l’établissement, de priorités existentielles et, d’une solide « vision, de vie ». Vous aurez, alors, à prendre conscience, de ce qui peut favoriser, votre plénitude. Vous aurez, à savoir, ce qui meut, fondamentalement, votre personne et, votre existence. Vous vous poserez, alors, par écrit, quelques questions capitales, avec les réponses afférentes idoines.

 

En questionnement, ontologique et axiologique. Mettant, en exergue, vos valeurs, idéaux, objectifs, priorités, de vie. Vous vous interrogerez, sur votre identité et, tout, ce qui contribue, à la forger, en son unicité et, originalité essentielles. Vous noterez, tout, ce qui peut favoriser, votre épanouissement, de façon fort profonde et, durable. Toutes les expériences, heureuses et marquantes, que votre jeunesse a vécues.


 

 


> Les qualités, vertus et, atouts, qui la définissent, le mieux, à ses yeux. Les caractéristiques personnelles, la concernant, qu’autrui, pourrait mettre, en avant, pour la définir. Ses rêves, désirs et, ambitions, les plus ardents. Le jeune en fera, un résumé. Il envisagera, la meilleure façon, de rendre, ses buts existentiels, conformes, à ses principes et, quêtes, de vie. Contribuant, activement, lui-même, à sa propre optimale béatitude terrestre.

 

Excellente santé, physique et psychique, parfaite félicité, morale et sociale et, maximale prospérité, financière et matérielle. Se faisant fort apprécier, d’autrui, tel, que lui-même, junior, perçoit, les vertus, qui font, sa pleine valeur humaine, à ses yeux. S’il y a, hiatus, entre ses idéaux et, son vécu réel, il aura, à déterminer, en quoi, comment et, pourquoi, cela, est advenu. Souvent, les gens, les choses, les circonstances, de la vie et, même, soi-même, font, que l’on renonce, à ses propres, priorités existentielles juvéniles.

 

Nonobstant, les réalités effectives, de sa vie, le junior notera ses objectifs et, ses idéaux majeurs, par ordre, d’importance décroissante. Il sera plus heureux et, en accord, avec lui-même, s’il applique, en priorité, ses buts, valeurs, les plus fondamentaux, pour lui. Tout, ce qui contribue, à son épanouissement et, sa plénitude, sera, donc, privilégié et, mis en application, directe et, effective, en son existence quotidienne.

 

Le jeune vivra, au présent, non, dans le passé ou, l’avenir, car, la vie se déroule, s’éprouve, de façon actuelle, sur-le-champ. « Ruminer », les temps révolus ou, s’alarmer, de ceux, non encore, advenus, est vain et, contre-productif. Cela, ne fait, que perturber, au lieu, d’apaiser, en sérénité et, gâche le quotidien, en cours. Seul, le présent, peut rendre heureux, ainsi, que l’espace où, la jeunesse se situe et, non, un hypothétique ailleurs, trop mythifié et, idéalisé, car, lointain et, inaccessible.

 

Le jeune se doit, aussi, d’accepter et, de se confronter, aux mutations, bénéfiques et, nécessaires, pour lui, en les mettant, très résolument, en œuvre. « Sans peur ni, reproche ». De façon réaliste, progressive et, pragmatique, pour que les changements envisagés soient, de l’ordre, du « possible et, faisable », donc, réalisés. Chaque difficulté existante, sera identifiée, ainsi, que la solution, de résorption, afférente et, adéquate, pour la surmonter, au mieux et, au plus vite.

 

Les améliorations, de vie, du junior, se feront, peu à peu, en commençant, par ce qui est, le plus prioritaire. Champ, par champ, l’un, après l’autre, passant, au suivant, dès, que le précédent, est atteint. Chacun, renforçant, influant, positivement, sur les autres et, réciproquement. Le tout, en commençant, par le plus simple et, facile, pour terminer, par le plus complexe et, délicat. En entraînement juvénile, progressif et croissant, de plus en plus, efficient et, performant.

 

Tout, ce qui est négatif, néfaste, défavorable, d’un point de vue cognitif, émotionnel, comportemental, sera identifié, questionné, combattu. Remplacé, par ce qui est positif, bénéfique et, favorable, pour le junior, à tous points de vue. Cela, lui permettra, de lever, tous les obstacles, à son bon développement personnel, à l’autoefficacité, de sa vie.

 

Il sera, souvent, le « pire ennemi », de sa propre plénitude ! En le reconnaissant, en prenant conscience, le jeune sera, alors, en mesure, de se corriger, lui-même, pour progresser, « plus et mieux, plus rapidement ». Ainsi, il deviendra actif et, non plus, passif, acteur, de sa vie, au lieu, de la subir. Au lieu, de se plaindre, il agira, devenant comptable, de lui-même et, de son existence, de jeunesse et, non pas victime. Devenant, son « meilleur ami » !

 

Le jeune ne sera plus, esclave, de ses dépendances, aux personnes, produits ou, comportements, mais, s’en libérera. Il sera compétent, capable, performant, en son esprit et, non plus, impuissant et, inapte. Il veillera, à sa bonne santé, physique et, psychique, sociale et, morale, avec de parfaites hygiène et, autodiscipline, de vie. Le junior aura de fort bonnes relations, avec autrui.

 

Il construira, méthodiquement, son existence, en travaillant, dans l’excellence, en ses études ou, sa profession. L’objectif étant, la santé, le bonheur et, la réussite, pas, la maladie, le marasme et, l’échec. Se convainquant, qu’il est fait, pour la plénitude et, non, le malheur, il y parviendra, en y concourant, de la meilleure façon. Cela, passe, par les pensées, émotions, comportements juvéniles positifs et, bénéfiques idoines, les plus appropriés.

 

Les cognitions « heureuses », du junior, seront, particulièrement, suscitées, entretenues et, mises en œuvre. Il s’agit, donc, de combattre, la fausse certitude, d’impuissance, d’incapacité, de limitation, pénurie et, les ruminations négatives, du passé. L’alarmisme, le catastrophisme, pessimisme, comme la négativité systématiques, du jeune.

 

L’autodévalorisation permanente, la conviction continue, de son indignité, sa déchéance, son infériorité supposées et, de la supériorité, d’autrui. Le fait, de se considérer, comme une victime faible, impuissante, inférieure, inapte, qui subit. De la culpabilité, de la honte, du rejet, de la détestation et, du dégoût, en ressentiment impitoyable, à son propre égard. Le préjugé juvénile systématique, de la faute rejetée, par soi, sur soi-même et, du mérite, toujours, attribué, à autrui.

 

Ou, à l’inverse systématique, de l’opprobre mis, sur autrui et, du mérite auto accordé. Le perfectionnisme, du junior, les exigences excessives, à son propre égard. La peur panique, des failles, insuccès et, fautes, perçus, comme autant, de stigmates, infamants et, insupportables. Tant, cela, est considéré, à tort, comme, des « signes infaillibles », de dévalorisation personnelle. Toutes les relations, du jeune, de toutes natures, seront « revues et, corrigées », si elles sont toxiques, négatives, hostiles, malveillantes et, néfastes, pour lui.

 

Alors, la jeunesse se défera, de ses liens nocifs et, ne cultivera, que des relations saines, équilibrées, respectueuses et, bienfaisantes, pour elle et, autrui. De celles, qui rendent heureux et, élèvent l’âme. Jamais, celles, qui avilissent. La certitude, absolue et permanente, pour et par soi-même, de tous les possibles, de l’abondance, du meilleur, en tout et, pour tout, prévaudra, toujours, pour la nouvelle génération !


 

 


44 – Appuyer Votre Fondement

Axiologique AndroJuvénile Structurant –


 

 

Vous donnerez un sens, à votre vie, par la définition et, la réalisation, sans faiblesse, de votre « mission terrestre ». Vous réorienterez, votre vision existentielle. Vous définirez, d’abord, pour cela, vos objectifs de vie. Vous faites sens, à celle-ci, en sachant, où, vous allez, étant convaincu, que vous avez un rôle, à jouer, un effet, ici-bas et, que vous donnez le meilleur, de vous-même. Il s’agit, donc, pour vous, de vous réaliser, en un domaine vocationnel, en lequel, vous excellez.

 

Il convient, de vous projeter, en avant, à la fin, de votre parcours terrestre, pour imaginer, rétrospectivement, quelle existence, vous auriez aimé, avoir. Vous recenserez, vos atouts, aptitudes, capacités et, verrez, comment, les mettre, en application, en tous domaines. Votre jeunesse observera, aussi, tout, ce qui lui est bénéfique, profitable et, ce qui ne l’est pas.


 

 


> Le jeune recensera, ce qui est, le plus fondamental et, prioritaire, pour lui et, sa vie. Alors, il fera en sorte, que cela, soit effectif, en son existence et, en tous ses aspects. Il saura, aussi, pourquoi, il veut faire sens, à sa vie et, la faire, positivement, évoluer, pour mieux réaliser, ses rêves, ambitions, valeurs, idéaux. En particulier, avoir et, réaliser, des objectifs, permet, de « mieux vivre » et, s’épanouir.

 

Isolant, un dessein majeur, le junior se donnera, pour défi capital, à relever, de l’atteindre, « au mieux et, au plus vite ». Ce but sera subdivisé, en étapes, successives et progressives, pour parvenir, plus aisément, de façon plus accessible. Pour se motiver, ne pas faiblir, en effort, volonté, conviction, motivation, persévérance, détermination, la personne juvénile tiendra, un journal écrit, de ses progressions. Petites, moyennes et, grandes.

 

Le junior aura, aussi, une vision plus positive, de ses études ou, de son emploi. L’excellence, en la matière, sera son guide, sa motivation, à bien faire, mieux être et, donner, le meilleur, de lui-même, en émulation. Avec des buts précis et, le sens, de l’utilité, de ce que l’on est et, fait, pour soi, comme, pour autrui. Il saura, aussi, ce qui lui procure, un sentiment, de gratitude, en l’existence et, lui donne, donc, son plein sens. L’objectif, de toute vie saine, équilibrée et, qui fait sens, est le mouvement, non, l’immobilisme.

 

Cela, passe, pour le jeune, par des liens resserrés, authentiques et, puissants, avec autrui, proches actuels ou, relations nouvelles, à venir. En écoute, empathie, compassion, congruence mutuelles. Expressions verbales, cognitives, émotionnelles, comportementales tempérées et, positives, comme constructives. En confiance, droiture, loyauté et, fidélité, constance, authenticité, engagement, disponibilité. Les difficultés juvéniles relationnelles, potentielles, seront aplanies, dans le respect réciproque et, des limites, de sauvegarde, de chacun.

 

En assertivité, de la jeunesse : affirmation, de soi et, de ses intérêts et, droits, tout en respectant, pleinement, autrui et, les siens propres. En tout lien, la compassion sera, toujours, de mise. Cela, consiste, à « se mettre, à la place », de l’autre et, à compatir, à ses difficultés. Sans oublier, de se réjouir, avec lui, de ses succès, joies et, satisfactions. En compréhension, tolérance et, partage, ouverture, soutien et, assistance. La compassion est, tout autant, un devoir, du junior, à l’égard, de lui-même. Compatir, aider, son prochain, fait « du bien », à autrui, mais, tout autant, à lui-même !

 

En positivité cognitive, émotionnelle et, comportementale. Alors, bénévolat, dons réguliers, gratuits et, désintéressés, de temps, d’argent, d’objets, de soutien et, compétences, pour les plus démunis, est capital. Pour donner, un sens, à sa vie et, être heureux. Que le jeune n’oublie, jamais, que donner, rend plus allègre, que recevoir ! S’il n’est pas satisfait ni, épanoui, en ses études ou, emploi actuels, il peut, en changer. En déterminant, au préalable, la formation ou, le travail, susceptibles, de plus et, mieux, le motiver, le rendre plus heureux et, « faire sens », à sa vie.

 

Le junior veillera, toujours, à sauvegarder, sa santé physique. En particulier, par une alimentation saine, un sommeil réparateur et, une activité physique et, sportive très régulière. Le refus, de toute addiction toxique, le maintien, d’un poids acceptable et, un contrôle sanitaire juvénile préventif, régulier. Pour éviter, les effets délétères, tant physiques, psychiques, moraux, que sociaux.

 

En cas, de troubles psychiques, et / ou, addictifs, un suivi thérapeutique spécialisé, sera entrepris. Les pensées, émotions, comportements positifs, seront, systématiquement, cultivés. La vie, du jeune, est le reflet, de ses croyances. Si elles sont positives, son existence le sera et, si elles sont négatives, sa vie le sera, aussi. Il prendra, donc, soin, de se réjouir fort, de ses succès.

 

Au lieu, de se croire, incapable ou, impuissant, il se convaincra, d’avoir, tout pouvoir et, toute capacité, sur son propre destin. En patience, toute évolution bénéfique quotidienne, de la jeunesse, sera appréhendée et, appréciée, à sa « juste et, pleine valeur ». Chaque pensée sera, attentivement, scrutée et, favorablement, orientée ou, réorientée. Une pensée positive mène, à une émotion positive et, donc, à un comportement positif, du jeune.

 

Puis, alors, en bonne logique, à des résultats, effets positifs. Une cognition négative conduira, à des affects, conduites, aboutissements, tout autant, négatifs. L’intérêt majeur, de la personne juvénile, est, donc, de, mentalement, positiver. Pour émotionnellement et, comportementalement, positiver, avec, comme récompense, des conséquences heureuses, pour elle. Toute pensée négative sera, donc, positivée, relativisée, tempérée !

 

Au lieu, de s’obséder, du négatif, réel ou, supposé, le junior prêtera, surtout, attention, à ce qui « va bien ». Ce qui lui permettra, de se décentrer, de lui-même et, de se distancier, des personnes, de lui-même, des choses, circonstances, événements. Alors, un journal juvénile écrit, régulier, de gratification, gratitude, permettra, de prendre conscience, des avantages, dont, il bénéficie et, d’en « rendre grâce » ! Ainsi, il en jouira, mieux et, plus, en pleine conscience positive et, sa vie en sera plus heureuse. Le jeune n’oubliera, jamais, de « veiller, sur lui-même », car, il est, le mieux capable, de le faire et, cela, est de son devoir.

 

Cela, implique, pour la jeunesse, des phases privilégiées, hors, du temps et, de l’espace, en lesquelles, elle se ressource, de la façon, qui la gratifie, le plus et, mieux, à sa convenance. En pleins relaxation, détente et, repos réparateurs. Il convient, aussi, pour le jeune, de savoir, bien se faire aider, soutenir, réconforter et, encourager, autant, que de besoin, par des proches, de confiance. Ce qui est fort positif, bénéfique et, bienfaisant, pour la personne juvénile. Si elle ne connaît personne, de ce profil, elle nouera, alors, de nouvelles relations sûres, réciproques, solides, d’enrichissements mutuels.


 

 


45 – Vous Renforcer, Junior Masculin

À « Marquer Votre Passage d’Ici-Bas » –


 

 

Vous donnerez « un sens, à votre vie », par l’objectivation, d’une « utilité sociale, autorisant, une trace post mortem ». Faire sens, à votre existence, commence, par déterminer, votre propre identité : qui êtes-vous, véritablement ? Vivre, consiste, à cheminer, non, à atteindre, un point donné. La vie est, donc, « plus, temporelle, que spatiale ». Votre façon de progresser, est, alors, bien plus importante, que votre destination.

 

L’essentiel, dure, de votre naissance, à votre mort et, toute votre existence, ne prend, donc, tout, son sens, que post mortem. Votre droiture morale est fondamentale, ce, à votre propre égard, comme, à celui, d’autrui. Cela, permet, à votre personne, de s’élever, psychiquement, d’être plus sereine et, libre, car, seule, la vérité transcende, quand, le mensonge et, la duperie condamnent, à l’avilissement.


 

 


> Il n’y a point, de salut néogénérationnel, hors, de l’amour, la tolérance et, l’acceptation, de soi-même. Tel, que l’on est, ès qualité. Cela, permet, de se focaliser, sur le présent puis, l’avenir et, donc, de progresser. Sinon, l’on reste figé, dans le passé, de façon accablée et, accablante, car, négative, à son propre égard. Cela, passe, aussi, par la pleine reconnaissance, des autres.

 

Le jeune établira, alors, par écrit, pour s’apprécier, lui-même, le recensement, de ses meilleures potentialités, réussites et, compétences, en toute matière. Cela, fait positiver, s’améliorer et, même, acquérir, de nouvelles aptitudes et, connaissances. Le junior prendra, aussi, conscience, de ses valeurs, croyances, adhésions et, idéaux. En cohérence, avec soi-même et, ses objectifs, de vie, totale conviction, comme action déterminée, pour les faire vivre, prospérer, des plus concrètement, en sa jeunesse.

 

Le junior combattra fort, aussi, la vision défavorable, qu’il peut entretenir, de lui-même. Car, celle-ci le paralyse et, lui nuit. Seule, une conception positive, de soi, fait avancer, se bonifier et, être heureux. Il s’agit, alors, de se raisonner et, de rationaliser, tout ressentiment excessif, tout jugement, trop sévère, envers, soi-même, pour le rééquilibrer, avec plus d’indulgence. La jeunesse sera, aussi, plus souple, « adaptable ».

 

Plus encline, aux mutations, évolutions et, changements. Pour être, en mesure, de faire face, de façon optimale, aux réalités inédites, qui surviennent, relever, les défis nouveaux, qui s’imposent. Les pensées, émotions et, comportements positifs, y concourent fort. Le jeune trouvera, en lui-même, les meilleures configurations, lui permettant, d’appréhender, au mieux, les mutations, à assumer et, effectuer. Cela, le rend, plus épanoui et, lui garantit, de meilleurs liens, à autrui.

 

Les échecs, difficultés et, occurrences néfastes, ne seront pas perçus, par la jeunesse, comme des « désastres » ou, des « mortifications » personnels. Or, telles, des chances, d’en tirer, les enseignements idoines, pour se corriger, progresser, de plus belle. Ainsi, en chinois, « crise » ne signifie pas, seulement, marasme, mais, aussi et, surtout, « occasion, de rebondir » et, de faire, encore, plus, mieux, plus vite !

 

La « pleine conscience » aide, le jeune, à apprécier, sa vie et, le temps présent. Cela, prévient, les évaluations négatives, de soi-même, en totale acceptation, de soi, son existence. Cela, passe, par le lâcher-prise, quant à son passé, comme son avenir, pour la complète focalisation, sur l’actuel. Cela, aide, à « bien vivre », en sérénité, le présent, sans regrets, du passé ou, craintes, quant au futur. La méditation juvénile peut, y mener. Santé, paix, plénitude, bonne entente, avec autrui, en découlent.

 

Le junior se gardera, aussi, de tout activisme, toute pression excessive auto impartie, pour agir, à tout prix, en conformité, même, avec ses buts, idéaux. Les excès, d’impératifs, à l’égard, de soi-même, sont à proscrire. Au lieu, d’encourager, à entreprendre, ils ne font, que paralyser, par écrasement perfectionniste et, obligations, impossibles, à réaliser.

 

Tout objectif sera, donc, légitimé, étayé, par des motifs, comme motivations fondés, sains et, bénéfiques, servant, l’intérêt majeur même, du jeune. Les seuls buts, à retenir, seront, donc, ceux, qui font sens. Donner, un sens, à sa vie, consiste, à suivre, sa pleine voie juvénile, en dehors, de toute routine, habitude, sécurité, à tout prix. Pour muter, favorablement, il s’agit, d’accepter, la nouveauté, l’inconnu et, l’inconfort, l’incertitude, le risque calculé et, la possibilité, d’échouer.

 

Cela, permet, au junior, d’être plus fort, de mieux, se battre, vaincre, l’adversité, se dépasser, réussir ! De façon progressive, du plus facile, au plus complexe. Chaque objectif sera réalisable, ni trop accessible ni, trop élevé, en petits pas successifs. Chaque but, devant faire sens, pour la jeunesse. En efficience, effort, motivation, conviction, volonté, abnégation. En la mesure où, cela, dépend, d’elle, de sa maîtrise et, est, à sa portée.

 

Elle acceptera, aussi, ses limites, failles, vulnérabilité, le fait, d’être déçue, d’échouer, de ne pas avoir pu, réaliser, ce qu’elle espérait réussir. Cela, permettra, au jeune, de « densifier son existence ». La crainte, le doute, comme la suspicion, ne permettent pas, le meilleur, contrairement, à la sérénité, la conviction, la confiance. L’acceptation, de la possibilité, du pire, mène, souvent, au meilleur et, à l’optimum juvéniles !

 

Toute possibilité, pour le junior, d’apprendre, de savoir, connaître, découvrir, est, toujours, à saisir. De façon réactive, active et, proactive, pour progresser, se dépasser, devenir meilleur, voire, le meilleur, en sa catégorie. Cela, optimise, de façon maximale, les potentialités, du jeune, notamment, cérébrales. En plein développement cognitif, émotionnel et, comportemental. Un journal écrit est, toujours, bénéfique, pour préciser, le sens, que l’on entend donner, à sa vie, via, ses buts et, idéaux existentiels. Il fait prendre conscience, des réalités, les plus positives, de son quotidien juvénile et, aide, à corriger, améliorer, ce qui peut et, doit, l’être.

 

Cela, permet, activement, au jeune, de réfléchir, décider, d’agir et, avancer. Donner un sens, à sa vie, consiste, aussi, à se détacher, du faire, de l’avoir, du paraître, c’est-à-dire, des choses matérielles, au profit, de l’être. Soit, des choses, de l’esprit. Les besoins, désirs et, envies juvéniles, seront, donc, limités, au minimum. Tout comme, les peurs. Le matérialisme ne rend pas heureux, seuls, la spiritualité, les liens, à autrui, le permettent. Les surplus, de biens inutiles, seront, donc, offerts, à de plus démunis, que soi, qui en ont, bien plus, besoin. Les pratiques et, conduites, iront, à l’essentiel, la jeunesse privilégiera, tout, ce qui fait, fondamentalement, sens et, utilité, pour elle.

 

Des relations enrichissantes, avec les autres, donnent, un sens essentiel, à la vie, du junior. Fréquenter, des personnes positives et, rayonnantes, lui permet, de grandir et, s’épanouir. Il peut aborder, avec autrui, la question, de ce qu’il attend, de l’existence. En communication, ouverte et assertive, tenant, autant, compte, des autres, que de soi-même.

 

En empathie, compassion, congruence, respect, tolérance, compréhension juvéniles mutuels. Les reproches seront constructifs, l’on évitera, les injonctions comminatoires. En écoute, partages et, échanges, sans imposer son avis, tout en prenant en compte, valorisant, celui, des autres. L’abnégation, le désintéressement et, la gratuité, du jeune, à l’égard, des autres, en ses comportements, est, aussi, primordial.

 

Sans, rien attendre, d’autrui et, en acceptant, le fait, qu’il ne nous doit… rien ! Tout, en se préservant, des abus possibles. La sympathie, comme l’empathie, sont, toujours, pour la jeunesse, plus productives, que l’antipathie ou, l’apathie. Le pardon, de soi-même et, des autres, donne, aussi, du sens. Cela, élève, l’esprit, apporte, paix et, réconfort.

 

Quand, le ressentiment prolongé, du jeune, ne fait, que le blesser, détruire. S’en vouloir, constamment, en permanente rage, contre soi, ne fait, que se condamner, « à l’infamie ». S’absoudre, raisonnablement, aide, à l’inverse, à progresser et, devenir meilleur. La compassion, à son propre égard, est, donc, un devoir juvénile, aussi capital, salvateur, que celle, pour autrui.


 

 


XVI


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

DE « DENSIFICATION PERSONNELLE »


 

[ STIMULER VOTRE QUALITÉ DE VIE ANDROJUVÉNILE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, la meilleure « harmonie existentielle » possible. De façon efficace, durable et, profonde. Une qualité, de vie, satisfaisante, peut nécessiter, pour vous, un triple remède androJeunologique optimum, décisif. De nature cognitive, émotionnelle, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à atteindre

Un épanouissement individuel maximal. – 46


 

 


> Permettre, une garantie, de subsistance suffisante

Pour votre androJuvénilité. – 47


 

 


> Vous mener, junior masculin, à :

Un bon enrichissement personnel récréatif. – 48


 

 


46 – Vous Assurer, Jeune Homme

D’un « Eudémonisme Optimal » –


 

 

Votre épanouissement personnel maximal : physique, psychomoral, social, vous permet, de devenir, un adulte accompli, car, heureux, en son existence. Cela, passe, par l’amour et, l’acceptation, de vous. Vous vous apprécierez, donc, ès qualité. Vous êtes perfectible, faillible, imparfait, devez admettre, vos failles, comme vos qualités, en humilité, confiance. L’assurance vous permettant, de mieux, vous accomplir, réussir, avancer, en votre vie.

 

Estime de vous, confiance en vous, affirmation de vous, sont capitales, pour mieux vivre, vous faire respecter. Tout en respectant, tout autant, autrui, en pleine assertivité. L’essentiel, est de vivre, « en bonne intelligence », avec vous. En plein accord et, harmonie, avec votre être, qui est d’importance humaine supérieure, à vos avoir, faire et, paraître, pour être, authentiquement, heureux.


 

 


> Le jeune ne se focalisera pas, seulement, sur ses défauts, échecs, insuffisances, réels ou, supposés. Or, aussi, tout autant, sur ses qualités, réussites et, mérites. Pour mieux « goûter, son existence et, soi-même ». Il ne se déterminera, positionnera, n’agira, n’évoluera, que par et, pour, lui-même, « en tout et, pour tout », pour tout, ce qui le concerne, personnellement. Non, pour, exclusivement, satisfaire, la volonté, d’autrui.

 

Le junior se protégera, des personnes malveillantes, malfaisantes, toxiques et, hostiles. En ne les fréquentant pas ou, plus et, en les « éliminant », de sa vie. Seules, les relations bénéfiques, saines et, positives, sont acceptables et, seront, donc, acceptées. Elles seules, favorisent, la plénitude, quand, les autres, sont déprimantes. La jeunesse privilégiera, toujours, ce qui est bon, pour elle et, favorise, son bonheur. D’un point de vue cognitif, émotionnel, comportemental, physique, comme psychique, spirituel, moral et, social.

 

Pour se réaliser, le junior a, aussi, besoin, d’apprécier autrui. Cela, impose, de la considération, à son propre égard, comme, à celui, des autres. Bien traiter et, respecter, son prochain, permet, aussi, de l’être, en juste retour et, il s’agit, pour tout jeune, d’un principe humain et, humaniste incontournable. En réciprocité et, échange, de bons procédés.

 

Il a, donc, obligation, de « révérence », pour les autres, tout autant, que sa personne appelle, des égards, de la part, de tous. La jeunesse fera, donc, toujours, en sorte, d’être respectable et, aimable, avec tous et, de se faire respecter, par ses congénères. En étant, des plus sociables et, fréquentables et, en choisissant, des relations saines et, acceptables. Tout lien humain, digne, de ce nom, exige, de la juvénilité, parité, réciprocité irréprochables.

 

Le jeune a, donc, le devoir, de gratifier autrui, autant, qu’autrui lui apporte. En ouverture, générosité, altruisme, don, de soi et, disponibilité, de part et, d’autre. Sans égocentrisme, intéressement, obsession, du profit maximal, à soutirer, aux autres. Tout en se préservant, des abus, potentiels et, avérés, en prévention et, sanction, des débordements, toujours, inacceptables.

 

Le junior ne peut « attendre », d’autrui, qu’autant, qu’il offre, lui-même. Il donnera, le meilleur, entreverra, chez les autres, le meilleur. Il attendra plus, de lui-même, que d’autrui. Pour autant, tout individu, se comportant mal, à l’égard, de la personne juvénile et, déméritant, de la relation nouée, sera, alors, impitoyablement et, définitivement, écarté, de son existence.

 

Le junior sera, toujours, plus heureux, du bonheur, qu’il donne, aux autres, que de celui, que les autres, lui procurent ou, qu’il s’offre, à lui-même. Il aidera, donc, gratuitement et, sans espoir, de retour, autrui, proches ou, inconnus, les servant, du mieux, qu’il peut et, de tout son cœur. Donnant, ainsi, un sens, à sa vie et, du poids, de la densité, à sa condition humaine, au profit, de tous et, non, seulement, au sien propre.

 

La  jeunesse se réjouira, donc, des bonheurs, des succès et, satisfactions, des autres, en authentique communion allègre. Comme elle se désolera, sincèrement, de leurs malheurs, échecs, déboires. En empathie, compassion, congruence. Tout lien humain, digne, de ce nom, exclut,  jalousie, envie, rivalité, sentiments, des plus pervers, destructeurs, malsains, pour le jeune.

 

Tout, ce qui profite, aux autres, ne peut, que bénéficier, au jeune. Tout, ce qui nuit, à autrui, ne peut, que lui coûter. Tant, les interactions et, interdépendances, de tous, à l’égard, de tous, sont nombreuses et, importantes, capitales, même, pour tous et, chacun. Du plus éminent personnage, au plus modeste. En humilité et, dignité. Se féliciter, des déconvenues, des autres et, prendre ombrage, de leur bonne fortune, est très destructeur, ne rend pas heureux.

 

Cela, est pathologique, toxique. Le junior admirera, ceux, qui le dépassent et, prendra modèle, sur eux. Ainsi, en émulation, il sera, en mesure, de les égaler, voire, faire mieux, encore, qu’eux, à l’avenir. Tirant, les enseignements, de ses insuffisances et, retards, par rapport, à eux. Progressant, ainsi, par son mérite, ses efforts juvéniles, grâce, à l’excellence, de ses semblables humains.

 

Les réussites, des autres, sont, donc, gages, des nôtres, les motivant, encourageant et, permettant. Car, ce que peut, autrui, en bien, le junior le peut, alors, aussi, tout autant, en mieux, encore et, de façon meilleure ! Chacun, est capable, du meilleur et, le mérite, aucun, n’est voué, au pire et, le requiert. Que tous les jeunes, prospèrent, donc, en toute félicité !

 

Tous, ensemble, à l’unisson et, en pleine concorde, avec et, pour les uns et, les autres, jamais, contre ni, sans. Le préadulte intégrera et, acceptera, ses failles et, celles, des autres, tout autant, que ses vertus et, celles, d’autrui. La jeunesse en tirera, tous enseignements utiles, pour se corriger, s’améliorer et, progresser, sa vie durant. Apprenant, autant, de ses défauts, échecs et, manques, que de ses qualités, succès, atouts, comme, de ceux, des autres.

 

Car, le jeune, comme, tout humain, est un « bloc indivisible », en ses « ombres et, lumières ». Ce qui fait, toute sa complexité, sa richesse et, son intérêt. La communication, les échanges, partages, liens, sont les ferments, même, de la sociabilité, du junior et, d’une socialisation épanouie. La bonne communication est une harmonie, une joie, un succès et, la mauvaise ou, son absence, une rupture, un marasme, un échec.

 

La parole positive apaise, répare, quand, le verbe négatif perturbe, détruit. La personne juvénile s’exprimera, échangera, communiquera, donc, toujours, avec tous, de façon ouverte, directe, authentique, sincère et, favorable. Soit, constructive, bienveillante, bienfaisante et, fructueuse, au profit, d’elle-même et, de tous.

 

Le junior aimera, ce qui fait sa vie et, ce qu’il y accomplit. Pour être heureux, « il aimera, ce qu’il a, faute, de, toujours, pouvoir avoir, ce qu’il aime » ! Principe éternel, intemporel et, universel, de grande sagesse, pour s’accomplir, en plénitude. Il osera, des vécus inédits. Il réfléchira, à ce qui le motive, le tente et, l’intéresse, dans la vie, à ce qui le met, en joie et, mettra, un point d’honneur, à le réaliser.

 

« Le jeune fera, de son existence, un chef d’œuvre, en sortant, de ses routines, sentiers battus, de son habituelle zone, de confort et, apportera, sa propre valeur ajoutée ». Il tentera, osera, innovera. Il comprendra et, saura, pourquoi, il prise, tant, ce qui l’occupe, le préoccupe ou, ce qu’il ambitionne. En tout domaine, de sa vie : scolaire, professionnel, social, relationnel, récréatif, axiologique… Pour définir, ses desseins juvéniles fondamentaux, les réaliser, afin, de faire sens, à son existence.

 

Avec, pour but, de rapprocher, faire correspondre, le plus possible, ses rêves, idéaux et, aspirations, de jeunesse, les plus ardents et, chers. Ce, avec son vécu, le plus concret et, quotidien. Tout, ce qui peut, sainement, épanouir et, passionner, sera, raisonnablement, accompli, avec ferveur. Cela, ennoblira, illuminera et, gratifiera, ses journées, lui donnant, une raison, de vivre et, bien vivre. Au jeune, de savoir, quelle est, pour lui, la meilleure façon, de se réaliser et, alors, de la mettre en œuvre, pour s’accomplir, au mieux.

 

Quoi, qu’il arrive et, en coûte, en dépit, de l’adversité, des déconvenues, échecs, déceptions, obstacles, difficultés, il s’obstinera, à poursuivre. Ses objectifs, desseins, projets, rêves, effort, ténacité, comme détermination, sans, jamais, abandonner. Jusqu’à complète réalisation et, succès total. En vertu, du « syndrome, du cycliste ». Tant, que le préadulte avance, il progresse, s’il s’arrête, renonce, il tombe et, échoue ! Atteint, le but sera, aussitôt, remplacé, par un autre et, ainsi, de suite, pour que l’ensemble, de sa vie, conserve, tout son sel.

 

Le junior a, à « sortir, de lui-même, se hisser, au-dessus, de sa personne ». Il ne cessera, d’apprendre, de comprendre, savoir, découvrir, connaître, de nouvelles choses, pour s’enrichir, constamment, sans, jamais, se lasser ni, être blasé. Car, tout, ici-bas, est occasion, source et, objectif, d’apprentissages ! Qu’il s’ouvre, à lui-même et, autrui, à son intériorité, comme, à l’extérieur, pour s’élever.

 

Au lieu, de médire, vitupérer et, s’assombrir, le jeune saura, s’emplir, de toutes les beautés, de l’Univers, qu’il suffit, de regarder, pour s’en gratifier et, en jouir. Il nourrira, chaque jour, sa plénitude, en entretenant, sa bonne santé, physique, psychique, sociale et, morale. Par de parfaites hygiène et, autodiscipline, de vie, de la jeunesse. Sommeil, activité physique et, sportive, alimentation, hydratation juvéniles…

 

Comme dit et, redit, à raison, en tous nos propos, en capital leitmotiv. Le jeune masculin voyagera, mentalement et physiquement, pour s’ouvrir, sur des humains et, contrées, différents et complémentaires, de toutes cultures. Ce qui lui apprendra, tolérance, partages, humilité, fierté, aussi, de ce qu’il est et, de ce que sont les autres, étrangers, à son univers habituel.

 

Hors, de ses enfermements et, habitudes, faussement, confortables, rassurants, le junior prendra, des risques calculés, pour « plus et, mieux vivre ». Seule, la novation enrichit, quand, la routine connue appauvrit et, n’apprend rien. Le risque réfléchi, calculé et, à bon escient, est gratifiant, la facilité et, le confort, sont sclérosants. Le but, de la vie, est de repousser, ses limites, non, de se restreindre, à son habituel périmètre juvénile, étriqué et stérile.

 

En tout et, pour tout, le junior prendra, toujours, le plus grand soin, à, constamment, entretenir, son bonheur et, étouffer, son marasme. Il « habitera, donc, pleinement, son personnage et, son existence », en s’emparant, grandement, de toutes les gratifications possibles, de la vie. Le jeune sera, donc, toujours, fort actif, dynamique et, volontaire, en toute situation, sur-le-champ, sans attendre ni, procrastiner.

 

Pour obtenir, le maximum, de son passage terrestre. À défaut, il « passera, à côté, de son existence ». La jeunesse recherchera, provoquera, acceptera et, intériorisera, le changement, la mutation, l’évolution. Car, la vie est perpétuels mouvement, renouvellement, non pas, immobilité, immobilisme, apanage, de la seule mort et, du tombeau.

 

L’effort sera, donc, consacré, à muer, jamais, à lutter, freiner, comme éviter, l’innovation, ce qui serait vain, contre-productif, voué, à l’échec. Même contre son gré, le jeune change, à tout instant, ne reste, jamais, identique, à ce qu’il était, la veille ou, à ce qu’il sera, le lendemain. Seul, le bouleversement est gage, de progrès, de bonheur et, de réussite, quand, la stagnation n’est, que recul, entropie, échec.

 

Pour s’élever, le junior aura, des desseins prioritaires. Ils ne seront pas matériels, hédonistes, consuméristes, mais, humains, moraux, spirituels, axiologiques. Seul, l’être comble, au plus profond, jamais, le faire, l’avoir, le paraître. Lesquels, ne sont, que vaines illusions, tragiques mirages. Quand, l’eudémonisme, de l’ataraxie et, l’équanimité métaphysiques, transcendent, en « rédemptrices ascèses », de la personne juvénile.

 

Pour être heureux, le junior goûtera, la moindre satisfaction, de son quotidien, ignorera, les frustrations, en les éludant. Il jouira, du réel, sans prétendre, à, toujours plus, ni peur, de disparition, des acquis et, de l’existant. Ce qui ne ferait, qu’exaspérer, son sentiment, de manque, de vacuité, d’insatisfaction. La plénitude vient, de la limitation et, du contentement, de ce qui est, non, de la vaine prétention, à l’inaccessible et, à l’infini, sans bornes.

 

Loin, d’être « terrassée », par l’adversité, la jeunesse en sera galvanisée ! La souffrance, l’inquiétude, proviennent, de la croyance, non fondée, fausse, que l’échec, le marasme, la déconvenue, sont inéluctables, définitifs, absolus. C’est-à-dire, indépassables. Alors, que le plus souvent, ils ne sont, que provisoires et, relatifs, donc, surmontables, par la nouvelle génération.

 

Que le jeune s’en persuade et, il sera heureux et, en réussite, toute sa vie ! Au lieu, de se tourmenter et, lamenter, pour rien, de façon stérile et, passive, qu’il agisse et, se batte, activement, pour faire face et, résoudre, ses difficultés. Qu’il aime, apprécie, se réjouisse, rende grâce, en allégresse, de tout et, tous. Qu’il s’autorise, à être heureux, au lieu, de se l’interdire !

 

Que le junior ait, donc, à cette fin, plus, de charité, d’amour, de compassion, pour lui-même. De même, que pour autrui et, l’Univers. Que son bonheur, soit sa grâce et, sa joie, de vivre, en pleines et, libres pensées, émotions et, conduites, de plénitude. Qu’il ne permette, à rien ni, quiconque, de l’amoindrir, car, demain, est une pétillante aurore nouvelle, non, un sépulcral crépuscule ! Toute personne juvénile, est voué, à l’infinie béatitude, non, à l’infortune, sans appel.


 

 


47 – Appuyer une Garantie

De Votre Subsistance AndroJuvénile Suffisante –


 

 

Votre sauvegarde implique une sécurité, économique et, matérielle, satisfaisante. Ce qui vous prépare, à devenir, un adulte, financièrement, autonome et, indépendant. Vous dépendez, pendant, vos études, de vos parents, pour « assurer, votre pain quotidien ». Toutefois, vous pouvez, aussi, fort, gagner, votre propre argent et, subvenir, ainsi, à vos besoins, en partie ou, en totalité.

 

Si cela, est nécessaire, pour vous, en cas, de revenus familiaux limités ou, pour avoir, plus, d’argent, de poche et, de loisirs, ainsi, que pour acquérir, votre autonomie, vous assumer. Aussi, pour acquérir, de l’expérience professionnelle, vous préparer, à votre vie active et, adulte, ultérieure. Dans la mesure, du possible et, si cela, est compatible, avec vos études suivies, leur pleine réussite. Dans les limites, du respect, de votre santé, votre repos, vos capacités, notamment, des mineurs.


 

 


> L’emploi concerne, surtout, les jeunes majeurs, notamment, pour le travail, à temps plein. Toutefois, en une moindre mesure, les mineurs, à certaines conditions juridiques, strictes, peuvent, aussi, y prétendre. Notamment, à temps partiel et, surtout, pendant, les vacances scolaires, pour certaines tâches, limitées et, protégées, compatibles, avec leur jeune âge.

 

L’emploi professionnel, à temps plein et, de plein exercice, est réservé, en France, à partir, de l’âge, de seize ans, marquant, la fin, de l’obligation scolaire. La jeunesse peut occuper, de petits emplois. Le garçon, tout comme la fille, peut garder, des enfants, ceux, de sa famille élargie, d’amis, de sa famille et, de voisins ou, d’inconnus, recherchant, ce genre, de service. Cela, exige, d’aimer, les enfants et, d’être attentif, attentionné, mature, responsable et, autonome.

 

Le junior peut, ainsi, se constituer, un réseau, de clients potentiels, qui le connaîtront, l’apprécieront et, feront, régulièrement, appel, à lui. Il est fort important, qu’il ait, son brevet, de secouriste, en cas, de nécessité, de premiers soins, à donner, à l’enfant, au moindre accident, survenu. Même, s’il fera, tout l’impossible, pour éviter, cet aléa. Il peut « faire ses preuves », en étant engagé, à l’essai et, évalué, au préalable, par l’un, des parents. Il peut, aussi, faire des travaux, de jardinage, pour son entourage et, voisinage ou, d’autres particuliers. Avec soin et, méticulosité.

 

Le jeune peut, faire passer, une petite annonce, pour se proposer, consulter, celles, qui recherchent, ce type, de compétences. Il peut, aussi, effectuer, des petits travaux, de bricolage, d’entretien, de ménage et, autres tâches domestiques, s’il est habile, de ses mains, méthodique, organisé et, ordonné. Il peut, aussi, laver, des voitures, livrer, des colis ou,  journaux. Cela, peut rendre service, à des proches, des voisins, connaissances. Il est, aussi, possible, pour la jeunesse, de faire des courses, pour les personnes âgées, voire, préparer, leurs repas ou, leur servir, de personne, de compagnie.

 

Beaucoup, étant seules. Il peut s’agir, d’amis et, de relations, des grands-parents. Le jeune peut s’acquitter, de certaines petites tâches, comme, arroser les plantes ou, faire de la maintenance informatique. Contre, une rémunération convenue, à l’avance. Il peut, aussi, faire le service, lors, de réceptions, de fêtes et, de réjouissances quelconques… Il peut, promener et, sortir, les chiens, de son quartier, s’il aime les animaux, en a l’habitude et, la pratique, a de l’énergie et, de l’autorité naturelle, avec la gent canine.

 

Le junior peut monnayer, ses talents artistiques, de peintre, graphiste, musicien ou, chanteur… Il peut, aussi, être figurant, modèle ou, acteur, pour de « petits rôles », pour la publicité, la télévision ou, le cinéma. Via, des agences spécialisées, après, auditions et, castings. Certains travaux saisonniers, comme, les récoltes, les vendanges, des métiers, de service, en hôtellerie-restauration, en saison touristique ou, d’employé plagiste… Tous ces postes, peuvent être tenus, par des personnes juvéniles.

 

Le junior peut donner, des cours particuliers. En fonction, de ses études, de leur niveau et, de ses aptitudes intellectuelles, pédagogiques, en telle ou, telle discipline. Au profit, d’écoliers, de collégiens, lycéens ou, d’étudiants. Cela, concerne, des cours, d’enseignement général théorique, technologique, professionnel, artistique, sportif.

 

Le jeune peut, aussi, faire, de l’intérim, travailler, dans la restauration rapide, faire des stages rémunérés, en rapport, avec ses études. Il peut, aussi, faire, du télétravail, gagner, de l’argent, via, Internet, participer, à des sondages, être vendeur, serveur, coursier, livreur… Il peut être surveillant, d’externat ou, d’internat scolaires. La jeunesse peut, même, commencer, à travailler, à temps partiel, en son domaine, de formation, avant, même, la fin, de ses études, l’obtention, de son diplôme terminal.

 

Ainsi, les internes, en médecine, les étudiants, en lettres ou, langues, correcteurs, rédacteurs ou, traducteurs, les étudiants, en journalisme, pigistes… Les étudiants peuvent, aussi, travailler, en junior entreprise, via, leur établissement, d’études supérieures. Quoi, qu’il en soit, tout jeune, en études, en quête d’emploi secondaire, doit, le faire savoir. Il peut mettre, des annonces, sous toutes formes et, supports, physique ou, Internet, distribuer, des dépliants, consulter, les offres existantes…

 

Le junior peut, aussi, faire des candidatures spontanées, auprès, d’employeurs potentiels ciblés, susceptibles, d’être intéressés, par son profil et, ses services. Il peut utiliser, les réseaux sociaux, un site Internet personnel dédié, les sites spécialisés, d’emplois, notamment, pour étudiants ou, personnes juvéniles. Sans oublier, les forums Web spécialisés, les panneaux d’information, de son établissement d’études, les bureaux, des élèves, les services spécialisés, de son école…

 

Les Crous, Centres Régionaux, des Œuvres Universitaires et, Scolaires, Le Cidj, le Centre, d’Information et, de Documentation Jeunesse. Tous les réseaux spécialisés « Jeunesse », comme ceux, de l’emploi néogénérationnel… Il est possible, de gagner, de l’argent, via, Internet.

 

Si le jeune a des talents et, des capacités, de photographe, notamment, en vue, d’une carrière future liée, le junior peut faire, de beaux clichés originaux et, les vendre, sur Internet. Avec un excellent matériel, de qualité professionnelle. Via, certaines agences spécialisées. Certaines applications, de téléphonie mobile, peuvent mettre, la personne juvénile, en relation, avec des entreprises locales ou, également, des particuliers.

 

Ayant besoin, de main d’œuvre temporaire, pour de petits travaux rémunérés, tels, des inventaires saisonniers, en grandes surfaces commerciales. Le junior peut faire, des sondages, en ligne, par enquêtes et, études, de marché, rémunérées. Il peut, aussi, créer, sa chaîne YouTube, être rétribué, en téléchargeant, des vidéos, du fait, des annonces produites, avant et, pendant, les contenus prisés.

 

Le jeune peut diffuser, toutes sortes, de vidéos, de qualité, en maints domaines, sujets, susceptibles, d’intéresser, le plus grand nombre ou, des publics spécifiques. Il peut, aussi, participer, à des études ou, essais cliniques, de centres, de recherche scientifique ou, de laboratoires pharmaceutiques. Certains essais peuvent s’adresser, aux personnes juvéniles.

 

Le junior peut, aussi, vendre, certains objets, lui appartenant ou, possédés, par sa famille ou, créés, par lui. Il peut participer, à un vide-grenier, vendre, par annonces, y compris, sur Internet. Le prix ne sera pas fixé, par lui, à l’avance, mais, proposé, par les acheteurs et, débattu, entre les parties. Le préadulte peut, aussi, vendre, des boissons, collations, à certaines fêtes, kermesses ou, manifestations quelconques.

 

Il peut, aussi, vendre, les vêtements, lavés, en bon état et, non démodés, qui ne lui servent plus, à des magasins, d’occasion. S’il possède, des objets, « de valeur », le jeune peut les vendre, sur des sites, d’enchères, en ligne. Il prendra soin, à cet effet, de poster, des photos, de qualité, mettant bien, en valeur, ce qu’il vend. S’il est manuel ou, artiste, il peut vendre, ses réalisations, en ligne, notamment, via, les réseaux sociaux.

 

Auprès, également, de ses amis ou, de sa famille. Il monnaiera, des objets, susceptibles, d’intéresser, un vaste public. La personne juvénile peut, aussi, travailler, dans le très large domaine, des services. De nombreuses épiceries et, supérettes, de quartier, embauchent, des débutants, comme employés, pour garnir, les rayonnages. Cela, exige, sérieux et, ordre, méthode et, endurance physique. Il est, aussi, possible, au jeune, d’être employé, de restaurant, comme serveur, plongeur, faire les courses, livrer les clients, à domicile.

 

Comme, aussi, dans la restauration rapide, avec toutes les précautions, d’usage, pour éviter, les abus, exploitations et, surmenages. De nombreux espaces, de loisirs ou, de vacances, font, aussi, appel, à des employés, sans expérience. La jeunesse peut, aussi, être monitrice, de colonies, centres aérés ou, camps, d’été et, encadrer, des enfants ou, adolescents… Tous ces emplois devront, être compatibles, avec les études, toujours, prioritaires et, leur parfaite réussite. Ils seront, donc, à temps partiel.


 

 


48 – Renforcer Votre Enrichissement

Récréatif, de Junior Masculin –


 

 

Votre bonne récréativité exige, un contentement suffisant, des loisirs, culturel et, du temps libre. En lien direct, avec, vos passions. Un bon loisir est, donc, un loisir, qui correspond, exactement, à vos vraies passions cultivées. Vous devez, donc, analyser, votre réalité de vie et, ce qui suscite, vos choix et, décisions, actes, projets, desseins, objectifs. D’un point de vue cognitif, émotionnel, comportemental.

 

Vous avez, à vous décentrer, de votre image, réelle ou, supposée, de l’opinion, d’autrui, sur vous-même. Vous avez, à vous conformer, à ce que vous voulez, pour vous-même, non, à ce que les autres veulent, pour vous et, attendent, de vous. Pour être assuré, de ne vous réserver, que ce qui vous convient, vous passionne, vraiment. En la matière, il n’y a, aucune obligation, interne ou, externe, qui vaille, seule, votre volonté  importe, en pleine vérité, sincérité et, authenticité.


 

 


> Un bon loisir est, aussi, celui, qui correspond, aux valeurs, du junior. Il les recensera, donc, au préalable. En rapport, avec ses convictions, croyances, adhésions, comme engagements. Il s’interrogera, en introspection et, autoanalyse. Il optera, pour les activités, en rapport, avec ses idéaux, ses besoins, désirs, rêves, ce qui fait, sa plénitude, sens et, dessein, pour lui. Ce qui est, le plus marquant, sera, alors, privilégié, pour choisir, ses modes récréatifs.

 

Le jeune choisira, ce qu’il prise, particulièrement. Une passion peut devenir, un loisir et, un loisir peut devenir, une passion. En croyance, volonté, motivation profondes. Tous les rêves, désirés mais, non encore, réalisés, seront envisagés et, concrétisés, dans la mesure, du possible. Tout ce, à quoi, la jeunesse aspire, le plus, sera visualisé, mentalement et, physiquement, aux fins, de réalisation ultérieure. En son esprit, comme, aussi, en un tableau matérialisé, d’affichage.

 

Le junior y affichera, les images, photos, textes et, citations, qui « lui parlent », le plus et, ont, le plus, de signification et, d’implications, pour lui. Cela, peut, aussi, se faire, sur Internet, en un site dédié. Il fixera, ses urgences, priorités, tout, ce qui lui tient, le plus et, le mieux, à cœur et, de la façon, la plus pressante. En fonction, de ce qu’il estime, le plus, de ce qui lui est, le plus cher, au monde, de ce qui le comble, au plus profond.

 

Une bonne récréativité juvénile se prépare, par de saines fondations. Il s’agit, donc, d’en fixer, les buts, précis, clairs et, complets et, le moment, le plus adéquat et, approprié, par étapes successives, avec échéancier, à respecter. Les personnes impliquées seront déterminées. Les lieux concernés seront définis. Les moyens et, modalités seront évoqués. Le motif, du choix, d’un loisir, sera questionné. Toutes ces interrogations et, précisions, permettent, au jeune, d’ « être au clair », avec son projet, de récréativité.

 

Pour mieux, le définir, donc, le mettre en œuvre. De la meilleure façon. Il convient, pour le junior, d’écarter, de son esprit, tout, ce qui pourrait le dissuader, de poursuivre, son but, inciter, à l’abandonner. Par peur, de la nouveauté, de l’inconnu, du risque, des implications et, efforts, que l’entreprise exige. En persévérance et, détermination, passion et, enthousiasme, la jeunesse ne se focalisera, que sur les avantages, de réaliser, son rêve.

 

Non, sur les inconvénients, réels ou, supposés, de sa concrétisation. Il s’agit, donc, d’être fort lucide, pour éliminer, craintes, préjugés et, doutes, comme tergiversations, procrastinations, inerties. Toutes les meilleures raisons, qui empêchent, le jeune, d’agir et, de bien agir, à bon escient, au profit, de la facilité, du confort, bien illusoires, stériles, vains. Pour préférer, l’audace hardie, du risque calculé, à la pusillanimité, de la renonciation, à ses rêves juvéniles, les plus chers.

 

Le junior sera compréhensif et, tolérant, avec lui-même. Il peut se passer, un certain temps, certaines conditions, doivent être réunies, avant, qu’il ne soit, en mesure, de pouvoir débuter, son occupation, de temps libre. Il ne se découragera pas, face, aux difficultés et, obstacles, le jeune tiendra bon et, finira, par parvenir, au but, quel, qu’il soit.

 

Il s’agit, aussi, de, pleinement, jouir, de ses passions. Même, les plus lointaines, depuis, la prime enfance, sont à revisiter, remettre, au goût, du jour et, vivre, sans réserve ni, détour. Tout rêve passé, peut être réactualisé et, vécu, il n’est pas périmé ni, disparu, pour autant. Les talents et, savoir-faire, de la jeunesse, peuvent être multiples et, s’articuler, pour se renforcer, les uns, les autres, de façon complémentaire et, fructueuse.

 

Quoi, qu’il en soit, le jeune pensera, toujours, à partager, ses passions, avec autrui, en richesse interactive, profitable, pour tous. Une passion, un talent, un rêve, ne valent, que s’ils sont mis, en commun. Une passion n’est pas, seulement, vouée, à se muer, en loisir, un loisir a, tout autant, vocation, à devenir, pour le junior, une passion.

 

Ainsi, de simple occupation récréative, du temps libre, un loisir peut-il devenir, une pratique permanente, voire, un métier et, une activité professionnelle. Tout rêve ardent a, pour destinée, de devenir réalité. Quels, que puissent être, les obstacles ou, aléas, il s’agit, de programmer, le meilleur moyen, de parvenir, à le faire vivre et, bien vivre. La personne juvénile peut, aussi, se faire aider, à cet effet. Pour s’accomplir, il convient, d’oser tenter, des entreprises inédites.

 

Cela, peut être, pour le jeune, un nouveau sport, qui passionne, motive, transporte, d’enthousiasme. Lequel, exigera, alors, une pratique fréquente et, soutenue. Ce peut être, en amateur ou, de façon professionnelle. De manière collective ou, individuelle. En structure organisée ou, de façon informelle. Tout junior, peut, aussi, développer, sa « fibre artistique », en matière, d’écriture, de musique, chant, peinture, dessin, photographie, sculpture ou, théâtre…

 

Il ne se contentera pas, de ses loisirs habituels, mais, n’hésitera pas, à en choisir, de nouveaux, pour se renouveler et, exploiter, des talents inédits. En dehors, des domaines sportifs ou, artistiques et, hors, des « sentiers battus » juvéniles, habituels. Cela, peut concerner, certaines collections, le monde, de la nature, faune, flore, une nouvelle langue étrangère. Les arts culinaires, l’artisanat d’art, l’ébénisterie, le modélisme…

 

L’essentiel, est de tenter, de nouvelles expériences enrichissantes. Pour être plus créatif et, inventif, comme plus passionné, il s’agit, de sortir, de ses habitudes et, routines récréatives. Certains jeunes masculins apprécieront, des activités physiques, plus extrêmes, trépidantes. Comme les sports aériens, la plongée sous-marine, la spéléologie, l’alpinisme…

 

Les juniors peuvent pratiquer, des activités, qu’ils ne connaissent pas, maîtrisent mal ou, qui ne correspondent pas, à leurs centres d’intérêt ou, leurs aptitudes habituels. Les voyages, proches ou, lointains, sont, aussi, une excellente pratique récréative, ne dit-on pas, qu’ils « forment la jeunesse » ? Ils lui permettent, de s’ouvrir l’esprit et, d’aller, à la rencontre, des autres, en leurs différences, d’explorer, des régions ou, contrées nouvelles.

 

Toute occasion est bonne, pour la néogénération, en son milieu, de vie, habituel ou, de façon ponctuelle, pour se passionner et, découvrir, de nouvelles passions. Que ce soit, aux antipodes ou, à quelques encablures, de chez soi. Le bénévolat permet, aussi, de se découvrir, des richesses inédites. Cela, est, particulièrement, formateur, pour les juniors et, peut prendre, des formes multiples et, inépuisables, pour aider, de façon oblative et, désintéressée, son prochain.

 

En fonction, de leurs affinités et, aptitudes. Cela, peut leur permettre, aussi, de se révéler, à eux-mêmes, découvrir, chez eux, des talents, goûts insoupçonnés, auparavant. Fondement idéal, pour d’autres activités, encore, à venir. Le jeune peut, toujours, pratiquer, de nouvelles activités, de loisirs, avec de nouvelles personnes. Les talents, des autres, peuvent lui permettre, de trouver, quels sont, les siens et, de les cultiver, avec passion juvénile, à l’exemple, d’autrui.

 

Les autres peuvent lui transmettre, cela, comme il peut, tout autant, communiquer, ses savoir-faire, à des tiers. La jeunesse peut, aussi, apprendre et, se former, par tous enseignements, lectures spécialisées ou, tous types, de moyens. Une passion ne vaut, que si elle est appliquée et, vécue. Il s’agit, donc, de s’informer, pour en découvrir, de nouvelles, approfondir, celles, déjà, existantes.

 

Par prudence, le junior sera circonspect, avisé, réfléchi. « Il ne lâchera pas, la proie, pour l’ombre », abandonnant, sur un coup de tête, ses occupations actuelles assurées. Pour d’illusoires mirages, des plus incertains. Avant, de « sauter le pas », il convient de, toujours, s’assurer, que sa nouvelle passion est solide, « tient la route » et, conviendra, sur la durée. Pour s’éviter, toute cuisante déconvenue ultérieure, faute, d’avoir testé, au préalable, la solidité, de ses nouvelles appétences juvéniles.


 

 


XVII


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

D’AUTODÉTERMINATION


 

[ ACCROÎTRE VOTRE CONNAISSANCE DE VOUS-MÊME DE NÉOGÉNÉRATION XY ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, une « familiarité optimale, de votre propre personne ». De façon efficace, durable et, profonde. En vertu, de l’humanisme antique, des Anciens. Une « bonne connaissance, de vous-même », peut nécessiter, pour vous, trois solutions androJeunologiques, optimums et, décisives. De nature cognitive, émotionnelle et, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à :

« Devenir, pleinement, vous-même ». – 49


 

 


> Permettre, à votre androJuvénilité

D’être, des plus « lucides, réalistes », sur vous-même. – 50


 

 


> Vous mener, junior masculin, à : vous assumer

Moralement, sans réserve, quoi qu’il en coûte. – 51


 

 


49 – Vous Assurer, Jeune Homme

De « Devenir Vous-Même » –


 

 

Vous développerez, une claire définition, de votre identité personnelle, propre, votre bonne individuation. Vous serez, « en lien, avec votre conscience ». Votre vie s’inscrit, en une succession et, évolution temporelles. Vous noterez, tous vos objectifs principaux, que vous avez réalisés et, ceux, que vous ambitionnez, de concrétiser. Ainsi, que toutes les occurrences notables, de votre existence.

 

Cela, illustrera, votre parcours, votre vécu, comme votre personnalité, de façon révélatrice et, capitale. Sans indulgence ni, sévérité, vous recenserez vos difficultés, pour mieux, vous réaliser. Toute votre chronologie existentielle, sera retracée, avec ses réalités, situations et, événements, pour éclairer, votre parcours et, baliser, votre avenir. De votre passé, à votre futur, via, votre présent, dans le temps et, l’espace.


 

 


> Concernant, la jeunesse, elle-même, autrui, les choses et, occurrences. En appréhendant, de façon égale et, détachée, relativisée, distanciée et, décentrée, de soi, les données, objectives et, subjectives. Tant positives, que neutres ou, négatives. Les pensées, émotions, comme comportements juvéniles, seront différenciés, de ceux, des autres. Le jeune fera la différence, entre ce qu’il pense, éprouve, fait et, veut faire, lui, quant à sa personne, ce qui le concerne et, quant à son destin propre.

 

Ainsi, qu’avec ce que les autres, la société, pensent, éprouvent, font et, veulent, qu’il pense, ressente, fasse, concernant lui-même, sa vie, son avenir. N’importe, que ce qu’il pense, ressent et, fait ou, veut faire, pour lui-même et, son existence. Car, le junior est seul, comptable et acteur, de lui-même et, de sa vie et, non, autrui. En toute souveraineté. « Les conseilleurs n’étant, jamais, les payeurs » !

 

Le junior doit être capable, de penser, de percevoir et, d’agir, par et, en lui-même, de sa propre libre initiative. En son âme et, conscience, selon, ses intimes conviction, intuition et, son for interne. Non, ceux, d’étrangers. Selon, ce qu’il estime être, son intérêt personnel supérieur, lequel, n’est pas, celui, d’autrui et, correspond, rarement, à celui, des autres, que lui-même.

 

Le jeune fera, donc, ses propres expériences et, apprentissages, prendra ses décisions et, fera ses choix, lui-même, pour et, par, lui-même. Il ne se fiera, donc, qu’à lui-même et, ses propres ressources. En autonomie, estime, confiance et, affirmation, de lui-même. Il aura foi, en lui, sa valeur, ses aptitudes, principes, son opinion, imposant, ses propres options, pour lui-même et, pour ce qui le concerne. La jeunesse vivra, sa vie, sa destinée, non, celles, des autres et, à sa façon, non, celle, d’autrui.

 

Selon, ses propres attentes, désirs et, envies, les plus profonds. En responsabilité, maturité, liberté et, indépendance juvéniles. Pour cela, il définira et, appliquera, scrupuleusement, un ensemble, de principes personnels, de vie. Les modes, de penser, émotionnels, comportementaux, négatifs et néfastes, seront remplacés, par le jeune, par de plus bénéfiques.

 

Les addictions et, pratiques, notamment, alimentaires toxiques, seront limitées ou, éliminées. Une saine alimentation et, une activité physique suffisante, s’imposent, toujours. Une bonne santé, physique et, psychique, morale et, sociale, est impérative, car, elle est gage, d’harmonie. En toute matière et, tout domaine, la jeunesse « mettra sa vie, en bon ordre, de marche et, de bataille ». Chaque problème, difficulté, blocage, sera résolu, aplani, pour « aller, de l’avant ».

 

Il s’agit, pour le junior, de « tenir, son plein rang », en l’univers et, sa société. Il est fort important, de se ménager, des moments, de calme, solitude, réflexion et, silence, pour prendre, du recul, se ressourcer et, mieux vivre. En se détachant, du quotidien, du monde extérieur et, de ses servitudes. La marche solitaire, dans la nature, en méditation, est, à cet égard, des plus bénéfiques et, salutaires, pour le jeune.

 

L’isolement régulier est gage, de transcendance, de soi, pour s’élever, se dépasser, se libérer, de soi, d’autrui, des fracas et, tourbillons, du quotidien. Cela, optimise, en outre, les ressources et, potentiels intérieurs. Il importe, aussi, de cultiver, d’entretenir, des centres d’intérêt, passions juvéniles propres.

 

En cas, de difficulté, particulière, qu’il ne parvient pas, à surmonter, seul, le jeune peut, toujours, faire appel, à l’aide, d’un tiers extérieur, de confiance. Lequel, saura, de façon appropriée, « lui faire franchir, l’obstacle », sans encombre et, être « un modèle, à suivre », en exemplarité. Le choix judicieux, des études et, de l’emploi adéquats est, aussi, des plus déterminants.

 

Cela, tiendra compte, des appétences, de la jeunesse, de ses aptitudes et, des débouchés professionnels, disponibles et, accessibles, dans le temps, comme l’espace. Un équilibre sera, aussi, à trouver, avec et, concernant, la vie personnelle, récréative et, sociale. Afin, d’atteindre, une harmonie juvénile existentielle, maximale.

 

Opter, pour de nouveaux paradigmes, peut s’imposer. L’obsession, de l’opinion, d’autrui, sur soi et, de l’image donnée, par le junior, sera annihilée. Il est, ce qu’il est et, ne saurait vouloir, être accepté et, apprécié, de tous ou, du plus grand nombre. Se suffisant, à lui-même, de façon fort autonome. Vouloir contenter, tout le monde, tout le temps, équivaut, à déplaire, à tous, en permanence.

 

La jeunesse acceptera, donc, de déplaire et, de ne « convenir », qu’à un certain nombre, de personnes, de façon provisoire et, temporaire, limitée, dans le temps. De manière, toujours, révocable et, à la discrétion, des autres. Le jeune doit, donc, accepter, le rejet, le désaveu, l’opprobre, la déconsidération et, le fait, de déplaire, à autrui et, de le décevoir.

 

Lui-même, n’aimant pas, « tout le monde, tout le temps ». Il est impossible, au junior, de contenter, l’humanité entière ! Il s’agit, en outre, d’être positif, quoi, qu’il arrive, car, cela, permet, de réussir, d’être heureux et, de surmonter, l’adversité existentielle. Quand, la négativité, ne l’autorise pas, mais, enferme, dans le marasme, la désespérance. La personne juvénile se posera, des questions et, les bonnes ! Notamment, les plus ardues, complexes et, elle y répondra, par écrit, de la meilleure façon. Cela, l’aidera, à bien mieux progresser et, plus vite, pas, à pas, en sa vie. Elle s’interrogera, sur son identité profonde, en ses atouts et, failles, car, « bien se connaître », permet, à la jeunesse, de mieux vivre.


 

 


50 – Appuyer Votre Lucidité

AndroJuvénile, Sur Vous-Même –


 

 

Vous serez capable, de fines introspection, conscience critique, de vous, positives, comme négatives. Déterminant, ainsi, votre identité profonde. Vous vous évaluerez, alors, objectivement. À cet effet, vous décrirez, préciserez, votre objectif existentiel, les éléments, événements, les plus marquants, de votre vie, évoquerez, vos spécificités, qualités, insuffisances.

 

Concernant, ces dernières, vous établirez bien, la différence, entre votre appréciation personnelle, à ce sujet et, celle, des autres, sur vous-même. Cela, vous permettra, de vous connaître, encore mieux. vous vous fixerez, des priorités de vie, qui seront, tels, autant, de révélateurs, fort significatifs, symptomatiques, de vous-même. Le tout, par ordre, d’importance décroissante. Vous analyserez, aussi, vos mutations, évolutions, progressions, comme, vos immobilismes et, régressions.


 

 


> Concernant, le passé, le jeune étudiera, en quoi, ce qu’il a vécu, a influé, sur ses modes, de pensée, émotionnels et, comportementaux, actuels. Les changements et, leurs particularismes éclairent, la personnalité et, les cognitions, affects et, conduites juvéniles. Les choses, du passé, balisant, celles, du présent. Il disséquera, comprendra, ses schémas cognitifs, émotionnels, comportementaux. Il prendra conscience, de ses attitudes, face, aux pensées, affects, conduites violents.

 

Il sera plus sage et, s’évaluera mieux, s’il perçoit, ce qui suscite, ces états « tumultueux » et, pourquoi. Le junior s’interrogera, sur son système, de refoulement et, transfert, pour l’annihiler, car, il est néfaste. Le refoulement est l’occultation cognitive, volontaire, pour oublier, une occurrence, qui gêne. Le transfert est un mécanisme réactif, face, à une réalité, qui n’est pas, le déclencheur, d’une difficulté donnée. La jeunesse découvrira, la cause, de ces syndromes et, comment, les réduire, du mieux possible.

 

La façon dont, le junior s’exprime, à son propre sujet, est révélatrice, sur son opinion, de lui-même et, du mode particulier, dont, il use, pour s’évaluer. L’équilibre, en la matière, consiste, à se préoccuper, de soi et, à évoquer, sa propre personne, de façon appropriée : ni trop, ni trop peu. Ni le narcissisme exacerbé ni, le total oubli ou, dédain, de soi, ne permettent, au jeune, de s’épanouir, pleinement, à son propre égard, comme, avec autrui.

 

« Être bien, avec soi » permettant, de l’être, avec les autres. Il comprendra, aussi, ses interactions, avec les autres. Ses façons d’être, avec autrui, le choix, de ses fréquentations, ses modes relationnels, éclairent, sa personnalité, ses goûts, inappétences, désirs, ambitions, priorités. Ses forces et, faiblesses, de jeunesse.

 

Pour bien, se connaître, le jeune rédigera, sa biographie, allant, à l’essentiel, sans détailler et, en usant, d’un minimum, de temps. En outre, il vérifiera, son aptitude ou, pas, à résister, à ses envies, désirs et, plaisirs. Ceux, qui savent attendre, surseoir, différer et, se priver, s’inscrire, en une certaine ascèse, réussissent mieux, sont, en meilleure santé, plus équilibrés. Ils sont plus heureux, mieux formés et, mieux insérés, en société.

 

Comme, des études, l’ont démontré. Les juniors, qui succombent, plus vite, plus souvent, plus facilement, à leurs penchants, inclinations, attirances et, désirs, souffrent plus, de marasmes existentiels. Ils s’adaptent moins, à la vie sociale, connaissent plus, d’échecs, voire, de déviances, d’addictions. Patience, capacité, à différer, ténacité, détermination, effort, abnégation, sont, donc, plus gages, de plénitude juvénile, que l’inverse.

 

Il est préférable, pour le junior, d’être « plein acteur, de sa vie », plutôt, que de la subir. De « prendre, activement, lui-même, les devants », plutôt, que de, passivement, se voir dicter, sa conduite, par autrui. Selon, la configuration, cela, est révélateur, du tempérament et, du caractère, qui font, la personnalité, du jeune. Il analysera, ses attitudes, dans les occurrences délicates et, complexes ou, inédites. Cela, révèle, s’il est capable, de résilience, d’adaptation ou, « coping », sachant, faire face, aux pires adversités ou, s’il se sent perdu, démuni, défaillant, impuissant et, paralysé, face, aux aléas juvéniles difficiles et, imprévus.

 

Quand, elle est, en situation, de domination favorable, à son avantage, la jeunesse verra, à quel point, en quoi et, pourquoi, cela, peut influer, sur ses pensées, émotions, comportements. Elle saura, aussi, ce qui a tendance, à influer, sur elle ou, non, comment et, pourquoi : personnes, choses, événements… D’un point de vue, cognitif, émotionnel et, comportemental.

 

Cela, éclaire fort, quant à la mentalité, de la personne juvénile. Elle peut être perméable ou, pas, à des contenus médiatiques, à ses parents, son type éducatif familial. À ses amis, relations sociales, scolaires, professionnelles, ses loisirs. Comme, aussi, ses liens affectifs, ses valeurs, idéaux, engagements, adhésions, ses dominantes culturelles, de jeune…

 

Réfléchir, permet, aussi, de comprendre, beaucoup, de choses et, de se comprendre, donc, connaître. Le junior pensera, à ce qui lui déplaît et, ne lui convient pas, en lui, de façon rédhibitoire, catégorique. En une sorte, de lâcher-prise, d’épreuve, de vérité, des plus salvateurs. Cela, mène, en toute humilité, sans auto accablement, à la « bonification, de soi », par l’ouverture d’esprit, la saine introspection et, autocritique et, l’évolution bénéfique. Le préadulte sera congruent, avec lui-même, sans, « se voiler, la face ni, se cacher, la réalité ».

 

Pour muter, favorablement, il s’agit, alors, d’accepter, de « voir, en face », la vraie motivation, de ses décisions. La vérité négative vaut, bien mieux, que le déni et, le mensonge positifs. Reconnaître, les difficultés et, failles, permet, de les surmonter. Les nier, les fait persister et, empirer ! Le jeune prendra en compte, tous les messages, qui lui sont transmis et, les avis émis, quant à sa personne. De façon relativisée et, distanciée, si la teneur est constructive, légitime et, recevable, mais, de manière attentive.

 

Cela, permet, si les opinions sont acceptables, de se corriger, progresser et, s’améliorer. Cela, ne signifie pas, pour autant, permettre, à autrui, de manipuler, l’existence, les pensées, émotions et, comportements, de la jeunesse. Elle se doit, d’agir, pour faire son devoir, défendre ses droits, se conformer, à son libre-arbitre, non, pour complaire, aux autres. Se prononcer, quant à la réalité, d’autrui, permet, aussi, de prendre conscience, de bons « remèdes », pour ce qui est, de son propre état.

 

Se comprendre est, aussi, permis, au jeune, par le fait, de, simplement, « pratiquer, sa propre existence », au quotidien, en le vivant, pleinement. Telle est, la meilleure façon et, bien plus, que les meilleures « auto analyses », du monde ! En voyageant, se cultivant, refusant, toutes attentes, à l’égard, de la vie, de soi, des autres et, d’autrui, sur soi. Cela, enrichit, la personne juvénile et, lui permet, de se relier, pleinement, à ses ressources intérieures, les plus denses et, profondes.


 

 


51 – Vous Renforcer, Junior Masculin

À Vous Assumer, Accepter, Moralement –


 

 

Vous vous assurerez, de votre libre-arbitre, votre accord, avec vous-même, votre conscience, votre maîtrise, de vous et, de votre destin. Votre connaissance, de vous, sans autojugement, de valeurs, vous permet, de prendre conscience, de votre identité. Cela, passe, par votre introspection cognitive, émotionnelle et, comportementale. Ce qui vous permet de, pleinement, vous accepter, sans autodévalorisation, sentiment, de honte ou, culpabilité.

 

Ainsi, vos pensées, affects et, conduites, seront « dénégativés et, positivés ». Vous verrez comment, vous percevez et, appréhendez, votre propre personne. En fonction, de vos paradigmes, idiosyncrasies, regard, sur l’Univers et, vous-même. Vous passerez, en revue, tous les domaines, qui contribuent, à façonner, votre identité, comme, votre personnalité, d’humain.


 

 


> Ce qui permettra, au junior, de s’identifier, à un certain nombre, d’entre eux, le concernant, plus particulièrement. Avec, en outre, ses responsabilités, place, rôles. En famille, en ses études, son travail, sa vie affective, amicale, au sein, de sa société, collectivité, communauté, ses milieux, de vie. Dans le temps, l’espace. Le fruit, de cette réflexion, sur soi-même et, de caractérisation, de soi, sera noté, par écrit.

 

En mentionnant bien, comment, en quoi, cette identité, du jeune, conditionne, sa personnalité, ses pensées, émotions, comportements. Cette prise de conscience, de soi, l’aidera, à maintenir et, affermir, les éléments positifs induits et, à corriger, ceux, qui sont plus négatifs. Ceux, qui sont neutres, pourront même, être transmutés, en principes positifs, pour la jeunesse.

 

Le junior aura, à « se définir ». Tout, ce qui est caractérisé, comme attributs négatifs, pourra être, fort positivement, infléchi. Les croyances, convictions, adhésions et, certitudes mentales et, émotionnelles, liées, à des réalités négatives, seront remises en cause. Pour devenir, plus positives et, favorables. Ce qui permettra, à la jeunesse, d’agir, plus positivement et, de façon différente.

 

Pour obtenir, des effets et, résultats, plus bénéfiques, pertinents, probants. Ses valeurs, principes, idéaux essentiels, seront isolés, déterminés et, appliqués, chaque jour, de façon effective. De nature fondamentale, endogène, personnelle, choisie, par volonté libre, ils assureront, au jeune, une identité tangible et, solide. Chaque valeur sera mise, à l’épreuve, en des conduites positives, afférentes et subséquentes, qui la valideront, décisivement.

 

Le junior dressera, de lui-même, un « tableau d’identification » positif. Cela, ne niera pas ni, n’occultera, pour autant, les réalités, négatives, neutres, de son existence. Toutefois, seuls, les éléments favorables, constructifs, productifs, sont, véritablement, constitutifs, de la pleine identité, la plus significative, authentique, fondamentale. La personne juvénile existe et, se constitue, des seuls vecteurs internes, de sa propre existence.

 

Les réalités externes, liées, aux autres, aux choses, situations et, événements, en sont exclues. Elles ne font pas partie, de la définition, de ce qu’elle est. Seules, ses valeurs propres, ont ce pouvoir constitutif. Quant aux vécus néfastes, ils ne servent, qu’à bien comprendre, apprendre, tirer, les enseignements, s’améliorer et, progresser. Jamais, à s’accabler, se dévaloriser, en sa jeunesse !

 

Quoi, qu’il en soit, le junior sera, toujours, lui-même. Qu’il agisse, selon, ses désirs authentiques et, fasse, ce qu’il a envie, de faire et, souhaite accomplir. Quels, que soient, les difficultés et, obstacles, craintes et, insuffisances. « Il n’est pas nécessaire, d’espérer, pour entreprendre, ni de réussir, pour persévérer ». (Guillaume III, d’Orange-Nassau, stathouder, notamment, de Hollande, roi, d’Angleterre, d’Écosse et, d’Irlande, 1650-1702).

 

Les rêves, projets, objectifs, du jeune, sont faits, pour être réalisés et, atteints, non, pour être « tués, dans l’œuf », avant terme. Il s’agit, donc, de prévoir et, d’organiser, de choisir, décider et, d’agir, pour parvenir, à ses légitimes et, bénéfiques fins, sans atermoiements. Quoi, qu’il puisse, en coûter, car, « le jeu en vaut, la chandelle ». Tout en intégrant, toujours, au préalable, la notion même, de difficulté, contretemps, d’échec, comme, de déception. L’essentiel, étant, pour la jeunesse, de maintenir, l’effort et, l’action, au maximum, des possibles et, souhaitables.

 

Afin, de continuer, sur sa voie, jusqu’au succès final, sans renonciation. Même, s’il n’y a pas, d’aboutissement terminal favorable, le jeune aura, malgré tout, la satisfaction et, la fierté, d’avoir essayé. Cet échec sera, le plus souvent, relatif et, provisoire, car, réversible. Il ne s’agira, que d’une étape, sur la voie, du succès ultérieur. Rien ou, presque, n’étant définitif, sur cette terre, hormis, la mort. Ces difficultés, de réalisation, ne seront, que le moyen, de se dépasser, se réaliser et, se transcender, par l’ « ascèse » juvénile.

 

Le tout, en interactions permanentes, avec autrui et, en don, de soi, aux autres, non, pour soi seul. Le but ultime, de la connaissance, de soi, n’a, en définitive, pas, pour finalité, soi-même et, le seul service, de soi. Or, au-delà et, surtout, le bien, des autres et, de la collectivité. Nul junior, ne peut, « se sauver, seul », que s’il contribue, aussi peu, que ce soit, au « Salut », de l’ensemble, du genre humain.


 

 


XVIII


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

DE MOBILISATION


 

[ AFFERMIR VOTRE CHANGEMENT DE JEUNESSE MÂLE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à définir, développer et, maintenir, toutes les mutations et, modifications, qui s’imposent, pour vous, en votre vie. Pour un accomplissement, de vous, efficace, durable et, profond. Accéder, aux changements, souhaitables et, bénéfiques, peut nécessiter, pour vous, un triple moyen androJeunologique, optimum et, décisif. De nature cognitive, émotionnelle et, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à :

Être, des plus lucidement, pragmatiques, pour évoluer. – 52


 

 


> Permettre, à votre personne androJuvénile, de trouver

Les meilleurs moyens, solutions, pour muter, progresser. – 53


 

 


> Vous mener, junior masculin, à : « lever

De façon appropriée, les blocages », pouvant faire obstacle

Aux infléchissements, amendements bénéfiques nécessaires. – 54


 

 


52 – Vous Assurer, Jeune Homme

De « Vous Réformer », Avec Pragmatisme –


 

 

Vous vous devez, d’appréhender, vos réalités, « telles, qu’elles sont ». En prise, de conscience, comme définition, sans fard, de vos difficultés vécues, de façon réaliste. Changer, votre vie, implique, au préalable, de changer, vous-même. Il s’agit, d’accepter, l’idée, de mutation, pour progresser, bénéfiquement. Toute évolution, marquante et, favorable, provient, de vous. Vos croyance, volonté, motivation, jeune, de changer, doivent être, très solidement, ancrées, en vous, pour rendre possible, votre moindre inflexion.

 

En certitude, que cela, vous sera « profitable », en tous domaines, pour vous et, votre existence. D’un point de vue cognitif, émotionnel et, comportemental. Le changement vous inquiète, souvent, plus, qu’il ne vous réjouit, même positif. La « force mentale intérieure » et, la bonne estime, confiance et, affirmation, de soi, vous permettent, de changer et, de le faire, de façon sereine.


 

 


> Le jeune s’encouragera et, se rassurera, en se remémorant, les mutations antérieures, réussies, qu’il a, déjà, été en mesure, de mener, à son profit. Tout changement, est fort conditionné, par des pensées, affects et, conduites positifs, dynamiques et, constructifs. En favorable appréciation, de soi et, de ses qualités, de junior. Veillant, très scrupuleusement, sur sa santé, physique, psychique, morale, comme sociale.

 

Avec, notamment, une alimentation, un sommeil et, une activité physique, optimums. Les cognitions, sentiments ou, actes, à modifier, seront identifiés et, changés, en pleine acceptation, de ses failles, comme, de ses vertus, atouts. La personne juvénile comprendra, aussi, pourquoi, elle veut, tel ou, tel changement, concernant, telle ou, telle chose et, saura, ce qu’elle veut, précisément, changer. Être conscient, des bénéfices objectifs, du changement, pour soi et, de sa finalité, aide, à le mener, avec succès.

 

Pour changer, le junior s’inscrira, en un « processus, de bataille », prédéfini et, fondé, par des projets et, objectifs précis. Cela, se fera, en plusieurs petites tâches, d’étapes, progressives et, successives, pour les rendre, plus faciles. Pour être accessibles, les changements seront, d’abord, modestes, puis, moyens et, pour finir, importants. En un agenda programmatique précis, dans le temps et, l’espace, avec buts et, étapes prédéterminés.

 

Tout bon objectif, de la jeunesse, redisons-le, est Smart. (Acronyme, signifiant, intelligent, malin, en anglais). Il est, Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et, Temporellement, défini. Cela, signifie, qu’il doit, avant tout, être, des plus précis, bien délimité, défini, strict, comme compréhensible et, simple. Chaque jour, le jeune « avancera », peu à peu, afin, de rendre possible et, effectif, le changement voulu.

 

En petits pas et, buts, impartis, chaque jour, de façon minimale, en effort, ténacité et, détermination, sans faille, de la jeunesse. Les desseins seront consignés, par écrit, pour s’encourager. Ils ne seront dévoilés, à autrui, que, seulement, après, avoir été atteints et, réalisés. Le secret est gage, de motivation, pour avoir, ensuite, la satisfaction et, fierté, d’annoncer ses « exploits » et, réussites, quand, ils sont effectifs, acquis.

 

Car, seuls, les résultats, tangibles et, avérés, comptent et, sont crédibles, jamais, les velléités et, simples effets, d’annonce. Le junior optimisera, sa vie, ne conservant, que l’essentiel, supprimant, sans pitié, le superflu, non indispensable. Temps, espace, préoccupations, activités, ne seront réservés, qu’aux Fondamentaux, de la personne juvénile. Pour ne se focaliser, que sur ses priorités et, évolutions majeures, les plus profitables et, sur soi-même et, ses intérêts, les plus éminents.

 

En patience, abnégation et, ascèse, de la  jeunesse. Temps, efforts et, sacrifices, seront nécessaires et, fort gages, de succès. Le changement est long, difficile, mais, gratifiant, une fois, réalisé. Il s’agit, de ne pas renoncer, tenir et, aller, au bout, du cheminement, jusqu’au succès final, quoi, qu’il en coûte. Le but étant fixé, le junior se donnera les moyens, de parvenir, il se battra, maintiendra le cap, parviendra, à muer.

 

Toute mutation, profonde, prolongée, mène, le cerveau, à créer, les connexions neuronales liées, durables. Ce qui aide, à maintenir, les bons habitudes, dispositions, changements juvéniles. Seuls, comptent, les modifications, objectifs, résultats, non, les aléas et, difficultés, la durée et, les efforts, pour les réaliser. Tout ceci, exige, de prendre, d’excellentes habitudes, systématiques et, à vie. Le jeune se fera aider, encourager et, motiver. Par un entourage, de confiance ou, une communauté d’entraide, bienveillants, compréhensifs.

 

La jeunesse rendra la pareille, en soutiens mutuels continus, sans faille. Une bonne habitude solide, est quotidienne. Plus, elle est fréquente, régulière, plus, elle est acquise et, devient, une « seconde nature ». Cela, interviendra, non, seulement, chaque jour, mais, aussi, à la même heure, voire, au même lieu. Alors, le cerveau et, l’organisme physique intégreront, ce « rituel », l’anticipant et, « s’armant », à cet effet, ce qui le facilitera et, l’ancrera, pour le jeune.

 

En autosuggestion, comme, en autoconditionnement, efficaces et, décisifs, d’un point de vue cognitif, émotionnel et, comportemental. Tout, ce qui favorise et, fixe, les bonnes habitudes, sera cultivé et, tout, ce qui suscite et, ancre, les mauvaises, sera éliminé. En moyenne, quelques mois sont nécessaires et, suffisent, pour pérenniser, les habitudes juvéniles positives et, définitivement, supprimer, celles, qui sont indésirables.


 

 


53 – Appuyer Votre Solutionnement

AndroJuvénile, Pour « Vous Remanier » –


 

 

Vous avez, à imaginer et, visualiser, mentalement et, de façon tangible, le destin exact, que vous souhaitez, avoir. Votre crainte, de l’incertitude, peut être surmontée, si vous savez, quel avenir, vous envisagez et, ambitionnez, de connaître. Pour cela, il s’agit, de savoir, quoi, changer, pourquoi, comment, en une vraie « vision », de votre futur. Votre claire appréhension, de vos desseins majeurs. Cela, passe, pour vous, par des « outils » prédéterminés, à mobiliser.

 

Ces moyens sont matériels, financiers, humains, cognitifs, émotionnels, comportementaux, intellectuels, de créativité… Il importe, aussi, de fort bien, vous informer, vous former, apprendre, comprendre, savoir, découvrir, faire des recherches. Pour vous éviter, les erreurs ou, insuffisances fatales et, doper, vos chances et, niveau, de compétences et, de réussite.


 

 


Connaître, la vie et, les réalisations, de ceux, dont, l’on ambitionne, de suivre, la même voie, s’impose, aussi, à la jeunesse, en modèles d’exemplarité. Ensuite, il convient, de rompre, définitivement et, complètement, avec son passé et, son existence antérieure, pour finaliser, concrétiser et, pérenniser, le changement. Habitudes, ancrages et, modes de vie, anciens et, dépassés, seront abandonnés et, remplacés, par le jeune, par d’autres, nouveaux et, plus d’actualité, pour « assurer, la mutation ». De fait, l’on ne supprime, véritablement, que ce que l’on remplace. Chaque évolution sera inscrite, au plus profond, du quotidien. En libres et, décisifs choix, décisions et, actions juvéniles résolus.

 

Le junior s’inscrira, en une démarche, de détermination et, de mise en œuvre active, des meilleures « solutions », les plus appropriées. Tout changement est, donc, une modification, d’habitudes. Ce qui impose, de briser, les routines, les plus intégrées, automatiques. Lesquelles, sont celles, des réflexes habituels mécaniques, conscients, inconscients et, subconscients, du quotidien, le plus « prosaïque ».

 

Changer, d’usages, implique, de modifier, ses pensées, émotions et, conduites, de chaque jour. Le jeune s’interrogera, sur sa destinée, constatera, si elle est en accord, avec ses valeurs, idéaux ontologiques. Il verra, ce qu’il souhaite léguer, quelle trace, il veut laisser, après, sa mort, quel lien, il entretient, avec autrui, quelle vision, il veut donner, de lui… La jeunesse saura, ce qu’elle a, à changer, pour rendre, tous les aspects, de sa vie, conformes, à ses principes axiologiques supérieurs.

 

Les relations humaines sont capitales, pour l’équilibre, du jeune et, doivent, donc, être harmonieuses et, variées, denses et, régulières. Cela, exige, disponibilité, efforts mutuels, don, de soi, ouverture, tolérance, concessions et, qualités, de cœur. Congruence, empathie et, compassion, compréhension et, indulgence, du junior. Tout en se préservant, des abus toxiques. Les liens habituels sont, à entretenir et, de nouveaux, peuvent être noués, en allant, vers les autres, de façon active, assurée et, humble.

 

Une vie uniforme, sans imprévus ni, surprises, est déprimante. La personne juvénile prendra, donc, soin, d’assurer, à sa vie, un minimum, de fantaisie et, de variété. Chaque jour, elle entreprendra, une action ou, activité, inédites. Cela, peut mener, aux changements majeurs, les plus radicaux et, bénéfiques ! La jeunesse se lancera, en des pratiques ou, entreprises neuves, pour elle.

 

Le junior changera, ses paradigmes, visions, positionnements. Il existera, au présent, non, au passé ou, au futur. Sans regrets, nostalgies ou, inquiétudes. Ainsi, sa vie actuelle, sera allègre et, apaisée, donc, plus gratifiante. Il ne retiendra, du passé, que le meilleur et, plus positif. Il n’envisagera, l’avenir, que de façon confiante et, favorable. La jeunesse aura, à l’esprit, que seule, compte, sa perception, d’elle-même, des autres, des choses, réalités et, situations, de la vie et, son existence.

 

Non, ce qu’est, réellement, l’univers terrestre, en ses multiples données. Il y a, toujours, plus démuni, que soi, en tout et, pour tout. Pourtant, souvent, ces vrais défavorisés, du sort, se sentent, plus heureux, que soi-même, alors, pourtant, bien mieux gratifié. D’autres, bien plus « nantis », que le jeune, sont, pourtant, bien moins rayonnants ! Ce qui démontre, que la plénitude, est un état d’esprit, qui dépend, de soi, moralement et, intérieurement et, non, de vecteurs artificiels matériels et, externes.

 

Il s’agit, donc, pour tout junior, de privilégier, tout le positif, de chaque chose et, de relativiser, tout le négatif. Sans autodévalorisation ni, jugement, d’autrui. Failles et, vertus, étant mêlées, chez tout humain. Privilégier, le bien, en tout et, pour tout, chez tous, ennoblit la vie, ne s’obséder, que du mal, réel ou, supposé, crée, les pires marasmes. « Comparaison, n’étant pas raison », il est vain et, toxique, de se mesurer, sans cesse, à l’aune, d’autrui.

 

La jeunesse est malheureuse, de placer, en parallèle, ses insuffisances, qu’elle met, à son débit, avec les acquis, des autres, qu’elle alloue, à leur crédit. Jalousies, envies et, rivalités, sont, à bannir. Tous et, tout, sont « limités », ici-bas, en « ombre et, lumière » mêlées. La personne juvénile, y compris. Rappelons, une fois, de plus, l’impératif, d’une bonne hygiène et, autodiscipline, de vie : activité sportive et, physique, alimentation et, sommeil, suffisants et, de qualité. L’apparence, physique et, vestimentaire, sera soignée.


 

 


54 – Renforcer l’Annihilation

De Vos Inerties, de Junior Masculin –


 

 

Vous serez capable, de résolution, pleine et, durable, de vos problèmes existentiels, rencontrés. Nous l’avons dit, vous avez, à vous détacher, de votre passé, quel, qu’il soit. Vous avez, d’abord, à définir, ce qui vous enferme, en votre vie antérieure. Vous recenserez, vos blocages, cognitifs, émotionnels et, comportementaux, qui freinent, votre évolution favorable.

 

Comme, les vecteurs positifs, qui gratifient, votre existence. Vous optimiserez, votre vie, en y mettant, le maximum, de nouveautés. Vous veillerez, à ce que vos émotions demeurent, facteurs bénéfiques, constructifs et, productifs, non, des obstacles, à votre plénitude. Même, les plus négatives, seront, ainsi, neutralisées, en dépit, de leur existence, bien réelle. Tout perfectionnisme sera banni, par vous, car, il est cause, d’échec et, de mal-être.


 

 


> Le jeune acceptera ses limites, faiblesses ou, erreurs et, échecs. Il passera, outre et, œuvrera, plutôt, à progresser, au mieux, de ses capacités, en fierté et, modestie. Il cessera, de vouloir, toujours, être « trop bon », avec tous. Il se contentera, d’être authentique, juste et, charitable. Prétendre, contenter, tout le monde, aboutit, à indisposer, la plupart, des personnes. Il s’agit, pour le junior, d’oser, refuser et, mécontenter, chagriner et, décevoir.

 

Il ne faut pas fuir, les problèmes, mais, les affronter. La procrastination sera combattue, en vertu, de l’excellent adage, selon, lequel, « ce qui est fait, n’est plus, à faire ». Toute tâche sera, donc, effectuée, au fur et, à mesure, sans report, afin, d’obtenir, les résultats, afférents et, subséquents, au mieux et, au plus vite. Comme, d’atteindre, les buts juvéniles fixés. Ce qui peut être fait, sur-le-champ, n’a pas, à être différé.

 

L’objectif, de la vie, est d’ « avancer ». Un minimum, d’intérêt, de motivation et, d’appétence, est, donc, nécessaire, pour cela. Le junior aura conscience, de la nécessité, d’agir. Il se persuadera, des bénéfices, à le faire et, des inconvénients, à s’abstenir. Il trouvera, des motifs, à se battre, pour faire sens, à son labeur quotidien. Il se focalisera, sur les avantages, objectifs et, effets, qu’il souhaite obtenir.

 

Seul, le but compte, non, la tâche, pour l’atteindre, aussi ingrate et, rebutante, soit-elle. Alors, le jeune saura dépasser, le désagrément provisoire, du travail, pour s’assurer et, jouir, des fruits, du résultat accompli, durablement et, de façon gratifiante. Le but, qui ne présente, aucune satisfaction, à son terme, sera remis en cause et, remplacé. Les étapes, à franchir, seront accessibles, tout en étant, raisonnablement, ambitieuses. Pas, à pas, progressivement. Chaque progression, de la jeunesse, sera réévaluée, en fonction, des précédentes.

 

La personne juvénile respectera, les engagements, qu’elle aura pris, à l’égard, de sa propre personne, en rigueur et, stricte autodiscipline, de vie. Tout objectif fixé, par soi-même, à soi, sera honoré et, réalisé, en respectant, les délais prévus et, excellemment. Pour avoir, une bonne opinion, de soi et, progresser, en succès et, ambition, comme dépassement, de soi. Se battre, permet, de réussir et, parvenir, autorise, d’être satisfait, de soi-même et, donc, très épanoui. Cela, renforce, estime, confiance et, affirmation, de soi.

 

Le jeune prendra soin, d’apprécier, chacun, de ses succès, il s’en félicitera et, récompensera, pour s’encourager, à maintenir, tout l’effort et, continuer, à progresser. Ce qui le mettra, en confiance et, dopera, ses aptitudes, à, toujours, faire, « plus, mieux et, plus vite », que ce qui est attendu, de lui, sans perfectionnisme, pour autant. Donnant, le meilleur, de lui-même, en excellence. Ce qui est très important. La jeunesse saura, se détendre, s’évader, méditer, s’élever, en sains ressourcements.

 

Le junior doit être son « meilleur ami » et, non, son « pire ennemi ». Il a, donc, à se gratifier, de façon raisonnable, mais, généreuse, non, à se mortifier, en pénitent, à la peine. Il doit, donc, se faire plaisir, par des loisirs récréatifs et, de saines détentes, notamment, musicales, audiovisuelles ou, sportives et, de relaxation physique. La jeunesse apprendra, à travailler, de façon, plus efficace, performante et, organisée, méthodique, rigoureuse et, concentrée.

 

Avec, de bons outils et, matériels idoines, au calme, en conditions optimales, de labeur. Elle choisira, un entourage, de personnes, de bonne influence et, bienveillantes, qui l’aideront, à progresser. De même, le jeune apportera, son concours, à autrui, en échanges, de bons procédés. De façon désintéressée et, altruiste, tout en en étant, humainement, fort gratifié.


 

 


XIX


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

DE COMMUNICATION


 

[ STIMULER VOTRE VIE RELATIONNELLE ANDROJUVÉNILE ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à acquérir, développer et, maintenir, une sociabilité, des liens, à autrui, les meilleurs. De façon efficace, durable et, profonde. Une vie relationnelle équilibrée peut nécessiter, pour vous, trois remèdes androJeunologiques optimums, décisifs. De nature cognitive, émotionnelle, comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à :

Entretenir, une fort saine affectivité. – 55


 

 


> Vous permettre une sociabilité

AndroJuvénile, des plus appropriées. – 56


 

 


> Vous mener, junior masculin, à :

Des interactions humaines, idéalement, riches, gratifiantes. – 57


 

 


55 – Vous Assurer, Jeune Homme

De Cultiver une Harmonieuse Affectivité –


 

 

Il importe, pour votre épanouissement, que vous soyez, en mesure, de nouer et, d’entretenir, de bons attachements affectifs harmonieux. Familiaux, amicaux et, sentimentaux. Il est, donc, capital, de vous y investir et, d’être disponible, pour autrui, à cet effet. Il s’agit, donc, de bien communiquer, d’échanger et, de vous comprendre, avec tous.

 

En dialogue, écoute mutuelle authentique, en compassion, empathie, congruence. L’autre, doit pouvoir dire, tout, ce qu’il a, à exprimer, en toute liberté et, tranquillité, sans être interrompu ni, jugé ou, « condamné ». Il sera écouté, avec la plus grande attention, soutenue et concentrée. Votre jeunesse s’intéressera, à l’autre et, l’interrogera, alors, en fonction, de ses propos. Lui démontrant, ainsi, que vous vous impliquez, pleinement, dans l’entretien.


 

 


> Le jeune tiendra compte, des signaux corporels, de son interlocuteur, qui sont, autant, d’ « indicateurs », de l’état d’esprit, de ce dernier. La meilleure façon, de bien comprendre, autrui, est de, toujours, chercher, à se mettre, à sa place. Pour pouvoir envisager, son point de vue, à lui et, non, celui, de l’écoutant. Cela, facilite, grandement, les interactions humaines et, apaise les liens.

 

L’objectif juvénile n’est pas, d’avoir raison, à tout prix, ni d’avoir « le dessus », de s’opposer et, marquer, ses divergences ou, donner son avis, coûte que coûte. L’autre, sera, toujours, laissé libre, d’être « différent » et, de penser « autrement ». Tout, ce qui nuit, au lien, d’un point de vue cognitif, émotionnel et, comportemental, sera abordé et, « déminé », par la jeunesse.

 

Seules, les difficultés relationnelles majeures, du junior, seront mises en avant, traitées. Pour maintenir, une « bonne harmonie relationnelle », il convient, que les perturbations, de moindre importance, soient éludées. Car, elles comptent, bien moins, que le lien, lui-même. Les concessions mutuelles sont, à cet égard, capitales. Le pardon accordé, à la personne, non, aux actes, en cause, est, aussi, vecteur, de paix, pour la jeunesse et, tous les êtres humains.

 

Cela, apaise, les ressentiments et, rancœurs, colères et, incompréhensions, au bénéfice, de tous. À la condition, que l’autre, admette sa faute et, accepte, que l’ « absolution », lui soit accordée. Pour nourrir et, renforcer, une relation, il est important, d’exprimer sa gratitude, pour tout, ce qu’elle apporte et, de remercier ceux, qui l’enrichissent. Cela, constitue, pour le jeune, un renforcement relationnel psychique, positif et déterminant, pour pérenniser et, bonifier, un lien.

 

Pour être, en fort bon terme, avec tous, il convient, pour la jeunesse, de se défier, de tous excès, de jugement, à l’égard, des autres. Cela, peut altérer, une relation, par abus, de préjugés, d’idées fausses, de conclusions hâtives. Il s’agit, donc, de privilégier, ouverture d’esprit, tolérance, indulgence, compréhension, pour accueillir autrui et, tout jeune, en sa diversité. Plutôt, que de le rejeter, sans appel, d’office, par a priori, ignorance et, crainte, des différences.

 

Les défauts et, imperfections, des autres, sont, ainsi, plus, à tolérer, qu’à rejeter, car, nul, n’est parfait ni, à l’abri, de tout reproche. Il est, toujours, possible, pour la personne juvénile, de dépasser, les apparences, pour découvrir, les qualités, « les plus cachées », de tout humain. Bien débuter et, conduire, un échange verbal, est crucial. Parler, avec quelqu’un, permet, de « saisir », sa personnalité, en son tempérament et, caractère. Ce qui est, un très bon préalable, pour la génération nouvelle, pour réussir et, approfondir, une relation ultérieure, avec tous et, chacun-e.

 

Une bonne relation, avec autrui, qu’elle soit familiale, amicale ou, sentimentale, exige, une fort bonne communication mutuelle. Le junior a tout intérêt, à traduire, sa pensée, ses émotions, comportements, en paroles claires, précises, nettes, explicites. De façon directe, franche, tout en étant respectueuses et, non blessantes. S’il tient, à être, parfaitement et correctement, entendu et, compris et, pour une « bonne harmonie relationnelle ». Pour éviter, à la jeunesse, tout malentendu, toute mauvaise interprétation et, toute incompréhension.

 

L’implicite n’étant, jamais, un mode d’échange significatif, efficace et, parlant, mais, source d’erreurs, faute, de rigueur explicative. « Toute chose allant mieux, en le disant » et, de la façon, la plus idoine. « Ce que l’on conçoit bien, s’énonce clairement, Et les mots, pour le dire, arrivent aisément ». (N. Boileau, homme de lettres, France, 1636-1711, L’Art poétique, Chant I, poème didactique, France, 1674). Le jeune doit dire, notamment, tout, ce qui le gêne, perturbe, ce dont, il a besoin, pour éviter, des difficultés accrues, s’il se tait.

 

Un adage dit que, « Les absents ont, toujours, tort ». (P. Néricault Destouches, dramaturge, France, 1680-1754, L’Obstacle imprévu, ou l’Obstacle sans Obstacle, I-6, pièce théâtrale, de comédie, France, 1717). Il en va, de même, des jeunes mutiques. Car, « Qui, ne dit mot, consent ». Selon, la formulation latine, du pape Boniface VIII. (Saint-Siège, 1235-1303). Qui tacet, consentire videtur, Qui se tait, semble consentir. L’écoute, authentique, soutenue, de la jeunesse, est tout aussi capitale, que la parole, pour « bien communiquer ».

 

En empathie, compassion et, congruence. Il y a, un temps, pour s’exprimer, soi-même et, un autre, pour entendre et, comprendre, l’expression, des autres. Ces moments, successifs et équilibrés, équitables, seront choisis, par la personne juvénile, de façon judicieuse, appropriée, pour n’avantager ni, léser, quiconque. L’interlocuteur parlera, librement, sans interruption, jusqu’au bout, de son raisonnement, tant, qu’il a, à s’exprimer.

 

Toute bonne relation implique, pour le junior, des limites préétablies, strictes et, infranchissables. Afin, d’assurer, le respect, de tous les protagonistes concernés. Comme, la qualité, la réussite, la pérennité, du lien, en cause. Cela, tend, à assurer, que chacun, des partenaires, prend, « sa pleine part », à la relation juvénile, de façon juste et, égale, « ni plus ni, moins ». Sans, que l’un-e ou, l’autre, n’outrepasse, ses droits et, prérogatives et, n’empiète, sur ceux, de l’autre.

 

Cela, passe, par des accords, concessions et, compromis réciproques, respectant l’intérêt, de tous et, chacun, en tolérance et, efforts mutuels. La liberté, la souveraineté, la dignité, comme l’intimité, de chaque jeune, seront préservées et, personne, ne cherchera, à manipuler ni, dominer, l’autre. Chacun, a à faire, des efforts, de bonne communication, pour permettre, au « meilleur, de soi », de se révéler, en toute authenticité.

 

En toute franchise, authenticité et, vérité, de la jeunesse, pour ne leurrer, ni soi ni, autrui. En endossant, ce que l’on souhaite, s’exprimant, à la première personne, du singulier. Sans juger, la personne, des autres, ni laisser juger, la sienne. Seuls, les actes, eux-mêmes, étant incriminables, quand, ils sont inacceptables. En bonne intelligence, pensées, émotions, comme comportements, sont à exprimer et, partager, par le junior, de façon mutuelle.

 

En pleine compréhension et, soutien réciproques. Pour prévenir, toute altération relationnelle ou, dépasser, une difficulté avérée, des échanges, bilatéraux ou, multilatéraux, il convient, de « faire le point », à ce sujet. Ainsi, les desseins et, modalités, du lien, pourront-ils, fort utilement, être rappelés ou, redéfinis, pour le redynamiser et, pérenniser. Les implications, en cause, ayant pu, évoluer et, muter. Cela, peut sauver, une relation, concernant, la personne juvénile.

 

Une entente, pleine et durable, ne va, jamais, de soi, pour le junior et, a fort besoin, d’être refondée et, éprouvée, renforcée, sur la durée. Il s’agit, de vérifier, de part et d’autre, que les raisons, avantages et, intérêts, communs et, de chacun, à maintenir la relation, l’emportent, toujours, sur ceux, à la rompre. Chacun, a, à faire part, à l’autre, de ses attentes et, satisfactions ou, insatisfactions, du lien entretenu.

 

Une bonne relation consiste, pour la jeunesse, à prendre bien soin, de l’autre et, à bien se comporter, avec lui ou, elle, en toute réciprocité. En respect mutuel intégral. Chacun, se fera respecter, de façon impérative, inconditionnelle et, absolue. En toute circonstance, quoi, qu’il arrive, en entente, comme, en dissension. Chaque jeune, aura, donc, la plus grande considération, pour les pensées, émotions et, comportements, de l’autre.

 

Une « charte, de bonne conduite » mutuelle, sera, préalablement, édictée et, suivie, par la jeunesse, à la lettre. Elle prévoira, tout, ce qui n’est, jamais, admis ni, négociable. D’un commun accord et, en l’intérêt, juste et équitable, de tous. Chacun, a, à apprécier, l’autre, à le lui démontrer et, faire ressentir, car, « Il n’y a pas, d’amour, mais, des preuves, d’amour ». (P. Reverdy, 1889-1960, poète, France, vers 1920).

 

L’essentiel, pour le jeune, est de, toujours, bien prendre conscience, de ce que le lien et, l’autre, apportent, positivement et, de leur en être reconnaissant. Leur témoignant, toute la gratitude afférente requise. Plutôt, que de ne retenir, que les travers et, mécomptes juvéniles, réels ou, supposés, de façon fort négative, en imprécations, reproches et, frustrations. Fondés ou, non.

 

Il est, aussi, essentiel, pour le junior, de partager, des temps privilégiés. Cela, permet, de resserrer les liens et, de rapprocher les personnes, en communion et, partage, autour, de moments forts, passés ensemble. Les activités, quotidiennes ou, régulières, prisées, par tous, seront pratiquées, pour le plus grand bonheur, de chacun.

 

Sans oublier, les pratiques inédites indispensables, pour sortir, des routines juvéniles sclérosantes et, vivifier ou, revivifier, les relations, de toute nature. Tout lien viable, oblige, à ne pas « enfermer, étouffer, éteindre », l’autre, en lui niant, toute existence propre, en dehors, de soi-même. Aussi proche et, forte, soit la relation, chacun, est et, reste, autonome, souverain, libre et, maître, de lui-même. La jeunesse ne se conforme, qu’à elle-même et, nuls autres.

 

Le jeune a, alors, le droit, absolu et incontestable, de vivre, sa propre vie, comme il l’entend, avec des fréquentations et, occupations, propres et distinctes. Un bon lien n’est, jamais, fusionnel, en amitié, en amour, comme, en famille et, société. N’être, qu’un, n’est, donc, qu’une illusion toxique. Chacun, n’existe, d’abord, que par et, pour, lui-même, aussi, forte et, proche, soit la relation, pour le junior.

 

Sinon, cette dernière est abusive et, nocive, de type sectaire, totalitaire. Personne, n’est, suffisamment, indispensable, important et, exceptionnel, pour s’imposer, de façon exclusive et, « concentrationnaire ». Une relation saine et, durable, impose, de ne pas être « prisonnier-s », l’un, de l’autre ou, les uns, des autres, en contact permanent. Or, plutôt, de façon plus espacée, pour ne pas causer, de « saturation » juvénile.

 

Cela, permet, au junior, de maintenir, un bon lien durable, en « respirations » régulières et, même, en amour et, vie de couple ou, familiale. Chacun, a, toujours, le droit, de fréquenter, librement, qui, il veut, tant, qu’il veut : amis, famille, relations sociales, professionnelles, autres. Cela, n’est pas incompatible, avec la fidélité, de couple ou, la force et, l’harmonie, du lien amoureux, amical ou, familial.

 

Même, en couple, la jeunesse conservera, donc, ses relations, amicales et familiales. Tout lien, étant, par définition, évolutif, dans le temps et, l’espace, tout comme, les individus, qui y sont concernés, il s’agit, d’en être conscient. Comme, d’accepter, à l’avance, les mutations, afférentes et subséquentes, impliquées, pour chacun et, pour la relation, elle-même. Généralement, cela, est positif, enrichissant et, régénère, tout lien, du jeune.

 

Le renouvelant, le sauvant, ainsi, des immobilismes et, stagnations, appauvrissants et dévitalisants. En outre, tout lien insatisfaisant, altéré, peut être « réparé » et, bonifié, par la jeunesse. Toute relation saine, équilibrée et, harmonieuse, consiste à, toujours, respecter, la liberté, la dignité et, l’intimité, de l’autre. Chacun, a le droit et, doit, se suffire, à lui-même et, exister, par et, en, lui-même, de façon, pleinement, autonome.

 

La jalousie, la possessivité et, l’envie, la rivalité, les violences et, les manipulations, n’ont aucune place, pour un jeune, en un lien, de qualité, quel, qu’il soit. La confiance, l’égalité, la confidentialité, le respect, de la vie privée, s’imposent, toujours. « Espionnage », domination, de l’autre, sont à proscrire. Tout abus relationnel, tout mauvais procédé, comportement, sont inacceptables et, indignes, d’une relation juvénile normale. Qu’elle soit amicale, sentimentale ou, familiale.


 

 


56 – Appuyer Votre Riche

Sociabilité AndroJuvénile –


 

 

Entretenir, d’enrichissantes interactions sociales : scolaires, professionnelles, de vie, vous permet, de vous épanouir et, « mieux vivre ». Entrer, en contact verbal, est le préalable, de toute sociabilité. Pour cela, il convient, tout d’abord, d’éluder, toute crainte, du rejet, de vous, par autrui. De fait, cette dernière, vous dissuade, d’entrer, en contact, avec les autres, conduit, à l’isolement et, au repli, sur vous.

 

Par préjugé négatif autodévalorisant. Votre phobie, de l’exclusion, doit être dépassée et, surmontée. En faisant prédominer, les avantages et, agréments, des liens humains, sur votre peur, des inconvénients, réels ou, supposés, car, votre isolement est bien pis. Vous vous convaincrez, à l’avance, que la plupart, des contacts, avec autrui, quel, qu’il soit, se passent, au mieux. Que vous avez plus, à y gagner, qu’à y perdre.


 

 


> Car, la plupart, des personnes, sont, plutôt, avenantes, bienveillantes, ouvertes, aux échanges. Plus, que renfrognées, malveillantes et, fermées ou, hostiles. En outre, il n’y a pas, pour la jeunesse, de vrai rejet, de soi, par l’autre, mais, le simple fait, de ne pas correspondre, à ses critères, de fréquentation, et / ou, ses centres d’intérêt. Nul, ne peut « plaire », à tous, de même, que tous, ne lui conviennent pas ! Le jeune sélectionne ses relations, tout comme, les autres, le font.

 

Il convient, d’opter, pour un langage corporel, d’ouverture. Afin, de demeurer accessible, aux autres, être disponible, accueillant, souriant, « faire bonne figure », s’impose. L’échange, le plus sérieux, profond, pour la personne juvénile, commence, par une prise, de contact, sous forme légère. Sur des sujets anodins, avec humour et, badinerie. En abordant, des sujets généraux, pour que l’interlocuteur soit, à l’aise et, en confiance.

 

Optant, pour des questions ouvertes, donnant, toute latitude, au junior, de répondre, à sa guise et, de façon détaillée. Alors, qu’une interrogation fermée n’appelle, qu’une réponse laconique et, restreinte, par la négative ou, l’affirmative. Les humains, jeunesse comprise, préfèrent, une personne, qui leur prête attention, plutôt, que quelqu’un, qui ne se soucie, que de « briller et, se faire valoir ».

 

Une bonne sociabilité commence, toujours, par le fait, de s’intéresser, aux autres, en les interrogeant, sur eux-mêmes. Non, à se mettre, en avant, monopoliser, la parole et, ne parler, que de soi. Le jeune se focalisera, donc, sur les passions, goûts, préférences, activités, projets, objectifs, des autres. Il restera, toujours, ouvert, à des nouveaux liens éventuels.

 

Cela, permet, de s’enrichir, mutuellement, en « découvrant », de nouvelles personnes. Plutôt, que de, toujours, s’en tenir, à un entourage habituel, familier et, restreint. Il suffit, à la jeunesse, d’un minimum, de confiance, d’optimisme, d’ouverture, de curiosité d’esprit. Il vaut mieux, faire crédit, aux autres et, les considérer, de façon favorable, que s’en défier, de façon trop suspicieuse, tout en se préservant, des abus éventuels.

 

Il convient, pour le jeune, de prendre les devants, de provoquer les choses, d’aller, vers les autres, avec assurance et, humilité. Non, pour s’imposer ni, pour « quémander », mais, pour proposer, un contact humain. L’autre, « disposant » et, étant, toujours, libre, d’accepter ou, de refuser l’échange. Si la personne juvénile voit un congénère trop solitaire, il peut lui parler, pour l’aider, à s’intégrer, aux autres et, se sentir mieux.

 

Il s’agit, aussi, pour le junior, de savoir comprendre, les autres et, bien déchiffrer, percevoir, ce qu’ils pensent et, éprouvent, en fonction, de leur langage corporel. Sans, se fier, aux seules apparences et, aux signaux artificiels et, superficiels. Débuter, un lien, n’est pas chose, à prendre, à la légère. Cela, commence, par « se rapprocher », de ses relations habituelles, comme, de nouvelles, potentielles. Le monde fourmille, de possibilités et, d’occasions, de rencontres et, relations inédites.

 

Il suffit, au jeune, de rester ouvert et, attentif, à toute occasion, en la matière. Comme, de se mettre, fort activement, en quête, des autres et, de nouveaux contacts. Se faire, les meilleurs amis, possibles, est à la portée, de tous. Même, les préadultes, les plus introvertis, timides ou, peu assurés, peuvent, toujours, proposer, aux autres, « le meilleur ».

 

Une bonne discussion, une activité enrichissante et, leur amitié. Opter, pour de nouvelles occupations récréatives ou, passions, permet, aussi, à la jeunesse, d’entamer, de nouvelles relations, en tout milieu, de vie. En fonction, d’affinités électives, en commun et, partagées, ce qui rapproche. Il s’agit, de sortir, de sa « zone, de confort », habituelle et, de soi-même, pour aller, à la « rencontre, de l’Univers ».

 

Ce qui est gage, de liens réalisés, réussis. À chaque jeune, de convier, le plus souvent, possible, le plus, de monde, possible. À toutes sortes, d’occasions et, de rencontres, comme, de réjouissances, festives et conviviales, d’activités, en commun, des plus variées et, de tous types, en tous domaines. De même, la personne juvénile acceptera, de souscrire, à un maximum, d’invitations, de tous genres.

 

L’essentiel, pour le junior, est de participer, quitte, à renoncer, après coup, si la manifestation concernée, ne convient pas. Il évitera, de rester enfermé, seul, chez lui et, sera, le plus souvent, à l’extérieur, en compagnie, d’autres personnes. Pour être, le plus sociable, possible. Ce n’est pas, chez soi, que l’on fait des rencontres, mais, partout, ailleurs, dans le vaste monde.

 

Plus, le jeune « sort, de sa coquille », mieux, cela, vaut, pour son ouverture, aux autres et, les occasions, de contact, avec eux. Plus, il le fera, plus, il s’y habituera, y prendra goût, y sera à l’aise et, plus, il développera, positivement, ses compétences relationnelles et, des liens fructueux. En outre, une riche sociabilité permet, d’être plus épanoui. Alors, que l’excès, de solitude et, repli, sur soi, isole, la jeunesse, de tout et, de tous et, peut compromettre, sa plénitude.

 

Le jeune peut, aussi, bien plus, participer, à sa vie scolaire ou, professionnelle. Ce qui lui permet, en un milieu, en lequel, il passe, beaucoup, de temps, chaque jour, de multiplier, les occasions, de relations intéressantes. Il suffit, pour cela, de s’engager, en un maximum, d’activités, d’organisations et, de manifestations, réunissant, élèves, étudiants ou, actifs.

 

Dans le contexte, de leur travail. En état d’esprit interactif, collectif, coopératif, des plus productifs, constructifs et, positifs, au profit, de tous. La personne juvénile privilégiera, les contacts et, les relations directs, de terrain, « en chair et, en os », plutôt, que via, Internet et, les réseaux sociaux. Les liens, à distance et, virtuels, sur écrans, seront fort limités, au profit, de la « vie réelle ».

 

Seuls, les liens personnels, directs, comme concrets, du jeune, avec des humains prédéterminés, « d’homme, à homme », sont, véritablement, significatifs. Comme déterminants, durables et, profonds. Nul écran, ne peut remplacer, la vraie richesse humaine, de socialisation, des liens, de vie, au quotidien, les plus tangibles. Le junior a, ensuite, à pérenniser et, enraciner, ses relations, avec autrui.

 

Cela, exige, du temps, du doigté, des habiletés sociales, de la patience, de la persévérance, des efforts, comme, de la détermination… Cela, s’impose, pour des liens juvéniles durables, profonds, de qualité et, intéressants et, non artificiels, superficiels, éphémères et, de « faible valeur ajoutée ». « Brûler, les étapes », altère, affaiblit, les relations et, les détruit. Seul, le temps, les bonifie, renforce, pérennise, au profit, de la jeunesse.

 

En très délicate et, complexe construction progressive, pas, à pas, sur la longue durée. En concessions, élaborations, échanges, dons, de soi mutuels, incessants, du jeune. Toute relation s’entretient, avec constance et, régularité, pour la faire vivre et, durer, en qualité et, intensité, par contact permanent ou, fréquent. Sinon, le lien s’éteint, de lui-même, faute, de maintien suffisant, de tous les protagonistes juniors, alors, impliqués.

 

Communications, rencontres et, activités, en commun, régulières et, soutenues, sont, donc, toujours, de mise, pour conserver, densifier et, prolonger, le lien. Au mieux et, au maximum. Chaque personne juvénile, doit, donc, « y mettre, du sien », en pleine réciprocité. Pour « entretenir le feu », de l’amitié, comme, de l’amour ou, de tout lien social ou, humain. Bilatéral, comme multipolaire.

 

En vertu, de la célèbre devise traditionnelle, de la Suisse : « Unus, pro omnibus, omnes, pro uno, Un, pour tous, tous, pour un » ! Chaque junior « apportant, sa pierre, à l’édifice », en équitable et, mutuelle participation, en présence, disponibilité, sans faille. Toutes les occasions, de partages, seront saisies et, planifiées, à l’avance, en un agenda écrit, rigoureux et, respecté.

 

Assurant, la présence, comme la participation, des jeunes, fort régulières et, actives, à un maximum, d’événements, en commun. Chacun, engageant, sa parole et, sa promesse, de s’y impliquer et, d’y assister. En outre, le préadulte veillera, à se ménager, des temps, de solitude, comme consacrés, à lui-même, tout aussi importants, pour son plein épanouissement juvénile personnel et, son « ressourcement » intérieur.

 

Le but, de la jeunesse, n’est pas, de démultiplier, les liens superficiels, de toutes sortes et, tous azimuts, mais, de privilégier, des relations limitées, choisies et, de qualité. En cercles restreints, mais, denses. Cela, différencie, ainsi, les amitiés structurelles, profondes et, authentiques, car, durables, des simples camaraderies, conjoncturelles et, ponctuelles ou, d’occasion, car, limitées.

 

La qualité relationnelle dépend, très largement, pour le jeune, de la capacité, d’écoute mutuelle, la plus authentique, attentionnée, concentrée. En s’investissant, pleinement, en temps, énergie, focalisation et, intérêt sincère, pour autrui. En empathie, congruence et, compassion. Comme toujours, don désintéressé, de soi, en oblative abnégation juvénile.

 

Outre, que, conseils et, aide, soutien et, compréhension, en l’épreuve et, quand vient, le temps, du chagrin, autant, que de besoin. Sans oublier, de partager, joies, succès et, bonheurs, des autres. Il convient, pour le junior, de, toujours, s’enquérir, de l’autre et, de se manifester, auprès, de la personne concernée, avec sollicitude. Avant, comme après, tout événement, heureux ou, malheureux. En fort bienveillante présence active. Cela, témoigne, de sa proximité et, de son intérêt, pour autrui, en chaleur humaine.

 

Il importe, pour la jeunesse, de, toujours, démontrer, aux autres, son attachement et, son admiration profonds, car : « Il n’y a pas, d’amour, il n’y a, que des preuves, d’amour ». (P. Reverdy, poète, France, 1889-1960, vers 1920, op. cit.). En gratitude, remerciement, satisfaction et, affection. Il faut, toujours, signifier, à l’autre, combien, il nous apporte et, combien, à ce titre, le jeune apprécie, ses vertus, bienfaits, qualités. Lui est redevable, reconnaissant, « à la vie, à la mort ». À charge éternelle, de réciprocité fidèle, indéfectible et, ardente.


 

 


57 – Renforcer Vos Interactions

Humaines, de Junior Masculin –


 

 

Communication idoine, image personnelle positive, bons liens, à soi et, autrui, sont gages, d’intégration sociale réussie, pour vous. Vous aurez, donc, à maîtriser, vos meilleures aptitudes relationnelles, à cet effet. Cela, passe, tout d’abord, par votre communication non verbale « appropriée ». Cela, implique, vos manifestations faciales, gestuelle, intonations vocales.

 

Vos signes visuels l’emportent, sur ceux, qui sont sonores. En toute communication, votre non-verbal compte, pour près, des deux tiers, votre langage verbal, pour un peu plus, d’un tiers, seulement. Votre bonne expression, non verbale, consiste, pour vous, à exprimer, vos pensées, émotions et, comportements, de façon adéquate. Pour être perçu, interprété, de manière optimale, juste, non faussée ou, erronée, par autrui.


 

 


> Le jeune optera, pour le langage corporel, qui lui convient, le mieux et, est le plus « adapté », aux situations et, interlocuteurs. Il convient, aussi, de prendre en considération, les us culturels, des différents peuples concernés, pour ne pas commettre, d’impair. De fait, les mêmes gestuelles et, conduites, non verbales, peuvent avoir, pour le junior, des significations, radicalement, différentes, opposées et, antagoniques.

 

Selon, les différents pays et, civilisations. Il convient, donc, d’être, des plus circonspects et, « avertis », en la matière. De même, les personnes juvéniles, de sexe masculin, auront une approche, non verbale, très différente, de leurs homologues féminines. Les filles sourient et, observent, quand, les garçons, sont plus physiques. Les filles écoutent plus, interrompent moins et, comprennent mieux, les expressions faciales. Les garçons préfèrent, passer, à l’action.

 

Bien communiquer, consiste, pour le junior, à bien maîtriser, ses codes, signes, cognitifs, émotionnels et, comportementaux. La première règle, est de demeurer serein, paisible, impavide, quoi, qu’il arrive. Comme, de respirer, bien profondément, de façon abdominale et, non thoracique, sans tensions ni, crispations juvéniles. En pleines estime, confiance et, affirmation assertive, de soi.

 

Ce qui permet, d’en imposer, favorablement, comme, positivement, à autrui. Toute communication, est perfectible, par une stratégie interactive appropriée. Le but, du jeune, est, que tout message transmis, ait été, parfaitement, perçu, compris et, assimilé, par l’interlocuteur. Si tel, est le cas, « la mission est accomplie ». Sinon, il s’agit, de tirer, tous les enseignements, de ce qui n’a pas « fonctionné ».

 

Pour mieux aboutir, ultérieurement. Cela, exige, de la jeunesse, un bon potentiel et, des aptitudes solides, d’argumentation et, d’aplomb, de conviction, persuasion. Par raisonnement et, logique imparables, irréfutables et, des plus objectifs. Le langage corporel non verbal sera, des plus engageants, rassurants, apaisants, en écoute, disponibilité et, compréhension bienveillante.

 

En foi et, volonté, motivation et, confiance. Un échange juvénile performant exige, des interrogations, compréhensibles et franches, pour bien, « se faire saisir ». Sans ambiguïtés, faux-semblants, erreurs, d’interprétation, malentendus, des plus dommageables. Avec un maximum, d’informations, claires et audibles, en un minimum, de temps, sans, pour autant, pour le jeune, « saturer », autrui.

 

Les échanges, du junior, seront équitables et, équilibrés. Chaque protagoniste parlera, la moitié, du temps, en cas, de deux interlocuteurs. Le tiers, pour trois locuteurs. Le quart, pour quatre… Chacun, se focalisant, sur ce que, celui ou, celle, qui s’exprime, dit. Une communication performante implique, pour le jeune, au minimum, cinq éléments fondamentaux.

 

L’information, la pertinence, la crédibilité, la courtoisie, la simplicité. Le mode d’expression, la composition, de l’échange, sont capitaux, conditionnent, l’impact, l’efficacité, du verbe, de la gestuelle. Pour cela, l’information sera inédite, unique, indisponible, ailleurs, par d’autres canaux, l’entremise, d’autres personnes, sources. La parole juvénile sera pertinente, intéressante, enrichissante, avec une vraie « valeur ajoutée », pour tous.

 

L’information sera, pour le junior, crédible, sûre, vérifiée, vérifiable, recoupée, authentique, certifiée, comme telle. Le tout, dans le plein et, strict respect, des lois protocolaires, des bienséances et, préséances, en vigueur. En modestie et, humilité, altruisme et, tout autant, assurance, conviction et, affirmation, de soi. Le jeune a, à maîtriser, l’opinion et, l’évaluation, d’autrui, sur sa personne et, ses propos, c’est-à-dire, l’image, qu’il donne, de lui, aux autres.

 

Plutôt, que de rechercher, provoquer, l’affrontement, la dissension et, la rupture, il privilégiera, l’entente, le consensus, le compromis, la compréhension et, les concessions mutuelles. L’accent sera mis, sur les éléments convergents, plutôt, que divergents. Il vaut mieux, pour la jeunesse, « le plus petit dénominateur commun », que le plus grand, parfaitement, étranger, à toutes les parties, en présence.

 

La solution amiable est, toujours, bien meilleure, pour la nouvelle génération, que le conflit, le contentieux, les guerres d’usure et, séparations définitives, violentes. Une tractation ou, transaction délicate peut, aussi, être, provisoirement, arrêtée, d’un commun accord. Pour être reprise, ultérieurement, en de meilleurs contexte et, conditions.

 

Ainsi, elle aura, de meilleures chances, d’aboutir, sur d’autres bases, plus favorables. Le junior évitera, les conclusions hâtives, fausses interprétations, comme supputations gratuites. Il ira droit au but, sans circonvolutions, circonlocutions, détours abscons, inutiles, comme contre-productifs. Les hypothèses, conjectures, propos, à double sens, sous-entendus, allusions et, autres détours, seront évités, par le jeune.

 

Pour bien se prémunir, de la part du junior, de tout dommageable malentendu, afférent et, subséquent. Toute zone d’ombre, tout doute, toute interrogation, toute incertitude, tout risque, de mauvaise interprétation, seront éclaircis et, levés. Une communication performante, de la jeunesse, exige, une limpidité, qui garantit, que tous les protagonistes et, interlocuteurs, comprennent bien, la même chose et, « la bonne ». Sans aucune erreur ni, ambiguïté possibles. Seules, la persuasion, comme la conviction juvéniles, valent. Prétendre, se faire comprendre et, accepter ou, obtenir gain de cause, par la force et, la violence, est, toujours, amoral et, voué, à l’échec total.


 

 


XX


 

 

VOTRE ANDROJEUNOLOGIE®

D’ACCOMPLISSEMENT DE SOI


 

[ ACCROÎTRE VOS ASPIRATIONS FONDAMENTALES NÉOGÉNÉRATIONNELLES XY ]


 

 

Votre AndroJeunoConseil® vous apprend à déterminer, développer et, maintenir, vos desseins, de vie, essentiels, enrichissants et, significatifs. De façon efficace, durable et, profonde. Réaliser, vos aspirations fondamentales, peut nécessiter, pour vous, une triple solution androJeunologique, optimum et, décisive. De nature cognitive, émotionnelle, comme comportementale.


 

 


> Vous aider, jeune homme, à :

Concrétiser, tous vos impératifs existentiels majeurs. – 58


 

 


> Permettre, à votre personne androJuvénile, d’assumer, assurer

Vos préférences prioritaires, de cheminement de vie. – 59


 

 


> Vous mener, junior masculin, à vous autoconditionner, à :

Toujours, résolument, agir et réussir, en toute plénitude. – 60


 

 


58 – Vous Assurer, Jeune Homme

De Réaliser Vos Impératifs Existentiels –


 

 

Vous établirez, une définition précise, de vos réalités, attentes et, besoins capitaux, pour définir, vos aspirations premières. Pour cela, vous préparerez, un « schéma existentiel ». Commençant, par fixer, vos priorités, les plus essentielles. Vous vous interrogerez, sur votre place, votre statut et, votre rôle actuels, en société. Vous noterez, par écrit, les différents positionnements, que vous y occupez, préciserez, ceux, qui sont, dominants et, majeurs.

 

Ensuite, vous détaillerez, les « responsabilités », que vous souhaitez tenir, à l’avenir, en votre destin. Il peut être souhaitable, nécessaire, bénéfique, voire, indispensable, de supprimer, certaines vocations, fonctions, d’en instaurer, d’autres. Vos ambitions correspondent, à vos plus ardents quêtes, espérances et, désirs. Puis, il s’agira, pour vous, de comprendre, pourquoi et, comment, vos futures et, nouvelles positions, outre, les actuelles, parmi, celles, maintenues, seront exercées.


 

 


> Cela, peut être, par ambition sociale, aux fins, d’ « utilité », aux autres, pour donner un sens, à sa vie, se dépasser, faire fortune, comme se cultiver… Les meilleures façons, pour la jeunesse, d’y parvenir, seront, également, spécifiées. Elle écrira, toutes ses aspirations, pour être, en « ordre de bataille » et, concrétiser, ses désirs profonds.

 

Pour cela, les ressources et, nécessités, physiques et, psychiques, morales et, sociales, cognitives, émotionnelles et, comportementales, seront recensées. Puis, mobilisées, appliquées. Le jeune s’impartira, en fonction, des éléments précédents, des desseins et, des buts afférents. Classés, par domaines, de vie et, d’activités. Ainsi, la vie scolaire et, professionnelle, sociale, familiale, personnelle, récréative, de la nouvelle génération…

 

Ces objectifs, du junior, seront fort précis et, limités, dans le temps. La meilleure façon appropriée, de réaliser, ses souhaits, sera prédéfinie. Des étapes successives, de cheminement et, d’exécution, seront préparées. Entre le moment présent, la situation actuelle, le temps imparti futur, de concrétisation, des desseins. Puis, elles seront franchies, une, à une, progressivement. Un « programme, d’aspirations », sera élaboré et, mis en application, par la jeunesse.

 

Chaque but, de vie, se verra attribuer, les jalons chronologiques correspondants, de réalisation. De la façon, la plus précise et, détaillée. Ce « schéma existentiel » sera, régulièrement, actualisé, remanié, amendé, afin, de tenir compte, des changements, évolutions, inflexions, du jeune et, de sa vie. Cela, permet, aussi, de vérifier, que chaque dessein, de vie, a été réalisé, atteint. Les buts obsolètes seront supprimés et, de nouveaux, souhaitables, seront inscrits, dès, qu’ils correspondront, à des priorités juvéniles inédites et, prometteuses.

 

Chaque junior a, à s’imposer, ès qualité, en tant, que tel. Il doit, s’autoriser, à choisir, décider et, agir, comme, il l’entend, librement. En toute souveraineté cognitive, émotionnelle, comportementale, estime, confiance et, affirmation, de soi. Pour évoluer, tel, qu’il l’entend. Convaincu, que cela, lui est, toujours, parfaitement, loisible. Lui seul, peut agir, pour, par et, de lui-même, pour vivre, « à sa façon ».

 

Le jeune peut, toujours, appliquer, ses propres principes, tel est, son droit et, son devoir. Il a, à développer, ce qui lui convient et, changer, drastiquement, ce qui l’indispose. Il lui appartient, de façonner, son existence, à sa mesure et, à sa guise. « Ici et, maintenant » ! En l’objectif, qu’elle lui convienne, au maximum, pour y réussir, prospérer, être heureux, en sa jeunesse.

 

Le jeune est acteur, de lui-même et, de sa propre vie, il se gouverne, lui-même, existe, par lui-même et, non, par le « truchement », d’autrui. Il a, donc, à décider, pour et, par, lui-même, sans laisser, les autres, le faire, pour lui. Il prendra garde à, toujours, détenir la maîtrise, de lui-même, de son existence. Même, si les avis et, éclairages, d’autrui, peuvent être utiles.

 

Tout, ce que le junior est, fait, a, paraît, est corrélé, à ses idéaux, valeurs, engagements, adhésions, croyances, desseins. Ceux-ci conditionnent, son existence entière. D’où, l’importance, de les déterminer, avec le plus grand soin et, les appliquer, pour soi-même et, sa vie, avec force et, rigueur. Les valeurs juvéniles définissent, qui et, ce qu’il est, autant, que sa personne retentit, sur ses idéaux.

 

Le junior a, à tenir, le plus grand compte, de façon ample et, ambitieuse, de ses rêves, désirs, envies, les plus nobles, dignes et, ardents. Il a, donc, à les déterminer, de la façon, la plus exacte et, précise, afin, de savoir, ce qu’il entend faire, de sa vie, pour lui donner, son plein sens. Assurer, au mieux, sa mission, son dessein et, destin existentiels. Le jeune a, alors, à « suivre, sa voie terrestre », au long, de son passage, ici-bas.

 

Il aura, des objectifs, projets actifs, non, des attentes passives et, ignorera, toujours, fermement, les souhaits, des autres, à son égard. Il ne se préoccupera ni, de son image ni, de l’opinion, d’autrui, à son sujet. La jeunesse a, à « être, elle-même et, la mesure, d’elle-même ». Se dirigeant, par ses appréciations propres, non, celles, des autres, pairs ou, adultes, même, si elle est, encore, au début, de son existence.

 

Vouloir, toujours, en tout et, pour tout, contenter, tous et, chacun, équivaut, à mécontenter, tout le monde et, se brouiller, avec tous. Le jeune veillera, donc, à, d’abord, se satisfaire, lui-même. Trop, se préoccuper, d’autrui, non, assez, de soi-même, conduit, à l’immobilisme et, l’échec. Se soucier, de soi-même, n’est, en rien, incompatible, avec l’altruisme nécessaire.

 

Le junior n’aura, pour balise, que lui-même, ne suivant, que sa conscience, son for interne, son intuition, ses convictions, certitudes, les plus profonds. Optant et, décidant, toujours, selon, ses propres valeurs, les plus ancrées et, sûres. Il rejettera fort, tout, ce que sa conscience, lui fera refuser. La personne juvénile n’a besoin, d’être reconnue, approuvée, encouragée, estimée, comprise, soutenue et, gratifiée, que par elle-même, non, par autrui.

 

Le junior a, à évaluer, seul, ce qu’il veut et, doit être et, faire, en conformité étroite, avec ses valeurs et, idéaux. Il décidera, lui-même, de ce qu’il estime, le meilleur et, le plus juste, pour sa personne et, sa vie. Il prendra conscience, de l’importance et, la force, de ses pensées, émotions et, comportements, pour lui-même et, son existence.

 

Ses cognitions juvéniles conditionnent, ses affects et, conduites. La clé, de la santé, réussite, la prospérité, la félicité, est de penser, positivement, à ce qui convient et, non, négativement, à ce qui ne va pas. En étant confiant, optimiste, rayonnant, le jeune se réalise, s’accomplit. Pessimiste, défaitiste et, morne, il s’abîme, en une délétère torpeur. Il s’agit, donc, de prendre conscience, de ses pensées, émotions.

 

Puis, des conduites, afférentes et, subséquentes. La pensée positive, constructive, productive, du junior, est, donc, toujours, à privilégier et, promouvoir. Tout, ce qui corrobore ou, est susceptible, de corroborer, des réalités favorables ou, pouvant produire, des effets très bénéfiques, sera motif, à cognitions, sentiments et, actes heureux.

 

La personne juvénile ne se comparera, jamais, à autrui ni, ne comparera rien ni, personne, car, tous et, tout, sont uniques et, incomparables. Il convient, donc, de se focaliser, sur soi-même et, non, sur autrui. Cela, permet, au jeune, de se réjouir, de ce qu’il est, a et, fait, au lieu, de s’en accabler, si il se convainc, que les autres, le « surclassent ». Il ne peut, se comparer, qu’à lui-même, comme, qu’à ce qu’il était, dans le passé, par rapport, à ce qu’il est, aujourd’hui, en sa pleine jeunesse.

 

L’essentiel, pour le junior, est de progresser, non, de dépasser, autrui. Vouloir être, toujours, le meilleur, en tout, pour tout, est autant, impossible, que désirer, être parfait. Il y a, toujours, « mieux », que soi, mais, « pire », aussi, en fonction, des époques et, des domaines concernés. En outre, nul préadulte, n’est parfait et, l’adversité frappe, tous et, chacun, tôt ou, tard et, à divers degrés et, égards.

 

Nulle vie, n’est « sans nuages », de la naissance, à la mort. Le destin, de chacun, est de muer, ses espérances, en réalités tangibles et, de grandir, en sagesse, abnégation, dépassement, de soi. Le jeune s’impartira et, réalisera, des projets, objectifs et, desseins particuliers, avec toutes limites temporelles impératives, d’exécution. Ces buts seront, pour notre jeunesse, spécifiques, mesurables et, atteignables, liés, à des résultats, comme fixés, dans le temps.

 

Le jeune les notera, par écrit. Avec un programme, de travail, pour y parvenir. Des étapes fractionnées, progressives, successives, afférentes. Le tout, à débuter, sur-le-champ, sans procrastination. En effort, persévérance et, détermination, sur la durée, foi, volonté et, motivation, sans découragement ni, défaitisme ou, renonciation. Avec l’aide, de proches, de confiance et, qualifiés, si besoin.

 

Le junior œuvrera, à sa tâche, sans relâche, au quotidien et, de façon assidue, comme continue. Tous les moyens nécessaires, en hommes, temps, argent, énergie, disponibilité, compétences, seront mobilisés, pour parvenir, au but. Tous efforts nécessaires, seront maintenus, jusqu’à complet succès. La personne juvénile prendra exemple, sur ceux, qui ont, déjà, réussi, ce qu’elle ambitionne, avant elle.

 

Le junior ne s’entourera, que de personnes exemplaires, qui le soutiennent, l’aident, l’encouragent, le comprennent, en ses projets. Des gens optimistes, positifs et, allègres. Cela, lui permettra, d’aller, de l’avant. Il cultivera, son estime, sa confiance, comme son affirmation, de lui-même, en force mentale, émotionnelle et, comportementale. Le jeune surmontera, tous les difficultés, insuccès et, déboires. Rien, ne le détournera, de son but. Il sortira, de ses routines et, zone, de sécurité et, prendra des risques calculés et, à bon escient, pour oser, innover, inventer, créer et, réussir, sa jeunesse, comme son avenir.

 

La personne juvénile tirera, toujours, tous les enseignements bénéfiques utiles, de ses erreurs, fautes, insuffisances et, échecs, pour « rebondir et, aller, de l’avant ». Les insuccès sont relatifs, provisoires et, surmontables. Ils ne sont, que des apprentissages et, étapes nécessaires et, fructueux, sur la voie, du succès. Cela, permet, de s’améliorer et, progresser. Le jeune se focalisera, patiemment, sur ses objectifs et, sur la réussite finale escomptée. Non, sur les difficultés, qui y mènent et, qui ne sont, que des péripéties inévitables. Lesquelles, sont secondaires et, non rédhibitoires, pour tout junior.


 

 


59 – Appuyer Vos « Préférences

AndroJuvéniles de Cheminement » –


 

 

Vous ferez une fixation « raisonnable », de vos vraies priorités et, urgences, de vie, afin, de pouvoir décider, au mieux, de votre « cheminement existentiel ». Le premier obstacle majeur, sur la voie, de la réalisation, de vos aspirations, est la peur. Vous prendrez, donc, au préalable, conscience, par écrit, des raisons, de vos craintes, au sujet, de vos choix, à faire et, décisions, à prendre.

 

Ensuite, vous envisagerez, ce qui, à ce sujet, pourrait advenir, de pire et, des plus dommageables, pour vous. Cela, vous permet, de relativiser, les choses, vous en distancier et, décentrer, pour vous apaiser et, envisager l’avenir, plus sereinement. En pleine conscience, que « le pire », n’est, jamais, assuré. Le plus souvent, vous constaterez, que la probabilité, de la survenue, du mal, est limitée. Vous devrez, aussi, savoir, si votre décision est réversible ou, irrévocable.


 

 


> La plupart, des décisions, peuvent être rapportées et, abandonnées, ce qui permettra, à la jeunesse, de « se rassurer ». Sachant, par avance, qu’en cas, de difficulté rédhibitoire, elle pourra, toujours, prendre, une tout autre orientation. Face, à une décision, d’avenir, majeure et, délicate, elle peut, se faire assister et, conseiller, par une personne sûre, de son entourage. Comme, par quelqu’un, d’extérieur, non impliqué.

 

Cela, affermira, bonifiera, la décision, du jeune. Laquelle, sera, mûrement, réfléchie, avant, exécution. Pour faire un choix approprié, il importe, d’avoir, des pensées constructives et, des émotions sereines, pour préparer, des comportements idoines productifs. Une grande paix juvénile intérieure, s’impose. Par la méditation, la respiration abdominale profonde, par le nez, en inspirations et, expirations prolongées alternées, la relaxation.

 

Toute bonne décision éclairée, du junior, est précédée, de tâches, d’information et, d’investigations. De façon logique, rationnelle, avisée, exhaustive, complète, claire, précise. Tout, ce qui peut permettre, de décider, à bon escient, sera inventorié. Toutes, les options possibles, seront envisagées, étudiées, soupesées, comparées, avec les avantages et, inconvénients, de chacune.

 

Pour choisir, celle, qui est, la plus prometteuse. En outre, se demandant, pourquoi, le jeune veut faire, tel ou, tel choix, avec toutes les réponses liées, il décidera mieux, à bon escient et, connaissance, de cause. Pour chaque aspect, de la décision, à prendre, il se posera, donc, autant, de questions, que nécessaires, avec leurs réponses idoines. Quant aux fondements même, de la volonté juvénile, de satisfaire, ses aspirations majeures.

 

Ce qui lui permettra, de les réaliser, de la meilleure façon et, de la manière, la plus satisfaisante. Il s’agit, pour la jeunesse, de voir, aussi, si la décision, en cause, implique, également, d’autres personnes, qu’elle. Si tel, est le cas, elle redoublera, d’attention, de précautions, pour ne léser personne. Le junior associera, alors, les autres impliqués, en requérant, leur avis et, leur accord.

 

Car, une erreur, de décision, qui ne concerne, n’affecte, donc, que soi, est bien moins grave, que celle, qui a, des effets dommageables, pour autrui. Une décision peut aller, à l’encontre, de certaines valeurs, du jeune, tout en favorisant, d’autres. Il fera, donc, des compromis, concessions, pour privilégier, ses idéaux, principes prioritaires, par rapport, à d’autres, qui le sont moins.

 

Avant, de choisir, décider, toutes les possibilités, les plus sérieuses, intéressantes, seront inventoriées, analysées, évaluées, par le junior. Pour ne retenir, que « la meilleure », à tous points de vue. Toutes catégories confondues. Celle, qui cumule, un maximum, d’avantages ou, de points, de notation positive et, un minimum, d’inconvénients, de points, d’évaluation négative, comparativement, aux autres. Alors, il convient, de décider, pour réaliser, les aspirations souhaitées.

 

Le jeune optera, donc, pour lui-même, comme, il l’aurait fait, conseillant, son meilleur ami, en pareille situation. Il s’éclairera, alors, lui-même, comme, il le ferait, en conscience, pour un autre, que lui-même, à qui, il voudrait, « le plus grand bien ». Il envisagera, aussi, des opinions et, des analyses, opposées, aux siennes, en les défendant, lui-même, comme, si elles étaient siennes, pour mieux décider. En appréhendant, tous les angles, points de vue contradictoires possibles, préalables, à la décision juvénile.

 

Les arguments probants, aux antipodes, de ceux, de la jeunesse, même antinomiques, antagoniques, seront pris en compte et, considération, pour faire, un choix. Toute décision basée, sur un sentiment, de culpabilité, de honte, regret, sera abandonnée, par le junior. Une bonne option est, toujours, fondée, sur un ressenti, de fierté, de joie, d’assurance. La certitude, de ne pas se tromper, ni commettre, d’erreur, mais, de choisir, en conscience, à bon escient, « pour le meilleur, sans le pire ».

 

Pour s’assurer, de la légitimité et, l’excellence, de sa décision, le jeune se projettera, dans l’avenir et, s’imaginera, l’appréhender, en ses effets réels. Bien après, avoir été prise et, appliquée. S’il est convaincu, qu’à cette époque future, il sera réjoui, satisfait, serein, car, son choix antérieur aura donné, les meilleurs fruits, alors, il saura, qu’il est bon. Il pourra, donc, le faire, de bon cœur, sans inquiétude, doute, ni atermoiements juvéniles.

 

Le junior se fiera, aussi, avant, toute décision, à son intuition, la plus profonde, à ses expériences passées, en cas similaires et, à celles, d’autrui. Il se prononcera, selon, son for interne, le plus profond, en intime conviction, conscience et, libre-arbitre. La jeunesse interrogera, donc, ses pensées et, émotions liées, les plus favorables, au projet. Ce qui augmentera, la probabilité, qu’elle en soit, des plus satisfaites, après, application.

 

En correspondance et, concordance ou, harmonie, pleines et, entières et, avec son désir afférent, le plus ardent. Le jeune sait, généralement, ce qui est, le plus susceptible, de le combler, en ses espérances et, desseins majeurs. Il privilégiera, alors, ce qui est gage, à ses yeux, de santé, félicité et, prospérité. Il se fera aider, à cet effet, par la réflexion et, la méditation ou, la relaxation solitaires.

 

La jeunesse choisira, ainsi, de façon libre, souveraine, conformément, à ce qu’elle est et, souhaite. Elle pourra, aussi, prévoir, un « projet, de substitution », au cas où, le plan initial, ne marcherait pas. Cette hypothèse, de sécurité, aurait l’avantage, de rendre, le jeune,  plus serein, en certitude, d’une possibilité, de « rattrapage », en cas, d’échec.

 

Le moment, de décider, étant venu, il le fera, « sans trembler », de façon ferme, résolue et, volontaire. « Faisant, ce qu’il a dit et, disant, ce qu’il fait » ! La personne juvénile l’assumera, sans détour, en fierté, du chemin accompli et, assurée, de sa légitimité et, de celle, de son choix. De façon responsable, autonome et, mature, consciente et, avisée. Sans retour, en arrière, convaincue, d’avoir bien choisi et, pour le meilleur.


 

 


60 – Renforcer Votre Autoconditionnement

De Réussite, de Junior Masculin –


 

 

Vous procéderez, à une mise, en cohérence, de vos désirs, croyances, volonté, motivations, pour parvenir, être « acteur majeur, de votre propre vie ». Pour cela, vous avez, d’abord, à assurer, vos nécessités et, impératifs, les plus fondamentaux, vitaux, même. Rappelons, que vos grands besoins humains sont, successivement, pour vous : physiologiques, de sécurité, d’appartenance, d’estime puis, d’accomplissement, de vous.

 

Pourvoir, à votre subsistance, matérielle et, corporelle, élémentaire. Être à l’abri, du besoin et, des risques et, aléas existentiels courants. Être bien intégré, en votre communauté, collectivité, société. Être considéré, reconnu, aimé, ès qualité, par vos congénères humains. Être en plénitude, dépassement, de vous, ataraxie, équanimité.


 

 


> Donner un sens, à sa vie, accomplir, sa mission terrestre. Cultiver, des valeurs, laisser, une trace optimale, post mortem… Tout ceci permet, au junior, épanouissement, confiance et, « maîtrise, de son destin ». Rappelons, aussi, la nécessité, d’une bonne hygiène, de vie : sommeil, alimentation et, activité physique satisfaisants. Une fort bonne santé, physique et, psychique, morale et, sociale, est capitale.

 

Le jeune entretiendra, notamment, un maximum, de liens humains, de qualité, notamment, avec ses semblables, de même âge. Cela, rend plus heureux, en bonnes estime, confiance et, affirmation, de soi. Les relations existantes seront entretenues et, de nouvelles, seront nouées, pour de nouvelles interactions et, découvertes mutuelles enrichissantes. De façon régulière. Cela, est, pour la jeunesse, d’un grand réconfort, moral et affectif, notamment, dans l’épreuve et, la difficulté.

 

Redisons, aussi, toute l’importance, pour le junior, de vivre, au moment présent, non, au passé ou, dans le futur. Positiver, implique, de, toujours, retenir, ce qui va bien et, est bénéfique. Même, ce qui paraît négatif, peut, en réalité, révéler, des aspects favorables, pour peu, qu’il se donne la peine, d’en prendre conscience. La jeunesse ne peut, pleinement, progresser, réussir, être heureuse, en sa vie, que si elle s’accepte, telle, qu’elle est.

 

Avec ses failles, erreurs, fautes, échecs, imperfections. Comme, tout autant, en ses qualités, mérites et, succès. Sans complaisance, pour autant, à son propre égard, en lucidité, fierté et, humilité. Tout en se battant, sans cesse, pour se bonifier et, « devenir meilleure ». Ainsi, elle sera maîtresse, d’elle-même et, de son existence. Le jeune dépassera, donc, les aléas, de sa vie et, ses « zones d’ombre », en maturité, autonomie, indépendance et, responsabilité.

 

Pour mettre en œuvre, ses valeurs, aspirations, rêves, désirs. À la jeunesse, sur la voie, de l’adultisme, il est temps, de cesser, de se réfugier, dans les faux-semblants, échappatoires, esquives, de l’enfance révolue. En syndrome, de fausse impuissance, fort illusoirement, autoprotectrice. Le jeune peut, toujours, « plus, mieux, plus vite », qu’il ne le prétend ou, le croit, pour ne pas avoir, à se battre, prendre de risques, échouer.

 

Par manque, de foi, en lui, la vie, son destin. Fuyant, en l’attentisme, l’apathie, le nihilisme, les plus délétères. « Rêvant, sa vie, plutôt, que de vivre, ses rêves » ! La personne juvénile a le pouvoir, de changer, son existence. Quand, elle croit, qu’elle ne peut agir, en réalité, elle ne le veut pas, car, elle pense, qu’il ne le faut pas, qu’elle ne doit pas s’engager, activement.

 

Le junior est, toujours, libre et, a, toujours, le plein choix et, la possibilité, d’agir ou, de s’abstenir et, de s’exprimer ou, se taire. Ses options, cognitives, émotionnelles et, comportementales, sont, toujours, loisibles et, ouvertes. En pleines estime, confiance et, affirmation, de soi. L’autosuggestion et, l’autopersuasion positives, peuvent l’aider, à réaliser, ses aspirations et, prendre sa vie, en main. Notamment, par la méditation dynamique.

 

Autour, d’un point focal récurrent, bénéfique et, majeur : pensée, émotion, conduite, objectif, désir… La jeunesse s’en pénétrera, de façon répétée, convaincue, profonde. Pour annihiler, ses convictions néfastes, se motiver, positivement, par des affirmations, certitudes favorables. Elle se fera aider, par des proches bienveillants, des groupes, d’entraide mutuelle, des structures, forums, d’échanges interactifs dynamiques. Le jeune mettra, régulièrement, par écrit, tout, ce qui le rend heureux, lui inspire, gratitude, allégresse et, espoir.

 

La personne juvénile se battra, alors, pour réaliser et, développer, cela. En déterminant, les meilleurs moyens, pour y parvenir et, les appliquant, très méthodiquement, fort consciencieusement, pour atteindre et, concrétiser, ses aspirations radieuses. Le junior ne négligera, aucune occasion, de s’enrichir, mentalement et, intellectuellement. Cherchant, toujours, à apprendre, connaître, savoir, découvrir et, comprendre, pour progresser, en « sagesse et, culture savante », du jeune.

 

En ses études et, par tous moyens. Élargissant, sans cesse, toujours, ses « champs, de connexion, avec l’Univers ». Cela, transcendera, sa pleine représentation, du monde. L’éducation est la plus grande chance et, occasion, uniques, pour la jeunesse, de s’élever, se dépasser, elle-même, en ascèse, mentale et intellectuelle. Elle est, temps privilégié et, par excellence, d’apprentissages, même si, l’on apprend, toute sa vie.

 

Tout, peut être occasion, de développement cognitif, en tous domaines, toutes matières, tout registre. Cela, permet, au junior, de s’engager, en maints projets, pour réaliser, ses aspirations, les plus ardentes. La méditation, par respiration et, focalisation, sur l’instant présent, permet, d’affermir et, maîtriser, son être physique, psychique, moral, cognitif, émotionnel, comme comportemental. Réaliser, ses quêtes, passe, par des désirs, buts, projets.

 

Ainsi, que par des changements, réguliers, décisifs et, notables. Le jeune se battra, donc, plus, pour « muter », que pour rester, en son immobilisme. À cet effet, il fera évoluer, ses habitudes quotidiennes, de façon régulière, significative. Toute occasion, de se mesurer, sainement, aux autres, en émulation, est bénéfique, pour l’aider, à réaliser, ses desseins majeurs. Ainsi, en compétitions sportives, ludiques, intellectuelles, culturelles, récréatives juvéniles et, autres.

 

Cela, permet, de se renforcer, d’un point de vue cognitif, émotionnel, comportemental. En « excellente école », de patience, ténacité, d’effort, de détermination et, de dépassement, de soi. La jeunesse ne cessera, de s’impartir, des objectifs, à court, moyen et, long termes, petits, moyens et, grands. Se battre, pour un dessein, la rend, plus responsable, mature, autonome, en plein contrôle, d’elle-même, de son existence.

 

Cela, est encourageant, pour le jeune, lui démontrant, que l’action permet, toujours, d’obtenir, de fructueux résultats, pleinement, bénéfiques, pour lui. Il commencera, par des buts faciles, à horizon proche, pour finir, par les plus complexes, lointains. Il saura, aussi, donner, bénévolement, de son temps et, énergie, pour autrui, en sentiment positif, d’utilité, de sens, générosité, pour d’autres, que lui-même. Gratuitement, de façon oblative et, désintéressée, en ascèse et, don, de soi, juvéniles.


 

 


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